Une Plantureuse Et Experte Gymnaste - 5
La belle posa carrément sa bouche sur mon cul et y fit entrer sa langue. Elle savait alterner les caresses de surface et les mouvements plus profonds qui frôlait ma prostate, dont elle connaissait parfaitement lexistence et la position. Quand je fus suffisamment ouvert et lubrifié pas sa salive, elle se redressa, et enserra mes deux chevilles dans une seule de ses grandes mains et continua à pousser pour maintenir laccès à mes petites fesses à sa main libre. Elle inserra dabord son index, puis son long majeur. Javais limpression que ses deux doigts me remplissaient entièrement, comme si je les sentais au fond de ma gorge. Son index caressait ma prostate avec adresse et elle savait doser la pression pour que ce ne soit pas douloureux. Je sentais la douce chaleur caractéristique des prémices dun orgasme menvahir et je ne pouvais rien contrôler tant cette sensation était cette fois totalement dé-corrélée de tout contact avec mon sexe, qui sétalait comme une limace sur mon pubis. Je ressentais un plaisir exactement similaire à celui que javais adolescent quand mes éjaculations nocturnes me faisaient mouiller mon lit. Je pissais littéralement du sperme en gémissant comme une chienne en chaleur pendant que lamazone sondait mon fondement de ses doigts experts et puissants. Jamais je navais joui pendant aussi longtemps.
Je ne suis pas sûr que tu as résisté plus de 3mn. ça ta plus au moins ?
Je narrivais pas à parler tant jétais essoufflé.
Oh oui ! Je ne savais même pas quun homme pouvait jouir de cette manière. Tu es si douée ! Comment as tu appris ça ?
Jai eu la chance davoir un couple damis très ouverts. Je leur plaisais beaucoup, aussi bien à lhomme quà la femme, qui avait un petit côté légèrement pervers et dominant. Elle ma laissé m entraîner sur son époux, pour leur grand plaisir à tous les deux.
Lamazone avait encore ses doigts dans mes fesses et mes chevilles dans sa main.
Je ne pensais pas vivre une telle expérience ce soir ! Tu es une femme si surprenante !
On tente souvent de me séduire mais cest rare que je succombe aussi vite. Tu es tellement mignon et je tai trouvé si touchant quand tu étais assis blessé dans le sable. Quand je tai soulevé et que je tai senti si léger dans mes bras, jai craqué et jai su tout de suite je pourrai aller loin avec toi.
Quand tu mas soulevé et que tu mas senti léger ? Cest si important pour toi ?
Oui, on ne choisit pas ses orientations et je suis comme ça. ça mexcite terriblement quand je peux manipuler un homme de cette manière.
Je tournai alors mon visage vers le sien et lembrassai tendrement. Nos ébats nous avaient épuisés et nous nous endormîmes lun contre lautre, nus comme des verres.
Je fus réveillé par la lumière du jour. Maryline dormait encore collée à moi. Elle était tellement belle que je ne me lassais pas de la regarder. Elle ouvrit finalement les yeux et me sourit tendrement.
Bonjour Princesse.
Bonjour mon blessé. Comment va ton pied ?
Je ne sens pas de douleur. Je pense que je vais pouvoir marcher. Tu nauras plus à me porter.
Oh Non ! Sil te plait. Tu me laisseras un peu quand même ?...Je ne te laisserai pas le choix de toutes façons !
La belle déplia son corps immense et se leva.
Regarde comme tu es mignon dans mes bras.
Les lourds seins de lamazone reposaient à nouveau sur mon corps. Je navais pas encore eu loccasion de me rendre compte réellement de notre différence de gabarit. Sa main était si large quelle pouvait quasiment contenir mon genoux. Ses cuisses musclées étaient probablement deux fois plus larges que mes jambes squelettiques. Alors que son corps était une symphonie de muscles puissants mais délicats, le mien ressemblait à un assemblage fragile de membres chétifs. Ma taille était si fine, et mes côtes apparentes roulaient sous ma peau à chacune de mes respirations. Elle me faisait sentir si faible et si homme à la fois. Cette vision fellinienne de la géante qui porte un homme eut tôt fait de mexciter à nouveau et mon sexe se fraya un chemin au milieu des seins de la belle qui me souriait tendrement. Même dressé entièrement, il était loin dêtre assez gros et long pour faire surface au milieu de ses énormes joyaux.
ça a vraiment lair de te plaire quand je te porte comme ça ?
Oh oui, je me sens si bien.
Je regardai ensuite par la fenêtre et vis quil pleuvait.
Il na pas lair de faire très beau.
Non, cest un journée à rester au lit !
La belle me jeta sur le lit et à peine javais atterri sur le ventre quelle était déjà sur moi avec sa main dans ma raie.
Et je sais bien comment on va soccuper !
FIN
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