Olivier 05 : Passons Aux Choses Serieuses
OLIVIER 05
PASSONS AUX CHOSES SERIEUSES
Il me faisait entrer avec un grand sourire. J'allais lui faire la bise, il m'embrassait sur la bouche.
Olivier : Ça c'est bien passé cette semaine ? Tu as terminé mon truc tu me disais ? Tu penses que ça va marcher, être de la bonne taille ?
Moi : Il n'y a qu'un moyen de le savoir.
Olivier : Oui
Bien
Je le regardais, il ne savait plus quoi dire.
Olivier : On procède comment ?
Moi : Tu hésites ?
Olivier : Certainement pas !
Il se gonflait le thorax pour se donner de l'importance, ou pour dissimuler une certaine fébrilité.
Moi : Bien c'est très simple, tu baisses ton pantalon, tu mets ce truc, je le verrouille et on sort manger une pizza j'ai une faim de loup !
Il ne bronchait pas d'un poil, je lui tendais le dispositif, il le prenait dans sa main et l'examinait sous touts les angles. Il me donnait l'impression de vouloir gagner du temps. En fait il hésitait.
Il me regardait, m'indiquait le canapé, il y avait des rafraîchissements sur la table du salon. Je m'installais, je me servais et continuais à le surveiller du coin de lil. Il venait vers moi, il respirait bien à fond et très lentement.
Olivier : On y va !
Il ouvrait son pantalon, le laissait tomber sur ses cheville. Pas de sous vêtements, il devait avoir un grand self contrôle. Dans une telle situation moi j'aurais bandé et je n'aurais eu aucune chance d'enfiler le dispositif. Lui avait une grosse demie molle qui pendait lourdement.
Il procédait. D'abord une couille, puis l'autre. Ensuite il glissait sa queue, elle commençait à prendre du volume, il semblait se presser avant qu'il ne soit trop tard. Il attrapait ensuite la cage, tirait la peau de sa queue vers l'avant en appuyant sur le bout de sa queue pour la ratatiner autant que possible, il la glissait dans la cage, il était temps
Sa queue prenait de la place maintenant, la peau ainsi tirée vers l'avant reprenait sa place initiale et la queue rentrait doucement à l'intérieur de la cage.
Il respirait toujours avec force et lenteur, il était concentré. Avec les deux mains il maintenait le cock-ring et la cage en position.
Olivier : Bon je crois que c'est bon ! Je le retire et on va manger. Je le mettrais plus tard.
Moi : Un instant je voudrais voir quelque chose.
Il ne bougeait pas et gardait le dispositif bien refermé. Il bandais et le dispositif n'était pas verrouillé, s'il avait lâché c'était foutu. La cage était éjectée sous la pression de la queue et il n'y aurait aucune chance qu'il remette le dispositif juste après
Je le verrouillais d'un geste rapide.
Moi : Voilà ! Pour moi c'est bon. On va manger.
Il me regardait l'air bête.
Olivier : Mais je ne vais pas rester comme ça moi ?
Moi : Bein si !
Olivier : J'ai compris la condition c'était que je le porte ce week-end.
Moi : Pas tout à fait mais tu commences à comprendre.
On sortait, il n'avait pas de sous vêtements, remarquez moi non plus. Il avait l'air inquiet. Pour lui c'était la première fois et il ne savait pas comment ça allait se passer, il ne savait pas si ce serait douloureux, comme certains des dispositifs qui ne marchaient pas. Il se demandait si le dispositif lui laisserait une liberté de mouvement suffisante ou tout simplement s'il le supporterait.
En restant chez lui, il pouvait le retirer. Bon c'est moi qui avait les clés mais il pouvait toujours les réclamer. Là, à l'extérieur, dans la rue ou au restau il serait obligé de garder son truc jusqu'à notre retour.
Le dispositif semblait totalement au point. Rapidement il se détendait, quand on arrivait sur le seuil de son immeuble il marchait normalement, les premiers pas en sortant de son appartement il avait une démarche bizarre et ridicule.
On descendait à la pizzeria de son quartier, ils ont un grand choix et elles sont très bonnes.
On parlait de tout un tas de choses, on continuait à apprendre à nous connaître. Il se détendait et à plusieurs reprises il me glissait à l'oreille.
Olivier : C'est un truc de fou, on le sent tout le temps mais ça ne gêne pas les mouvements et en plus ça ne fait pas mal du tout.
Je mangeais
Olivier : C'est même agréable, il y a une douce et forte pression tout autour de ma queue
Je continuais à manger
Olivier : En fait, comme on peut se laver bien à fond, même si on n'est pas circoncis, on peut le garder tout le temps
Elles sont super bonnes les pizzas ici
Olivier : Il n'y a pas de limite dans le temps
J'avalais une gorgée de vin italien
Olivier : J'aurais presque envie de le garder en permanence.
Je m'essuyais bien la bouche et avant qu'il ne recommence à parler.
Moi : Un semaine complète, ensuite tu t'entraînes à le porter et pour finir tu m'accompagne dans mon prochain challenge !
Olivier : Ton prochain challenge ! Alors là pas de problème mec, je suis ton homme !
Il avalait une part de pizza. Me regardait et en se penchant vers moi il me glissait à l'oreille.
Olivier : J'ai la trique là, tu vas voir à la maison, je bande comme un fou dans ton truc, et là j'ai envie de te défoncer le cul
Moi : Et tu n'en feras rien !
Olivier : Et pourquoi ?
Moi : Mais tu as déjà oublié que tu portais un dispositif de chasteté ?
Olivier : Oui mais
Le challenge n'a pas commencé
Moi : Bein si justement !
Il me regardait l'air incrédule.
Olivier : Crotte !
Moi : Crotte ? C'est tout ce que tu trouves à dire ?
Olivier : Je voulais dire merde mais on est à table aussi
Moi : Et finalement tu l'as dit.
Olivier : Mais j'ai rien dit moi.
Moi : Si tu as dit merde et en plus on est à table.
Olivier : Tu fais chier là !
Moi : De mieux en mieux, on est à table !
On commandait un dessert.
Olivier : Tout le weed-end tu disais ?
Moi : Tu m'as mal compris. Tout le week-end et toute la semaine à venir !
Olivier : La vache ! Tu commences fort.
Moi : Dans quelques semaines tu me suivras dans mon prochain challenge.
Olivier : C'était ça la condition ?
Moi : Exact !
Olivier : Et ton prochain challenge, il va durer combien de temps ?
Moi : C'est une surprise !
Là il n'avait plus l'air incrédule il avait juste l'air un peu con.
Il ne disait plus rien et on terminait le repas tranquillement. A chaque fois qu'il me regardait il avait un regard grave. Un peu inquiet. On traînait ensuite sur les quais du fleuve, on prenait l'air.
Olivier : On rentre après.
Moi : Pourquoi ? Il est encore tôt !
Olivier : Oui mais j'ai un truc sur la queue là moi et
Moi : Ah parce que moi j'ai rien sur la queue peut être. Et moi ça fait déjà une semaines. J'ai eu ma queue libre pendant une journée en dix semaines
Olivier : Bon d'accord, je ne dis plus rien mais
On continuait la balade encore un long moment. Il avait envie de rentrer pour pouvoir examiner son dispositif mais je faisais traîner. Plus tard on s'arrêtait prendre un verre. Je sentais un agacement, il s'inquiétait, simpatientait mais il gardait le sourire. Faisait bonne figure.
On finissait enfin par revenir à son appartement.
Olivier : Moi je me met à poil, je veux voir ce qui se passe.
Je me servais un rafraîchissement sur la table du salon. Il revenait quelques instants plus tard, il était à poil. Je poussais un sifflement d'admiration.
Olivier : Ne te moques pas de moi. Tu m'as déjà vu à poil.
Moi : Oui mais là tu n'es pas vraiment à poil.
Olivier : Tu as vu ça .
Son dispositif se relevait devant lui, des bourrelets de peau qui faisaient comme des bulles ressortaient des trous d'aération destinés à l'hygiène.
Moi : C'est douloureux ?
Olivier : Non pour le moment non.
Moi : Ça peut arriver au début
Je lui donnais tout un tas de conseils.
Olivier : Oui je sais tout ça, j'ai lu tes histoires, j'ai lu plein de trucs sur les dispositifs de chasteté. Je pense que je sais à quoi m'attendre.
Moi : Alors heureux !
Il pouffait de rire.
Olivier : Et on fait quoi maintenant ?
Moi : Câlin.
Je lui prenais la main et le tirais vers moi. Il était à poil et sa peau était douce. Il y avait un peu comme de la tristesse dans ses yeux au moment ou je le prenais dans mes bras.
Il m'embrassait avec passion et une extrême douceur. Il me serrait aussi dans ses bras et rapidement commençait à me déshabiller. Je le laissais faire.
Suivaient des baisers à chaque fois qu'il libérait une partie de ma peau. Baisers que je lui rendais. Des caresses douces sur tout le corps le mien et le sien. Une étreinte intense à la fois chaude, douce, ferme. Sa peau était douce et chaude et ses muscles étaient fermes.
Nos dispositifs se cognaient l'un contre l'autre, c'était la seule chose qui nous empêchait de nous toucher totalement. Je bandais ferme dans ma cage à bite. Je l'aurais bien enculé à cet instant, je ne pensais qu'à ça en fait. Je pense qu'il devait avoir la même envie, même si nous étions surtout passifs l'un comme l'autre. Ce soir là j'aurais joué les actifs avec plaisir.
On s'allongeait sur le lit, il ne disait plus rien et ses caresses devenaient de plus en plus
Sexe ! Pourtant le sexe, ce soir on ne le sortirait pas. Nos mains caressaient des fesses avec intensité, un doigt se glissait dans mon cul, j'en faisais de même, j'y rajoutais un deuxième doigt et je les agitais rapidement. Je tambourinais sur sa prostate. Il râlait de plaisir et se tordais, il était allongé sur le dos. Je lui écartais les cuisses et le léchais et l'embrassais partout ou ma langue et mes lèvres pouvait passer, la base de son sexe, ses couilles, dans les trous d'aération de son dispositif. Il me caressait les cheveux avec amour.
On échangeait ensuite les positions. Je sentais sa langue dans les recoins les plus intimes de mon corps. Tout comme moi il avait pris soin de bien se raser, c'est plus agréable
Dans mon cul le plaisir montait, il se répandait dans tout mon ventre. Olivier aussi gémissait de plaisir, j'étais pas le seul dans cet état. Le plaisir envahissait ensuite tout mon corps, je jouissais, il jutait et quelques goûtes de sperme giclaient de son dispositif. Moi pas une goûte, toujours rien mais j'avais joui tout comme lui.
Il avait bien éjaculé mais le jet s'était heurté à la cage et le sperme coulait par les ouvertures, seule une giclée avait réussi le passage par l'orifice qui sert à uriner.
Il commençait à comprendre comment ça marchait ce truc.
Olivier : Bein dis donc ! C'était quelques chose !
Moi : Ouai !
Olivier : Mais on peut jouir alors, on peut prendre du plaisir alors.
Moi : Ouai !
Olivier : Tu n'as pas joui toi ?
Moi : Si
Olivier : Mais tu n'as pas éjaculé ?
Moi : Je n'arrive pas à éjaculer si je ne suis stimulé que par la prostate. Pour ça il faut que je me stimule par la queue. Mais je te garantis que je peux jouir quand même.
Olivier : Il n'y a pas une heure je voulais le retirer mais là, ça va, je me sens bien, et le dispositif est agréable à porter.
On se lavait rapidement et on se couchait.
Cette sensation de bien être juste après avoir joui ne devait pas durer. Olivier se réveillait plusieurs fois dans la nuit, et me réveillait à chaque fois
A six heures du matin, il n'en pouvait plus, je lui conseillais d'aller pisser et de réajuster son dispositif. C'est vrai que ça calme.
A neuf heure du matin il était définitivement réveillé et moi aussi, je n'avais pas le choix.
Olivier : C'est comme ça tous les matins ?
Moi : Au début seulement. Même si le dispositif est confortable ton corps le refuse, le combat. Il finira pas renoncer à la lutte et dans quelques jours, tu verras, ce sera un vêtement presque comme les autres.
Olivier : Tu es sûr ?
Moi : Oh oui ! Tu verras on ne peut plus s'en passer.
Olivier : dans combien de temps tu dis ?
Moi : Quelques temps
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@CharlyChast
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