La Faveur...

- Non Sylvie. Je pense que tu as assez bu. Fis-je à la serveuse, en écartant la bouteille.
C’était une belle plante brune, apparemment très équilibrée qui avait mis trois s au monde et aimait bien vivre. Nous venions de terminer de laver la centaine de verres, qui avait servi à la réception. Et comme pour relâcher la pression, nous avons décidé de nous poser devant une bouteille et quelques petits fours qui étaient resté du vin d‘honneur.
- Tu as peur ? Me répondit-elle.
- Peur ! Mais de quoi devais-je avoir peur ?
- Que je te saute dessus, répliqua-t-elle en se bouffant de rire.
- Aucune crainte de ce côté.
- Ah oui ! Tu en es bien sûr ?
- Sûr je ne saurais le dire ! En ne connais pas bien les réactions des personnes.
- Je ne te plais pas ? Fit-elle en se saisissant de la bouteille posée sur la table. Alors ! Tu ne réponds pas ?
- Es-je besoin de te le dire. Tu ne le sais pas !
- J’ai besoin d’avoir ton avis… demandait-elle.
Quelque chose avait changé en elle, récemment. Je n’aurais pas su dire quoi au juste, mais elle me regardait différemment.
- Tu es séduisante, oui ! Je l‘avoue ! Voilà, c’Est-ce que tu voulais entendre ?
- Oui ! Cela me touche, surtout venant de toi… J’en mouille ma petite culotte.
- Sylvie, Sylvie ! Je pense que tu as trop bu. Et que cela te fais dire des conneries…
- Pas du tout. Je suis tout à fait consciente. Et responsable de ce que je dis. Cela te choquerais si je te disais que j’ai très envie de baiser ce soir !
- Un peu ! Oui…
- Et pourquoi ?
- C’est seulement que je…
- Tu connais mon mari, me coupa-t-elle. Et alors ? Ce serait lui rendre un service.
- Bon je pense qu’il serait plus sage que nous quittions les lieux. Tu ne crois pas ?
- Si c’est pour lui que tu t’inquiètes, et bien tu te mets le doigt dans l’œil. Il fait laisser ce salaud où il est.

De toute façon, il ne me regarde même plus. Et je me garde bien de te confesser le reste.
Elle vida son verre d’un coup. Puis s’était levée, et s’était mise à onduler imperceptiblement du bassin. Une sale ivresse s’empara de moi. Je sentis comme un fourmillement dans mes doigts. J’imaginais le contact de cette chair douce. Un cul aussi rond ne pouvait pas être destiné à autre chose.
Pour éviter toute tentation malsaine j’ai décidé de quitté la pièce où elle était. Et j’ai filé mettre de l’ordre dans la salle de réception. Laissant Sylvie seule avec son délire.
Il m’avait fallu que peu de temps pour remettre la salle en état. Et alors que je m’apprêtais à appuyer sur l’interrupteur qui couper toute les lumières, j’ai entendu un chuchotement venant de derrière moi, comme si quelqu’un voulait que je m’intéresse à elle.
J’ai tourné la tête et là surprise Sylvie m’attendait. Elle s’était pour ça laisser tomber sur un fauteuil, les pattes écartées. Je voyais sa culotte en totalité, moulant son sexe. Elle était de couleur blanche, en nylon. Avec un motif discret de dentelle extensible. La dentelle suivait la courbe du pubis.
Je restais sans voix. Emplissant mes yeux de ce qu‘elle m‘offrait gracieusement. Jusqu’à ce qu’elle décide de se saisir de l’élastique de ses deux mains et l’abaisse. La lingerie a franchit la toison et le pubis proéminent, l’arrondi des fesses et a finit son périple à ses chevilles.
La fente était visible malgré sa belle toison brune. Qui allait jusqu’à la raie des fesses. Les petites lèvres étaient collées l’une à l’autre et ça alors que le vagin mouillé était déjà béant.
- Tu comptes rester là toute la nuit ? Ou alors ?
- Ou alors quoi ?
- Je ne sais pas ! Tu pourrais… d’occuper de moi ? Me rendre service…
- Oui je vois… Répondis-je.
Je n’ai pas pu résister a m’agenouiller m’agenouillant devant ses pieds. Pour son plus grand plaisir. J’ai ouvert et déployé les nymphes à la peau fine, rosée.
J’ai examiné la vulve. M’emplissant par la même occasion les narines, de l’odeur de crevette et de sueur. Après mon état des lieux, j’ai couvert la vulve de ma paume. L’appuyant sur la saillie du mont de Vénus.
Puis j’ai délogé le clitoris de sa couverture de chair. La tentation étant la plus fore, j’ai approché mes lèvres du bourgeon. Que j‘ai pris en bouche avant de l’aspirer. Tout en la mâchouillant, j’ai introduit mon doigt dans le sexe qui dégageait un parfum envoutant. Je l’ai l’enfoncé centimètre par centimètre. Le vagin semblait fondre au contact de mon doigt. Les parois souples m’aspiraient en profondeur. Elle vacillait sur son fauteuil. J’ai profité de son délice pour lui plonger un doigt dans son anus. Sans prévenir, avec vice et violence. J’ai fouillé dans son cul sans la ménager. Je sentais son plaisir grandir. Soudain elle a joui très fort. Son sphincter serrait mon doigt alors que je le faisait gigotait encore entre ses fesses.
- Tu as un bon doigté. A-t-elle soupirait, tout en se tortillant sur son siège. Oui, encore… J‘aime…M’encourageait-elle.
Sous mon autre doigt, sa chatte s’épanouissait. À un tel point que je n’ai pas hésité d’en enfoncer un second. Pour tout réponse elle a levé les yeux au plafond tout en se mordant la lèvre. Sa respiration oppressée faisait gonfler sa poitrine. La plaisir adoucissait ses traits. Les rendant moins revêches. J’ai sortis mes deux doigts réunis de son antre, pour les faire remontés le long de l’entaille. Séparant les plis gluants. Son clitoris était devenu très gros. J’ai commencé par le presser en opérant de petits mouvements circulaires. Elle a étouffé un gémissement. Elle a relevé les pieds pour peser de tout son poids sur ma main et mes doigts sont rentrés de nouveau tout seul dans son vagin.
Je l’ai branlé ainsi un bon moment avant de plonger de nouveau entre les cuisses. Remplaçant mes doigts par ma langue. Je l’ai fait aller et venir dans son antre. J’écarquillais la chatte le plus possible pour pouvoir lécher profondément.
Elle se tortillait comme une possédée et haletait au rythme de mes succions. Dans la salle on n’entendait plus que des gémissements et des gloussements satisfait de ma partenaire, entrecoupés par le bruit de succions. J’ai accéléré le rythme de ma double pénétration et elle n’a tarder à réagir, dans une débauche de geste et de cris.
Je me suis empressé de sortir mon oiseau de son nid. Pour remplacer prestement mon doigt par mon sexe tendu comme jamais. Et qui avait du mal à se frayer un chemin. Le petit trou mouillait pourtant autant que le grand, mais restait étroit et fermé comme la fente d’une pucelle. Il m’a fallu toute ma détermination pour en finir et d’une brusque poussée, pénétrer entièrement entre ses fesses.
Elle s’est cabrée, étouffant cri. Elle supportait vaillamment l’assaut. J’allais et venais à présent en de longs mouvements amples et lents, réjoui de sentir ses anneaux se contracter autour de mon sexe, le masser, tenter de le rejeter pour mieux l’aspirer à nouveau. Cet orifice-là palpitait en rythme, vit, pulse avec ma queue en une danse infernales à laquelle je ne résistais pas longtemps. Au point je ne pus pouvoir me retenir plus longtemps. Je laissais alors le plaisir me submerger et jouis à longs traits, loin dans son rectum. J’avais eu l’impression que je jouissais plus que d’habitude.
Je me suis extirpé doucement du petit trou qui semblait me laisser partir à regret, et reposais avec précaution ses jambes sur le fauteuil. L’anus se referma aussitôt. Comme si il n’avait plus faim.
Elle s’est penchée et m’a sucé la verge, comme elle aurait fait avec une glace.
Plus tard je l’ai regardé partir et je suis resté quelques minutes, immobile à la fixer. Tout en passant ma langue sur mes lèvres imprégnées du goût de la femme de mon collègue. Et humant le doigt qui avait branlé le fion. Je reconnais encore maintenant que je m’étais bien régalé.

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