Je Me Donne 4

Le samedi je suis à 13h30 précise à la gare donné par Rachid. Il est déjà là, à m’attendre. La porte s’ouvre et je pénètre dans la voiture.
-tu es à l’heure c’est bien. Quand je te le dirais, tient tu mettras ça afin que personne te reconnaisse, je veux juste récupérer mon blé et pas te poser des emmerdes.
-mais Rachid, c’est déjà fait, non ?
-non, je suis le seul à te connaitre, vidéos et photos seront remis à ton mari et sans faire de copie.
Nous roulons une vingtaines de minutes et arrivons dans un ensemble d’immeuble. La voiture pénètre dans le garage souterrain.
-vas-y met la cagoule.
-mais je vais faire quoi Rachid ?
-tu vas jouer la pute pour me rembourser, je sais que ton mari te l’a dit.
Oui, Anthony, m’a demandé d’accepter, juste le temps de rembourser sa dette et moi avec tout ça je l’aime toujours, c’est con, mais c’est ainsi.
Je fais ce qu’il me demande et met la cagoule, laissant apparaitre mes yeux, ma bouche. La voiture stoppée, nous entrons par des couloirs qui nous faits arriver dans une grande cave. Lieu étrangement propre, trois chaises, une table et un matelas sont installé. Un homme est là, il nous attendait.
-salut Djibril, voilà la nana, tu surveilles que tout se passe bien et avec capote pour tous.
-ok,ok pas de soucis t’inquiète pas, tu me donnes ma part quand ?
-nous verrons ce soir selon ce que tu auras rabattus.
-ok pour moi Rachid.
Je me mets nue et je dois attendre à 4 pattes sur le matelas, ordre de Djibril et Rachid, qui d’ailleurs me laisse à la gestion de son copain et part. Il y a une petite musique de fond, histoire de casser le silence présent dans les caves. Je n’ai pas attendue plus de 20 minutes. J’entends des pas dans le couloir. Un échange en langue arabe commence, c’est une femme et Djibril. Mon dieu serions-nous découvert, que va-t-il se passer… ?
Une main vient fesser à deux reprises mes fesses, aiee ! cette fessée n’est pas amicale.

Une femme vient se placer devant moi et s’assoie sur le matelas. Elle est belle, très jolie visage et le reste du visage est couvert, pas de cheveux apparents, rien. Elle lève sa longue robe noire qui laisse apparaitre son sexe. Un sexe sans poils avec des lèvres intimes importantes. Je comprends vite ce qu’elle veut, mais je ne l’ai jamais fait.
-sale pute à arabe, bouffe-moi la chatte, tu vas gouter la chatte arabe et tu vas la bouffer.
Elle prend ma tête et je me retrouve entre les cuisses de cette femme. L’odeur est forte, transpiration et je ne sais quoi. Ma langue commence à lécher, elle tente de se faire un chemin entre ces lèvres intimes charnues. La peau est visqueuse et au goût je comprends que c’est du sperme, je songe à me retirer mais cette femme me tient fortement la tête dans son entrejambe. Je lèche et lèche encore, ordre m’est donnée de la pénétrer de ma langue pour en extraire le sperme présent. Je m’efforce de faire au mieux et je collecte le sperme qui coule, ce qui satisfait cette femme. Ensuite, elle écarte encore plus ses jambes et de ces mains écarte ses fesses.
-sale truie, ne crois pas que c’est fini, j’ai le cul aussi qui est plein, alors applique toi, sinon je raconte tout à Rachid.
Je vois un filet blanc couler lentement de son anus, elle a été sodomisée et je dois nettoyer cet endroit. Même si je sais que je n’ai pas vraiment le choix, je prends un certain temps avant de poser ma langue et ma bouche sur cette zone. Ma langue commence à lécher ce filet et remonte jusqu’à l’anus. Pendant que je lèche l’anus, la main de la femme se pose sur son intimité et elle commence à se masturber.
-entre ta langue salope, voilà, c’est bien….
Je fais et elle apprécie, tant mieux pour moi. Sa respiration s’accélère et un cri retenu, sourd et faible sort de sa bouche. Rapidement elle me repousse.
-Djibril, c’est terminé (et des mots en arabe suivent)
Elle se réajuste, la porte s’ouvre et elle part. A peine 5 minutes après, j’ai un membre qui se présente à moi.
Je suce et rapidement mon sexe est pénétré. Cet homme ne cherche que son plaisir, il bouge comme un chien, me pinçant les fesses pour m’ouvrir un peu plus l’intimité. Il se libère dans le préservatif et quitte la cave. J’ai vu passer des vieux avec un membre rabougrit, j’ai vu passer des plus jeunes ventrus avec des membres de taille honorable, j’ai vu des hommes qui puait la transpiration avec des membres plus ou mains propre, jai vu et j’ai vu…mais tous étaient là uniquement pour m’utiliser comme une pute. Ils me l’ont tous dit « tu es la pute de Rachid… ».
Durant juste 6 mois, j’ai subi le samedi, le dimanche ou voir les deux jours consécutifs les railleries, les assauts de ces hommes qui ont profités de mes orifices pour se satisfaire. Mon intimité, mon anus et ma bouche ont été visités sans retenue et j’ai dû donner plaisir à mes « bourreaux ». Et moi dans tout ça ?
Même si ça été dégradant de servir de pute à arabe homme et femme en plus, oui cette fameuse femme est revenue me voir assez souvent, même si pour tous ce n’était que leur plaisir, j’ai découvert une situation folle, mais excitante, excitante d’être traité comme je l’ai été, excitant d’être prise par les uns après les autres. J’ai jouie sans état d’âme, je savais que ça ne durerait pas, alors j’ai profité pour me laisser aller, jouir et rembourser la dette de mon mari et je l’ai fait et j’en suis fier. Nous sommes maintenant sortit de cette situation.
Rachid a respecter ses dires, photos et vidéos nous ont été restitués. Au travail, nous nous croisons et Rachid ne fait rien paraître, il m’ignore même, comme si de rien n’avait existé.
Ces évènements nous ont ment changés. Anthony s’occupe plus de moi, même si il se rend bien compte que je ne prends pas autant de plaisir qu’avec Rachid et les autres. Moi, j’ai arrêté de me faire épiler, ça me gavait et c’était Rachid qui voulait, j’ai retiré son piercing à l’oreille et mon chéri m’en a offert un autre très joli pour le remplacer et j’ai fait poser un anneau au nez, à la demande de mon mari.
Avec tous cela, nous avons repris le cours de notre vie, assez normal. Et puis un dimanche, Anthony m’a prise à partie.
-ma chérie, nous nous sommes bien reposés, mais maintenant nous devrions trouver une solution pour remplacer Rachid.
-pardon ! Anthony tu dis quoi là ?
-arrête de faire ta petite femme prude et rangée, je ne te donne pas le plaisir que tu as besoin et puis tu m’as cocufié sans état d’âme en plus, et là tu fais genre, oh mon dieu que dit-il là. J’ai pris le temps de regarder sur le web différents forums et des sites. A chaque fois que j’ai mis ta photo, bingo, tu plais et beaucoup veulent te sauter.
-mais mon chéri tu es tombé sur la tête ?
-bah non ! j’aime te voir te faire sauter par d’autres hommes, j’ai découvert et j’aime, alors nous allons faire en sorte que tu me fasses plaisir et puis voilà, je serais là avec toi, ne t’inquiète pas.
Je me suis assise, tellement l’annonce est inattendue.
-nous avons un premier rendez-vous samedi prochain, le matin tu iras chez la coiffeuse histoire de raffraichir cette coupe, il faut que tu sois belle et puis j’en ai marre de te voir avec cette tignace, il faut changer un peu. Pour les poils de ton sexe, tu gardes la touffe pour le moment ça semble plaire.
-Anthony, Rachid a déteint sur toi ou quoi ?, je ne suis pas ta putain de chose quand même.
-ma putain de chose, non, mais tu vas être la petite pute que je vais faire baiser afin de l’entendre jouir.
-en gros tu es devenu un gros voyeur et tu en veux encore plus maintenant. Ok comme tu veux mon chéri, si c’est ce que tu veux, mais tu seras bien là, je veux que tu m’entendes jouir et je veux te voir te branler et jouir alors que je me fais sauter.
-eh bien voilà ma chérie, nous sommes en parfait accord.
Le samedi matin direction la coiffeuse pour me faire juste rafraichir, au diable le changement que veux Anthony. A mon retour je prends une douche et me prépare pour ce fameux rendez-vous.
Anthony à ronchonné sur ma chevelure qui à son goût n’a pas vraiment évoluée, mais c’est passé pour cette fois. Je me suis habillée comme mon chéri voulait, provocante, sans dessous, avec une petite robe. Je me dirige vers la voiture.
-non pas la peine ma chérie, suis moi.
Surprise je le suis vers le sous-sol de notre maison et je découvre une pièce aménagé, en toute discrétion, l’ancienne chaufferie qui servait à rien ou nous allions jamais, Anthony l’a aménagé avec un clic clac qui trainait dans la remise, deux chaises, une table, un fauteuil, le tout fais avec goût et sentant la peinture neuve.
-tu l’as bien préparé mon salaud. Je sais pas comment tu as fait pour que je ne me rends compte de rien, mais là bravo mon chérie.
-Oui j’ai assuré, donc voilà notre lieu, avec la porte donnant sur le jardin c’est le plus pour bien gérer les allers et venues, personne dans la chambre.
Bon je vois que mon mari a pensé à tout, surprise je suis.
-ma chérie, tu restes là, à 4 pattes sur le lit, tu mets cette cagoule, tu ne verras pas qui te prendra, il y a juste une ouverture pour le nez et la bouche, tu vas voir ça va décupler ton plaisir.
-a carrément, c’est peut-être poussé mon chéri.
-non, je t’aide.
Anthony m’enfile la cagoule et la ferme, je ne vois rien, effectivement, c’est étrange. Je me retrouve seul dans la pièce. La porte s’ouvre, une main lève ma robe, sensation étrange de ne pas savoir qui fait quoi. La main ma caresse les fesses, puis vient voir mon intimité. Mes lèvres intimes sont écartées, tirées et le bout d’un doigt caresse l’ouverture de mon sexe. Cet homme se présente à moi et son membre vient me taper la joue droite à deux reprises, puis me remplit la bouche. Je suce ce membre sous le mouvement donnée par les mains de cet inconnu. Je m’applique à prodiguer une belle fellation qui semble satisfaire l’invité. Il se retire alors que je le suce depuis un bon moment déjà. Le membre se représente de nouveau, mais non, le goût n’est pas le même, c’est un nouvel inconnu qui démarre rapidement les vas et vient dans ma bouche.
-aller, suce moi comme ça, oui, c’est bien, continue…
Je suce ce membre, alors que derrière moi un autre tente de me prendre l’intimité, ce qu’il fait sans problème. Une salope comme moi, ça mouille sans tarder, mon mari à raison. Est-il là, présent pour regarder ? je ne sais pas ? Le membre qui me baise, le fait avec cadence, sans se précipiter. Il entre, sort et me reprend entièrement.
-aller à toi.
Je ne connais pas cette voix, elle vient de derrière, je pense que c’est l’homme qui me prend, a qui parle-t-il ? Tout à coup, je sens une langue me lécher le clitoris, ment c’est agréable, même très agréable.
-ooohh, c’est bon oui encore….
Je m’exprime, comme Rachid m’a appris, en bonne garce, accro au sexe que je suis devenue. Maintenant, je sens un gel froid qui est déposé sur mon anus et rapidement je sens un gode tenter me prendre cet endroit. J’aide à me faire pénétrer.
-oh pu….., c’est trop bon,
-ah la salope se réveille enfin, ton mari l’avait dit, tu es une belle garce bien chaude, alors tu vas en prendre pour ton grade.
L’homme en moi s’active, en même temps que le gode, c’est génial comme sensation, trop forte. La langue me lèche toujours le clitoris et je branle le membre que je suce par intermittence, tellement le plaisir se fait grand. Depuis la fin des moments avec Rachid, je n’avais pas retrouvée ces sensations extrêmes de plaisir, là ça revient, cette chaleur en moi qui monte, je sais que je vais jouir comme une folle, j’espère qu’Antony nous regarde. L’homme que je suce se retire et je sens ses mains pincer et tirer mes petits seins.
-ah non pas ça, ah ah … je vais p… pas pou….voir mretenir, oooohh ouiiiii
A cet instant, je pars dans mon plaisir, je ne peux me retenir. Ce n’est pas pour autant que ces inconnus arrêtent, je suis toujours remplis par cet homme et ce gode, la langue plaquée sur mon bouton, et mes seins qui commence à être douloureux, tellement ils sont tirés. Le gode se retire de moi, je sens ce membre se vider dans le préservatif, un liquide chaud vient se déposer par saccade sur mes fesses, j’imagine le scène sans difficultée. L’inconnu qui a jouit dans la capote, vide cette dernière sur ma rondelle et étale d’un doigt son liquide. Mes jambes et mes bras ne me tiennent presque plus, je m’affale sur le lit, pour reprendre le temps présent.
-quand tu veux mec, nous revenons, je peux te trouver du monde pour sauter ta poufiasse de femme, fais-moi signe.
La porte se ferme.
-Très bien ma chérie, tu as bien jouie, alors à moi, écarte tes cuisses.
La langue d’Anthony vient me lécher le sexe trempé, puis elle remonte sur le sillon de mes fesses et vient nettoyer le liquide encore présent sur mon anus. Anthony me fait mettre sur le dos et retire la cagoule. Je le découvre, le membre bandé, se masturbant.
-ouvre ta bouche, là tu vas pouvoir avaler, tu vas devenir la pute du quartier ma chérie, j’ai adoré te voir et t’entendre, nous allons vite recommencer.
Mon chéri déverse sa semence dans ma bouche, une semence liquide, de couleur claire et en petite quantité, mais c’est mon mari, je l’aime.



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