Le Stage De Remise À Niveau
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Encadrer un groupe de jeunes pendant lété nest pas une sinécure, je le savais pour lavoir déjà pratiqué deux années de suite comme formatrice dans une structure saisonnière de sport-études en Auvergne. À 28 ans, prof de maths en lycée pendant lannée, javais trouvé cette formule intéressante : passer un mois à recoller les morceaux de cette société de la performance qui nous écrase chaque jour un peu plus, mavait paru utile. À ceci près que je nencadrais que des ados de la tranche 14-16 ans, alors que lon me confia cette fois-ci un groupe de 18-21 ans, et dun niveau guère plus élevé. En deux fois deux semaines, je devais moccuper de redonner confiance à deux groupes délèves différents inscrits dans un camp de vacances à Annecy. Cinq élèves dassez bonne famille (prix en rapport) avec qui on partageait la plupart des activités sportives. Mes collègues étaient au nombre de quatre et officiaient de même dans dautres spécialités (français, anglais, etc
). Peu de choses à dire sur les deux premières semaines, lesquelles se déroulèrent sans histoire. La suite fut un peu plus mouvementée
Mes cinq jeunes devaient initialement comporter deux filles et trois garçons, mais il y eut à larrivée quatre garçons (Théo, Yanis, Simon, Clément âgés de 18 à 20 ans) et une fille, Inès, jolie châtain aux cheveux longs de 18 ans. Tout ce beau monde logeait en chambre de deux personnes, Inès restant seule dans sa chambre, suite à labsence de dernière minute de lautre fille. Le groupe était assez turbulent, surtout pendant les activités sportives et les sorties, cependant jarrivais à le tenir à peu près pendant les cours. Du moins jusquà quelques jours de la fin. Javais déjà pu constater que mes quatre petits mecs chahutaient pas mal Inès, attirés quils étaient par son physique agréable, avec « tout ce quil faut là où il faut » comme on dit. Laquelle ne semblait dailleurs pas indifférente aux avances quon lui faisait.
Au bout dune semaine, javais également remarqué une nette fatigue du groupe lors des cours ou des activités matinales. Je sondais mes collègues et le surveillant pour savoir sils avaient remarqué quelque chose la nuit mais dans la négative, je navais pas insisté. Lextinction des feux se déroulant à 22 heures précises, je décidais deffec moi-même plusieurs rondes discrètes (en chaussettes et mini lampe torche) autour des trois chambres, tout au long de la nuit. Une première vers 23 heures qui ne donna rien. Une seconde un peu avant minuit, idem. La troisième, vers 1h 00, allait se terminer comme les deux autres quand de petites lueurs passant par la baie vitrée au-dessus dune porte attirèrent mon attention.
Elles provenaient de la chambre de Théo et Clément. Ne distinguant aucun bruit et bien que cela ne se fasse pas, je décidai de jeter un il par le trou de la serrure. Le champ de vision restreint ne me permit dapercevoir quun ou deux mecs à poil, a priori de dos, et une lumière qui éclairait devant eux sans autre précision. En dressant loreille, je pus également identifier une suite de râles étouffés mais il me fallait mieux voir pour comprendre ce qui se passait. Je filai donc rapidement au local technique et en ramenai un tabouret haut. Je le déposai délicatement et y grimpai le plus doucement possible. Et là je vis ce que jétais à cent lieues dimaginer : un cercle formé de sept ou huit mecs debout et sans slip avec au centre, toute éclairée, Inès, agenouillée et seins nus, enchaîner fellations et branlettes à bon train ! La séance avait dû commencer depuis un bon moment puisquon pouvait voir distinctement des traînées blanchâtres un peu partout sur elle, jusque dans ses longs cheveux défaits. Et ça continuait, la petite délurée sappliquant à recueillir dans sa bouche chaque éjaculation de ces messieurs, exactement comme dans un film porno.
Le lendemain matin, vu létat de fatigue ambiant, rien ne se passa dans le groupe. Ce nest quen début daprès-midi, juste avant la baignade dans le lac, que les choses se gâtèrent. La répartition de lemploi du temps entre les différents groupes faisaient que dans la tranche 13h30-14h30, nous étions absolument seuls dans le bâtiment de cours. À peine avais-je commencé que les jeunes sortirent leurs portables et se mirent à sortir des commentaires du genre : « tas vu, elle a lair dy prendre goût » ou « elle en perd pas une miette, la vicieuse ! ». Inès leur faisait écho, ce que je trouvai insensé et révoltant. Prenant mon courage à deux mains et en jouant létonnée, je décrétai un break de dix minutes le temps quon me montre de quoi il sagissait. Me tendant son portable, Théo, vraisemblablement un des cinéastes amateurs de la veille, me demanda ce que jen pensais. On voyait en alternance des plans dInès dans ses uvres buccales mais aussi dune femme assistant à la scène derrière la vitre au-dessus de la porte. Une métisse à cheveux courts en débardeur fin se caressant machinalement les nichons et, ce que lon devinait plus quon ne le voyait, quelque chose de situé beaucoup plus bas
Les petits salauds avaient réussi à me filmer dans lobscurité sans que je men aperçoive ! Et lon voyait clairement mon émotion.
- Bon ! On fait quoi maintenant ?
- Ben, vous savez tout mais nous aussi, répond Simon. Si le directeur vous voyait en train de vous caresser comme ça au-dessus dune porte, en matant du cul, ça ferait un joli scandale.
- Hum. Et alors ?
- Alors il va falloir coopérer.
- Nan mais je rêve ! Vous vous filmez en train de faire du porno et vous me demandez ça
- Oui mais vous êtes aussi dessus, regardez ! Et puis ça avait plutôt lair de vous exciter.
- Quest-ce que vous voulez ? Je ne dirai rien de vos orgies, ça vous va ?
- Non, ça suffit pas dit Yanis. Mes potes et moi on vous trouve sympa et kiffante ; on voudrait que vous participiez.
- Vous êtes fous. Vous croyez tout de même pas que vous allez vous taper une prof de maths !
- Non mais vous pourriez déjà faire le cours à poil, lance Clément !
- Vous êtes vraiment graves. Inès vient alors vers moi me disant que tous ses copains et elle garderaient le secret, quils étaient juste accros au cul et quon pouvait leur faire confiance.
- Mais il nen est pas question !
- Alors on balance ça ce soir sur le mail du directeur ! Allez, soyez sympa. On a deviné la forme de vos nichons hier ; on aimerait bien les voir complètement. On veut juste des choses gentilles, nous. On viendra pas nous déranger, on vous le jure, le surveillant est avec nous.
(à suivre)
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