Maria, Mon Fantasme Exaucé

Avant de vous raconter la suite de mon dépucelage, je vais vous raconter ma première relation avec une femme qui tient une place extrêmement importante dans ma vie sexuelle.
Maria est la nièce de mon père…
Petite parenthèse pour ceux qui suivront le fil de mes récits, vous remarquerez que je culbute pas mal de mes cousines… il faut vous vous dire que je vis dans un village, dans une petite île, donc les liens de parenté sont souvent entremêlé…
Bref, j’avais à l’époque 17 ans, j’étais actif sexuellement depuis plusieurs mois déjà, je baisais assez souvent Anna et Fanny, je ne sortais plus avec Rafaella mais je la baisais toujours de temps en temps, et je me faisais aussi des petits extra assez souvent.
Maria était proche de la quarantaine, elle avait été mariée pendant plus de 10 ans, mais sans jamais avoir pu er, elle venait de se séparer de son mari depuis plus d’un an. Depuis tout petit, j’étais très proche d’elle, elle m’appelait même son petit mari. Elle me gardait souvent les après-midi quand j’étais jeune, et nous avons développé un lien très fort. En grandissant, j’avais aussi développé une forte envie charnelle à son égard, il faut dire qu’elle était vraiment très bandante. Une vraie femme africaine pour les connaisseurs, assez grande, des fesses bien rondes et fermes, des seins tout aussi fermes et bien charnus, et une belle couleur ébène… une MILF idéale.
Un dimanche, Maria m’avait demandé de l’accompagner dans un des champs de mon père pour lui cueillir des noix de coco. Nous nous sommes rendu sur place très tôt pour éviter les grandes chaleurs, et puis je l’ai raccompagné jusqu’à chez elle. Elle vivait habituellement avec sa mère et sa petite sœur mais ces dernières étaient en voyage auprès des autres membres de sa fratrie établies en France. Etant seule, elle me propose de passer la matinée avec elle, je l’ai aidé à ranger les divers produits ramenés des champs, elle nous a préparé un petit repas.

Pendant toute cette matinée, nous avions pas mal de contact tactile, ce qui est assez habituel entre nous, et je dois dire que j’avais une trique d’enfer. Cependant, ce jour-là Je ne sais pas si elle me chauffait volontairement, mais plusieurs fois, elle a frotté son cul sur ma bite, elle n’a pas pu ne pas sentir mon érection.
Avant de passer à table, elle a suggéré une bonne douche, je suis passé en premier, et elle par la suite. Alors qu’elle sortait de la douche, elle me demande de venir voir quelque chose dans sa chambre. En entrant, je la trouve assise sur son lit face à son grand miroir avec juste sa serviette nouée autour de la poitrine.
Elle me dit de venir me mettre devant le miroir. Elle est dans mon dos et s’approche, elle se colle à moi, et je sens sa poitrine, nous faisons la même taille, elle m’embrasse dans le cou et me chuchote à l’oreille une phrase que je n’oublierai jamais :
<< Tu es un homme maintenant, si tu veux me prendre, prends moi ! >>
Sans me laisser le temps de réagir, elle vient face à moi, prends mes mains et les pose sur ses hanches, les siennes sur mes épaules
-Tu me veux ?
-oui, répondis-je sans hésiter
-ça doit rester entre toi et moi !
-je te promets.
Elle laisse tomber sa serviette, m’enlève mon t-shirt, et m’embrasse, je réponds à ses baisers en l’attrapant par les fesses. Nous nous sommes retrouvés sur son lit, elle s’est couché est écartant ses jambes et m’a dit faire ce que je voulais de son corps. Je me suis jeté sur ses seins dont j’avais tant rêvé, tellement fermes et ses teintons dur à souhait, un vrai régal. Dans le même temps, mes doigts s’attaquait à son clito, mon pouce entrain de l’astiquer et mon index et mon majeur en train de ramoner sa grotte bien humide et très chaude. En longeant son abdomen de mes baisers, je découvrais le goût et le parfum de ce corps qui m’a tant fait fantasmer. Je me suis délecté de sa chatte dans un cuni assez maladroit encore, mais que je savais compenser avec mes doigts. Quel plaisir de sentir vibrer le corps d’une femme sous votre emprise. Ses gémissements et ses encouragements étaient une douce mélodie. Elle finit par jouir en me coinçant la tête dans ses jambes pendant que je lui faisais une ventouse sur le clito.
Revenu à ses esprits, elle m’a attiré pour me coucher sur elle, et me serrer fort dans ses bras
-je te promets de te sucer tout à l’heure, mais là j’ai besoin de te sentir en moi, ça fait trop longtemps que je n’ai pas senti un homme en moi.
Je me suis enfoncé en elle en douceur, selon sa volonté, une fois bien planté eu fond, elle a resserré ses jambes autour de mon bassin…
-tu es bien dur, tu es gros, tu vas très loin…
Elle était sur un nuage.
-vas-y maintenant !
J’ai commencé ma cavalcade en douceur, montant le rythme progressivement, je dois dire que je jouissais moi aussi psychologiquement, j’étais en train de monter la femme de mes rêves. J’alternais la culbute entre des petits coups rapides, et des coups profonds et puissants, elle était au firmament
-Oui mon petit mari, tu es un homme maintenant, prends moi bien !!! Je suis à toi…
Elle m’abreuvait de doux encouragements…
-j’aurais aimé être ta première, mais tu pourras me prendre quand tu voudras…
Pendant que je la besognais, j’ai vu ses seins se balancer, je me suis jeté dessus comme un mort de faim, j’ai sucé ses tétons je les ai mordillé comme un bambin. J’avais atteint maintenant un bon rythme de croisière. Ma queue était en furie dans son antre chaude, elle mouillait beaucoup, je sentais son jus se répandre sur nos pubis. Elle répondait à mes coups par un déhanchement voluptueux. On se regardait, on s’embrassait, je suçais ses seins, je cognais fort dans sa chatte…
Et tout d’un coup, elle est partie…
J’ai senti comme une espèce de bulle d’eau éclater sur ma bite…
-oooooooohhhhhh !!!! oooooohhhh
Elle jouissait…
J’ai continué mes coups pour prolonger son plaisir, elle m’a arrêté en me retenant contre elle, pour reprendre son souffle.
-tu es génial, mon mari ne m’avais jamais fait ça aussi fort. Je vais m’occuper de toi maintenant…

Dans la deuxième partie je vous raconterai comment elle m’a rendu la pareille…