Collection Zone Rouge. Poupette. Saison V (40/43)
Les choses avances, jai enfin réussi à rejoindre mon mari qui na pas bougé dun yotta dans son lit.
Avec Fred, plutôt grâce à Fred, deux mystères ont été élucidés.
Mon viol dans le souterrain et le coffre-fort pillé des lingots et du cash qui sy trouvait.
Cétait une seule et même personne, Johnny Belle Gueule.
Il avait tout pour entrer dans ma nouvelle organisation qui lui aurait apporté fortune mais son avidité la trahie même si jai aimé sa belle queue.
La vie devant se poursuivre, la mort de Trevor moblige à changer mes plans.
Sans regret de ma part, car ce bellâtre ne méritait pas la petite chatte de mon amie.
Il ma été utile à un moment de mes aventures, mais il a été le seul point négatif de mon plan.
Si Bill le noir à la Buick que jai sucée pour le remercier ne mavait pas ramassé dans la rue le long du lac, je serais les mains entravées dans le commissariat où Tex officie.
Cristopher prévenu de ce que je vais demander à Abby de faire, je la recherche, elle ma dit quelle finissait juste le temps que je vois mon mari.
Le médecin qui dans dautres circonstances maurait certainement plu, me demande de prendre une décision qui risque de changer ma vie
Soit de laisser brancher pépère ou le désolidariser de sa machine qui laide à respirer et qui le nourrit.
Il a une petite chance que ses poumons continuent à fonctionner mais il faudra toujours le nourrir comme en ce moment.
Jai 48 heures pour décider, nous verrons cela plus tard.
- Abby, jai encore la main sur toi, tu sors, tu vas à ma voiture, mon chauffeur Cristopher touvrira la portière et tu le suivras jusquau garage.
Un gage est un gage et je sais que tu lhonoreras autant quil thonorera.
Il le mérite, cest en partie grâce à lui si jai échappé au putain de flic cette nuit.
- Je vais respecter ma parole, mais dis-moi, il ne taurait pas plu !
- Ne cherche pas à me troubler, file le rejoindre.
Attention il est vierge.
- Zodiac ou verge.
- Les deux certainement.
Un baiser et elle se dirige vers la sortie.
Au moment où elle vient de passer la porte à ouverture automatique, elle se retourne et menvoie un baiser.
Cest le moment que je choisis pour mécrouler, sans rien avoir prémédité je le jure.
- Laissez-moi passer, Madame, regardez-moi.
Portez là dans mon bureau sur ma table dauscultation.
Je me sens trimbalé par des mains plus douces que celle de Johnny dans mon tunnel.
- Posé là, vous semblez bien aller, votre pouls est normal.
Rythme cardiaque aussi.
- Geneviève, allez me chercher le nécessaire pour que je contrôle sa glycémie, ce malaise ressemble à un manque de sucre.
Je vois linfirmière partir revenir rapidement.
Le médecin me pique le doigt.
- 0,64, cest ça vous êtes en hypoglycémie, il y a longtemps que vous avez mangé.
À part le sperme de Bill au matin et celui de Johnny dans latelier, je nai rien mangé.
- Geneviève, allez chercher des barres chocolatées et un café au distributeur à madame, prenez ce billet pour payer.
- Oui docteur Alain !
Aussi rapide que pour la glycémie, elle revient avec ce que le médecin lui a demandé.
Il maide à masseoir, jai les jambes pendantes, je mange les deux barres entrecoupées de cafés.
Linfirmière est repartie à sa tache, le médecin sassoit à sa table de travail.
- Je vois que vous avez repris des couleurs, vous allez pouvoir repartir dans quelques minutes.
Je me lève, mapprochant de son bureau.
Il me regarde étonner.
- Comment puis-je vous remercier docteur Alain !
- Ce nest rien, je nai fait que mon travail.
- Mais pour le café et les friandises.
- Un sourire et tout sera dit, le principal cest quune jolie fille ait recouvré la santé.
- Et vous docteur, vous avez la santé.
Je suis sur son côté, ma main se pose sur sa poitrine et descend le long de son corps pour trouver une verge qui réagit immédiatement.
- Et votre mari ?
- Il est bien là ou il est, il ma fait louper ma nuit de noce, peut-être pourrais-tu le remplacer.
- Attends, je vais fermer mon bureau à clef.
Je ne perds pas de temps, je défais mon jean que jaide à tomber au sol.
Il revient en enlevant sa blouse.
- Jaime les femmes, mais toi tu nes pas banal, je me demandais comment une aussi jeune femme que toi avait pu épouser ton débris.
Je comprends mieux, tu sais ce que tu veux.
Je détache le cordon de son pantalon.
Une nouvelle fois je me retrouve avec une belle bite dans ma bouche.
Très peu de temps car il est très viril.
Je massoie sur son bureau ayant le temps de voir que mes fesses reposent sur un bloc permettant de faire des ordonnances.
Il détache mon chemisier et me caresse les seins, voilà un mâle qui cest soccuper dune femme.
Ma chatte semble lintéresser mais mes seins aussi, sa langue avant de venir me lécher la vulve, me prends la bouche que je lui abandonne sans le moindre retrait de mon corps.
- Tu es prête, je vais te donner ta nuit de noce, je vois que tu es une gourmande.
Il sait jouer avec son corps et dans la position où je suis, il finit par sortir de moi et maide à me retourner.
Ce sont mes seins qui frottent sur le bloc dordonnance, les malades risquent de le trouver froissé si je continue à le caresser avec les pointes de mes mamelons.
Un moment je me trouve à deux doigts de me demander de menculer, mais je nose pas ça reste un médecin et toute ma jeune vie, maman me disait de respecter ces hommes de science.
Ce quelle ignorait, cest quà Vegas, jétais là-bas lors dun congrès de médecin et en trois jours, jen ai accroché huit, six et douze à mon tableau de chasse.
Bob léponge mon beau-père avait été content de moi, je lui ai fait gagner un max de fric.
Ce quil ignorait, cest quun médecin des pompiers viendrait constater que sa chute avait été mortelle après que je lai précipité dans le vide.
Il choisit ma chatte de nouveau et mapporte un orgasme rapidement.
Je nai pas eu ma nuit de noce mais jai eu une bite en moi dans la journée suivante sans compter mes fellations.
Jignore combien dannées je vivrais, mais je compte bien dire à mes petits-s quil faut aimer le sexe.
Il décharge, se retire, je me redresse, il arrache une ordonnance et se frotte la queue avec alors que jallais la nettoyer avec ma bouche.
- Parfait Claudia, Abby ma dit comment tu tappelais.
Cest une gouine pure et dure, tu fricotes avec elle.
Sil savait quen ce moment elle est au garage et jespère se faisant défoncer par la verge de mon petit chauffeur.
Je respect ma petite salope et je me garde bien de faire le moindre commentaire.
- On se revoit dans deux jours, prend soin de ton mari, voilà ma carte avec mon numéro de portable, appelle en cas de besoin.
- Voici le miens, fait en autant surtout si tu as des nouvelles à me donner de mon mari.
- Demain je ne suis pas de service, ok pour dans deux jours, merci du bon moment.
Dire quil y a peu, sa bite maurait rapporté du fric une pute comme moi lui aurait coûté quelques centaines de dollars, là cest du plaisir que jai pris, prise par ce beau gosse.
Lorsque jarrive dehors, je repère Tex dans sa voiture banalisée, quand il me voit, il fait celui qui regarde ailleurs.
Je me prends le droit daller à lui.
Jouvre la portière et je massieds à ses côtés.
- Tu tes remis de ta déception, Tex, jai demandé à mon équipe, du moins ceux que jai croisés, aucun ne sait où ce lingot se trouve.
Fred était au courant que la compta du sénateur avait été informatisé mais ignore où le sénateur a pu la cacher.
Je sors de sa chambre, sil y en a un qui aura du mal à parler, cest bien lui.
Le médecin ma demandé de prendre une décision si on le débranche ou pas au risque quil meurt.
- Jai nettement limpression que tu me prends pour un con.
Si ton mari meurt, je pense que je demanderais au procureur de lÉtat de tinculper pour avoir usé ce pauvre homme.
- Fais-le, on va se marrer, tu as dû déjà passer pour un con au commissariat.
Trevor nous a dit que tu te vantais partout que tu blouserais le sénateur.
En ce moment, même là où il est, il doit bien se foutre de ta gueule.
Chauffeur emmené moi au restaurant ou travaillait ma mère et ou tu mavais emmené avant de me baiser
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!