Le Gîte. Conflit De Générations Au Sauna. 2
Le gîte.
Conflit de générations au sauna. 2
-Se sera une première pour moi ! Je nai encore jamais osé !
(La suite)
La tante et la belle-doche létendent sur une couchette et entreprennent la préparation de son conduit anal.
Lune après lautre, elles engluent de leurs salives son petit trou ridé. Puis avec précaution, introduisent un puis plusieurs doigts à lintérieur. Yvette va même chercher un peu de cyprine dans le vagin voisin pour lubrifier encore plus ses doigts.
Estimant la lubrification salivaire et digitale largement suffisante, Simone minvite à masseoir à nouveau afin que jhonore sa petite fille à la manière de Sodome.
Je la réconforte :
-Nai pas peur ! Tu verras que ce nest quun mauvais moment à passer ! Je te laisse diriger à ton rythme !
Solène commence par se défoncer la chatte avant linstant fatidique. Elle prend ma verge dune main et la retire de sa féminité pour la placer à l'entrée de ses reins. Deux fois elle met en contact les deux protagonistes mais nose pas saventurer plus loin.
- NON ! Impossible, c'est impossible, il va m'exploser le fion ! Il est trop gros !
Elle se cabre mais je la retiens solidement et force l'entrée de mon gland qui disparait en elle.
La douleur doit être intense car elle pousse un hurlement. Je ne bouge plus.
Son sphincter étrangle ma bite entre le chapeau et la tige. Je ne veux pas la faire souffrir.
Elle nose plus bouger. Sa grand-mère, la voyant souffrir lui pose les mains sur ses épaules et la console :
-Tu as fait le plus dur et maintenant tu hésites ? Quand le vin est tiré, il faut le boire !
Et elle pèse de toutes ses forces sur les épaules de sa petite fille.
Sans quelle nait le temps de se rendre compte de ce qui lui arrive, je me retrouve fiché jusquaux couilles dans son cul qui vient de céder brusquement, la transperçant dun coup.
Ma bite me fait mal tellement elle est tendue et gonflée, comprimée par cet anus si serré.
Elle hurle encore une fois, un long cri inarticulé qui monte de tout son corps, son rectum tellement étiré mais qui ne peut se contracter.
Voyant ça, sa tante vient à son secours. Elle sattaque au clitoris délaissé et le suce derechef.
La douleur ressentie est atténuée par la volupté des caresses de sa tata.
Je la laisse shabi à lintrus puis commence à la défoncer de ma bite d'âne.
Mon bas- ventre frappe ses fesses, mon défonce-cul rentre au plus profond de son corps.
Des larmes coulent sur ses joues. Je ne sais pas si se sont des larmes de plaisir ou de douleur.
Elle crie, gémit, pleure, rit. La douleur la rend folle mais la sensation dêtre pleine et possédée par un étalon fait quelle en veut toujours plus. Elle monte et descend seule sur ma bite maintenant, acceptant mon membre viril en gémissant.
Des spasmes irradient dans tout son corps quand elle jouit en une longue série de tremblements qui senchainent, elle est prise dune crise orgasmique qui nen finit plus
La défonçant comme un possédé je grogne :
- Je... je vais jouir moi aussi ! Je vais graisser ton beau p'tit cul!
Je me tétanise au plus profond delle, tous mes membres tendus, et envoie ma généreuse purée dans le fion défoncé. Mon foutre chaud envahit ses entrailles.
Je sors mon engin dégoulinant dans un bruit de bouteille que lon débouche, entrainant son trou du cul qui tel une ventouse saccroche à ma bite. Quand je retire ma queue de son fion débordant de foutre, le liquide blanc coule le long de ses cuisses et goûte par terre.
Je m'effondre sur la banquette, épuisé par ce triple enculage.
-Putain les filles ! Vous mavez vidé les burnes ! Mais il va falloir que jaille me soulager la vessie.
-Pas question ! Me rétorque Simone. Vide-toi dans ma bouche !
Ce nest pas que jaime ce genre de pratique. Mais je suis trop fatigué pour me rebeller et accède à sa demande.
Elle ouvre la bouche et engloutit ma lance.
Simone a eu les yeux plus gros que le ventre : la douche dorée est trop abondante pour être piégée intégralement dans sa bouche, elle doit retirer ma verge de ses lèvres. La puissance des jets successifs jaillissent à plusieurs mètres quand elle comprime ma verge. Je crépis les murs qui heureusement sont faits pour ça dans un sauna. Lhumidité étant la base de cette pratique.
Elle me reprend en bouche. Sa lubie ma tellement excitée que je commence à rebander. Elle en profite pour entreprendre une vigoureuse fellation.
-Sil te plait, tu peux nous enfiler encore une fois ? Mimplore Solène.
-Hé ! Je ne suis pas une machine à baiser ! Je commence à fatiguer ! Tu vois bien que jai des difficultés à atteindre la pleine érection !
-Tut, tut, tut ! Ne te défile pas ! Tu as une réputation à tenir ! Tu dois satisfaire encore une fois notre famille de dépravées ! Je suis sûre que tu en es encore capable ! Laisse-toi faire ! Allonge-toi sur le ventre !
Je me couche sur la banquette de bois, les lames sont suffisamment écartées pour que ma pine en semi-érection sinsinue entre deux longerons.
Simone lubrifie ses doigts et sans hésitation plonge son majeur entre mes fesses. Je nai pas le temps dêtre surpris que son doigt atteint ma prostate pour un touché rectal.
Elle me prodigue alors un massage. Cest un plaisir que je ne connais pas mais qui a une réaction immédiate. Cest très agréable et ça a surtout comme résultat de redonner toute sa vigueur à ma verge.
Mais quand je veux me relever, jai la désagréable surprise de me retrouver piégé sur la banquette.
Ma teub ayant repris sa grosseur habituelle, est coincée entre deux lattes. Les filles rigolent quand je leurs explique ce qui marrive.
Solène se moque de moi :
-Toi qui a lhabitude de forcer des trous trop serrés, tu ne peux pas te dépêtrer de deux misérables bouts de bois ?
Vexé par ses mots, je serre les dents, les fesses et les abdos et force un bon coup pour me décoincer.
Jarrive à me libérer de la banquette en râpant au passage la peau fragile de mon vit.
-Ah vous avez bien ri les filles ! A moi maintenant de rigoler ! Je veux que vous vous empiliez les unes sur les autres ! Solène, mets-toi par terre sur tes coudes et tes genoux ! Yvette, au milieu, voilààà ! Maintenant à toi Simone ! Jappellerai ça la pyramide des âges ! Bien, maintenant jai à ma merci tous les trous disponibles !
Comme de vraies filles soumises au plaisir de leur étalon, elles ne se sont pas fait prier pour prendre la pose au milieu du sauna.
Pendant de longues minutes, de très longues minutes car je commence à avoir léjaculation paresseuse, je les prends par tous les trous.
Je commence par la chaleur humide de leurs bouches, enfonçant plus que de raison ma pine dans la gorge dYvette et de sa nièce. Mais elles ne sont pas aussi douées que Simone et je ne veux pas les blesser.
Je passe ensuite de lautre coté avec un peu dacrobatie. Se présentent à moi trois chattes et trois anus bien alignés, les cuisses écartées, prêtes au rut.
Baïonnette au canon, jhonore ces dames les unes après les autres. Une fois devant, une fois derrière, variant à linfini les combinaisons. Méthodiquement, jattaque aussitôt les festivités sans préparations inutiles.
Les cons sont déjà luisants de mouille. Jenfonce mon sabre dans le premier fourreau qui se présente. Sa propriétaire est si chaude que son orgasme est rapide. Je passe aussitôt à sa voisine avec célérité. A la suivante
Je mintroduis sans un instant de récupération dans tous les trous qui se présentent. Il en va de mon honneur et de ma réputation.
Un peu plus haut, la grotte de Simone est plus vaste et confortable, mais tout aussi accueillante.
Enfin vient le tour de Solène qui simpatiente un peu. Je la bourre avec ardeur, un coup dans la chatte et un coup dans le fion, alternant régulièrement.
Des bruits incongrus raisonnent : « Tchac, tchoc », et autres onomatopées difficiles à écrire selon lobjectif atteint et le sens de déplacement du piston.
Solène, coincée comme elle est, ne peut sopposer à sa deuxième sodomie mais le premier alésage du fion facilite grandement la pénétration. Et il faut dire aussi que ma queue est lubrifiée comme jamais avec ces trois folles de sexe.
Mon gland bute à chaque passage au fond du vagin de Solène. Jai remarqué que chez elle, cest une zone très sensible. En quelques coups de reins, ça déclenche chez elle un véritable tsunami orgasmique ponctué de hurlements à déchirer les tympans et un flot de cyprine qui dégouline sur mes burnes.
Je sens que la cartouche est dans le canon. Je me dépêche de repasser du coté des bouches de mes esclaves sexuelles et dirige ma lance vers leurs visages.
Solange, ne perdant pas le nord et étant la seule à avoir la possibilité de libérer un bras, glisse une main entre mes cuisses pour explorer de nouveau ma rondelle et essayer daller chercher les dernières munitions cachées que contient ma prostate, en appuyant fortement sur cet organe.
Ce massage démultiplie la puissance de la charge de poudre.
Léjaculation est si violente quune trainée de foutre gicle très haut, atterrissant sur la joue de Simone et finissant entre les yeux de sa belle-fille. Mais les jets senchaînent encore et encore.
Je ne finis pas de me vider. Je suis déjà très prolixe dhabitude, mais cette caresse anale est vraiment une chose miraculeuse.
J'arrose tout à tour mes trois tourmenteuses en longues giclées épaisses, terminant en engouffrant ma pine gonflée dans la première bouche ouverte qui reçoit les derniers cm3 de ma semence.
Je suis complètement à plat et mécroule sur la banquette.
-Alors les filles ! Satisfaites ? Je suis rincé.
Elles se concertent en riant et Yvette prend la parole :
-A lunanimité, nous donnons un dix sur dix. Compte sur nous pour propager en un peu plus ta renommée. Et si des fois ça te tentes, après-demain nos hommes vont à la pèche
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