Les Délices À Domicile

D’origine marocaine, je propose mes services de cuisine à domicile pour ma clientèle parisienne. Cornes de gazelles, tajines au pruneaux et pastillas sont les plats favoris de mes clients qui me confient leur cuisine avant l’arrivée de leurs invités...
Il y a peu de temps, un jour de canicule, je reçoit un appel de Jacques, l’un de mes tous premiers clients qui me propose d’assurer le dîner pour des deux amis à la maison ce soir, car il n’a pas envie de cuisiner. Rendez -vous pris, je me hâte aux courses, et prend la direction de Neuilly, où je récupérerai les clefs chez la gardienne.
Je monte alors à l’appartement , au dernier étage, la femme de ménage est passée , j’essaie de créer un courant d’air , mais il fait aussi chaud dehors que dans l’appartement. Je décide donc de me mettre au travail, j’enfile mon pantalon et ma veste de cuisine, rien en dessous, plus vite j’aurai fini, plus vite je serai rentrée prendre une douche.
Deux heures plus tard, la cuisine complètement nettoyée, une jolie table dressée, et le temps commençant à se rafraîchir, j’appelle Jacques pour lui dire que tout est ok, et que je me prépare à partir. Il me remercie, me dit qu’il est en route et que je serai payée à son arrivée. Je lui demande la permission de prendre une douche rapide, comme à chaque fois que je cuisine chez lui, il accepte.
Me voilà dans sa salle de bain , tout en marbre , je laisse couler l’eau le temps de me déshabiller, je défait mes tresses, et me regarde dans le miroir.
Je me trouve mignonne contemple mes seins , 105 D, inutile de préciser, que l’apesanteur n’est plus trop au rendez-vous. Mais je les aime. Ils sont bronzés toute l’année, une belle auréole brune et les tétons sortis en permanence.
J’entre dans la douche, je sens l’eau couler sur mes cheveux, ma nuque , puis maintenant mes seins, je souffle enfin...
Pendant que je me savonne, mon téléphone sonne... Pas maintenant! Je me détends, rien ne compte maintenant.

Je me savonne, l’eau coule en cascade sur mon corps, je passe du gel douche sur mon corps, depuis les jambes , puis je remonte... pour m’attarder sur mes seins. Mes seins...! Je les aime tant! J’aime les carresser, les prendre en main, je suis amoureuse de ma poitrine. J’aime aussi jouer avec mes tétons, encore plus sous la douche... je m’y attarde alors, d’abord avec mes doigts. Je les caresse délicatement, je sens l’odeur du gel douche qui envahit la pièce avec la vapeur. Puis je sens ce désir que je sais reconnaître lorsqu’il me prend... il faut que je me fasse du bien. Maintenant!
Je me saisis du pommeau de douche et le passe en mode jet . Je décide alors de le passer sur ma nuque, toujours à la recherche de la détente. Puis sur ma poitrine , c’est un peu douloureux aux tétons, mais cela fait partie des délices de la douche que j’adore tellement...
je passe le jet d’un sein à l’autre, du téton droit a celui de gauche, l’envie de jouir est grande.
Je dirige alors ce jet chaud en direction de ma vulve, je ralentis le debit d’eau au début, pour faire durer le plaisir . Et je pense alors à Jacques, cet homme vivant seul ici, Jacques le bon vivant, âgé de vingt ans de plus que moi, mais drôle et charmeur à souhait.
Je ferme les yeux, et l’imagine à genoux dans la douche , me léchant doucement, le jet d’eau devient alors sa langue, je bloque le manche entre mes cuisses larges, et reprend la caresse de mes tétons.
Tout plein d’images de sexe me viennent alors en tête. Je me délecte de cet instant , je gémis, et augmente le débit d’eau. Les images sont de plus en plus rapides dans ma tête, mes seins sont devenus durs, mes tétons sont alors tendus , je tiens ferment le jet en direction de mon clitoris... l’extase ! Je jouis bruyamment, c’est bon et intense. Je ferme les yeux, c’est fini.
J’ai adoré penser à Jacques pendant ce quart d’heure magique. Je sors de la cabine et, là, Jacques est devant moi... il a tout vu ! Tout entendu, je ne sais plus où me mettre! J’ai tellement honte, je croule sous les excuses, je nais le sais plus quoi dire.
Jacques lui, me sourit, il me dit qu’il a adoré ce spectacle que je n’ai pas à être désolée, mais Qu il ne pouvait pas recevoir ses amis avec le sexe aussi dur, qu’il fallait que je l’aide à se calmer. J’essaie de prendre une serviette mais il me saisis le poignet, m’embrasse la nuque et passe sa main sur mon clitoris, encore chaud de ma première masturbation. Je lui dit que c’est encore sensible, il ne veut rien entendre, il m’allonge sur le marbre froid je suis trempée je glisse il me ratt , puis m’allonge et commence à me caresser . Je ne veux pas, jusqu’à ce qu’il se mette à lécher et téter mes seins, je ne repond plus de rien je perds le contrôle, je ne sais plus quoi faire c’est intense et fort, il ne me laisse aucun repos, le voilà qui descend à ma vulve, il m’écarte les cuisses violemment, et se met à m’enfoncer deux doigts. C’est incroyable , je ne sais plus quoi faire ni dire pour le calmer, il est excité, va de plus en plus vite et lèche mon clitoris.
Je ferme les yeux et crie, il gémit et rogne, il se relève , baisse son pantalon et enfonce son sexe en moi , il m’écrase de son poids, mais ne bouge pas . Je le supplie d’entamer son va et vient , lui , préfère me téter encore . J’essaie de bouger afin de sentir son sexe, il ne veut pas . Je comprend qu’il veut me faire jouir mais aussi me voir le supplier. Je lui relève la tête et lui lèche la bouche , je le supplie doucement, le voilà qui sort son sexe, et se mets à me frotter avec son gland. Je n’en peut plus je transpire, j’ai mal, je me redresse et me mets à lui lécher le sexe. Il me repousse encore m’ordonne de me retourner, puis il entre enfin en moi, m’entoure de ses bras , et me pilonne de toutes ses forces en me caressant. Je crie fort il mets une main devant ma bouche je jouis je sens mon liquide entre mes cuisses, je suis soulagée, Jacques émet après moi un râle et me remplis de son jus, puis me relâche sur le carrelage froid. Je tremble, et vois flou, j’ai la tête qui tourne mais je suis aux anges. Je reste là quelques instant, lui entre dans la douche, je n’ose pas le suivre. Je me rince seulement dans l’évier, je rassemble mes affaires et m’habille, cette fois ci, je décide de ne pas attendre ma paye, je pense avoir pris déjà cher :)