Je Me Découvre De Nouvelles Facettes (3)

Nous prenons un escalier externe pour aller au premier étage au dessus du bar. Une grande pièce qui sert de débarras, mais avec aussi un coin salon avec un grand lit. Une caméra sur pied juste à côté.
- c’est ici que je viens me parfois me reposer…. Et j’organise aussi des soirées privées pour mes clients nous dit la patronne des lieux.
- mmh je vois dit Elodie
- ta pute a bien bossé, tu permets que j’en profite ?
- fais toi plaisir, elle est faite pour ça.

La patronne n’est pas du tout mon style. Cheveux très courts, look camionneuse. Elle me prend par le bras et me jette sur le lit.
- sur le dos !
Elle vient sur le côté, prends mon bras gauche et l’attache aux barreaux, elle fait de même avec mon bras droit.
Elle monte sur le lit, et face à moi elle enlève son tee shirt, je découvre une paire de seins impressionnants, puis son jean. Elle retire une culotte quelconque. Elle est entièrement rasée au niveau du pubis. Elle se met à genoux et viens carrément s’asseoir sur mon visage, ses jambes emprisonnant ma tête.
- je me suis pas lavée depuis hier, alors nettoie moi tout ça !

Effectivement ça se sent. Je lèche cette chatte qui me domine. l’odeur n’est pas agréable, mais la position est terriblement excitante. J’adore être dominé de la sorte. Je commence à bander.

- t’as l’air d’aimer ça traînée !! tiens, tu vas adorer mon cul aussi. Elle se met sur ses pieds et me force à lécher son anus, guère aussi propre que son sexe. Puis elle se retourne, et se met en 69. pendant que je m’occupe de sa chatte, je sens ma bite avalée par sa bouche. Hooo que c’est bon.
Au bout d’un moment, elle quitte cette position, me relève les jambes puis place un coussin sous mon bassin.
-ton petit cul de petasse me fait envie.

Elodie est en train de tout filmer. Ça l’excite. Que j’aimerai qu’elle nous rejoigne.

La patronne écarte mes jambes, les replie vers moi et je sens sa langue sur mon petit trou.


- mmmmmmh ouiiiiiiii
- putain mais ton cul est aussi ouvert qu’une chatte de gonzesse !!

Sa langue vient d’abord me lécher tendrement, puis elle me bouffe littéralement. j’adore ça.
- voyons voir ça maintenant. Elle m’applique du gel, puis sans ménagement rentre sa main.
- allez la putain, je veux t’entendre couiner
Sa main est toute entière dans mon cul. Elle me déchire ainsi pendant quelques minutes, puis se retire et quitte le lit. Elle va vers une armoire et reviens avec un gode ceinture de taille XXL. Ok je vais déguster. j’ai l’habitude de mon sextoy, mais là…… Elle le met sur elle, puis vient se positionner devant moi. Elle l’enduit de gel et le présente à mon anus.
- je vais te montrer comment je traite les putes dans ton genre.
Elle s’enfonce en moi. Elle me tient les chevilles et me baise, j’ai toujours les bras attachés aux barreaux. Elodie se rapproche et ne perds pas une seconde de cette scène. Elle pose son téléphone de façon à ce qu’il nous filme. Elle enlève sa jupe, puis sa culotte et vient s’asseoir sur mon visage, face à la patronne. Elles me prend les chevilles et les tirent un peu plus vers le bas afin de bien m’ouvrir. Je me sens comme un objet.
j’ouvre la bouche et prends ce sexe qui m’est offert, pendant que la patronne du café me lime avec son gode. Je bande.
- n’espère pas qu’on va te branler pétasse dit-elle, tu es juste là pour notre plaisir personnel. Tu ne sers qu’à ça.
Au bout d’un moment elles me détachent.

- À quatre pattes salope et écarte bien ordonne la patronne. Tu veux te la faire demande t-elle à Elodie, ya d’autres gode-ceinture dans le placard
- avec joie

Elodie revient avec un engin plus gros que celui de la patronne.
- mmmmh tu as choisi celui-là. Très bon choix.

La patronne enlève le sien, s’allonge devant moi, écarte ses cuisses.
- allez viens lécher petite traînée.
Je mets ma tête entre ses jambes.
Je sens deux mains se positionner sur mes hanches, puis une série de fessées. Elodie enduit son gode de gel, puis je sens quelque chose d’énorme me pénétrer.
- haaaaaaaa fis-je
- il est plus gros celui là hein ? Tu vas te régaler ma chérie
- c’est trop gros Elodie, pas de suite je t’en prie !
Et là je me prends une monumentale fessée.
- pour qui tu te prends la putain ? On fait c’quon veut de toi et de ton cul !!!

Sans entendre ma demande, elle se défoule sur moi.
- je vais t’apprendre à me respecter; je vais te montrer qui est la chef.
- mmmhhhhhhhhh
je suis incapable de dire un mot, j’ai la bouche plaquée sur la chatte de la patronne, ses mains bloquent ma tête.
- salooooooooope tu me fais jouiiiiiiiiiiir hurle t-elle
- prends ça putain de chienne, Elodie enfonce jusqu’au bout son engin. Puis se retire. Je sens un grand vide en moi. Mes jambes ne me tiennent plus. Je m’effondre. Elodie me claque les fesses.
- bon cul ça
- bon c’est validé, je te la prends une semaine dit la patronne
- ok pour moi, je te ferais un forfait, c’est plus simple.
- si tu l’as fait bien bosser, c’est un bon placement. Et avec des seins, elle aurait plus de succès.
- j’y pense. Mais faut d’abord qu’elle gagne sa croûte. Bon allez Angelina, on se rhabille, tu as mérité un peu de repos.

Une fois dans la voiture j’aperçois de nouveaux paquets.
- j’ai fait quelques courses de fringues. Tu vas être superbe. Allez je te ramène chez moi.

Nous arrivons dans un quartier plutôt bourgeois, avec des maisons très typées, de style années 50. Nous pénétrons dans une allée, bordée d’arbres, et arrivons dans un parc avec une très belle maison.
- voila c’est chez moi
- j’aime beaucoup dis-je
- j’espère bien, c’est là où tu vas vivre ! Enfin travailler si tu préfères
- c’est ici que vous voulez me prosti ??
- hahahaha tu rêves ma chérie. Ici tu seras à notre service, tu es notre nouvelle bonne !
- mais c’était pas prévu ça
- oui je sais, mais vois-tu notre dernière bonne nous a quitté, et comme nous sommes 5 à la maison.

- 5 ?
- moi, mon mari et nos trois filles, Elsa, Charlotte et Justine, qui ont respectivement 18, 20 et 22 ans.
- et je vais débarquer comme ça ? Elles sont au courant ?
- non, mais ici on adore les surprises.

Nous pénétrons dans la maison, et arrivons dans une grande cuisine, contemporaine. Assises autour de la grande fille, deux des filles sont en train de préparer à manger.
- ha ben quand même…. Euh c’est qui ? Demande l’une des filles
- notre nouvelle bonne, je vous présente Angelina. Et voici Elsa et Charlotte
- bonjour dis-je
Au son de ma voix, elle réagissent.
- c’est un mec !
- bien vu dit Elodie, elle vous plaît ?
- pas mal répond Charlotte
- mouais, ses fringues ça craint dit Elsa
- c’est du provisoire, votre père n’est pas encore là ?
- non
- bon vous allez montrer sa chambre à Angelina ? Et vous lui sortirez sa tenue de travail. Et aidez là à porter ses paquets.

je suis les deux filles. Elles se dirigent vers une porte qui s’ouvre sur un escalier allant vers le sous-sol. Nous accédons à différentes pièces qui constituent la cave de la maison. Ma « chambre » est plutôt grande, à peu près 40 mètres carrés, avec des fenêtres de cave. Je dois reconnaître que l’ensemble est plutôt chaleureux.
- tiens , tes tenues sont là me dit Charlotte en ouvrant un placard. Et va prendre une douche, tu pues.
Ok, le ton est donné, je vais être sous les ordres de ces gamines. Mais que m’arrive t-i ? Esclave sexuel, et esclave tout court, c’est ça ma vie ?

Je me dirige vers la douche à l’italienne (au moins je suis pas tombé dans un taudis). l’eau brûlante me fait du bien. Je me sèche, et réfléchis à ce que je vais mettre. Je choisis un string blanc, des bas noirs, et un soutien-gorge blanc aussi. Ma tenue se compose d’une jupe serrée noire et d’un chemisier blanc. Je trouve du maquillage et tente quelque chose de léger. Je trouve un parfum, Chanel n°5, bon ça fera l’affaire.
Moi qui étais habitué à Habit Rouge de Guerlain, j’avoue ça me change. Je trouve des petites chaussures noires, à ma taille. Ouf.

Je vais l’étage, rentre dans la cuisine, et tombe sur Elodie et son mari.
- mais qui voila, Jean je te présente Angelina. Je sers la main d’un homme d’une cinquantaine d’années, grand et costaud.
- eh bien, quelle agréable surprise. Tu l’as trouvée où celle ci ?
- elle est venue se faire coiffer au salon, et mademoiselle s’est faite piégée. Depuis elle est à nous.
- tu as prévu quoi pour elle ?
- le trottoir pendant 15 jours, histoire de bien la mater, puis après on la vendra aux amis. Et puis j’ai prévu des camshow sur internet. Et bien entendu elle servira ici.
- tourne toi me dit Jean
je m’exécute et me montre sous toutes mes facettes.
- pas mal du tout. Et côté cul elle vaut quelque chose au moins, parce que la dernière…
- ses premiers clients étaient très satisfaits, et moi aussi dit-elle d’un air gourmand.
- vivement qu’elle ait un peu de poitrine

Décidément c’est une obsession chez eux. Ils veulent me transformer jusqu’où comme ça ?
- le dîner est prêt, Angelina tu nous sers, les filles ont déjà mangé. Ah et au fait désormais tu nous appelles Monsieur et Madame, et les filles Mademoiselle.
- bien euh Madame.


Me voila au service de ce couple.
- Angelina du vin
- Angelina c’est froid

A la fin du repas, je range tout et nettoie.

- Angelina tu peux aller te reposer, tu l’as bien mérité. Je veux que toit soit prêt demain à 08h00. Quand à moi je vais négocier avec ce couple que tu dois rencontrer, tu vois je n’ai pas oublié.

Je retourne dans ma chambre. Je me déshabille et enfile une nuisette. Sentir ce tissu sur ma peau me procure une douce sensation.
j’allais m’endormir quand j’entends la porte s’ouvrir. J’allume la petite lumière, et voit la plus jeune des filles rentrée en petite culotte et soutien-gorge.
- je n‘arrive pas à dormir. Elle vient sous la couette et se colle contre moi. Comme elle est plus grande que moi, elle me prend dans ses bras, et met ma tête entre ses seins. Sa main gauche se ballade partout sur mon corps. Elle libère un de ses seins, et me l’amène vers ma bouche.
- prends le
je prends en bouche ce téton, ses seins ne sont pas très gros mais ils sont fermes. j’adore ma position. Je me sens entouré, protégé par cette jeune fille. Sa main gauche vient sur ma cuisse et remonte ma nuisette. Puis elle me fait allonger sur le dos, et monte sur moi. Elle retire son soutien-gorge, puis sa culotte. À genoux, elle se rapproche de mon visage. Elle est au dessus de moi et me regarde. Je me redresse légèrement pour la lécher mais elle me repousse légèrement.
- c’est moi qui décide
- oui
- oui comment ?
- euh oui Mademoiselle
elle descend un peu plus vers moi et frôle légèrement ses petits lèvres avec ma bouche. j’attends ses ordres.
- ta langue
je sors ma langue, elle se frotte légèrement dessus. Je n’ose pas la lécher alors je reste comme ça, la lèvre tendue.
- tes mains, sur mes fesses

Oh comme elles sont fermes. Elle accélère ses mouvements, c’est toute ma bouche qui est à contribution. Elle se caresse les seins en même temps.
- mmmmh ouiiiiiiii
je commence à être sérieusement excité. Elle m’att les cheveux. Mes mains s’agrippent à ses fesses. j’ai envie de lui mettre une fessée mais je n’ose pas.
- ha ouiiiiiiiii , elle serre ses jambes encore plus fort. Puis se raidit. Elle relâche son étreinte. Sa respiration devient plus calme. Elle se lève, et sans rien dire, quitte ma chambre, me laissant seul avec ma bite toute dure.
Il ne me faut pas longtemps pour m’endormir.

Le lendemain, je me réveille à 7h00. Je prends une douche, m’habille (un tanga noir, un soutien gorge croisé noir, une jupe courte noire avec des bas opaques et un chemiser blanc). Je rentre dans la cuisine, Elodie et Jean sont déjà là, tous deux en peignoir blanc.
- fais nous du café, tu sais faire ça j’espère ? Demande Jean
- oui monsieur
Je me dirige vers la machine et leur prépare le café.
- tu nous feras des œufs à la coque aussi dit Elodie
- bien madame
je leur sers leur café ainsi que les œufs.
- bon, hier soir j’ai discuté avec ce couple qui te veut pour le week end. On a négocié un prix, et ils sont d’accord.
- combien j’ose demander ?
- ça ne te regarde pas. En tout cas tu prends un TGV tout à l’heure, et tu rentreras lundi matin. Et après ton petit week end, hop tu iras tapiner sur le trottoir et au bar. On va aller préparer ta valise.

Nous allons dans ma chambre. Dans un valise nous mettons culottes, soutien-gorge, porte-jarretelles, un body, des bas, une jupe en cuir.
- pour ton voyage tu mettras ça. Elodie me choisit une jupe rouge courte, des bas avec large jarretière, un caraco noir. Et des chaussures à talon, pas trop haut.
- mais je ne sais pas marcher avec des talons dis-je
- et bien tu as toute la fin de la matinée pour apprendre. Je viens te chercher dans 2h

Certes le talon n’est pas trop haut, mais j’avoue j’ai un peu de mal. Mais comment les femmes arrivent-elles à marcher avec ça ? Il faut souffrir pour être belle, et bien c’est le cas. Au bout d’une heure j’arrive à quelque chose d’à peu honorable.
À ce moment Elodie fait son entrée en compagnie de Charlotte.
- et bien c’est pas mal du tout, à ce rythme tu te feras très bien à des talons plus hauts.
- on dirait une pute dit Charlotte avec dédain.
- hoo comme tu y vas dit sa mère. Une pute ne serait pas si bien habillée. Allez on t’amène au train.

Je monte la voiture et prenons la direction de la gare TGV. Elodie va à l’arrêt minute.
- bon Angelina je te préviens de suite que j’aurai un retour sur la façon dont tu vas te comporter ce week end. Si mes clients ne sont pas satisfaits tu en paieras le prix, on est d’accord ?
- ……
- réponds à ma mère putain me dit Charlotte
- Charlotte, apprends à rester calme avec tes employés.
- je…. Euh oui madame c’est compris.
- quand tu t’adresses à ma fille, c’est Mademoiselle Charlotte. Si je ne suis pas là, tu luis dois une totale obéissance. Elle est peut être beaucoup plus jeune que toi, mais tu lui appartiens.
- bien Madame

je sors de la voiture, prends ma valise et pénètre dans la gare. Je vais jusqu’au quai. On est vendredi et de nombreuses personnes attendent le train. Je sens des regards se poser sur moi. Des regards parfois insistants. Mon train arrive. Je monte dans le wagon (pas facile avec mes chaussures) en première. Toutes les places pour les bagages sont occupées, sauf celles du haut.
- attendez je vais vous aider, me dit dit un jeune homme.
- ah euh merci.
j’évite de paraître étonné par cette aide masculine.
Je me dirige vers le fond de la voiture.
- ah vous êtes là aussi me dit le jeune homme. Ça tombe bien moi aussi.
Nous sommes assis à côté. Le train démarre démarre quelques instants plus tard.
- vous partez en week end me demande t-il ?
- pas précisément dis-je, c’est pour le travail. Ma voix n’a pas l’air de le choquer plus que ça.
- et c’est quoi votre travail ?
- je suis une pute
- ah ben ça au moins c’est direct.
- vous êtes choqué ?
- pas du tout, j’aime bien aller dans les bordels en Espagne avec des amis. Vous y avez déjà travaillé ?
- non je réponds
- vous devriez, vous feriez un carton. Et en ce moment, vous travaillez ?
- et bien, c’est à dire que…..
il me chuchote à l’oreille : « j’aimerai bien que tu me suces la bite »
- quoi ici ?
- on est au fond, c’est discret non, allez te fais pas prier. Il prend ma main et la met sur son pantalon. Je sens une bosse. Je regarde devant, histoire de voir que personne ne fasse attention à nous. Je défais sa braguette mets ma main dans son slip et sors sa queue. Je me penche vers lui et met sa bite dans ma bouche. Instantanément il met une main sur ma tête.
- ouais suce moi salope.
Je monte et descends sur son engin, au rythme des mouvements du train. Je remarque qu’un homme s’est assis non loin de nous et a remarqué ce qu’il passait. Sans nous regarder fixement, il nous observe par intermittence. Mon jeune homme ne s’en préoccupe pas. Je continue de le sucer mais je suis un peu gêné par notre observateur. Je sens les deux mains qui me tiennent fermement la tête quand tout à coup je me prends des giclées de sperme dans la bouche. Ce salop ne m’a même pas prévenu.
Je me redresse et me nettoie la bouche. Le jeune homme prend son porte feuille et me tend un billet de 100€
- tiens tu les as bien mérités. Je retourne à ma voiture.
- mais c’est pas ici ?
-non, mais quand je t’ai vu tout à l’heure je me suis dit que tu avais une tête à sucer des bites. j’avais raison.

Il s’en va. Je m’apprête à faire un somme, quand l’homme qui nous matait se lève et viens prendre sa place. Sans rien dire, il sors sa bite de son pantalon et me regarde. Puis sa main gauche vient sur ma nuque et me force à aller vers sa bite. j’ouvre la bouche et avale son sexe déjà bien dur. Il avait du se branler en me regardant avant. Je le suce pendant une bonne dizaine de minutes. Puis comme le jeune homme avant lui, il me lâche tout son sperme dans ma bouche. Sans dire un mot il retourne à sa place.
En fait je n’aimerai pas trop que ça se sache. Et j’aimerai passer un voyage tranquille. Avant d’aller au bar, je passe par les toilettes. Malgré les mouvements du train, j’essaye de me refaire une beauté.
j’arrive au wagon bar, deux hommes sont en train de boire un verre, accoudés face à l’une des fenêtres.
- mademoiselle dit l’un des hommes, on peut vous offrir un verre ?
-euh, oui. Un Martini blanc
- vous nous remettez la même pour nous et un Martini pour la demoiselle dit-il au serveur.

Il m’invite à les rejoindre. La cinquantaine, très bien habillés, j’ai face à moi des hommes d’affaires.
- vous voyagez seule ?
- oui
A ma voix ils comprennent ce que je suis.
- et vous allez faire quoi sur Paris ?
- je vais vendre mes charmes (autant y aller cash pensais-je)
- mmmh intéressant.
- et vous seriez intéressés par deux hommes qui s’ennuient dans un train ?
- euh disons que je vais avoir un week end chargé.
- allez, on te paiera bien ma douce et on des gentlemen
- et on adore ton style
- et notre voiture est vide.

Nous quittons le bar, et arrivons à leur voiture.
- tu vois on va être tranquille.
Les deux hommes m’entourent. Celui est derrière moi posent ses mains sur mes hanches. l’autre est devant moi, ses mains se baladent sur mon corps. Mmmmh cette délicieuse sensation d’être désiré. Leurs bouches parcourent mon corps. Je sens deux mains qui relèvent ma jupe. Celui qui est derrière moi me retire doucement le caraco, dévoilant mon soutien-gorge.
-mmmh tu es superbe.
- et la peau si douce

je sens qu’on retire ma jupe. Quatre mains me caressent tout le corps. Pendant que celui devant m’embrasse, je défais sa braguette, et sors son sexe. Je le prends à pleine main. Celui est derrière moi a aussi sorti le sien.
- mets toi à genoux poupée
je m’agenouille face à eux. Je prends ces deux bites dans chaque main. Je commence sucer l’une pendant que je branle l’autre. Leurs mains se posent sur ma tête.
- mmmmh oui comme tu suces bien.
j’ai trop envie de leur faire plaisir. Ils sont doux avec moi et j’aime ça.
- viens par là.
Ils vont s’asseoir, je m’agenouille devant eux et reprend en bouche leur sexe.
- sympa le voyage non ?
- j’avoue ça casse la routine
- franchement, elle suce aussi bien que ma femme
- ho ouiiiiiii ça c’est bon
je viens d’avaler sa queue jusqu’au bout.

Ces deux m’excitent terriblement et j’ai envie de tout leur donner, de leur montrer que je suis en chaleur. Je me relève et monte sur l’un deux. Je l’embrasse. j’ai mes bras autour de son coup.
- j’ai très envie de vous deux.
- mmmh et qu’aimerais tu ma chérie ?
- que vous me baisiez comme une chienne.
- tu as envie d’être traitée comme une chienne
- ouiiiiiiiii. Je me frotte à lui
- si c’est ce que tu veux

ils m’allongent sur une table sur le ventre. Je vois le paysage défilé.
- on va te donner ce que tu veux traînée.
On me retire ma culotte, l’un deux s’agenouille dernière moi et me crache sur l’anus. Il se positionne et présente son gland à mon petit trou.
- on va voir ce que tu vaux.
Il me pénètre, rentre en moi. c’est un peu dur. Pendant ce temps là l’autre vient me mettre sa bite dans ma bouche.
- Allez salope, travaille de la bouche.
- mais quel cul de salope. Bien serré, comme j’aime.
- on tourne ?
- allez, mets toi sur dos

je m’allonge sur le dos. l’un des hommes prend mes jambes par les chevilles, et positionne sa bite devant ma rondelle. Elle rentre toute seule.
- haaaaaaaaa fis-je. L’autre en profite pour me fourrer sa bite dans ma bouche
- voilaaaaaa c’est comme ça qu’une femme doit être traitée.
- ouais, jambes écartées et bouche ouverte, mais pas pour parler, hahahahaha !!
Mes deux baiseurs se déchaient sur mon corps. La douceur voulue au début a vite place à de la violence. j’aime ces deux aspects en moi.

- je vais jouir dans ton cul salope. Je veux que tu gardes un souvenir de moi.
Il se retire d’un coup, puis me repénètre instantanément.
- haaaaaa prends ça chienne. Je sens son liquide chaud m’envahir. Tu es à moi.
Au même moment son ami se décharge dans ma bouche.
- tiens avale salope.
Ma bouche est remplie de son liquide épais.
- alors la pute, satisfaite ?
J’ai encore du sperme en bouche, j’avale pour pouvoir répondre. En fait j’en veux encore.
Je me mets à genoux devant eux, et commencent à lécher leur bite.
- oh putain la salope mais elle en veut encore.
Je les branle et les regarde d’en bas.
- j’aime trop vos bites, je les veux pour moi. Laissez moi vous sucer dis-je
je les suce l’un après l’autre, ils reprennent rapidement de la rigueur.

l’un deux s’assoit sur un siège.
- viens sur moi
je monte sur lui, prend sa queue et le positionne devant mon trou. j’adore cette position. Sa queue me pénètre si facilement. Je monte et descends sur lui.
- si ya de la place pour un y’en a pour deux dit son ami qui vient se placer derrière moi.
- eh attendez, j’ai jamais fait ça encore dis-je dis-je un peu effrayé
- hahahaha vu comme ton cul est ouvert , je m’inquiète pas.
- noooooon
- tu nous as chauffée pétasse, alors assumes maintenant.
Je suis pris en sandwich par ces deux hommes. Celui est derrière moi commence à faire rentrer sa bite dans mon cul déjà pris. c’est la première fois pour moi. j’ai l’impression de n’être qu’un trou pour ces deux hommes puissants.
- que ça te serve de leçon chienne
- haaaaaaaaaaa
Les deux sont en moi. Ils se défoulent en moi.
- on va t’inonder le cul salope.
- ouaaaaaaaais c’est bon, prends ça
Au même moment, ils éjaculent dans mon ventre. j’ai l’impression d’un ouragan dans mon ventre.
- oh putain le pied.

Celui qui est derrière moi se retire, j’ai du mal à me lever. Je ne sens plus mes jambes. j’arrive péniblement à me retirer de l’autre homme.
- hahahaha ça c’est du cul bien ouvert.
- très bonne chienne
j’essaye de retrouver mes esprits.

- quelle bonne pute, tu as un mac ?
- euh oui, enfin disons que c’est un couple
- prends ma carte, si un jour tu veux changer d’horizon. Avec moi et mes amis tu mènerais la grande vie, champagne, voyages…..
- euh d’accord dis-je ne prenant sa carte.
- et ça c’est pour toi
il me tend deux billets de 500€. Je me rhabille et retourne à ma voiture. j’en profite pour m’assoupir.
Je sens le train ralentir, nous arrivons. Je descends sur le quai et remonte le long du train. Je n sais pas à quoi ressemblent les personnes que je dois rencontrer.
qu’est ce qui m’attend ici ?

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