Ça C'Est Passé Simplement 11
Jeudi 27 Mars 1986
- Cétait la deuxième fois que je venais à Lyon pour rencontrer des clients concernant une grosse affaire. Maccompagné, venant de Paris, un collègue ingénieur de bureau détudes, car certaines options techniques étaient à revoir, ce qui impliquait une renégociation des prix. Arrivé la veille, en fin de matinée, nous avions attaqué les discussions en début daprès-midi, puis ce Jeudi toute la matinée, nous avions discuté toute la matinée. Aux environs de midi, il avait été décidé que nous devions nous séparer pour mettre sur papier le protocole que nous finaliserions Vendredi matin.
Nous étions donc à la terrasse dun restaurant place Bellecourt, ville que javais bien connu alors que jétais en prépa. Nous étions à une table pour deux personnes et javais laissé à mon collègue la vue sur la place. En mangeant nous discutions du projet, de points marquants,
Quand vint sinstaller à la table voisine un couple, la petite cinquantaine. Absorbés par notre discussion nous les remarquâmes à peine. Le serveur en apportant leurs plats bouscula, sans incident, notre table et sexcusant, je remarquais la femme, comme je lai dit, la petite cinquantaine, élégante, jolie avec des yeux légèrement bridés,
nos regards, un instant, se croisèrent,
un éclair,
je connais cette femme,
pas possible, cela fait plus de trente ans que jai quitté cette ville
Discrètement jessayais de nouveau de croiser son regard, mais impossible,
brutalement le nom de cette femme, si cétait elle, me revint « Evelyne ». Cétait lépoque où, étudiants, nous attendions les résultats des concours et savoir vers quelle ville nous devions déménager. Pour me faire quelques sous javais trouvé un petit boulot : distribuer des prospectus à Vienne pour la liquidation du stock dun magasin avant fermeture et ensuite manutentionnaire lors de la vente le week-end. Puis plusieurs fois, javais travaillé au magasin de Lyon. Les circonstances avaient faits quelle avait été mon initiatrice, imaginative, aux plaisirs de lamour.
Quelques secondes après que le couple ait quitté la table, en mexcusant auprès de mon collègue, je partais à la suite de cette femme. Je la suivis, discrètement. Perchée sur des escarpins à talons aiguilles je pus apprécier sa démarche et son joli cul. Après une cinquantaine de mètres, elle sarrêta pour regarder une vitrine de lingerie, je la passais et une vingtaine de mètres après, je fis demi tour et rebroussais chemin. Elle sétait retournée, alors que nous étions proche lun de lautre.
Moi : « Oh
excusez moi, Madame, mais,
(Cétait devenu une certitude, cétait elle) Evelyne ? »
Elle avec un petit sourire : « Bonjour Jean, que fais tu ici ? Tu as été long à réagir. »
Moi : « Jai hésité,
Heureux de te revoir, viens prendre un café avec nous »
Elle : « Je ne peux pas, jai un rendez-vous important »
Moi : « Je tinvite à diner si tu es disponible »
Elle, fouillant dans son sac et en sortant une carte de visite professionnelle, elle écrivit son adresse au dos : « Voilà mon adresse, tu viens diner ce soir, à toute lheure. »
Et en me quittant, elle posa un baiser sur son index et le mit sur mes lèvres,
elle était partit.
Laprès-midi se passa à la rédaction du compte rendu et mon collègue partit, avec sa voiture, vers 17,00 h. Quant à moi, avec la carte de visite, je maperçus quelle était gérante dune agence immobilière, que celle-ci nétait pas loin de la place Bellecourt. Poussé par la curiosité, javais donc connu Evelyne, comme vendeuse, certes excellente, et jétais curieux de voir lagence dont elle assurait la gérance et je my rendis. Bureau sympa de lextérieur, mais on ne voyait rien de lintérieur. Je décidais dy rentrer. Je fus accueilli par une charmante jeune femme, la trentaine et demandais Mme Evelyne G.
Il me fut répondu : « Mme G. est arrivée cet après-midi à louverture et elle ma dit quelle sabsentait pour laprès-midi ayant un RV important et que dautre part, demain, elle risquait dêtre en retard ».
Tiens, tiens, Evelyne avait pris son après-midi,
intéressant,
est-ce que cétait à cause de ma venue,
quel honneur,
enfin on verra ce soir.
Avec sa carte jappris également quelle habitait à Sainte Irénée. Le temps que je passe à lhôtel que je prenne une douche, me change et que jachète un beau bouquet de fleurs, il était pratiquement 18,30 h. Je prenais ma voiture et me dirigeais vers son immeuble, pour arriver vers 19,00h. Je me demandais comment se passerait ce diner et cette soirée.
Sonnette à lentrée, question, réponse, la porte de limmeuble souvre, et ascenseur jusquau 2ème. A peine sur le palier sa porte souvre et je rentre.
La porte fermée, je lui offre le bouquet
Elle : « Il ne fallait pas, cest trop gentil, je vais immédiatement le mettre dans un vase, rentres dans la salle de séjour, je reviens »
Et elle fila dans la salle de séjour et jen profitais pour lexaminer. Cest encore une très belle femme avec ses cheveux mi- longs qui encadrent un visage, avant, elle avait un chignon banane, certainement vieilli, mais souriant avec des yeux brillants et couleur de pêche.
Elle est vêtue dun genre de boléro bleu clair sur un corsage bleu en tissu arachnéen, avec un décolleté très échancré, dont le premier bouton fermé se trouve sous la belle rondeur de ses seins, qui paraissent un peu plus gros que dans mon souvenir, mais qui paraissent avoir une bonne tenue, à moins quils ne soient soutenus par un soutien-gorge. Une mini-jupe, à mi-cuisses, qui semble être collée à ses hanches et met en valeur ses formes et laissent bien visibles ses jambes. Une paire de bas noirs transparents et ses éternels escarpins aux talons à aiguilles dau moins 10cm.
Elle revint, tenant le vase plein de fleurs dans les bras et le posa sur la table de la salle de séjour.
Elle : Merci beaucoup, il ne fallait pas, viens au salon, jai préparé lapéritif
Elle sétait approchée de moi et jen profitais pour la prendre par la taille et lattirer vers moi.
Mais voulant savoir ce quelle avait imaginé, je profitais de cette partie de corps à corps pour glisser mes mais sous son boléro et lui caresser le dos et là je maperçus quelle ne portait pas de soutien-gorge,
lexcitation augmenta, me mettant à rêver quelle était peut-être prête à quelques folies.
Elle finit par se reculer et me dit : « Viens nous allons prendre lapéritif que jai préparé »
Moi la reprenant dans les bras : « Ou est ta chambre ? »
Elle : « Tu es pressé, deuxième porte à droite,
cest ce que jespérais,
viens,
»
Plus jeune je laurais soulevé et transporté dans la chambre, mais,
là elle ma conduit par la main et nous sommes arrivés dans sa chambre. Après une nouvelle partie de lèche museau, je lui enlevais son boléro pour enfin apprécier la transparence de son chemisier, qui ne cachait rien de ses seins et dont les aréoles étaient tellement dressées quà terme elles auraient transpercé le tissu. Jouvris son chemisier et libérais ses seins que je mempressais de prendre ne bouche pour apprécier leurs souples fermetés.
Elle se laissa tomber sur le lit : « Viens, embrasses moi,
»
La suivant, couché à coté delle, je continuais à moccuper de ses seins que je léchais, suçais, tétais lun après lautre comme elle me les offrait,
Elle : « Oui,
cest bon,
jaime quand tu me tètes,
Oui continues,
Oh que cest bon,
»
Mais en même temps javais la main droite qui était partie plus bas à la recherche de son intimité, ce dont elle avait conscience, dans la mesure où arrivé au niveau de sa jupe et glissant ma main entre ses cuisses, elle les ouvrit de façon à me faciliter laccès.
Mes lèvres, ma bouche sur ses seins, ma main à lexploration de son intimité, mais létroitesse de la jupe mempêchait darriver au but.
Moi : « Enlèves ta jupe »
Elle se mit sur le ventre
Elle : « Défaits le bouton et la fermeture éclair »
Ce que je fis, de nouveau elle se retourna et ainsi libérée, je tirais et enlevais la jupe et ce que jespérais apparu. La toison de sa chate encadrée par le porte-jarretelle retenant et tendant les bas, lexcitation monta dun cran, elle sétait préparée, elle avait fixé le programme de la soirée, le menu était affiché entre ses cuisses, à moi de lui faire honneur. Avant de plonger entre ses cuisses quelle avait largement ouvertes, quelques instants jadmirais sa toison noire, bien fournie, taillée en triangle, la pointe de ce triangle sarrêtant au-dessus de ses grosses lèvres bistres, bien gonflées et légèrement humides. En approchant je pouvais humer son odeur. Cette chatte enfermée toute la journée dans une petite culotte, maintenant découverte, lâchait son odeur, son odeur de chatte chaude, de femelle chaude que je pouvais renifler avec plaisir et qui me saoulait et mexcitait.
Elle : « Quest-ce que tu attends,
»
Moi : « Jadmire ta chatte,
avant de
»
Elle : « Arrêtes dadmirer,
prends la,
bouffe là,
ne me fais pas attendre,
tu ne vois pas que je suis folle de désir,
viens,
»
Je plongeais entre ses cuisses et commençais à lécher ses grosses lèvres, gonflées, chaudes et humides.
Elle : « Oh,
que cest bon,
ta langue,
oui,
»
Ma langue entrepris dexplorer lintérieur de sa grotte damour, puis se furent mes doigts qui la pénétrèrent, ce qui lui fit se cambrer pour mieux les accueillir avec :
Elle : « Oh,
Oui,
tu sais ce que jaime,
prends moi fort,
cest bon,
oui,
»
Langue et doigts soccupant de son minou qui coulaient abondamment, il ne me fallait pas oublier sa rosette, car javais en souvenir quelle avait apprécié dêtre prise pas cet endroit. Passant de sa chatte, jhumidifiais son petit trou de son jus abondant, mais je me consacrais au mieux à son minou, ce quelle semblait apprécier.
Elle : « Oui,
continues,
je suis ouverte pour toi,
OOOOHHH,
oui,
oui,
rentres, bien au fond,
oui, cest bon,
OOOHHHH, oui,
narrêtes pas,
je sens que ça vient,
plus vite,
OOOOHHH,
OUI ,
»
Elle coulait comme une vraie fontaine, jaugmentais le rythme et plus jaccélérais plus elle en voulait
Elle : « OOOHHH,
OUI,
continues,
narrêtes,
je sens que je vais jouir,
tu vas me faire jouir,
continues
OUIIIIIIIII,
je,
je JOUIIIIIIIIIIIS,
OUIIIIIIII,
»
Et ses cuisses se refermèrent brutalement sur ma tête, mais bloqué comme jétais je ne pouvais et ne voulais pas marrêter, voulant la faire jouir au maximum.
Ainsi bloqué je moccupais de son minou et ayant bien lubrifié sa rosette, je commençais à apprécier la souplesse de son petit trou en y introduisant gentiment le majeur, la réaction fut pratiquement immédiate,
Elle : « OH,
oui,
rentres doucement,
je tespérais,
je me suis préparé,
pour toi,
»
En même temps quelle semblait, oralement, approuver mon action, elle prit appui sur ses jambes pliées et remonta son bassin présentant une vue parfaite sur sa rosette. Cest alors que je maperçus que si sa chatte avait conservé sa belle et odorante toison, son entrejambe et son petit trou étaient entièrement épilés. Je commençais à comprendre et apprécier ce quelle avait fait cet après-midi en espérant ma venue. Mais personnellement javais une trique du diable il était urgent de faire quelque chose, heureusement Evelyne changea de registre.
Elle : « Arrêtes,
jai envie que tu me prennes,
fais moi lamour,
prends moi,
viens,
»
Je remontais jusquà me trouver sur elle entre ses cuisses ouvertes et sans hésiter, elle prit ma queue, la dirigea et lintroduisit dans sa grotte damour dans laquelle je pénétrais avec facilité tellement elle était ouverte et détrempée. Je commençais mes va et vient où je coulissais à merveille.
Elle : « Oui,
cet bon,
fais moi lamour
aimes moi,
oui, je suis à toi,
oh oui,
prends moi,
baises moi,
baises moi fort,
fais moi jouir,
Oh,
Oh,
Oh,
continues plus vite,
je vais jouir, ... retiens toi,
OUIIIII,
OOOOHHH,
je JUOIIIIIIIIIIIS,
»
Heureusement quelle était partie rapidement, car je ne pouvais plus tenir et javais tout lâché quelques instants avant et je mécroulais sur elle, puis roulais à coté delle.
Nous reprîmes notre souffle et se penchant vers moi me dit : « Merci
»
Moi : « De quoi ? »
Elle : « De mavoir reconnue,
depuis si longtemps,
et de mavoir aimé comme tu viens de le faire,
Jai rajeuni de vingt ans,
»
Alors que jallais répondre, je pense que cétait une habitude, elle mit son index sur mes lèvres en disant : « Ne dis rien,
cétait formidable, ... SI on allait vraiment prendre lapéritif »
Jétais debout et alors quelle allait se lever elle saperçut quun peu de sperme sortait de son minou, après avoir regardé le phénomène comme surprise, avec deux doigts, elle récupéra les quelques gouttes qui sortaient, et en me regardant elle porta les doigts à sa bouche et avec large sourire les suça en disant : « Jespère que tu as de la réserve,
je ne veux pas en perdre une goutte,
»
Puis se levant elle regroupa ses affaires en voulant se rhabiller.
Moi : « Laisses tes affaires ici, tu nas besoin de rien, tu es très bien nue. On finit la soirée ainsi »
Elle : « Il est fou,
»
Moi : « Mais non, tas pas besoin de ça, tu es une belle femme, et tu le sais les cuisses fermes,
je peux en témoigner, le ventre plat, quant à tes seins ils ont une forme extra, souples et fermes,
restes comme ça, tu es très belle,
et très,
»
Elle : «
et très, quoi,
»
Moi : « Très baisable, cest ça que tu voulais ? »
Elle : « Oui,
ceci étant je naime pas manger nue,
on ne profite pas ce qui a sur la table,
»
Puis se dirigeant vers un placard elle prit deux sorties de bains
Elle : « Nous serons plus confortable, après le diner, on verra autre chose,
allez viens,
»
Elle chaussa quand même ses escarpins et nous partîmes pour la salle de séjour, où, effectivement, lapéritif était préparé dans le coin salon. Nous nous installâmes elle sur le canapé, moi sur en fauteuil en face et nous attaquâmes lapéritif
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