Le Gîte. Conflit De Générations Au Sauna. 1
Le gîte.
Conflit de générations au sauna.
Comme le gîte nest quà une petite heure de chez moi, jy fais de petits séjours pendant lété pour voir de nouvelles têtes.
Dhabitude je ny vais pas en juillet/août pour être plus tranquille. Mais jai voulu tester cette année pour voir la faune habituelle des familles naturistes et accessoirement chasser de belles « plantes ».
Enfin, je ne peux pas dire que je chasse. Où alors à la façon du trappeur canadien qui pose sa ligne de pièges quil relève de temps en temps pour voir quel animal il a pris.
Un petit tour à la piscine ou au sauna et généralement le gibier flaire lappât et passe à lattaque quand je me prélasse sur un transat, la queue nonchalamment posée sur la cuisse.
Hier, jai fais la connaissance dYvette, une belle femme de 36 ans. Elle ma raconté presque toute sa vie. Elle est là avec sa nièce de 18 ans et sa belle-mère de 52 ans et leurs hommes.
Elle ny est pas allé par quatre chemins et ma proposé que lon se retrouve dans le sauna.
En cette période de grosses chaleurs, il est peu utilisé et on devrait pouvoir sisoler sans être importuné par des visites intempestives.
Cest une belle blonde bien en chair avec une poitrine imposante et pourtant encore ferme.
Une demi-heure plus tard, nous nous retrouvons donc dans ce lieu clos. Je nai même pas besoin de me forcer à la draguer, elle attaque immédiatement une fellation. Il faut dire que ce ne sont pas les vêtements qui nous gênent.
Putain ! Avec elle sest du rapide !
Je laisse mon corps répondre à ses sollicitudes et Popaul se réveiller. En un rien de temps, elle a entre ses mains un chibre bien épais.
-Ah ! Je lui avais bien dit, javais raison ! Jette-t-elle !
Quest ce quelle raconte ?
Elle me montre toute sa science de la fellation. Putain elle est douée ! Mais je ne suis pas non plus un puceau à éjaculation précoce et fais tout ce qui est en mon pouvoir pour quelle ne récolte pas son tribu si facilement.
Soudain elle me fait une supplique :
-Ferme les yeux. Je veux que tu ressentes uniquement par le sens du toucher la montée du plaisir !
Sa main est ferme sur ma verge, les mouvements de poignet sont amples et réguliers, sa bouche et chaude et avide. Je me laisse bercer par sa science.
Au bout dun moment, elle change de tactique. Ses deux mains montent et descendent avec une extrême lenteur tout le long de ma hampe. Chacune delles a un mouvement tournant en sens contraire pendant que sa bouche ne soccupe que du gland. On dirait que sa bouche est plus petite quau début, quelle a des difficultés à réussir cet exercice. Mais je tiens toujours bon.
Elle me supplie :
-Je ten conjure, nouvre-pas les yeux pour rompre le charme.
La fellation reprend à nouveau. Elle a encore changé de méthode. Cette fois-ci, elle ne se sert que de sa bouche.
Sa langue explore chaque centimètre carré de ma verge, exacerbe la peau fine du gland pendant quune main malaxe mes couilles pour essayer den faire monter le jus.
Ses lèvres glissent enfin sur la tête de ma teub, les dents sécartent pour ne pas me blesser.
La langue tourne une fois ou deux autour de ma pine avant de se ranger pour laisser progresser mon sexe dans sa bouche. Elle cale ma queue dans sa joue et tape dessus avec sa main que jentends claquer sur son visage.
Maintenant, elle guide mon engin bien droit vers le fond de sa bouche.
Je ne comprends pas comment elle fait pour modifier la façon dont elle avale ma bite.
On dirait cette fois que sa bouche est beaucoup plus grande quau début. Je sens mon gland buter au fond de sa gorge.
Dhabitude, quand les filles en arrivent là, elles ne vont pas plus loin.
Mais là, ce nest pas le cas. Je sens mon gland écraser quelque chose, ce doit être sa luette.
Mais sa bouche continue de descendre vers mon pubis, ma queue senfonce doucement dans cette gorge sans fond.
Yvette ne sarrête que quand ses lèvres viennent en contact avec mon bas-ventre.
Je me demande comment elle arrive à respirer avec le bouchon qui lui obstrue les bronches. Jespère quelle ne va pas me vomir dessus !
Plusieurs fois, jai droit à « une gorge profonde » de sa part. Elle mécrase les couilles à me faire hurler. Elle a eu raison de ma résistance et je la préviens que je vais jouir. Je ne veux pas lui remplir les poumons de ma semence.
Elle se recule, libérant ma bite. Je ne peux plus me retenir et commence à me vider les burnes en grognant de plaisir. Sa main a pris ma teub pour diriger les jets de sperme à sa convenance.
Mais que fait-elle ? Elle remue ma verge dans tous les sens !
Jouvre les yeux et là, stupeur !
Trois visages accolés reçoivent mes offrandes à la Déesse de lamour.
Je réalise enfin pourquoi javais remarqué une telle différence de pratique et de volume.
Jai en face de moi en plus dYvette en femme expérimentée, sa belle-mère Simone avec une science acquise dune très longue pratique et sa nièce du coté maternel Solène.
Elle, se serait plutôt la fougue de la jeunesse avec un léger manque dexpérience.
Soudain je memporte :
-Mais Yvette ! Tu mas fait tomber dans une vraie embuscade ! Vous navez pas honte ?
Trois chaudasses pour une seule pine ! Quelle idée vous est passée par la tête ?
Trois générations de dévergondées ! Jespère que vous avez appréciez la prestation ?
Je nai rien contre me faire sucer par trois filles, mais jaime bien être consulté avant !
-Excuse-nous! Jai parié avec ma belle-mère que tu étais Patrick. Cest bien toi, nest-ce pas ? Tu sais que tu as une sacrée réputation au gîte. Et Solène a dit que le seul moyen den avoir le cur net, cest de vérifier nous même. Alors on a monté ce petit stratagème.
-Et on nest pas déçues ! Reprend Solène. Je nai jamais vu une telle poutre ! Mais on dirait que ce nest pas le cas de Simone!
-Petite curieuse ! Renchérie Simone.
Ça, cest une drôle de famille ! Jespère que leurs Jules ne vont pas débarquer pour tester eux aussi mes compétences ?!
-Non ! Vous ne vous êtes pas trompées ! Je suis bien Patrick. Je ne savais pas que javais acquis une telle renommée dans ce gîte ! Mais si vous êtes si bien informées, vous devez savoir quaprès cette « mise en bouche », il va être temps de passer au plat de résistance ! Tout dabord, je vous veux les trois à genoux devant moi pour remettre en position de bataille Popaul ! Et après, je vais vous faire goûter dune autre manière aux délices dune bonne baise !
Elles ne se le font par dire deux fois. Elles se rangent de la plus jeune à la plus âgée.
Solène est une vraie liane, très fine avec des attaches délicates, des petits seinsmenus.
Sa tante Yvette est plus en chair, un corps de sportive, le ventre à peine marqué par la maternité. Simone a un corps un peu lourd mais toujours appétissant avec un petit bedon et la poitrine qui a perdue un peu de sa splendeur dantan
Je ne les ménage pas. Dès que ma verge a repris une consistance un peu plus ferme dans la bouche de Solène, je passe de lune à lautre.
-En parlant de queue ! Fait remarquer Yvette à sa nièce. Regarde comme elle est toujours dure, il a à peine débandé ! Pas comme ton père ! Elle est énorme, tendue aux maximum ! Elle dépasse allègrement les vingt centimètres, non? On va bien sen occuper !
En effet, ma verge est encore plus grosse que tout à lheure. Mon gland, énorme et déformé par le frein, a pris la forme dun gros champignon.
A tour de rôle, jempoigne leurs cheveux à pleines mains et rue dans leurs bouches comme je le ferais dans leurs cons. Solène manque plusieurs fois de vomir sur moi et je retire précautionneusement ma teub avant quelle ne la déchiquète avec ses dents.
Avec sa tante, jarrive à pousser un peu plus loin. Il sen faut encore de quelques centimètres mais il y a du progrès avec tout à lheure.
Avec la belle-mère (qui entre parenthèses est dans la même tranche dâge que moi), je retrouve le puits sans fond qui ma amené à lextase.
-Bon ! A mon tour de vous faire gueuler ! Donnez-moi votre chatte à déguster !
Elles ne se font pas prier et se positionnent comme elles peuvent dans ce minuscule réduit pas étudié pour ça.
Je passe dune chatte à lautre, comparant de la langue, aspirant et goûtant de mes lèvres et de ma bouche ces trois abricots si différents.
Je compare les odeurs, la liqueur qui en suinte, les formes généreuses.
Je les fais crier sous mes caresses, mamusant même à les travailler les trois en même temps, une main dans la chatte de la mamie, une dans celle de la fille et ma bouche collée sur la moule de leur parente.
Je ne sais pas pourquoi je pense à ce moment que la fille est sortie un jour de la vulve ou je mabreuve de cyprine et que sa propriétaire elle-même sest extraite du vagin ou plonge ma main droite.
Une fois quelles sont bien chaudes, le bénitier bien huilé, je change de position et commence le ramonage par Simone. Ma bite glisse comme une lettre à la poste tellement elle est ouverte et accueillante.
Je nai rien à lui apprendre. Je vois bien quelle a une longue expérience quelle na pas apprise uniquement avec son mari.
Je la délaisse pour plonger mon flotteur dans sa belle-fille. Son fourreau est moins vaste mais je my sens à laise. Elle comprime ma bite par des contractions de son vagin pour essayer de me faire jouir mais je résiste de longues minutes à ce délicieux supplice.
Maintenant, cest au tour de la nièce.
Je mengage avec précaution. Solène nest plus vierge mais elle me supplie dy aller avec plus de douceur quavec ses parentes. Sa matrice est étroite et ses grandes lèvres sont déformées par la grosseur de ma pine.
Elle me supplie, tenant la base de ma hampe pour contrôler la pénétration :
-Putain de big-cock ! Fais-attention quand même ! Aaarrrggghhh ! Pas si loin ! Aaahhh !
Elle est si serrée que lair est emprisonné au fond de sa grotte et sexpulse bruyamment à chaque fois que je me retire et me renfonce le plus loin possible en elle.
Je songe à la chance que jai de baiser lune après lautre trois générations.
Ça ne métait encore jamais arrivé et ça ne se reproduira sûrement plus jamais !
Le pire, cest que, quand je moccupe de lune dentre elles, les deux autres viennent à la curée pour la faire monter encore plus haut dans lextase.
Je nai jamais vu des femmes hurler et jouir aussi fort sous les sollicitations conjuguées de mes services, des bouches avides et des attouchements de leurs parentes. Du vrai délire !
Je ne peux plus me retenir et décharge copieusement dans la chatte de la plus jeune.
A peine jextrais ma bite de son con que la tante et sa belle-doche se précipitent pour récupérer mon jus additionné de sa cyprine quelle expulse par des contractions de son vagin. Elles nen perdent pas une goutte !
-Alors les filles ! Suis-je à la hauteur de ma réputation ?
-Pour le moment oui ! Maffirme Simone. Mais pour moi, il me manque encore une prestation de ta part. Tu vois de quoi je parle ?
-Je men doute un peu. Mais avant, il faut me remettre en forme !
Simone se dévoue avec Solène. Lexpérience avec la fraîcheur de la jeunesse ont tôt fait de me remettre en forme.
Simone se relève et me tend sa croupe, disjoignant à laide des mains ses globes fessiers.
Comme je reste assis, les fesses sur le bord du caillebotis du sauna, elle se penche en arrière afin que ma pine dressée accède à son petit trou du cul offert.
Je sens la porte de lanus. Elle nhésite pas un instant à faire entrer sur quelques centimètres ma teub à lintérieur du conduit rectal. Elle ne peut retenir quelques gémissements de volupté et fait durer laction un peu plus que nécessaire.
Pendant ce temps, Yvette et Solène, inspirée par la scène puissamment érotique qui se déroule devant elles, sadonnent aux délices de la masturbation entre filles.
Elles ont pleinement conscience de lobscénité de linstant. Lacte quelles se prodiguent est encore plus hot vu que la doyenne de la famille se défonce le fion sur mon zob.
Leurs excitations ne peuvent que croître. Les chattes sont fouaillées, les clitoris chatouillés et pincés.
La cyprine coule à flot sur leurs jambes.
Je laisse travailler Simone seule sur mon axe. Mais vu que je les ai déjà honorées deux fois, Il faut que je me ménage. Je dois les sodomiser les trois avant de jouir à nouveau. Donc si je veux arriver à mon objectif, je dois donner des ordres.
-Décule Simone ! Laisse-donc la place à ta belle-fille ! Yvette ! Viens faire un tour de manège !
La bru attend donc que Simone libère la place pour satteler à la tâche.
Ce nest pas non plus une nouveauté pour Yvette. Ma bite luit des différentes secrétions des trois furies.
Elle préfère me faire face, saisit ma tige et la dirige entre ses fesses ou elle disparait sans trop de difficulté dans lanus fripé. Ce nest sûrement pas la première fois quelle se fait enculer, mais je possède un braquemart largement plus épais que la moyenne.
Son anus est écartelé dune manière assez cuisante. On dirait quelle apprécie cette douleur quelle supporte avec joie et jéprouve beaucoup de plaisir à cause de létroitesse du trou.
La sportive trentenaire doit faire du cheval. Elle part en une vraie cavalcade sur mon nud qui doit supporter sans faillir son galop infernal. Si ça continue, elle va me faire jouir, la salope !
Je reste stoïque, imperturbable, mais il faut que je change cette jument contre une jeune pouliche avant le point de non-retour.
-Ça suffit Yvette ! Au tour de ta nièce !
On dirait quelle ne mentend plus. Elle mécrase de tout son poids. Je dois me relever lentraînant avec moi pour pouvoir sortir mon manche de son conduit arrière.
Solène, un peu apeurée, nous signale :
-Se sera une première pour moi ! Je nai encore jamais osé !
(À suivre)
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