Une Baise En Forêt Avec Une Collègue

Depuis quelques mois, ma boite à embaucher une nouvelle comptable. Hélène est une jeune femme de tout juste 25 ans, pétillante et toujours souriante. En plus d’être sympa, elle est belle. Elle a des cheveux châtains et mi longs, qu’elle attache souvent, une peau légèrement dorée quelque soit la saison et des yeux verts très clairs. Ses formes sont tout aussi magnifiques que le reste de sa personne, en plus d’être généreuses.

Les jours où je suis au siège de ma boite, et pas à courir après les clients, nous passons beaucoup de temps ensemble autour de la machine à café ou à la cafétéria. Assez rapidement nous nous sommes, même, mis à boire des apéros ensemble. Elle me parle beaucoup de sa vie qui est pas du tout ce qu’elle souhaitait. Depuis maintenant 2 ans, elle est mariée avec le seul garçon qu’elle a embrassé.

Hélène m’avoue qu’elle s’est senti obligé de l’épouser. En fait leurs parents sont amis depuis des décennies et elle a grandit à côté de celui qui est devenu son mari. Elle a toujours senti une pression de ses parents, et même de ses beaux parents, pour que le couple se forme. Très rapidement après avoir emménagé avec lui, elle s’est rendue compte qu’elle était pas amoureuse, elle a eu peur de se mettre ses parents à dos en cassant son couple.

Pensant que l’amour allait naitre avec le temps, elle a accepté sa demande en mariage. Son problème est que la magie n’a toujours pas opérée et en plus son mari n’est pas porté sur la chose (c’est son expression), alors qu’elle oui. C’est après cet aveu que je l’ai embrassé pour la première fois. Je lui ai proposé de venir passer une soirée chez moi, elle a mis deux semaines à accepter et c’est comme ça que je suis devenu son amant.

Nous sommes jamais allé chez elle, par contre elle vient régulièrement à la maison. Nous couchons aussi ensemble dans nos voitures, les toilettes de la société ou de bars, à l’hôtel…. Avec le retour des beaux jours j’ai voulu pimenter nos rencontres c’est comme ça que je lui ai donné rendez vous, aujourd’hui, en pleine forêt.



J’arrive en avance pour tout préparer. Dès qu’elle je la vois, je viens à sa rencontre. Nous nous enlaçons, embrassons puis je l’emmène dans le coin que j’ai repéré en amont, à l’abri des regards indiscrets. Je la déshabille lentement en savourant chaque seconde et chaque parti de son corps contrairement à nos coïts furtifs en voiture. Une fois qu’elle se retrouve uniquement vêtue d’une culotte rouge qui ressemble à mes boxers, je caresse et embrasse chaque centimètre de sa peau.

Je dépose plusieurs baisers sur le tissu rouge en profitant pour bien humer son intimité qui m’enivre, encore plus, de désir pour elle. Après avoir embrasser ses fesses, je baisse le boxer pour qu’elle soit, enfin, complètement nue. Puis je l’étends sur la serviette que j’avais déjà mis sur le sol. Je prends un moment pour contempler sa belle chatte puis je la renifle avant d’écarter ses lèvres intimes pour bien admirer toute son intimité.

Je me colle à son entrejambe et je fais glisser ma langue le long de sa vulve, Hélène se met immédiatement à gémir. Je soulève mon visage pour lui dire de faire moins de bruit et je replonge vers son con. J’aime prendre mon temps quand ma tête est coincée entre les cuisses d’une femme. Je fais passer ma langue sur chaque centimètre de son mont de Vénus avant de m’attaquer à l’intérieur de sa grotte.

Plus ma bouche plonge profondément plus je resserre mes mains autour de ses cuisses. Hélène à de plus en plus de mal à retenir ses couinements. Je m’en donne à coeur joie mais plus je m’attarde sur son intimité plus j’ai envie d’elle. Au bout de quelques minutes, j’abandonne son entrejambe et me redresse pour lui annoncer:
« J’ai envie de te baiser! »
Un large sourire se forme sur son visage et elle s’approche de moi à genoux.

Alors qu’elle ouvre mon short pour libérer ma queue de mon boxer, je retire mon t-shirt. A chaque fois que Hélène dévoile ma bitte, j’ai l’impression qu’elle la découvre pour la première fois vu son regard ébahit et plein d’envies.
Elle s’approche un peu plus de moi et tout en plongeant son regard dans le mien, elle se met à me lécher. J’adore, pendant qu’elle me suce, qu’elle me quitte pas des yeux, elle le sait et en joue un maximum.

Alors que ma tige coulisse entre ses lèvres, qu’elle s’applique à serrer à différentes pressions, son regard émeraude me fait encore plus chavirer. Ses mains s’occupent alternativement de mes couilles et mes fesses même quand je suis au plus profond de sa bouche. Je crois que rien que son regard coquin pourrait me faire jouir mais là j’ai envie de sa chatte, alors je profite d’une fois où ses lèvres me relâche pour la mettre en levrette.

J’enfile une capote, souvent j’ai envie de lui faire l’amour sans protection, pour qu’une partie de moi reste en elle quand elle part retrouver son mari mais sécurité oblige. Je me glisse entre ses jambes et je titille son sexe du bout de mon gland plastifié, déjà bien ouvert avec ma bouche,. Je la pénètre délicatement et fais des petits allers retours doux pour bien ouvrir sa chatte bien serrée. Une fois que j’ai atteint le fond de sa grotte, je reste un moment immobile avant de m’agiter, toujours doucement, en elle.

Quand je me sens plus à l’aise en elle, je l’empoigne par la taille et m’excite de plus en plus dans sa chatte. Hélène gémit de plus belles, à tel point que je suis de nouveau obligé de lui demander de se retenir si elle ne veut pas attirer les curieux. Elle plonge son visage sur la serviette au sol et se met à la mordre pour ses cris. Dans cette position elle se cambre encore plus ce qui me donne une meilleur vue sur ma queue qui rentre et sort mais aussi sur son cul qu’elle m’a toujours interdit.

Quand je calme mes mouvements je me penche sur elle et je masse ses hanches. Mes mains remontent doucement sur son ventre pour enfin atteindre ses seins qui rentre tout juste dans mes mains. Je joue un moment avec ses tétons, je sais qu’elle adore ça, avant de reprendre un limage rapide, digne du tempo des chansons les plus entrainantes.
Mes mouvements deviennent tellement sauvages que mes couilles viennent taper ses jambes, elle adore ça et je dois dire que moi aussi.

J’ai du mal à me calmer mais à un moment elle perd l’équilibre et au lieu de m’offrir de nouveau sa croupe, elle me demande de venir sur moi. Je m’allonge sur la serviette avec la bitte fièrement dressée et je vois Hélène me chevaucher et venir lentement s’empaler sur moi jusqu’à ce qu’elle soit complètement assise sur mes cuisses.

Hélène prend appuie sur mon torse pour monter et descendre sur ma tige de plus en plus rapidement. Je pose ma main sur son entrejambe et fais rouler son clito avec mon pouce. Elle se redresse pour mieux profiter de mes caresses et rapidement se mord les lèvres pour pas trop exprimer son plaisir. Je vois à son visage qu’elle est proche de l’orgasme et j’ai la confirmation en sentant sa paroi interne se contracter autour de moi.

Quand elle est dans cet état, j’aime la voir attr sa poitrine pour se tirer les tétines et la faire encore plus prendre de plaisir. J’adore aussi voir nos deux sexes s’imbriquer l’un dans l’autre et ma queue se recouvrir lentement de sa mouille. Je sais pas si c’est l’idée de se faire surprendre ou si elle était vraiment en manque mais elle jouit très rapidement et malgré sa bouche bien fermée, elle pousse plusieurs râles qui me font encore plus durcir.

Une fois qu’elle commence à redescendre de son petit nuage, elle se penche sur moi pour m’embrasser à pleine bouche. Nos langues dansent sur un rythme tout aussi effréné que nos ébats de tout à l’heure. En même temps que nos lèvres se dessoudent, elle se soulève pour que ma bitte toujours pleine de sang quitte sa moule. Une fois que nos intimités ne sont plus en contact, elle dépose furtivement ses lèvres sur les miennes avant de les faire glisser le long de mon corps.

Elle se jette sur ma queue et me gobe entièrement. Alors qu’elle me fait coulisser dans sa bouche aussi follement que je ramonais sa chatte tout à l’heure, ses mains caressent mes couilles et mon périnée.
Son doigt rentre en contact avec ma rondelle et dès qu’Hélène l’enfonce je me répand sur sa généreuse poitrine. Même si je suis complètement vider, Hélène me suce pour me nettoyer complètement et ne laisser aucune trace de notre ébat.

Elle me recrache uniquement lorsque je redeviens mou. Je me penche sur elle, j’adore nos baisers au goût de mon sperme. Une fois que nous avons tous les deux repris notre respiration, nous nous relevons pour nous rhabiller. C’est en remettant son soutien gorge, après s’être essuyer avec la serviette, qu’elle plonge son regard dans le mien et me demande:
« On se retrouve où la prochaine fois? »
La coquine a bien aimé mon idée de plans en nature alors je lui réponds:
« J’ai repéré un champ de blé que tu devrais adorer »….

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