Celle Qui Ne Savait Pas Dire Non (1)
"Moi Corinne, 52 ans aux fraises, mariée, deux grands s, assistante de direction, j'ai un problème : je ne sais pas dire non. Je cède très vite, trop vite, à mes penchants et je répugne à déplaire. Cet état d'esprit touche un peu à tous les domaines, privés comme professionnels, mais en particulier au sexe. Je suis fidèle à mon mari... par la pensée. Mais quand un bel homme, ou un homme qui me plait même s'il n'est pas ment beau, me fait du gringue avec l'idée de me mettre dans son lit, je cède presque toujours, quitte à le regretter après.
Entendons-nous bien : je ne cède pas à n'importe qui. Je ne pense pas être une nymphomane. Mais j'aime, que dis-je, j'adore faire l'amour. Je pensais naïvement que la ménopause calmerait mes ardeurs passées. Il n'en est rien. Au contraire, du fait qu'elle a évacué tout risque de procréation, elle a stimulé mes envies, d'autant que j'ai bien conscience que le temps passe et qu'il me faut profiter de mes derniers attraits. La nature ne pas heureusement pas desservie. Je fais nettement moins que mon âge. Mes seins se tiennent toujours bien, mon ventre reste presque plat (au prix d'efforts douloureux à la gym), mes longues jambes attirent encore les regards, mon cul est juste comme il faut, ni trop bombé ni trop plat (j'adore le mouler dans des jeans), mon casque de cheveux (faussement) blonds séparés par une raie sur le côté tombe impeccablement sur mes épaules et mes yeux émeraude me donnent un air candide qui trompe bien son monde. Bref, je continue à plaire et mon orgueil de femme s'en trouve très bien.
Le problème, c'est quand même Christophe, mon mari. Je me suis jurée de ne pas le quitter mais je suis bien obligée, de temps à autres, de lui raconter de gros bobards pour expliquer quelques absences. C'est ça qui m'embête mais c'est le prix à payer. Est-il dupe ? Je me pose parfois la question. Il sait que j'aime faire l'amour et qu'il a du mal à satisfaire mes besoins. Nos rapports se limitent à quelques dimanches matins plus d'autres jours en vacances où il se lâche un peu mais il voit bien que je ne suis qu'imparfaitement satisfaite et il en souffre.
Il faut dire que j'ai un alibi massue. Je suis l'assistante de mon patron Rodolphe, un quadra brillant bien de sa personne, brun aux yeux bleus, mince comme un fil, qui m'emmène fréquemment dans ses voyages professionnels. A l'hôtel, nous occupons théoriquement deux chambres séparées mais la réalité, c'est que nous sommes dans le même lit. Eh oui, je baise avec mon patron, ce n'est pas une première dans ma profession. Mais je dois dire que nous baisons bien. Rodolphe bande long et dur (plus que Christophe), il est fou de mon corps et à peine arrivé à l'hôtel, notre premier travail est de nous foutre à poil et de copuler comme des fous. Rodolphe adore que je lui taille des pipes et me sodomiser, choses que sa femme réprouve. Madame est un peu chochotte alors que je fais tout. La contrepartie, c'est que mon salaire excède celui normalement prévu par la grille indiciaire mais dans des formes suffisamment raisonnables pour ne pas trop alerter le contrôle de gestion de la boite. J'ai droit aussi à des primes de déplacement assez conséquentes. Voilà pourquoi Christophe ne voit aucun inconvénient à mes absences avec le patron.
Je crains quand même qu'un jour ou l'autre ne se produise un incident. Un matin à l'hôtel, j'ai taillé à Rodolphe sa pipe habituelle au réveil puis il s'est enfoncé en moi et a commencé à me baiser en missionnaire. J'étais bien ouverte, bien écartée, les talons dans ses omoplates, quand le serveur a frappé pour le petit-déjeuner. Rodolphe a crié "entrez" tout en continuant à me limer et le garçon n'a pas pu manquer son joli cul qui s'agitait entre mes cuisses. J'étais gênée pour lui mais en même temps assez excitée de nous exhiber ainsi et je n'ai pas pu retenir un cri de plaisir qui a couvert le "excusez-moi" du serveur avant qu'il ne se retire sur la pointe des pieds et sans doute de raconter à ses collègues ce qu'il avait vu.
Parfois, au bureau, il m'informe qu'il a besoin de moi plus tardivement pour terminer un dossier. En fait, c'est qu'il veut me baiser avant de rentrer chez lui. Je ne peux qu'accepter et je préviens Christophe que j'arriverai plus tard. En général, ce genre de proposition survient quand je suis en robe ou un jupe. Il adore me mettre la main au panier quand je lui donne des dossiers à signer. Comme je ne lui dis jamais non, je vais au toilettes avant de passer à son bureau le soir et je me débarrasse de mon slip. Je connais le rituel. Il m'assoit sur son bureau, approche une chaise, m'écarte les cuisses et me broute longuement le minou. Puis quand il m'a bien excitée, il me déshabille entièrement, chaussures comprises et il m'enfile recta sur le bureau, lui debout, moi écartelée. J'ai toutes les peines du monde à ne pas piailler même si je sais qu'il n'y a plus grand monde dans les bureaux. Il cogne dur et longuement, je le regarde droit dans les yeux en lui demandant instamment de ne pas s'arrêter et quand je sens qu'il est à bout, je lui crie "ton sperme !" pour qu'il éjacule dans ma bouche. C'est ça qui le rend fou : ma cochonnerie, tellement différente de l'image proprette que je donne avec mes lunettes et mes tenues plutôt sages. Combien de fois ne m'a-t-il pas baisée dans les toilettes au cours d'un déjeuner d'affaire un peu tendu alors que j'étais en tailleur ? C'est pour lui le moyen de faire baisser son stress. Il en revient plus fort. Et moi, apaisée et mes besoins satisfaits... pour quelque temps. Et je ne parle pas de toutes les pipes que je lui taille à n'importe quel moment, en particulier sous son bureau lorsqu'il est au téléphone, ce qui l'excite énormément.
Mais mon absence de résistance ne se limite pas à mon patron.
Toutefois, j'ai parfois d'autres relations un peu moins fugaces mais ça, je le réserve au prochain épisode, si toutefois ça vous intéresse.
(A suivre)
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