Une Plantureuse Et Experte Gymnaste - 3

Je restais allongé, totalement nu, dans ce lit qui sentait bon le parfum de l’amazone. J’entendis la douche se mettre à couler et Maryline se mit à chanter d’une voix cristalline. Je ne pouvais m’empêcher de l’imaginer sous cette douche entrain de savonner ce corps à la fois divin et démoniaque, passer ses longs doigts sur son opulente poitrine, et sur son sexe humide. La douche se tut, et les images de cette journée défilèrent dans mon esprit: pendant le cours de yoga, au restaurant, quand elle m’a soulevé pour me porter, quand elle m’a posé sur la table à langer, quand elle a enlevé son haut, quand elle m’a soulevé pour me masturber entre ses superbes seins, quand elle m’a porté dans la chambre et posé délicatement sur le lit, puis quand elle s’est mise totalement nue pour se doucher. Des claquements de talon me sortirent de mes rêvent. C’étaient l’amazone qui s’était faite belle juste pour moi. Je vis sa haute silhouette à contre jour. Perchée sur des talons de 15cm, son chignon touchait presque l’encadrement de la porte. La lumière dessinait en ombre chinoise ses courbes magnifiques. Elle entra dans la pièce en croisant ses longues jambes et se planta devant moi, les mains sur les hanches, pour que je puisse l’admirer.



— Je te plais comme ça ?



Je n’avais jamais vu de femme plus sensuelle ! Elle était juste vêtue d’une paire de bas résilles blancs qui arrivaient un peu plus haut que ses genoux et d’un soutien-gorge en dentelle du même motif. Il était suffisamment transparent pour que ses tétons soient visibles et il sublimait sa poitrine qui formait deux énormes melons sous sa gorge.



— Tu es magnifique. Je n’ai jamais vu de créatures plus belle !

— Tu n’as pas besoin de parler, ton pénis s’exprime à ta place.



Je ne m’étais même pas rendu compte que mon sexe s’était à nouveau dressé ! La belle mit une main sur le lit, puis l’autre, puis un genoux, puis l’autre et s’avança telle une panthère jusqu’à ce qu’elle soit au dessus de moi.

Elle se baissa, cambrant ses reins, et se mit à lécher une de mes jambes jusqu’à ce que sa langue atteigne mes testicules et mon sexe. Elle l’engloutit et commença à le stimuler habilement de sa langue. Quand elle l’estima assez mûr, elle le libéra, laissant de fines traces de rouge à lèvre sur toute sa longueur. Elle sortit un préservatif qu’elle cachait dans son soutien-gorge et l’extirpa avec dextérité de son enveloppe. Elle pinça le réservoir et entreprit de le dérouler sur ma queue. Le contact de ses longs doigts sur mon chibre me fit frissonner et déclencha des soubresauts réflexes.



— Calme toi mon tout beau. J’ai bien l’intention de prendre du plaisir cette fois ci ! Ne va pas me remplir la capote alors qu’elle est juste dans mes doigts !



Elle se redressa pour se mettre sur les genoux et s’avança pour mettre les lèvres de son sexe humide au dessus de ma bite. Elle la saisit à la base pour la maintenir verticale et s’empala sur elle. Elle se mit alors à onduler son bassin comme seule une femme avec sa souplesse peut le faire. Je voyais ses abdominaux se comprimer et se détendre à chacun de ses mouvements. Son vagin étroit me donnait des sensations que je ne connaissais pas et si je n’avais pas déjà joui, j’aurai surement été au bord de le faire. La belle semblait prendre du plaisir aussi. Elle passa ses mains dans son dos et dégrafa son soutien-gorge que ses seins titanesques éjectèrent à nouveau. Les melons se transformèrent en obus qui pointaient fièrement vers moi. Ses longs doigts vinrent saisir mes avant bras et la belle me força à plaquer mes mains sur sa poitrine. Je n’avais pas de mots pour définir sa texture, à la fois lourde et gracieuse, ferme et moelleuse. Mes mains se placèrent sur ses aréoles pour titiller ses tétons si durs que j’aurai pu m’y crever un oeil dessus. Je sentais ma prostate mettre en place mon prochain orgasme mais je tentais autant que possible de me retenir tant que la géante qui me chevauchait n’avait pas atteint le sien.
Au bout de quelques minutes, je sentis l’étreinte des ses mains sur mes bras augmenter considérablement, en même temps que le volume de ses gémissement s’amplifiait. Elle avait une telle poigne que j’avais peur que mes os ne résistent pas ! C’est vrai que pour faire tourner un corps de 1m82 pour 75kg autour d’une barre fixe, il faut une force colossale, et elle l’avait ! La belle se figea un instant et je sentis les muscles de son vagin se contracter pendant qu’elle hurlait de plaisir. Elle se tut en même temps qu’elle relâcha mes bras meurtris. Ses larges et puissantes mains avaient laissé de belles marques sur ma peau blanche. Pendant que l’amazone reprenait ses esprits, je frottai mes bras engourdis pour tenter d’y faire circuler le sang à nouveau. La belle s’en aperçut.



— Pardon mon tout beau ! Je ne me rends pas compte de ma force surtout dans de tels moments. ça va aller ?

— Oui, pas de soucis. Quelle poigne en effet ! Il vaut mieux que ce soit mes bras qu’un autre de mes membres dans tes mains à ce moment là !

— Petit coquin ! veux tu prendre ce risque ?

— Oui !



La géante se recula tout en se dés-empalant de mon sexe. Elle enleva le préservatif et saisit ma bite qui disparut dans sa grande main. Elle se mit à me masturber avec sa poigne de fer. Tout doucement d’abord, puis de plus en plus fermement et rapidement. Elle savait doser la pression pour que je sente sa force sans avoir mal. Le gland de mon sexe déjà stimulé par nos ébats précédents était rouge vif et je ne pus me contenir plus longtemps. Ma bite cracha son jus qui coula sur la main de l’amazone. Le plaisir forçait mon corps à se cambrer et la belle me regardai jouir tout en continuant à masturber fermement mon sexe. Elle le tenait comme s’il lui appartenait et ne voulait jamais plus le lâcher. Elle le laissa se rabougrir et quand il s’extirpa de lui même de sa prison, elle porta le dos de sa main sur lequel je m’étais soulagé à sa bouche et lécha goulûment mon sperme.
J’étais en nage et j’ haletais en regardant la géante se sustenter de ma semence. Elle semblait plus en forme que jamais.



— Et bien ! On peut dire que ça t’a plu. J’ai rarement vu un homme se trémousser comme ça entre mes cuisses pendant que je le masturbais.

— On ne m’a jamais masturbé avec une telle poigne ! C’est une sensation totalement nouvelle pour moi.

— Et je n’en ai pas fini avec toi. J’ai encore plein de trucs à t’apprendre.

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