Échanges Agréables 02
Cher(e)s lecteur(ice)s,
Voici le second extrait des échanges que nous avons avec ma compagne
Aujourdhui cest elle qui écrit. Il ny a que du copier coller, aucune rectification. Chaque double espace indique que cest un nouveau message.
Au plaisir de lire vos commentaires
Début du premier sms : 14:44
Nous sommes à Brest, en semaine. Tu es parti tôt en rdv, je te rejoins pour déjeuner. Pour une fois, j'arrive en avance. Je prends une table devant la baie vitrée, pour te voir arriver.
Tu entres dans le restaurant d'un pas décidé, lunettes de soleil sur le nez. Tout en toi respire l'assurance et la confiance en soi.
Je mordille la lèvre... Je dormais encore lorsque tu t'es habillé. Je découvre alors que tu as revêtu un de tes costumes sur mesure. Un bleu, comme toujours, coupe italienne. L'élégance même. Tu n'arbores pas de cravate sur ta chemise blanche, mais tu as tout de même une pochette gris perlé. Tu ôtes tes lunettes, tu me cherches du regard. Ton visage s'illumine lorsque tes yeux se posent sur moi. Tu slalomes entre les tables, sourire aux lèvres.
Lorsque tu m'embrasses, ton parfum me fait tourner la tête.
Tu prends place face à moi, deux verres de blanc font leur apparition. Le ventre vide, je bois un peu trop vite et je commence à ressentir les effets de l'alcool. Toujours enivrée par ton parfum, impressionnée par ton costume et ton attitude, je te fais doucement du pied sous la table. Je déchausse mon escarpin, et remonte lentement mon pied le long de ta jambe.
Tu te mords la lèvre. Nous continuons néanmoins à bavarder. Le restaurant s'est rempli. Je perds toute notion du temps, étourdie par le bruit des conversations, des couverts, la musique... Je ne t'entends plus. Tu me racontes une anecdote, mais mon attention se porte uniquement sur ta bouche.
Je me fais plus insistante, sous la table. Cela ne t'échappe pas.
Je parviens tant bien que mal à atteindre ton entrejambe. Le serveur arrive à ce moment précis pour prendre nos commandes.
Le vin ayant endormi mes peurs, je te caresse l'entrejambe malgré le serveur. Une fois ce dernier reparti aux cuisines, tu me fixes, agréablement surpris.
"Ma Chère Amie, j'aime toujours autant l'effet du vin sur toi."
Je prends congé, en lançant d'un ton amusé : "je vais me repoudrer le nez."
En revenant à note table, je te vois plongé dans l'écriture d'un mail professionnel, que j'interromps en te glissant ma petite culotte en dentelle dans la main.
Tu lèves soudainement la tête, très sérieux. Un éclair de bestialité traverse tes yeux.
On ne joue plus.
Tu saisis mon poignet, je comprends instantanément que tu es mon Maître. Tu m'entraînes vers la sortie du restaurant. Je me retiens de te signaler que nous n'avons pas déjeuné.
Tu marches si vite que je dois presque courir sur mes escarpins. Là encore, je me tais. Et reste surprise de cette soudaine soumission !
Malgré cela, je ne vais pas assez vite à ton goût. Tu me fusilles du regard et tires un peu plus fort sur mon bras.
La soumise parfaite n'aura pas duré : "Doucement, les talons ne sont pas fait pour courir !"
La phrase à peine terminée, je me rends compte de mon affront
Sans plus de cérémonie, tu tournes dans une rue déserte et me désigne le capot d'une voiture.
"Penche toi", ordonnes-tu avec un geste de la tête.
J'ouvre de grands yeux.
"Ne me fais pas répéter une seconde fois."
Légèrement prise de panique, j'observe la rue. Et je m'exécute, consciente que je n'échapperais pas à la correction.
Tu lèves ma robe, me caresse les fesses, doucement, en faisant des cercles.
Je prie intérieurement pour que personne ne nous voit... La première fessée retenti dans la rue.
Tu te recules, pour observer ton travail. Je n'ose pas bouger.
À ton grognement de satisfaction, je resserre les cuisses. Je suis carrément excitée. Tu caresses encore mes fesses et glisses un doigt le long de ma vulve
Tu t'amuses à faire des allers-retours sur mon intimité de plus en plus humide. Je me cambre. Tes doigts remontent sur mon clitoris, que tu taquines. J'écarte les cuisses, tu claques ma vulve... Puis tu alternes les caresses et les claques... Quand tu sens que je suis proche de la jouissances, tu rabats la robe et me somme de te suivre.
La frustration prend le pas sur l'excitation. Ça coule le long de mes cuisses. Reprenant pied dans la réalité, je me dandine pour tirer ma robe - sans raison - par peur que les passants ne voient le liquide sur mes jambes.
Mon intimité palpite, grogne, te réclame, je veux serrer les jambes pour me finir toute seule, mais tu ne me laisses pas le faire. Nous marchons encore, tu recherches un endroit plus désert. Monsieur reste élégant, c'est ma première expérience dans la rue.
Un peu plus loin, tu déniches un cul-de-sac. Vide, entièrement vide. Sous un porche, tu m'embrasses à pleine bouche. Nous avons faim l'un de l'autre.
"À genoux, petite pute."
Je m'exécute. Tu ouvres la fermeture Éclair de ton pantalon et sors ton membre.
"Suce ma queue comme une petite chienne bien dressée."
C'est avec gourmandise que je saisis ton gland entre mes lèvres, que j'avale ta queue centimètre par centimètre, jusqu'à l'avoir au fond de ma gorge. Tu grogne de nouveau, me saisis les cheveux et me baise la bouche.
Tu retires ta queue, satisfait d'y voir autant de salive, reliée par un filet à ma bouche.
Tu me baises la bouche à nouveau, doucement, puis violemment, me laisse avaler une goulée d'air de temps en temps.
Tu te rapproche de mon oreille : "Elle va rester silencieuse, sinon, je ne la baise pas."
Tu remontes ma robe, empoigne mes fesses, passe ta main sur mon intimité trempée. Tu insères deux doigts, et juges que je suis assez mouillée pour me prendre.
Je me cambre un peu plus pour mieux te recevoir. Tu entres d'un coup en moi. Nous ne bougeons plus, pétrifiés par la puissance du plaisir.
Sans crier gare, tu me baises sauvagement, sans te soucier de quoi que ce soit. Je sens des vagues de plaisir me prendre d'assaut, et me félicite d'être aussi silencieuse dans pareille situation
N'y tenant plus, tu me fesses, me pénètres, me malmènes, mes mains se crispent sur le béton du pilier, les tiennent enserrent mes seins
L'orgasme arrive avec violence : ma bouche s'ouvre sur un hurlement silencieux. C'est si bon que j'en pleurerais. J'ai oublié où nous étions, le jour, l'année, tout
Tu te retires, l'orgasme m'a terrassée.
Je me retourne, tu m'embrasse avec fougue, tout en retirant ma culotte de ta poche.
"À genoux."
J'avale ton membre goulûment à plusieurs reprises. Au moment de venir, tu déplies ma culotte... Pour y jouir. Tu essuies ton gland avec la dentelle, puis le place dans ma bouche pour que je nettoie les traces de sperme.
"Remets ta culotte avec mon sperme. Tu te rappelleras qui es ton Maître."
Fin du dernier sms 15:48
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