Il N'Y A Qu'un Pas Du Fantasme À La Réalité (Ii)

Ma bouche chaude en ventouse autour de sa bite, il jouit plus fort que jamais dans ma gorge. Je me rendis compte trop tard que j’avais oublié de fermer la porte de la boutique à clé. En me retournant, je vis Sonia la voyeuse qui était restée en retrait pour savourer toute la scène.
« zzzz » la fine badine fendit l’air à proximité de mon oreille droite. Je compris vite que j’avais eu tort d’attribuer à Sonia un rôle passif.
« A quatre pattes effrontée, regarde devant toi ! »
Nue comme un nouveau-né, j’obéis dès que je reçus le premier coup sur les fesses.
« aie » « mmmmh »
J’avançais prestement de quelques mètres à 4 pattes en gémissant de douleur et…je dois aussi l’avouer…de plaisir. L’inconvenance de la situation m’excitait au plus haut point, l’envie de combler le vide laissé par la bite de Jean-Pierre, ma chatte dégoulinante, mon cul zébré sur le qui-vive...
Quelque chose dans mon attitude trahit involontairement ma quiétude. Ce qui déplut instinctivement à ma maîtresse.
« zzzzz – tchak – tchak »
« aie » mes fesses reçurent 2 nouveaux coups, Je sentis la température de mon corps s’élever d’un cran.
« je vous en prie maitresse donnez-moi un peu d’eau »
Sonia désigna une large bassine de plastique bleue à Jean-Pierre. Dès que la bassine fut remplie d’eau, Je reçu l’ordre de m’asseoir dedans.
« zzzzz – zzzzz – tchak »
« aie - oui maîtresse » dis-je en me dépêchant de faire tremper mon cul et ma chatte rasée dans l’eau.
Jean-Pierre ne perdait pas une image de ce bain qu’il enregistra dans la mémoire de son téléphone portable. Comme il n’avait pas jugé utile de se rhabiller entièrement, son sexe tendu trahissait la violence de son désir en déformant son slip blanc.
Après 10 ou 15 minutes de macération, le temps n’avait plus vraiment d’importance pour moi, je fus autorisée à sortir de l’eau pour me remettre à 4 pattes.
C’est dans cette position indécente que je du satisfaire ma soif en lapant l’eau souillée de mouille de la bassine.

A peine éprouvais-je un apaisement au contact de l’eau sur mon visage en feu que je sentis une main se glisser entre mes cuisses pour prendre possession de mon intimité. Cette main n’était pas celle d’un homme. Je le compris immédiatement. Ni hésitante, ni brouillonne, elle savait faire jouir une femme. C’était aussi une main vicieuse, autoritaire, sans pitié, le prolongement naturel de la badine de Sonia. Je restais sous son emprise.
« oui Maitresse prends-moi fort ! »
Les cheveux tirés en arrière par Sonia, je subis impuissante un nouvel assaut de Jean-Pierre. Il se défit entièrement de son slip et me frappa le visage à toute volée avec sa belle bite encore souple.
Et moi je l’encourageais :
« Oh oui donnez-moi votre grosse queue Monsieur le Professeur J’ai été vilaine, je n’ai pas appris mes leçons.
Gloup mmmh mmmh oui enfoncez là bien profond, baisez-moi la bouche
crache crache
branlez-vous dans mon palais mmmmh mmmh
crache crache
je vous regarde dans les yeux, ma langue vous lèche de partout, même les couilles, même le cul…mais vous aimez cela Monsieur le Professeur -vous me supplier de ralentir oui ok je croque une couille et je bouge plus »
Pendant ce temps mes fesses dansent la Saint Guy, Sonia ne les épargne pas. Elle vient de m’enfoncer un long god de métal noir qu’elle agite en cadence dans mon cul en transe.
Toujours à 4 pattes, je reprends la bite de son mari dans la gueule, bien décidée cette fois-ci à le terminer.
Sonia active une fonction de vibromassage du god qui me pistonne le cul et elle entreprend de me lécher la chatte et le clito en glissant sa tête par en dessous de derrière entre mes cuisses ouvertes. Sa grosse langue râpeuse me porte aux nues.
A l’écoute de mes gémissements, Jean-Pierre retrouve de la vigueur et sa grosse queue gonflée manque de m’.
En pressant sur les couilles de l’homme, en lui branlant le chibre à tout rompre, en forçant l’entrée de son anus de ma main libre, je ne fus pas longue à recueillir dans ma bouche les 5 ou 6 jets crémeux de ce nectar qui est la récompense d’un travail soigné.

C’est seulement à ce moment que ma maitresse m’autorisa à jouir. A compter de ce jour ma liberté de me donner du plaisir seule en prit un coup. Toute honte bue, j’acceptais de me réserver à elle car pour rien au monde je ne renoncerais désormais à la puissance des orgasmes savamment prodigués par Sonia.

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