Mon Apprentissage D'Esclave / Partie 3

Je ne peux pas laisser passer cette provocation. En même temps, sous la table son pied remonte le long de ma jambe, s'attarde sur mon sexe que, par son baiser, Daniel a fait durcir, et rendu humide. Il me regarde en souriant avec malice.
Je lui rends son sourire et lui dis d'un ton moqueur :
- Tu ne le feras pas
- Ah oui ? Tu es prêt à prendre le risque ?
- Quel risque ? Tu m'as imposé une pelle, je ne suis pas de taille à lutter contre toi ! Je dirai que tu m’as … et puis de toute façon, je n’ai rien à lui cacher. Envoie la photo si tu veux !
- Il te cassera la gueule
- Qu'il le fasse… ça m'apprendra
Daniel éclate de rire. Je souris, un peu effrayé tout de même de ces menaces. L'effronterie paierait-elle ?
Soudain il fait glisser son doigt sur l'écran et porte le téléphone à son oreille.
- Pierre ? Salut, ça va ? Oh mince, désolé de te réveiller ! Je serai bref. Tu sais avec qui je suis ? Ton copain ! Tu sais qu'il me plaît bien ! Tu ne veux pas me le prêter pour la soirée ? Je te le passe.
Daniel me tend l'appareil.
- Pierre, c'est quoi ces conneries ? Je t'ai interdit de sortir avec lui !
- Pardon Maître
Daniel, entendant cela, lève un sourcil. Mon Maître reprend :
- Tu vas le suivre et lui obéir comme si c'était moi. Par contre il ne touche pas à ton cul. Compris ?
- Bien Maître
- Passe le moi maintenant.
Je rends l'appareil à Daniel qui promet tout, puis raccroche avec un air satisfait.
- Bon, on dirait que tu n'as plus le choix maintenant. Ça m'a donné faim. On mange un morceau et on y va ?
- Je n'ai pas très faim…
Daniel passe commande d'une assiette de charcuterie, dont il me donne parfois un petit morceau à manger, tout en chuchotant : »lèche mes doigts »
Et me donnant de petits morceaux, comme à un bon chien obéissant, il insère l'extrêmité de son index dans ma bouche, et j'y passe ma langue et mes lèvres avec une délectation croissante.

Bientôt c’est son pouce qui se glisse entre mes lèvres, ma langue tourne autour avec délices, et je sens encore mon sexe durcir à ce jeu équivoque.
- Ça suffit ! On y va maintenant
Daniel se lève, va régler au comptoir, et nous sortons. Une fois dehors, il me témoigne de sa satisfaction. « Tu lèches très bien, j'ai bien envie de tester à plus grande échelle…
- Comme tu voudras, je te rappelle que je suis à toi pour la soirée
- …Hélas pas entièrement, dit il avec un sourire entendu
- J'espère que tu ne vas pas t'arrêter à ce genre de détail ?
- Nous verrons… »

Nous arrivons chez lui. Il m'intime l'ordre d'aller me laver et de revenir nu. Lorsque je reviens, Daniel vêtu d'un simple mini short de sport et d'une paire de baskets, s'exerce à des séries d'abdominaux. Je vois la sueur perler sur son corps athlétique, s’accrocher aux poils de a poitrine. Il a passé les mains derrière sa tête, et sous ses biceps saillants, la sueur luit à ses aisselles velues.
Me voyant debout, un peu embarrassé, il se relève puis va s'asseoir dans un fauteuil.
- Mets- toi à mes pieds, m'ordonne-t'il, et déchausse moi
Je lui obéis. L'odeur pénétrante de sa sueur monte à mes narines.
- Tu as bien commencé tout à l’heure, tu peux continuer…. Lèche mes pieds.
Tandis qu'il dit cela, il applique la plante de son pied droit sur mon visage. Je commence à l'embrasser doucement, et je sens alors son autre pied venir s'insérer entre mes fesses. Le plaisir me gagne peu à peu. Ma langue s’enhardit sur la plante de son pied. Il insère un orteil dans ma bouche, je le lèche, l’excitation me gagne, mes coups de langue s'accentuent tandis que j’entends sa respiration s'accélérer. Son pied gauche caresse mes fesses, il m’encourage à voix basse : « c'est bien, continue, tu es bon chien, lèche bien… » Maintenant il amène son pied gauche à ma bouche et j'y porte mes lèvres, mes mains remontent le long de ses mollets, les caressent, arrivent à ses cuisses, approchent de son short….

- Tu peux lécher plus haut, viens embrasser mes aisselles, gentil chien…
Et il se penche vers moi, m'attire à lui, et enfouis mon visage dans la moiteur de son aisselle. La forte odeur de sueur envahit mes narines, mais quelques coups de langue ont tôt fait de surmonter mon dégoût, excité que je suis d'être l'objet de son plaisir. Car plus je lèche les poils, l'intérieur du bras, glissant jusqu’à la poitrine, m'attardant bientôt sur ses tétons, revenant aux aisselles, basculant à droite et à gauche, plus je sens son plaisir augmenter, mes mains qui errent sur son corps musclé frôlent son sexe énorme. Il s’allonge maintenant totalement sur le canapé, se livre à mes coups de langue qui parcourent ses abdominaux magnifiques, ses pectoraux, ses aisselles, et je me régale de la saveur salée de sa sueur. Mon sexe dressé me fait honte, et la honte redouble mon excitation…
- Arrête, maintenant !
D'un coup de pied, il m'envoie rouler au sol.
- Tu t’oublies, mon garçon….tu es trop excité, va prendre une douche froide et retrouve moi ensuite dans la chambre
- Bien Monsieur
- Ah, je vois que tu te fais vite à ta condition… c'est une bonne chose ! Allez, vas vite te calmer et reviens pour la suite. Tu ne vas pas regretter, crois-moi…
J'obéis aux injonctions de Daniel et passe mon corps à l'eau froide
Mon érection retombe, et c'est vêtu d’une serviette autour de la taille que je le rejoins dans sa chambre. D’un geste autoritaire, il arrache la serviette, m’att brutalement et happe ma bouche. Sa langue se fourre en moi, tandis que ses mains malaxent mes fesses et que je sens son majeur chercher à me pénétrer. Alors que j'essaye de me dégager de son emprise, il me propulse sur le lit d'une bourrade. Déséquilibré, je bascule sur le lit les fesses en l'air.
Daniel att une sorte de sangle à une tringle et, tout en maintenant mes poignets derrière le dos, entreprend de les lier. Pendant qu'il s'affaire ainsi sur moi, je sens son souffle s'accélérer et la bosse de son entrejambe grossir de plus en plus.
Je suis maintenant allongé sur le ventre, nu, les mains liées. D'un geste vigoureux, Daniel écarte mes jambes au maximum et m'ordonne de rester immobile. Il tire mes pieds jusqu'au montant du lit, et , l'une après l'autre, attache mes chevilles aux montants, avec ce que je suppose être des cravates.
Je tente de redresser le buste. Daniel m’att par les cheveux et me tire en arrière. Puis il att deux oreillers et les glisse sous mon torse. Ainsi, je me trouve maintenant totalement offert, à sa disposition. Terrifié, je n'ose rien dire.
Daniel se tient debout à la tête du lit, son bassin à la hauteur de mon visage. Il s’approche de moi et me dit
- Tu es à moi, et j'ai bien l’intention de profiter de toi à fond.
Et à ce moment, il enlève son short et son caleçon, dévoilant une sexe large et humide de désir. Il commence à me caresser les lèvres avec son gland, j'entrouvre la bouche, m'apprêtant à avaler cette belle tige, lorsque Daniel rectifie :
- Pas comme cela, pas tout de suite. Tire la langue
Je m'exécute. Il caresse son gland sur ma langue, le passe encore sur mes lèvres, puis m'en caresse le visage, revient sur ma langue bien tirée, recommence plusieurs fois ce tour. Je ferme les yeux pour mieux savourer la douceur de ses gestes, le goût salé des gouttes qui perlent. Totalement soumis à son désir, mon excitation revient, transformée par la douceur de ses caresses. Ses soupirs trahissent son plaisir. Il me frappe doucement les joues avec son sexe, je goûte ses coups avec un intense plaisir.
Mon regard plonge dans le sien. Son visage exprimé à la fois une grande satisfaction et beaucoup de tendresse, ce qui me rend encore plus avide de sa queue. Je dois le contempler d'un air gourmand et admiratif, car il me sourit tout en caressant son gland humide et violacé contre mes lèvres. Puis il se penche vers moi et murmure
- j'hésite vraiment entre baiser ton cul et baiser ta bouche....
Il grimpe sur le lit, s'agenouille au niveau de mon visage et s'allonge contre moi.
Son sexe splendide frotte contre mon visage, ses couilles gonflées se posent à la hauteur de mes lèvres, je les embrasse et les suce doucement, tandis qu'il se penche, s'allonge sur mon dos, et, le visage contre mon cul, laisse couler un long jet de salive. Puis il introduit délicatement son pouce dans mon trou, détendu par le plaisir, et le glisse tout au fond. Je cambre le cul, exprimant ainsi mon désir d'être pris par ce beau mâle dominant.
- Tu sais que Bruno ne va pas être content si je te prends comme cela ?
- Vous avez raison, monsieur. Ma bouche peut aussi vous donner de grandes satisfactions
- Tu me l'as montré... Mais ce n'est pas ce que je veux ce soir.
D'un mouvement souple il se lève, vient se caler derrière moi, att mon bassin de ses mains, et m'enfile avec force.
Surpris, je gémis et tente de me dégager. Plus je résiste, plus sa force s'accentue et sa queue grossit en moi. Après quelques secondes de résistance, je m'abandonne à longues vagues de plaisirs.
Ses mouvements de bassin prennent de l'ampleur, je me laisse totalement submerger par cette force qui émane de lui, par l'empoignade de ses mains puissantes, par ses couilles qui viennent battre contre les miennes, et la sensation des entraves à mes poignets et mes chevilles sublime plus encore l'amplitude de mon plaisir…
Ses mouvements s'accélèrent, des grognements de jouissance lui échappent.Soudain je le sens éjaculer en moi, et moi-même je n'en peux plus, et je pars en un immense spasme.
Daniel se retire, défait mes liens, et constatant la tâche qui souille ses draps, me lance un paquet de mouchoirs pour que je nettoie.
Plus tard, une fois rhabillé, il m'accompagne à la porte et m'annonce : " Bien entendu, Bruno sera mis au courant. Et j'espère bien que je pourrai encore disposer de toi.
-Je crois bien qu'il me punira pour cela. A moins qu'il ne veuille plus de moi, maintenant que je l'ai trahi.
- Ne t'inquiète pas de cela, je lui dirai que je t'ai .
- Ce qui est en partie vrai...
- ... Et qui ne t'a pas déplu....
Sur ce, il m'enlace à nouveau, enfonce sa langue dans ma bouche, m'embrasse longuement, puis me met dehors.
Encore tout retourné, je décide de rentrer chez moi à pied malgré l'heure tardive.
En route, je reçois un message de mon Maître
"Daniel m'a raconté. Tu lui as donné beaucoup de plaisir. C'est bien. Mais tu m'as désobéi. Tu paieras pour cela."
Puis un peu plus tard:
"Retrouve moi dimanche matin devant chez moi à 6h30. Prévois d'apporter des vêtements pour une semaine, deux paires de menottes et un martinet. Et totale abstinence jusqu'à dimanche
- Bien reçu Maître"
(A suivre)




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