Mon Beau-Frère Est Un Cochon

Je m’appelle Blandine, j’ai 22 ans et je suis d’après ce que mon entourage dit, très belle. Du haut de mes 1m 65 et 55 kg, les hommes se retournent souvent sur moi.
Je suis une petite brune, avec de petits seins 80 B et une taille très fine (le 36 me va grand), et de belles petites fesses bombées…

Je suis actuellement en centre de rééducation après un accident à une cheville. J’ai la chance d’être tombé sur une kiné sympa, grande au moins un mètre quatre-vingts, très mince, une belle petite poitrine. Elle a un joli petit cul très agréable a regarder et je pense que c’est une adepte des strings, elle est blonde des cheveux court et un grand sourire toujours au lèvre avec de superbe dents blanches.
Cela fait trois semaines que je n’ai pas eu de relation et ça commence à me titiller sérieusement l’entrejambe.
Ce weekend, je suis de retour à la maison, cela me permettra de me reposer. Alors que je suis en train de me faire bronzer, entièrement nue devant la piscine, j’entends du bruit dans la maison alors que je devais être seule. J’enfile ma petite culotte de bain et mon teeshirt pour aller voir.
J’arrive dans la cuisine et je vois mon beau-frère torse nu en train de passer la tête sous l’eau. Il est beau, très costaud avec de gros biceps de larges épaules et un ventre plat à faire pâlir un prof de sport.
Je lui demande ce qu’il fait là, et il me répond que la clim de sa camionnette est en panne et qu’il est venu se rafraîchir avant d’aller rejoindre mon père sur son chantier. Il me dit qu’il ne pensait pas que j’étais là. Il m’envoie de l’eau sur le tee-shirt, pour me refroidir les idées !
Mes seins très sensibles ont pointé immédiatement, il me dit que visiblement il me fait de l’effet. Je lui souri bêtement, sa main viens de passer dans l’échancrure de mon tee-shirt et s’est emparée de mon sein qu’il me caresse. Alors qu’un « o » sort il profite de ma bouche ouverte pour m’embrasser.
Je le repousse et je lui dis que ce n’est pas bien.

Il me répond que je suis très belle et le contraire de sa femme obèse, qui ne sourit jamais et qui ne veut jamais baiser. Il me dit que ma petite poitrine douce le change de l’opulente poitrine de ma sœur, qu’il ne peut jamais voir ni toucher. Il s’approche et m’embrasse à nouveau, sa main n’a jamais lâché mon sein et il me titille le bout avec vigueur, autant dire que j’ai l’entrejambe trempé. Il est très très doux et je lui rends volontiers son baiser, nos langues se mélangent et ses mains parcourent mon corps en délicatesse et légèreté. Sa deuxième main est entre mes cuisses et me titille le bouton à travers le tissus, je lui dis que ce n’est pas bien, sa réponse est immédiate il vient de passer sous le tissus et me met un doigt dans la chatte pendant que son pouce m’asticote le bouton. Il me lâche le sein et le clito, je le sens tirer sur les deux côtés de la ficelle de mon maillot, je suis cul nu devant lui, ses mains remontent et m’enlève mon tee-shirt, ses deux bras costauds me soulève et me poses sur le plan de travail de la cuisine.
Il laisse ma bouche et commence à m’embrasser le cou puis il descend vers mes seins, puis mon nombril, il écarte bien mes jambes et viens placer sa langue sur mon minou, Il me félicite au passage pour mon épilation pubienne, car ma sœur à une vraie forêt entre les jambes.
Sa main est remontée sur mon sein et son autre m’a pénétré de deux doigts, il me lèche et me titille mon bouton avec le bout de sa langue, c’est trop bon. J’en avais tellement envie que je joui rapidement de la situation. Il m’embrasse le corps en remontant, il s’attarde sur mes seins, je l’entends défaire son pantalon, alors qu’il vient de me prendre la bouche et que sa langue tourne autour de la mienne, il vient de me pénétrer. Son sexe n’a pas l’air ni trop gros, ni trop grand, en revanche il le manie avec douceur et ses pénétrations successives me font beaucoup de bien. Après un long moment il joui en moi. Je joui presque en même temps que lui, j’ai de long spasmes de bonheur, le top. Il se recule et me dit je vais prendre ma douche, il faut que j’aille bosser. Il mes descend du plan de travail me fait un rapide baiser sur la bouche et je le vois aller à la douche, je lui dis tu pourrais prendre tes habits ça t’évite de te promener à poil. Je ramasse mon teeshirt et mon maillot et je me dirige, toutes jambes tremblotantes vers la piscine.
Alors qu’il me semble m’être assoupie j’entends encore du bruit dans la maison, je me dis ce n’est pas possible !
Je remets donc mon teeshirt et je me dirige vers la maison, alors que j’écarte le rideau, je vois ma mère (belle-mère) embrassé mon beau-frère et lui masturbant la queue, pendant que lui a la main dans sa culotte. Ils s’enlacent comme de vieux amants, ma mère descend à genoux et entreprend de le sucer, mon beauf ferme les yeux et à l’air d’apprécier. D’un seul coup il se retire de sa bouche, il retourne ma mère et lui baisse la culotte, il la prend en levrette, à quatre pattes par terre. Il accélère le mouvement, le spectacle m’a refait mouillé et j’ai ma main entre les cuisses pour me caresser.
D’un coup nos regards se croisent, il me sourit, accélère et joui dans ma mère qui semble prendre son plaisir. Il me fait signe d’approcher, il m’att par la main, me fait mettre à genoux à côté de lui, il me dit de lui nettoyer la queue car il n’a pas le temps de reprendre une douche. Je prends sa queue dans ma bouche et commence à la lécher, pendant ce temps il branle le clito de ma mère qui est toujours à quatre pattes. Sa queue est toute molle et rabougri, ce n’est pas à son avantage. Il la retire de ma bouche, m’att par le cou et met ma tête dans la chatte de ma mère et me demande de la nettoyer aussi. Je la lippe et mes coups de langues sur son joli minou ne tarde pas à la faire jouir dans ma bouche.
Alors qu’il s’habille et qu’il s’en va, nous allons nous installer nues sur les transat au bord de la piscine. Je demande à ma mère s’il lui faut tous mes amants et elle me répond, qu’avec mon beau-frère ça fait déjà huit ans qu’ils baisent ensemble.
Elle me dit je vais te raconter ce qui est advenu de ma vie sexuelle grâce à ton beauf…
Ma fille aînée, ta sœur, à l’époque 26 ans, mariée depuis six ans, avec un sympathique jeune homme plein de vie, de muscle et de malice. Beau brun ténébreux, il a un sourire à faire hurler de supplice un couvent de bonne sœur. Il est très grand et très musclé. Jeune cadre dans une grande société, du haut de ses 26 ans il semble déjà vouloir ce qu’il veut. Il m’embrasse souvent avec délicatesse, ses lèvres très proches des miennes, toujours sa main dans mon dos, voir sur le bas du dos, caressant en douceur celui-ci. J’avoue que de temps en temps je l’allume un peu, en écartant les jambes plus que de mesure lorsqu’il se trouve en face de moi, ou lorsque je suis en maillot de bain et que j’enlève mon haut, dos à lui pour mettre mon paréo, transparent. Quelquefois j’aime bien jouer avec lui dans la piscine, faisant semblant d’essayer de le couler, pour pouvoir me tenir proche voire très proche de lui, sentant parfois une bosse dans son maillot de bain que je tâte avec mon dos de main, mon coude ou mon avant-bras, et des fois mes fesses viennent se coller contre lui pour se frotter rapidement. Il me sourit toujours plein de tendresse.
Une après-midi, je me délassé nue, allongée sur un transat devant ma piscine, après une longue matinée chargée. Heureuse de ce moment de détente, mes s ne devant pas rentrés avant 19h.
Tout d’un coup, ma fille de retour de ballade, vint me dire bonjour, me fait la bise et là, stupeur ! Son mari est avec elle et il l'a suivi ! Il vient me faire la bise.
Alors que d’habitude, je suis toujours en maillot de bain, là il me découvre entièrement nue. Je protège ma nudité de sa vue en posant mes mains sur mon sexe, essayant maladroitement de cacher ma poitrine (85B) avec mes bras. Je suis complètement nue, à la vue de mon gendre. Ma fille éclate de rire devant la situation, tournant les talons pour aller se mettre en maillot, mon gendre, face à moi avec un sourire contemplatif, des yeux admiratifs, me détaille encore de la tête au pied, au point de me faire rougir de honte.
A l’appel de ma fille il me dit :
- Vous êtes vraiment très belle, c’est dommage qu’aucun homme ne puisse profiter, d’une telle beauté.
- Qu’est-ce que tu en sais ? Tu n’as pas honte ! Je lui répondis.
- Non, devant une femme aussi belle, je ne peux rester qu’admiratif !
- Allez va rejoindre ma fille, c’est plus en rapport avec ton âge.
- Je pense qu’à choisir, je prendrais plutôt la mère, votre belle poitrine n’a rien à voir avec les deux obus de votre fille.
- Part ! tu me gênes.
- Si votre sensibilité est en rapport avec vos bouts de seins qui pointent, je pense que cela ne vous déplait pas.
- Je n’ai pas l’habitude de m’exhiber devant des jeunes hommes !
- Ah bon, vous ne faites ça que devant les vieux messieurs, vous avez tort, vous auriez un succès fou ! Inclinant la tête, pour me montrer une bosse énorme à travers son pantalon de toile.
- S’il te plait part ! !

Partant en marche arrière, pour continuer de me mater, il s’embronche dans la petite marche de la terrasse et se retrouve les quatre fers en l’air. J’éclate de rire à mon tour et j’en profite pour m’enrouler dans une serviette, il me semble que mon abricot à l’air humide.
J’ai évité avec beaucoup de soin de le rencontrer, les jours qui suivirent cet incident malheureux.
Plusieurs semaines après cet incident, nous sommes partis en week-end avec mes s, ma fille et mon gendre, au camping de Ste Maxime dans un mobil home. Les plus jeunes, sont partis direct à la piscine, pour retrouver leurs copains, ma fille m’a proposé de les accompagner à la plage. Connaissant les goûts pour le naturisme de ma fille, j’ai préféré refuser. Je suis partie de mon côté, à la plage du camping, où j’ai pu faire bronzette seins nus.
Lorsque je suis rentrée toute la troupe était déjà là. Les petits et ma fille aînée sont partis aux douches communes, mon gendre étant déjà sous la douche.
Alors que je rentrais dans le mobile home, il sortait de la douche, me voyant, il a souri et m’a demandé de lui apporter sa serviette qu’il avait oubliée sur le lit. J’avoue qu’au repos, son sexe était déjà long, plus long que celui de mon mari et ex-amant en érection, j’avais eu du mal a tourné mes yeux autre part. Alors que je lui tendais sa serviette, son sexe était en semi-érection, il commençait à prendre de belle proportion ! Il m’attrapa la main, m’attira vers lui et m’embrassa. Devant toute cette fougue, surprise, j’essayais maladroitement de me dégager, il me serra fort contre lui, me fit pivoter, dos à la paroi, j’étais coincée. J’essayais de me dégager en le repoussant, mais avec sa poigne il arrivait à me maintenir contre la paroi, sa langue essayant à tout prix de prendre ma bouche. Son sexe en pleine érection venant battre contre mon ventre, je lâchais la serviette, j’essayais de le repousser. Il était ferme, mais doux en même temps. Mon corps commençait à réagir positivement à ses caresses. Il a continué à m’embrasser dans le cou, puis il est revenu vers mes lèvres. A ce moment-là j’ai craqué et je répondais à son baiser. Je pris son sexe dans ma main pour commencer à le branler. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas ressenti ce désir. Sa main a lâché mon poignet pour s’emparer de mon sein, alors que son autre main était déjà dans mon maillot, titillant mon bouton d’or. On s’est branlé mutuellement, sauvagement, en peu de temps il a joui sur mon tee-shirt, alors que peu de temps après je l’ai rejoint dans une jouissance que je n’avais jamais connue. Tremblante de toute part, je l’ai laissé m’enlever le tee-shirt, puis mon haut et mon bas de maillot. Il m’a embrassé tendrement, il est descendu doucement vers mes seins, il a pris en bouche mes tétons qui étaient déjà bien ériger, il les a aspirés, lécher, sucer, puis il est descendu doucement vers ma toison, me complimentant sur le fait que je n’étais pas rasée. Il m’a léché et aspiré mon bouton, pendant qu’avec ses doigts il me fouillait le vagin, j’ai mis peu de temps pour lui jouir dans la bouche, ni mon mari ni mon amant ne m’avait jamais fait ça !
J’ai repris mes esprits, je l’ai mis en dehors de la salle de bain et je me suis douchée.
Toute la soirée il n’a pas arrêté de me faire du pied sous la table, profitant du moindre moment où nous étions seuls à l’intérieur, pour me caresser les fesses, les seins. J’étais entièrement à sa merci.
De retour à la maison, j’ai réfléchi à ce que j’avais fait, sous l’impulsion d’un démon intérieur oublié depuis longtemps, ce n’était pas flatteur pour moi.
Depuis ce jour il ne se passe pas une semaine sans qu’il vienne me faire l’amour.
Pendant qu’elle me raconte son histoire je me suis caressée et je me suis fait jouir devant elle.
Pour la première fois, sans que personne ne lui demande ou lui ordonne, elle s’est approchée de moi et ma léché le sexe pour en récupérer le nectar.