Collection Histoire Courte. Une Famille Formidable (1/1)
- Laurent, jai un problème, attends-moi devant lentrée de chez mes parents, ma voiture est difficile à diriger.
Mince, jai
Le téléphone de Viviane, Vivi pour lintime que je suis, comme je suis Lolo pour elle, a coupé avant quelle ait le temps den dire plus.
Jessaye de la rappeler, je suis au volant de ma voiture en direction de Marmogne près dOrléans ou ses parents ont une villa sur parc avec vue sur la Loire.
Attention, au volant en kit mains libres, mais la sécurité même si cet important nest pas mon propos.
Vivi est ma petite amie, elle est en fac à Orléans pour devenir médecin.
Elle a 24 ans moi 38.
Je sais, nous avons un grand écart dâge, mais quand Vivi est venue faire son stage dans mon cabinet, jai flaché sur cette jolie blonde.
Le stage s'est passé sans encombre, Vivi est déjà très professionnelle.
Le dernier jour avant quelle retourne à temps complet à ses cours, je lai invité à dîner au restaurant pour la remercier.
Nous étions en juin fin de son année, il faisait chaud, elle avait une jolie robe vichy avec des soquettes et des baskets.
Le devant de sa robe était assez ouvert et pour la première fois chaque fois quelle se penchait, je découvrais quelle avait de magnifiques roberts mots que jai pris lhabitude demployer dans ma tête chaque fois quune patiente se dénude professionnellement devant moi.
Jen vois de toutes formes, de toutes grosseurs, des juvéniles commençants par des bourgeons jusquaux poitrines de juments ou oreilles de cockers.
Aucun depuis que jai passé mes derniers examens ne ma fait bander.
Jeunes internes, les seins, les chattes étaient pour nous des motifs de plaisanteries.
Vivi ma avoué quil en était de même à notre époque et que rien navait changé dans les études médicales.
Nous parlions de cela ce soir-là et nous pouffions de rire aux évocations des jeunes cons que nous étions et quils sont aujourdhui.
Cest là quen se penchant, je voyais quelle avait des burgers fort appétissants.
Employer le terme burgers pour les seins de Vivi cest pour la forme et surtout car ce soir-là pour faire jeune, je lavais emmené dans un resto classe mais faisant ce genre de plat sur assiette que dautres mangent avec leurs doigts.
Quand je lai raccompagné, jai senti que le moment était propice à ce que je lembrasse, elle a répondu à mon appel.
Ce fut la seule privauté que je nous ai octroyée, je nai pas envie de me prendre un râteau, je sais que de nombreuses jeunes femmes naiment pas coucher le premier soir.
Mieux même, certaines pensent que vous êtes un vieux vicieux à vouloir fourrer une jeune femme dès la première soirée.
Cest elle qui est venue chez moi alors que je ne lattendais pas.
Je venais de finir ma journée de travail et venais de monter dans mes appartements.
Quand jai voulu minstaller, reprenant la clientèle dun médecin habitant deux maisons plus hauts, ce local en sous-sol avec quatre pièces était exactement ce dont javais besoin.
- Laurent, je sens que si je ne prends pas les choses en mains, nous serons au même point dans des semaines.
Tu me plais, je te plais, jignore ce que sera notre vie dans quelques mois, en attendant embrasse-moi.
Je suis un peu surpris, mais jai encore dans lil les seins qui aujourdhui sont tout autant à ma disposition que la veille au soir.
Je lenlace et cest lun des plus profonds baisés quelle me donne.
Elle a dû prendre un bonbon mentholé avant de sonner chez moi car sa bouche a la fraîcheur de cette plante.
Ma main se porte sur son lobe, qui tient exactement à lintérieur.
Je sens la pointe de son mamelon réagir, il est plus gros que je ne le pensais au premier abord.
Je fais glisser ma main, pour contrôler la symétrie des deux.
Je ne suis pas déçu, parfaitement le même.
Jai vu des clientes enlevant leur soutien-gorge qui était difforme de ces côtés-là.
Une mémé qui avait élevé plusieurs s en avait un bandant encore alors que lautre pendait lamentablement.
Je lui ai conseillé de poser une prothèse mammaire, elle se trouvait bien ainsi.
Dès cet instant je suis allé droit au but glissant ma main dans son jean.
La grotte déjà visitée par divers amants ruisselait denvie.
Les amants, cest plus tard quelle me la dit.
À mon âge inutile de lui faire la même confidence.
Ayant fait médecine et les internats, les petites infirmières, je nen loupais pas une.
Viviane na pas fait exception à la règle, une fois nue, elle a commencé dune manière très classique à notre époque en me suçant la bite.
Jétais très proche de ma maman avant que la vie ne me lenlève.
Notre complicité allait même jusquà parler de sexe avec moi.
Elle aimait que je lui raconte mes conquêtes et cest là que lui parlant de la fellation que les filles faisaient systématiquement, elle ne lavait jamais fait même avec mon père.
Ça ne se pratiquait pas à son époque.
Cette époque où lon baisait utile pour avoir des s.
Je préfère la nôtre et sans problème jadore que Vivi me taille une bonne pipe
La levrette ça papa et maman le faisait, j'adore.
Bref quelques jours après elle apportait ses affaires et quelques mois plus tard comme un con je mettais un genou en terre et je lui offrais une bague quelle sest empressée daccepter.
Vivi avait une pratique que je trouvais fort sympathique, dès quelle avait franchi la porte de notre nid damours, elle allait dans notre chambre et se dénudait.
Tout le temps où nous sommes chez nous, comme nous navions pas de vis-à-vis, elle se promenait nue.
Cétait pratique pour baiser, je suis devenu accro au sexe, à son sexe.
Cuisine, salle de bains, notre lit bien sûr, je la prenais là où je la saisissais.
Javais moi aussi pris lhabitude de vivre nu comme elle.
Plusieurs fois après que je lai demandé en mariage, elle a semblé vouloir me dire quelque chose, mais ça semblait la gêner.
Un moment, jai failli lui demander si cette gêne sétait parce quelle voulait que je la sodomise et quelle nosait pas me le demander.
Une demande jen ai eu une, mais pour me rendre chez ses parents ce samedi pour une petite Garden partie entre amis avec barbeuc.
Cest pour cela que je lattends devant cette belle résidence.
Le temps passe et jai dû savoir vivre, il est idiot darriver en retard chez ses futurs beaux-parents surtout quil fait chaud dans cette voiture alors que je pourrais être un verre de boisson fraîche en main.
Des couples, rien que des couples, jeunes et moins jeunes.
Une vingtaine de personnes viennent sonner à la porte de la grille.
Un gardien vient ouvrir et je vois les gens remonter lallée.
Je quitte ma voiture et je viens sonner.
- Vous êtes monsieur Laurent, mademoiselle Viviane nest pas avec vous !
- Ça pose un problème.
- Non, madame mère mavait dit que le fiancé de sa fille arriverait avec elle.
Entrer et remonter lallée, madame va vous recevoir.
Je le fais, jusquau perron où je sonne.
Jattends quelques secondes, la porte souvre.
Une femme nue est devant moi.
Le sosie de Vivi en un peu plus vieille.
Madame mère, Alice à ce que len ma dit ma future est nue devant moi la chatte épilée.
- Laurent, permettez que dentrée je vous appelle Laurent, Vivi ma prévenu il y a une minute quelle avait crevé.
Ça narrive jamais, il a fallu que ça arrive aujourdhui.
Alice me prend dans ses bras et ses seins se trouvent sur ma poitrine recouverte de ma chemisette.
- Venez, Viviane ne ma pas dit et jai oublié de lui demander, elle vous a bien dit que nous étions naturistes, les vêtements et nous ça fait deux.
Jai lhabitude des corps nus, mais franchissant la salle à manger, larrière de la maison donne sur un parc.
Par la baie ouverte, je vois la plupart des gens que jai vu sonner chez le gardien qui la bite à lair, qui la chatte rasée ou non, dans le plus simple appareil.
- Je vais vous montrer la chambre de notre fille, vous pourrez poser vos affaires et nous rejoindre.
Excusez, on sonne, ce doit être Jennifer et Nicolas.
Jennifer cest ma sur, la marraine de Viviane, ce sont toujours les derniers, ma sur a toujours été longue à se préparer, pourtant elle sait que nous nous mettons nus dès que nous sommes ensemble.
Ce sont mes parents qui nous ont initiés nous passions nos vacances dans des camps naturistes.
Elle me quitte, je comprends pourquoi Vivi voulait que je lattende, elle savait les pratiques de sa famille sans oser me lavouer.
Quand jai fini et que je quitte la chambre de jeune fille de mon aimée, je me demande comment ma queue va se comporter.
Déjà entre lentrée et sa chambre, le petit cul de ma future belle-mère quelle balançait devant mes yeux avait tendance à me faire bander.
Je passe devant une chambre la porte légèrement ouverte, un couple se désape, certainement la marraine, troisième petit cul sur le même modèle, Vivi, Alice et Jennifer.
Jévite de marrêter.
Je suis toubib, comme je lai dit, la nudité je connais, mais cest médical.
Lescalier descendu, je repasse par la salle, ils sont tous autour de la piscine.
Jai envie de sauter dedans nen ayant pas le temps.
- Laurent serré men cinq, je vois que vous avez un petit souci, ne vous sentez pas gêné, ça nous arrive à toutes les premières fois.
Si je voulais ne pas être trop direct, ma fille a fait un bon choix, elle doit bien samuser avec un bel engin comme le vôtre.
Cest comme ça que je fais la connaissance de Jean mon beau-père.
- Si on se tutoyait, ça serait plus sympa, suis-moi, je vais te présenter tous nos amis.
Voilà Alain mon associé et Véronique sa femme.
- Bonjour.
- On sembrasse.
Véronique blonde comme les blés se plaque elle aussi contre moi ayant tendance à amplifier mon mal.
- Radia et son mari Christian, cest le cousin de Viviane.
Christian a connu Radia à la fac de Paris.
- Sa famille habite à Meknès.
Radia, mignonne, je suis pour le rapprochement des peuples quand ils ont un aussi joli cul et paire de Roberts.
- Chéri excuse-moi du retard, jai crevé et ma batterie de portable était à plat.
Tu dois men vouloir de tavoir caché la particularité de ma famille, javais peur de te perdre, je taime tant.
Vivi vient dans mes bras, son corps contre le mien, je bande comme un taureau.
Beau-papa ma dit que ça allait passer, je viens de trouver une famille formidable.
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