Une Plantureuse Et Experte Gymnaste - 4
Elle saisit à nouveau mes avants bras dans ses mains et força mes bras à passer au dessus de ma tête pour les plaquer fermement sur le lit. Elle avança sur ses genoux qui se trouvaient de part et dautre de mon corps jusquà ce que son sexe se trouve au dessus de ma bouche. Elle abaissa son bassin jusquà ce quelle sente mes lèvres sur son sexe humide.
As tu déjà goûté un clitoris ? Sais tu au moins où il se trouve ?
Non,... et je nen suis pas sûr.
Je vais te guider alors. Glisse doucement ta langue sur la partie supérieure de mon sexe, jusquà ce que tu trouves un petit bout de chair.
Jobéissais à la géante qui me tenait fermement sur le lit et j inserrai le bout de ma langue dans ce sexe encore parfumé du gel douche. Je sentis le fameux bout de chair et la manières dont Maryline augmenta la pression sur mes bras confirma que jétais au bon endroit.
Oui, cest bien. Caresse le du bout de la langue, nappuie pas trop.
Je mexécutai du mieux possible et stimulai avec délicatesse le bouton de plaisir de la géante qui sentait déjà les effets de mes caresses dosées. Prenant un peu dinitiative, je faisais parfois glisser ma langue sur ses lèvres. Lamazone répondait parfaitement à mes sollicitations et mencourageait en gémissant.
Oui, cest bien. Surprends moi, cest que jaime par dessus tout.
Encouragé par la plantureuse beauté, je laissai ma langue pénétrer plus profondément dans son sexe qui perlait sur mon visage. Elle serrait un peu plus fort mes bras à chacune de mes audaces, et sa respiration devenait de plus en plus rapide. Je commençai cependant sérieusement à ne plus sentir mes mains et il devenait impératif que la géante jouisse pour quelle me libère. Je concentrai les caresses de ma langue uniquement sur son clitoris et augmentai la fréquence de mes coups de langues.
Arrête cest trop bon, je vais mévanouir !
Cet ordre fut le bienvenue tant ma langue peu habituée à administrer un tel traitement commençait à fatiguer. Elle relâcha mes membres endoloris, recula un peu sur ses genoux et se coucha sur moi, étalant sa lourde poitrine sur mon torse. Jen profitai pour caresser son dos et laissai mes mains descendre sur ses fesses rondes. Leur peau était douce mais elles étaient si fermes que mes doigts ne pouvaient sy enfoncer. Javais limpression de toucher une statue de bronze recouverte de velours. Pendant que je profitais de ce contact quelle semblait apprécier également, elle décolla sa poitrine de mon corps et laissa ses obus pendre au dessus de mon visage pour venir le frôler, puis elle se baissa doucement et enferma ma tête dans une prison de rêve. Je ne voyais plus rien et nécoutais que son coeur. Ils étaient si lourds et si chauds. Elle se releva et positionna un de ses tétons sur ma bouche. Je l engloutis avec avidité et me mis à le stimuler de ma langue qui avait retrouvé toute sa dextérité, pendant que mes mains continuaient de jouer avec les fesses en béton de la géante. Mes doigts saventurèrent sur sa rondelle et Maryline sursauta de plaisir et de surprise. Elle mencouragea avidement.
Oui, tu y es ! Jaime sentir mon gros sein dans ta petite bouche et ton doigt sur mon cul. Cest comme si un courant de plaisir transitait entre ces deux points. Continue !
Ma langue se mit à jouer plus fermement avec son téton dacier et je laissai mon index pénétrer lanus serré de lamazone. Au fur et à mesure, son petit trou se détendit et mon doigt pu pénétrer plus en profondeur. Le corps de Maryline tressautait et parfois son sein sécrasait lourdement sur mon visage.
Je crois que je viens de tapprendre un truc !
En effet, on ne mavait jamais fait jouir comme ça, par contre, je parie que je te fais grimper au plafond de cette manière plus vite que tu ne las fait !
Je naime pas trop que lon touche à cette partie de ma personne. Mais que fais tu ? Laisse mon c
. aaahhhhh !
La géante navait que faire de mes protestations. Elle plaça ses mains sous mes cuisses et força mes jambes à se plier pour que mes genoux se trouvent à côté de mes oreilles, rendant ma rondelle accessible pour ces jeux lubriques. Je tentais de résister mais elle était beaucoup trop forte pour moi !
Sil te plait, je nen ai pas envie !
Laisse moi faire et profite de ce moment !
Tout en forçant mes jambes à rester pliées, elle approcha sa bouche de mon anus quelle commença à titiller du bout de sa langue. Un frisson de plaisir parcourut mon corps telle une décharge électrique. La géante sarrêta et regarda ma réaction à sa sollicitation un peu e.
Jai limpression que ça ta bien plu ? Je ne vais pas te violer, même si jen ai très envie et que tu ny pourrais pas grand chose. je peux continuer ?
Je navais jamais imaginé pouvoir ressentir une tel plaisir par cet orifice et je mourrais denvie de voir jusquoù ça pouvait aller.
Vas y ma grande ! Tu as carte libre !
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