Bambou
BAMBOU
Fin des années soixante. Bruno vient davoir ses dix-huit ans. Il est au Centre dapprentissage, cest le plus âgé de la classe.
Les profs, tous des mâles macho, un brin sadiques, sauf
la prof de dessin industriel. Sadique, elle lest aussi, mais cest pour le bien des élèves. On va voir cela. Elle ne se sépare jamais de sa baguette, cest pour ça quelle est surnommée Bambou. Et en fait, tout le monde lappelle ouvertement ainsi.
Lundi après-midi, récré. Bambou traverse la cour, mini robe style saharienne, le haut généreux, et le bas sagement rangé ; on est au milieu des gens en effet.
- Bonjour, Bruno, je crois bien tavoir aperçu hier avec ta compagnie de scouts, près du pont.
- Oui, Mademoiselle, jy étais.
- Tu peux mappeler Bambou, comme les autres, et me tutoyer si tu en as envie ; tu es majeur à présent.
- O.K.
- Jaimais bien vous voir en tenue, short, basket, chemisette.
-Oui, on est à laise ainsi.
-Tu veux me faire plaisir ? Demain on a cours ensemble, toute la matinée. Il doit faire chaud, tu viens en short.
- Je ne vous promets rien ; on verra. Et vous, Bambou ?
- On verra.
Mardi matin, il fait déjà chaud. Plusieurs élèves sont en bermuda, et Bruno en short scout. Un modèle en velours léger, kaki, plutôt joli. Pour sûr, Bambou la remarqué avant même quil passe la porte du centre.
Début du cours du matin.
- Tu prétextes que tu as un petit rhume et te mettras au dernier rang, tu seras tranquille, il ny a personne dautre. Ta tenue est super bien. Et pas salissante, cest encore mieux.
Au début du cours, elle distribue le travail à effec. Pour Bruno, un feuillet supplémentaire : « Dès que tu peux, tu vas aux toilettes, et tu enlèves ton slip, fais moi plaisir ».
Dix minutes plus tard, lheure de vérité. Bruno revient des WC, regarde Bambou bien droit dans les yeux, et lui fait comprendre quil est à poil sous le short.
Se glissant entre les tables, elle sapproche de la dernière rangée. « Donne ! » Refus.
Alors elle se tourne vers le premier de la classe, au premier rang bien sûr. «Tu surveilles la classe ; jr mabsente deux minutes. »
Deux minutes plus tard, en effet, Bambou est de retour. Et bien vite au dernier rang.
- Alors, Bruno, ce travail avance ?
- Oui, Mademoiselle ; ça va.
- Cest pour toi
chuchota-t-elle en lui tendant une pochette en tissu. Regarde discrètement ; tu peux sentir aussi.
Heureusement quil était au dernier rang ; il avait entre ses doigts la culotte du jour. Pas beaucoup de tissu, cest sûr, et lodeur de Bambou.
Un coup dil vers la prof, celle-ci dun geste discret de la main lui signifiant « Donne ! » Il capitule. Il ne pouvait faire autrement que de se séparer de son sous-vêtement. Le voilà maintenant à poil sous son short, au fond de la classe, le string de la prof au fond de sa poche, et il sait que pour Bambou, ce nest pas mieux. Il redoute la suite.
La suite nattend pas. « A la récré, je serai à la salle des profs. Seule en principe, les autres fument dehors»
Salle des profs. 10h00. La récré dure dix minutes seulement et nimporte qui peut entrer à tout moment.
« Je suis sûre que tu veux voir. Regarde, dit Bambou en entrouvrant son chemisier.
-Ouahhh les tétins, cest super !
- Oui jen suis fière.
- Et le reste?
-Ah, tu veux la suite, Regarde en bas »
Assise sur un coin de table, elle écarte et fait remonter lentement la jupe tout en surveillant la porte dentrée. Bruno nen peut plus ; Les bas, noirs. Les jarretelles, noires également. Quelques cm de peau claire, et voilà maintenant la chatte dans son fourreau de poils noirs. Splendide.
« Tu aimes ? » Question sans réponse, bien sûr, on la lirait juste en regardant la braguette de Bruno.
« Tu bandes, petit chéri ? Ne dis pas non, cest visible à l'il nu.
Alors elle saisit son bambou, mais elle sest contentée de le glisser par lentrejambe. Comme il ny avait aucun barrage le bambou est arrivé aux couilles, elle a joué un moment, elle a aimé le voir se tordre quand elle lui faisait mal et a fini par dire « Ouvre, je veux voir ta bite un instant, avant que la cloche sonne la fin de la récré »
Alors elle a vu, touché, décalotté, sucé, avalé... La jolie salope ! Bruno na même pas tenu deux minutes et encore ! Heureusement, dailleurs, car la sonnerie a retenti juste au moment où il éjaculait. Elle nen a pas laissé une goutte. Pas de trace.
Retour en classe de dessin. Il reste presque deux heures avant le repas du midi.
Au fond de la salle de dessin, Bambou chuchote:
- « Tu sais ce que jai, dans mon sac à main ?
- Je devine. Vous me le rendrez quand ?
- Je ne te le rendrai pas. Il faudra venir le chercher.
- Oui, mais jai une monnaie déchange, et pas nimporte laquelle.
- Cest ce que tu crois, Polisson. Mais javais tout prévu, tu vas voir ».
Assise à lavant-dernier rang, sur un coin de table, personne ne peut voir le strip-tease qui se prépare. Sauf Bruno. Comme tout à lheure, les bas, le porte-jarretelle, la bande de chair, et
un nouveau string. Noir, magnifique. Et, pour bien chauffer notre ami, elle se débrouille pour écarter le tissu de lentre-jambe de manière à montrer sa vulve bien formée et bien poilue. La salope !!! elle sait y faire.
- Alors, ça te dit ? ça texcite ?
-
- Ouvre la braguette, je veux voir aussi, jai le droit
-
Wallou
elle est superbe ta bite !
-
- Défense de jouir, pour le moment »
Fin des cours du matin. Terminé, aujourdhui, pour le dessin industriel. Réfectoire. Bambou avec les profs, Bruno avec les grands.
- Alors, Bruno, tu vas passer tout laprès-midi avec Mr Paul . Javais envie de lui dire que tu nas pas de slip.
- Si tu fais ça, Bambou, je lui donne ton string !
- Bon, OK, on fait la paix.
- OK. Léchange aura lieu quand, et où ?
- Demain, après le cours du matin. Rendez-vous au parking là où les gens se baignent, en été. Tu connais ma voiture ?
- Bien sûr. Il doit pleuvoir demain, tu seras habillée comment ?
- Ta préférence ?
- Jean serré, pull moulant, et à poil dessous. Hmmmm
- Tu mettras un boxer un peu lâche, tu en as ?
- Oui. Et une tenue sport par-dessus.
- Parfait- Et tu sècheras le sport laprès-midi, tout le monde croit que tu es enrhumé.
- Cest daccord.
Cours de dessin du lendemain. Bruno toujours au fond de la classe. Bambou qui règne sur toute la classe comme une Cruella. Il faut dire quavec son jean rouge serré et son pull mohair rouge également bien ajusté, elle en impose, surtout avec un boléro noir style torero. Un coup de baguette par ci, un coup par là,
Récré.
- Pas de salle de profs aujourdhui ?
- Non, il y a du monde. Tu as envie ?
- Comme toi, jimagine.
- Polisson. Tu vas faire ce que je vais te dire.
- c'est-à-dire ?.
-, Regarde-moi bien, de près, tu vois que je nai rien dessous, aucun pli aux fesses ni aux nénés, je suis à poil comme tu las demandé
- Je vois que ça depuis ce matin.
- Ça texcite ? Je te fais bander ?
- heu
je dois répondre ?
- Non, cest clair. Regarde-moi, mets tes mains dans la poche du survêt
touche toi
et
lâche toi. Envoie le jus.
- Je peux ?
- Attention, ça va sonner, on va rentrer. Tu feras ça en cours. Je te ferai bander. Et, à midi, je te finirai sii tu peux tenir jusque là, il reste deux heures.
Et
si je tiens pas ?
- On fera quand même léchange, mais tu seras puni comme il se doit.
Les deux heures passèrent très vite. Un véritable cache-cache entre Bambou et Bruno. Elle a réussi à lui faire deviner ses deux tétons, à lui seul ; lun après lautre. Il les a même aperçus dans léchancrure du pull. Quant au reste, eh bien, assise sur la table devant lui, le jean était tellement près du corps quon pouvait voir la moule en relief sous le tissu rouge, en 3D dirait-on aujourdhui.
-Tu bandes, Bruno ?
- Devine
- Montre moi le bazar. Discrètement.
Voilà maintenant Bruno, survêt baissé, caleçon baissé, et la queue à la verticale, le gland décalotté.
- Ne bouge pas cest magnifique. Je passe derrière toi.
- Que pensez-vous de mon travail ce matin ?
- Joli dessin, mais il y a une petite erreur, il va falloir corriger, dit-elle en montrant sa baguette.
Personne ne la voit, elle caresse la bite du bout de son bambou, elle fouille dans les couilles, pour Bruno cest terrible..
Va-t-il tenir ? Non, impossible, la salope arrive à ses fins, il ne peut plus tenir, elle le voit et elle rit, et le caleçon est plein de sperme.
Il parvient à se rajuster tant bien que mal, et ne sait plus où il en est ni comment tout ça va finir.
- Pour léchange, ça tient toujours ?
- Plus que jamais. Et je sais de quoi je parle.
- Alors, ok, à tout à lheure au parking.
Une heure plus tard sur le parking.
- Viens dans la voiture, on ne reste pas ici. Tu as la culotte que tu mas piquée hier?
- Oui
- Donne. Glisse la dans la boite à gants. .
- Et mon slip , tu me le rends?
-Plus tard.
- Mais jaurais bien voulu le mettre, mon boxer est tout
collant
- Ah bon, tu vas commencer par te mettre à poil.
- Mais non, y a du monde.
- A poil, jai dit, obéis.
- Tu es une vraie salope, Bambou.
- Et même pire que ça
- Bon, je le fais, je garde quand même le haut du survêt.
Au bout de cinq cent mètres, elle sarrête et lui donne une sorte de pagne. Comme un kilt.
- Tu passes ça, comme cela tu ne sers pas trop exhib. Sauf pour moi.
Voilà Bruno à poil, avec une sorte de mini jupe, dans la voiture de sa prof. Encore cinq cent mètres, une clairière très discrète avec de grands rochers sur trois côtés.
- Je vais te dire un secret. Cest ici que je suis passée à la casserole la première fois.
- Cétait bien ?
- Un peu spécial. Je te raconterai plus tard.
- Ah ah, O.K.
- Au fait, tu as déjà fait avec une fille ?
- Heu, pas vraiment.
- Eh oui, jen étais sûre. Alors, aujourdhui, cest moi, Bambou, qui commande, et, comme tu es puceau, cest toi qui vas y passer à la casserole, comme on dit. La petite pipe dhier ça ne compte pas. Et la branlette ce matin avec ma baguette non plus. Je suis ta salope tout aujourdhui. Tu aimes ?
- Oh oui, Salope, jadore.
Et pan, un coup de baguette sur le pagne, et encore un, plus fort. Et elle glisse la main sous le tissu et lui tord les couilles tout en lembrassant, une vraie tortionnaire.
- Tu adores vraiment ?
- Ça fait mal, mais jaime ça.
- Ça texcite ? Ça te fait bander ? Laisse-moi voir.
- Je veux voir moi aussi.
- Caresse moi, déshabille moi.
Pour le haut, facile. Pour le pantalon, elle a dû sortir de la voiture, sest appuyée au capot, le dos en arrière, et défait la ceinture.il est tellement collant.
- Vas- y, enlève.
- Hmmmm super !
-Il ny a jamais personne ici, mais on ne sait jamais. Il ne faudrait pas quon nous voie. Garde ton pagne, jen ai un pour moi. Mets le moi comme une ceinture.
Il pleut un peu, retour à larrière de la voiture.
- Caresse moi, viens me branler le clito, je veux jouir ; suce le aussi.
Pas facile dans la voiture. Alors, tant pis pour la pluie, elle ouvre les portes et se pose sur le capot, cuisses largement ouvertes. Bruno nen peut plus, il y va avec la langue, les doigts, il chope le clito le triture un peu - Aïe, aïe, doucement
-
- Mets moi un doigt dans le cul, le plus long, fais-moi jouir vite jen peux plus.
- Ça fait mal ?
- Non, enfonce à fond en vrillant un peu, vas-y, à fond je te dis.
Sitôt dit, sitôt fait. Et, comme elle est « fontaine », elle envoie une giclée du tonnerre. Bruno nen revient pas. Entre le jus et la pluie fine, une vraie douche. Heureusement quil est à poil.
- A toi, maintenant, mon petit Bruno, dit-elle en lattrapant par la bite comme sil était en laisse.
Elle le prend, soupèse, tripote, décalotte, suce
Hmmm
dur comme du bois.
-Viens dans moi. Position Levrette, la meilleure.
Que dire de plus ? Bruno retiendra quil a perdu son pucelage « pour de bon », à poil sous la pluie, dans le sexe dune prof un peu nympho et sado, mais que cétait super bon.
Retour dans la voiture. Au sec. On discute de chose et dautre. Enfin, pas vraiment, on discute plutôt de sexe, on est si bien partis
- Raconte moi ta première baise, cétait ici-même, mas-tu dit.
- Cétait avec deux potes, et jétais consentante. En fait cest moi qui les avais, comment dire, dragués. Ils nen sont pas revenus.
- Joli baptême.
- Oui, surtout que jai eu droit à six coups. Trois chacun.
- Raconte, salope, tu mexcites
Le premier ma baisée en mode missionnaire, il ma dépucelée sans préparation mais proprement et sans que jaie mal, pendant que son poste sastiquait doucement. Sitôt sorti, le second a pris sa place et ma fait jouir alors que son compère me tétait les nénés comme un bébé, mais il na pas tenu bien longtemps. Deuxième dose de crème dans le vagin
- Et ensuite ?
- Vingt minutes plus tard, les deux bites étaient prêtes pour une deuxième tournée. Et moi aussi. Alors on ma mis à genoux, plus précisément à quatre pattes. Le premier ma mis sa bite en levrette, ça cest bon, et le second ma obligée à le sucer. Je croyais que cétait dégueulasse, mais non, pas du tout. Il ma rempli la gorge, jai dû en recracher un peu parce quen même temps lautre jouissait et me remplissait la chatte. Tu me croiras pas jai joui à nouveau.
- Et les deux derniers coups ?
- Cest simple ; ils ont remis ça un peu plus tard mais en inversant les rôles. Je dois dire que jen avais un peu assez, et eux aussi. Surtout que la troisième reprise, comme on dit à la boxe, a duré bien plus longtemps. Cest normal. Ensuite on est repartis après nous être rafraîchis dans le petit lac, à côté. Jy pense quand je viens par ici.
- Ce nest pas aujourdhui quon ira se rafraîchir.
- Brrrr chauffe-moi un peu.
- Troisième service ?
- Oui, chéri, viens donc, laverse a cessé. On sort.
Re-levrette. Et cette fois, pas de pagne. Bambou est entièrement nue, pourvu quil ny ait pas de voyeurs .
-« Reviens dans moi comme tout à lheure, cest bon.
- Oui, ça glisse comme dans du beurre.
- Je la sens bien, cest dur, un vrai poinçon.
- Oui, je suis au plus profond.
- Cest bon cest bob, retiens toi sil te plait
- Oui Bambou, Hmmm
- Tu veux me faire plaisir ?
- Oh oui, bien sûr, ma Bambou
- Encule-moi.
- Quoi ?
- Mets la moi dans le cul jai jamais fait et jai très envie.
- Mais ça rentrera jamais !!!
- Mets toi bien en face, et vas-y doucement »
Cétait vraiment un beau cul. Et il a pris la bite de Bruno sur toute la longueur. Bruno aux anges. Et ça rentre, et ça sort, et ça glisse, et ça crie un peu quand il y va trop fort
- Jen peux plus, Bambou, je vais jouir
- Oui, chéri, vas-y donc, fais moi mal si tu veux, ne ressors pas, remplis-moi le trou du cul.
Il nen revient pas, Bruno, il jute pour la troisième fois aujourdhui, et il termine sur un sacré coup. A retenir, cest sûr.
Terminé ? Pas sûr.
-Il y a un truc quon na pas fait aujourdhui
- Que vas-tu encore inventer ?
- Tu nen peux plus ? Déjà ? Laisse moi faire, et laisse toi faire. Prends ma place, contre la voiture, mais tourné vers moi.
Elle fouille sous le pagne et, miracle, le voilà qui bande à nouveau. Pas très dur, cest vrai.
- Laisse moi faire je vais te traire, tout doucement. Et elle y va, une masturbation de reine. Puis une fellation qui redonne vie, il en peut plus
Et voilà quelle y met un doigt dans le cul à présent. Cest sûr, elle va finir par avoir sa dose la salope !
Un doigt dans lanus bien profond, lautre main aux couilles bien dures, et le vit dans la bouche. Hmmmm il se laisse aller, que pourrait-il faire dautre ? Et elle le finit, pour la quatrième fois. Et, comme la veille, elle avale tout. Et en plus, avant de déglutir elle montre sa bouche bien ouverte pour quil voie bien la dose de jus quil a émis.
- Ça, avec un doigt dans le cul cest la fellation royale. Tu ten souviendras ?
La pluie a maintenant cessé et le soleil se montre. Les deux compères nont plus quà se rhabiller et rentrer.
- Ouf, on na vu personne, et jai bien aimé. Merci.
- Tu ten souviendras de ton dépucelage, mon cher Bruno,
- Toi aussi, Bambou, tu las perdu un peu.
Eclats de rire.
Demain, 8h, dessin industriel.
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