Les Soutanes

LES SOUTANES
Le Père Julien habitait ce qu’on nommait dans le village le « Petit Séminaire » même s’il n’y avait pas de « Grand Séminaire ». Ça faisait référence au fait que c’était un édifice assez modeste de trois étages mais qui était surtout remarquable par les jardins qui s’étendaient sur une grande surface, traversés par des sentiers étroits et parsemés d’arbres qui étaient certainement centenaires. Le tout était entouré d’un mur de pierre haut de 3 mètres qui cachaient malheureusement la plus grande partie du jardin à la vue du public. Personne n’y avait accès sauf le Père Julien qui était le directeur du séminaire, un jeune séminariste qui était son secrétaire et les quelques prêtres de la congrégation qui étaient de passage. Le Père avait près de 60 ans et avait passé presque toute sa vie ecclésiastique dans cet édifice. Toutes les archives de la congrégation, fondée au 17e siècle y étaient conservées. Le Père était l’archiviste et il aidait du mieux qu’il pouvait les confrères qui faisaient des études sur différents aspects de l’histoire de la congrégation.
Il avait reçu un message par ordinateur d’un vieil ami qui voulait lui rendre visite. Le Père Antoine habitait depuis longtemps un monastère de la congrégation en Belgique. Les deux amis se voyaient à tous les cinq ou six ans pour différentes raisons. Depuis une dizaine d’années, le Père Antoine rédigeait une histoire des missionnaires de la congrégation qui avaient vécu en Amérique du Sud. Le Père Antoine voulait effec une recherche spéciale dans les archives du séminaire de ce coin de Bretagne. Lors de son dernier voyage en Argentine, il avait rencontré un jeune séminariste qui lisait et parlait parfaitement bien le français. Il l’avait ramené avec lui pour aider à traduire des textes espagnols anciens. Il ferait partie du voyage chez le Père Julien.
Il faisait très beau lorsque le Père Antoine et Juan, son assistant, arrivèrent au séminaire. Les deux religieux qui ne s’étaient pas vus depuis longtemps s’embrassèrent avec émotion.

Ils avaient environ le même âge car ils avaient étudié ensemble. Le Père Julien avait une petite barbiche grise au menton et le père Antoine était plutôt grand et avait perdu la plupart de ses cheveux sauf une couronne. Robert, le secrétaire du Père Julien, qui venait de graduer du Séminaire à Paris, se joignit à son confrère argentin pour une promenade dans les jardins. Les jeunes savaient que les religieux voulaient être seuls et les Pères encourageaient aussi les jeunes à faire connaissance. Le silence était de mise dans ces situations qui s’étaient reproduites partout où le Père Antoine était passé. Chacun connaissait son rôle, chacun savait ce qui allait se passer, mais on faisait comme si c’était une visite normale d’un chercheur avec son assistant. La vérité était que les deux Pères et les deux jeunes assistants attendaient cette rencontre depuis une semaine et tous les participants étaient dans un état d’excitation sexuelle très élevée.
Les deux jeunes hommes, au début de la vingtaine, avaient sympathisé immédiatement. L’Argentin parlait impeccablement le français. Robert était plutôt chétif tandis que Juan était assez rond sans être gras et les deux étaient assez courts sur pattes.
« Vous allez habiter ici lors de votre séjour », dit Robert, « mais je pense qu’il n’y a qu’une seule chambre qui n’est pas en travaux. Mais elle devrait avoir deux lits ».
« Ça va être parfait. Je suis habitué à l’intimité avec le Père Antoine », dit Juan en souriant
« Oui je comprends bien. Moi et le Père Julien on partage beaucoup de choses et on est la plupart du temps ensemble », dit Robert qui avait pris la balle au bond.
« Le jardin est totalement entouré par un mur ? », demanda Juan
« Oui, totalement. Personne ne peut y pénétrer sauf nous », répondit Robert
« Et la nuit ? », demanda Juan avec un grand sourire
« La nuit est à nous », répondit Robert, touchant les doigts de Juan qui se refermèrent sur les siens.
« Le Père Antoine te dira ce qui va se passer cette nuit.
Tu n’auras qu’à le suivre’, dit Robert, assez confiant de l’orientation de Juan pour aborder le tutoiement.
Juan prit la main de Robert et le tira vers un gros arbre qui était tout près du mur. Robert le suivit, excité par les avances de l’Argentin. Juan se plaça le dos contre l’arbre et Robert mit ses mains sur les hanches de son nouvel ami et posa ses lèvres sur celles de l’Argentin. Les deux jeunes hommes s’embrassèrent avec fougue, certains de n’être pas surveillés. Robert posa sa main sur la braguette du pantalon de Juan et sentit son érection. Juan imita son amoureux et les deux hommes prirent quelques minutes à déboutonner leur braguette et à mettre leur main dans la culotte de l’autre. Juan se jeta à genoux devant Robert qui venait de sortir sa queue bandée de sa culotte. Juan commença à le sucer tout en le masturbant lentement. Robert avait très envie de Juan et fit un geste pour qu’ils se retrouvent tous les deux sur l’herbe mais Juan continua à sucer. Robert comprit qu’il était trop tôt et qu’il faisait encore jour pour une suite naturelle à cet échange. Il attendrait cette nuit. Robert gicla dans la bouche de Juan qui continua à sucer et à lécher la queue de son amoureux jusqu’à la dernière goutte.
Pendant que se déroulait cet épisode du jardin, les deux Pères s’étaient réfugiés dans la chambre du Père Julien. Ils étaient seuls dans le séminaire.
« Il est très bien ton Juan. », dit Julien à Antoine, « Tu dois être content ».
« Oui très content. En plus d’être un bon traducteur, il est parfaitement soumis…à mes désirs », répondit Antoine. « Et toi tu ne t’ennuies certainement pas avec ton Robert ».
« Oh non…Après le travail, il connait la façon de me prendre doucement quand il le faut…et avec plus d’autorité quand je lui demande », répondit Julien avec un grand sourire.
« Tu as un plan pour cette nuit », demanda Antoine
« Oui…Je te prête une soutane et je prends la mienne. Nous sortons dans le jardin comme nous l’avons fait la dernière fois que tu es venu.
Les deux jeunes auront l’occasion de se faire plaisir. Auparavant il y aura des préliminaires que l’on imaginera. « , répondit Julien
« Celui me va très bien », dit Antoine en déboutonnant sa braguette et en laissant tomber son pantalon autour de ses chevilles. Il resta debout près du lit.
Julien se mit à genoux sur le tapis et glissa la culotte de son confrère jusqu’à ce qu’elle rejoigne les pantalons. Antoine était bandé depuis déjà le début de leur conversation. Julien prit sa queue dans sa bouche et couvrit tout l’instrument de sa salive. Il passa sa main entre les cuisses d’Antoine et lui caressa les fesses. Antoine pistonnait la bouche de son confrère comme il l’avait fait quand les deux étaient séminaristes il y a 40 ans. Ces deux hommes s’étaient sucés des centaines de fois. Julien savait que l’accouplement pouvait se faire à tout moment mais les deux amoureux préféraient laisser cet évènement se produire en pleine nuit et en pleine nature en présence de leurs jeunes amoureux.
Robert et Juan rentrèrent au séminaire et Robert eut une idée. Les deux jeunes montèrent à l’étage des chambres et Robert frappa doucement à la porte de la chambre du Père Julien. Robert colla l’oreille à la porte et fit un clin d’œil à Juan. Les deux redescendirent par l’escalier.
Quand Robert frappa, Julien s’arrêta un moment de sucer puis continua sans se préoccuper des jeunes qui étaient à la porte. Quelques minutes plus tard, Antoine lui tira son coup dans le fond de la bouche. Les deux hommes se retrouvèrent debout et partagèrent un baiser spécial.
« Si je les avais laissé rentrer, c’était l’orgie », dit Julien à Antoine, tous les deux étant assis sur le lit.
‘Oui, c’est vrai. Vaut mieux attendre cette nuit. Je suis certain que Juan a sucé Robert dans le jardin. « dit Antoine
Les deux hommes avaient enlevé leur pantalon et se couchèrent côte à côte. Chacun était bien bandé. Ils commencèrent à parler tout en se caressant mutuellement la queue.

« Tu te souviens d’Hector, le gros qui venait de Montpellier ? », demanda Antoine
« Oui…bien sûr…il avait une petite jupe et un soutien-gorge qu’il avait introduits en douce au séminaire. « , répondit Julien en riant
« Je l’ai revu dans ma tournée. Il est encore à Montpellier et enseigne au séminaire. Je ne sais pas ce qu’il leur enseigne mais je pense que c’est le maquillage ! », continua Antoine, « On a renoué, comme on dit, et je dois l’avoir embroché une dizaine de fois dans la semaine. Il a regretté mon départ, « ajouta Antoine.
« Tu es passé par l’abbaye en Provence ? », demanda Julien
« Oui bien sûr, même s’ils ont envoyé une partie de leurs archives aux Archives nationales. Je faisais semblant de travailler dans le reste, », dit Antoine, « La majorité des prêtres étaient prêts à me monter sur le dos alors je leur ai refilé Juan qui s’est bien amusé ».
« Tu n’as pas réussi à séduire qui que ce soit ?, demanda Julien étonné.
« Oui..mais pas parmi les plus jeunes. J’ai fait le supérieur qui doit avoir 80 ans et qui ne bandait plus. C’était amusant car je l’ai enculé devant plusieurs spectateurs et ça à sa demande », termina Antoine.
Les deux hommes giclèrent sous l’effet de leur main habile. Ils s’embrassèrent avec fougue.
« Je t’arrête ici car je n’aurai plus de munitions pour cette nuit », dit Julien en rigolant.
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La nuit tombée, à 11heures, le père Julien, vêtu seulement de sa soutane et de sandales, descendit les marches du séminaire accompagné de Robert qui avait mis son surplis blanc qui montrait plus qu’il ne cachait de sa jeune nudité.
Le père Antoine, vêtu également d’une soutane que lui avait prêtée Julien, attendait dans le jardin, assis sur une pierre, accompagné de Juan, recouvert lui aussi d’un surplis blanc qui descendait jusqu’aux genoux. Tout le monde était nu sous son vêtement. Un témoin avec une lampe de poche aurait pu déceler les bosses qui s’étaient formées sur le devant des vêtements liturgiques. Les deux prêtres s’embrassèrent avec tendresse et prirent place sur la grosse roche plate pendant que leurs assistants s’embrassaient déjà à pleine bouche à un mètre des deux prêtres qui se tenaient par la main.
Robert et Juan avaient relevé leur surplis et l’avait noué autour de leur taille. Les deux engins étaient longs et durs. Les deux prêtres se regardaient avec un grand sourire. Les deux jeunes hommes se pétrissaient la queue tout en continuant à se sucer la langue. Puis les mains se promenèrent sur les fesses, ce qui excita particulièrement les prêtres voyeurs.
« Juan a les fesses d’un ange », chuchota le Père Antoine à son collègue
‘Robert a la queue d’un diable qui encule les anges », répliqua le Père Julien en étouffant un rire.
Les deux jeunes en surplis étaient déjà en 69 et se suçaient la queue avec enthousiasme sous les yeux attendris des deux prêtres qui ne manquaient rien de l’action. Les jeunes n’avaient aucunement l’intention de se jouir dans la bouche mais voulaient que leur queue soit la plus longue et la plus dure possible. Lorsque Juan pris sa position de soumission et que Robert s’installa à genoux derrière lui, les deux prêtres se levèrent d’un bond pour participer finalement à l’accouplement des jeunes. Le père Julien se plaça devant Juan qu’il allait goûter pour la première fois et le père Antoine derrière Robert qui se préparait à recevoir la langue du visiteur pour la première fois. Robert frotta son gland rouge contre le trou plissé de Juan, les prêtres attendant avec impatience leur entrée en jeu. Aussitôt que Robert, d’un coup de hanche, pénétra le petit trou de l’Argentin, et que sa queue disparut petit à petit, le quatuor se mit en branle (sans jeu de mots). Le Père Julien se glissa sur le dos, la tête entre les genoux de Juan qui plongea sa longue queue dans la bouche du prêtre comme s’il allait pénétrer ses fesses. À l’autre bout du quatuor, le Père Antoine ouvrait les fesses poilues de Robert avec ses deux mains et lui lécha la raie des fesses, s’arrêtant ensuite au trou plissé pour y introduire sa langue. Le Père Antoine qui était habitué à lécher le cul de Juan, était ravi de changer de cible et de lécher le cul d’un dominateur comme lui. Les quatre hommes bougeaient les uns contre les autres comme les parties d’un moteur à combustion. Des cris et des gémissements précédèrent les jouissances qui se produisirent une après l’autre durant quelques minutes. Les deux jeunes hommes se laissèrent choir sur le côté, l’un encore enculé par l’autre.
Les deux prêtres, l’un qui suçait, l’autre qui léchait, étaient bandés comme des étalons. Et c’est comme un étalon que le Père Antoine monta le Père Julien, dont la soutane était relevée et qui montrait ses fesses. Robert repoussa sa queue dans le cul de Juan alors que les deux jeunes hommes étaient témoin de l’accouplement de leur patron et amoureux. Juan en voulait encore et sans détourner les yeux de l’action entre les hommes plus âgés, les deux jeunes s’enculèrent de nouveau. Pour les deux prêtres s’étaient presqu’une nouveauté car, même s’ils s’étaient entubés des douzaines de fois depuis le séminaire, ils ne s’étaient pas revus depuis plusieurs années. Les deux criaient comme des belettes et se pistonnaient comme des s de chœur. Finalement les deux prêtres jouirent en même temps, ou presque, que leurs assistants qui s’accouplaient pour une deuxième fois.
Le lendemain, les recherches du Père Antoine débutèrent avec tout le sérieux que le projet demandait. Mais chaque nuit, les soutanes noires et les anges en surplis blancs se rencontraient dans les jardins pour une orgie entre hommes. Au bout d’une semaine, les visiteurs quittèrent à regret et le Père Julien ainsi que Robert reprirent leur routine comme un vieux couple, en attendant les prochains visiteurs en soutane. FIN

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