Ça C'Est Passé Simplement 12
En résumé du chapitre précédent, plus de 20 ans étaient passés oh oui même un peu plus et je retrouvais, tout à fait par hasard, Evelyne que javais « très bien connu » quand jétais étudiant, récit « Divine surprise »
En souvenir du « bon vieux temps elle m avait invité à diner chez elle. Voici la suite,
Le diner se passa sans problème. Jappris quelle avait eu une fille de 18 ans maintenant, étudiante. En fait, comme elle me lexpliqua, elle avait fréquenté un type, pendant deux ans et ils étaient sur le point de se mettre ensembles, quand la sachant enceinte, il avait filé car il ne voulait pas de « gnard braillard ». Elle ne regrettait rien.
Je lui demandais comment elle avait eu la gérance de XXX. Elle mexpliqua quavant dêtre vendeuse elle avait passé un CAP de secrétariat et que, à cette époque, ne trouvant pas de travail elle avait pris ce travail de vendeuse qui lui plaisait bien. Après son divorce, le fils du patron, « tu te souviens de lui, ce petit con », avait continué à la tarabuster. Elle sen était ouverte au patron, qui sen était amusé avec un : « Il faut bien que jeunesse se passe »
Ayant vue que lagence de location ImmoLyon cherchait une secrétaire elle sétait présentée et avait été acceptée, ainsi elle avait pu quitter son emploi de vendeuse, au grand dam du patron.
Quand le gérant avait pris sa retraite, il lavait chaudement recommandée et depuis un peu plus de dix ans cétait elle la gérante.
Elle samusa aussi à me provoquer, gentiment, comme lorsque quelle revint avec le dessert, le décolleté avait augmenté et elle apportait le dessert sur un plateau porté à une telle hauteur que javais limpression que ses seins y étaient posés,
je ne vous dis pas le résultat.
Pour la remercier du diner, je la pris dans mes bras et après une partie de lèche museau je lui enlevais son peignoir. Elle fit semblant de sen offusquer, pour enfin éclater de rire. Jaidais donc Evelyne à débarrasser la table et je ne sais comment elle se débrouillait mais elle était toujours devant moi en allant à la cuisine, ce qui me permettait dadmirer le balancement de son joli cul.
Elle : « Il te plait toujours autant,
cest pour ça, que tu las au garde à vous,
»
Moi : « Si cétait autrement, tu serais vexée, mais Je vais finir par penser que tu es un peu garce sur les bords »
Elle : « Humm,
Humm,
Jaime quand tu me complimentes,
mais je soupçonne que cest des compliments intéressés
»
Nous étions à la cuisine où elle se mit à ranger la vaisselle dans le lave vaisselle, celui-ci étant au sol, à lévidence, cette position, faisait ressortir son joli cul. Ma main se dirigea vers ce beau cul et sintroduisant entre les cuisses de la belle et je remontais gentiment vers sa chatte en caressant tendrement lintérieur, si doux, des cuisses, pour enfin atteindre son minou tellement chaud et humide, quil devait sêtre préparé à cette arrivée. Evelyne ne bougea pas. Quand jatteignis sa chatte elle émit un petit « Oh » de surprise ou de satisfaction. Je posais ma main sur son minou de façon à lavoir dans ma paume. Evelyne modifia sa position en sappuyant sur lappareil ce qui autorisa une légère ouverture de ses cuisses, et qui me facilita laccès à sa grotte damour. Après quelques caresses à ses grosses lèvres, jintroduisis, doucement, deux doigts dans sa chatte. Cette douce pénétration fut accompagnée dun « Oh,
oui, .. ». Vue la position, il ne me restait plus quà investir sa rosette, dans laquelle jintroduisis mon pouce. Après quelques va et vient : Evelyne se redressant : « Arrêtes, on sera mieux au salon,
Je suis nue,
tu es toujours habillé,
enlèves ça,
» Cest ce que je fis et elle pu constater que javais un trique faisant honneur à son propriétaire.
Elle ironisant : « Cest moi qui te mets dans cet état,
viens mon pauvre chéri,
il faut que je men occupe,
tu vas éclater,
viens,
»
Nous nous installâmes sur le canapé, enfin nous nous affalâmes, alors que je lattirais vers moi, elle se laissa glisser entre mes jambes et prenant ma queue sans hésitation elle passa de grands coups de langue sur le gland, puis sur la hampe avant de me prendre en bouche et de commencer à me sucer avec art, sa langue titillant mon gland alors que jétais enserré dans le fourreau chaud et doux de se ses lèvres, cétait merveilleux comme sensation.
Moi : « Si tu continues, comme ça, je ne pourrais jamais te faire lamour,
»
Et se dégageant : « Hum,
jaime,
dis moi que tu aimes ce que je te fais,
» et elle me reprit et la fête reprit de plus belle. Elle était douée au possible et javais la tige qui me paraissait gonfler à éclater, quand soudains sans possibilité de dire quoique ce soit, jéclatais et me vidais dans sa bouche. Surprise certainement, une hésitation, mais tout fut avaler et elle se remit à me pomper ce qui entraina une deuxième giclée, qui suivit le chemin de la première. Elle se retira légèrement essoufflée, et voyant dame nature faire son effet sur ma virilité, mais avec un large sourire : « Jespère que tu mas tout donné,
(éclat de rire).
Enfin elle remonta sur le canapé et blottissant dans mes bras : « Si on allait se coucher,
demain je dois être au bureau,
»
Cest ce que lon fit. Allongée sur le coté, je me collais à elle et après les efforts faits, effectivement nous nous endormîmes rapidement. Vers le milieu de la nuit, je sentis quEvelyne sétait collée contre moi et je lentendis dire : « Jean,
fais moi lamour,
sil te plait,
» Ce qui eu le don de me réveiller instantanément. Je me retournais, la chambre éclairée faiblement par la lune me permit de voir quEvelyne se mettait sur le dos en me disant : « Viens,
jai envie de toi,
fais moi lamour,
prends moi,
je veux te sentir sur moi,
jen ai tellement envie,
viens, ..»
Comment refuser une telle invitation, je me mettais entre ses jambes bien ouvertes. Elle mattira à elle pour un long, humide et chaud baiser. Celui-ci se terminant je descendais pour moccuper de ses seins, dont les tétons étaient déjà durs et je les pris en bouche et cela que quelques instants car Evelyne, me faisant remonter me dit : « Arrêtes,
viens prends moi,
je suis prête,
je tattends,
» et sans hésiter elle glissa sa main entre nous et prenant mon engin, qui avait retrouvé sa vigueur, elle le dirigea vers sa grotte damour que je pus investir aisément tellement elle le désirait cela.
Ce nétait pas le moment de la décevoir et jy allais à grands coups de reins, qui à chaque pénétration entrainait un large soupir de satisfaction. Dés le début en appui sur ses jambes elle sétait cambrée, ce qui me permettait de la pénétrer au maximum.
Elle : « Oui,
prends moi fort,
baises moi fort,
ne tarrêtes pas,
je sens que ça vient,
ouiii,
cest bon,
OUIIIIII,
je JUOIIIIIIS,
encore,
OUIIIII
. » et elle sécroula, heureusement javais tenu jusquau bout, me vidant au moment où elle disait sa jouissance.
Je m enlevais dessus delle et sans rien dire elle se colla à moi en disant : « Fais moi un câlin », mais celui-ci fut de coutre durée, car elle sendormi rapidement.
Je me réveillais en sursaut à la sonnerie dun drôle de réveil. Il me fallut quelques secondes pour réaliser où jétais. Evelyne avait réagi rapidement et se levant elle dit : « Continues de dormir je me prépare et on prend le petit déjeuner avant que je parte » et elle fila vers la salle de bains. La salle de bains libre jen prenais possession et rapidement nous nous retrouvâmes devant une tasse de café.
Elle : « Quand dois tu partir ? »
Moi : « Jai encore une rendez-vous ce matin à 10,00 h et ensuite je voudrais mettre au clair le résultat de nos discussions et je devrais partir en début daprès-midi. Mais je me demande,
»
Elle, me coupant la parole : « Si je tinvitais à diner ? »
Moi : « Disons, quaprès une telle invitation, et en fonction dun coût de téléphone à mon bureau, je pourrais, peut-être, décaler mon départ à samedi, mais ta fille »
Elle : « Ne tinquiètes pas, pour ça »
Le temps courrait, nous partîmes en ville en se donnant rendez-vous pour le soir.
Celui-ci se passa rapidement et vers 11,00 h jétais dans ma chambre à essayer de me concentrer sur mon rapport,
quand on frappa à la porte. Je trouvais que le personnel dentretien était bien pressé de faire la chambre,
« Entrez » et cétait Evelyne qui entra.
Moi : « Mais,
quest-ce que tu fais là,
»
Elle : « Tu nes pas content de me voir ? »
Moi : » Si, si, très content,
mais on devait se voir ce soir ?
Elle : « Je voulais toffrir,
non, je men vais,
»
Moi : « Ne sois pas idiote, quest ce que tu voulais moffrir, je suis très curieux,
»
Elle posa un genre de sac fourre tout parterre et en défaisant la ceinture de son trench coat elle dit : « Jai limpression dêtre en visite,
je peux lenlever ? »
Et joignant le geste à la parole elle lenleva pour apparaître nue enfin presque, car elle ne portait quune guêpière, dont le soutien gorge était coupé de telle façon quil mettait en valeur, sans les cacher, ses seins, alors que les bas étaient tendus par de fines bretelles qui encadraient sa toison brune bien taillée en triangle. Ayant montré son coté face elle fit un tour sur elle-même, pour montrer son coté pile en disant : « Cest pour toi, viens, cest à toi,
»
Me levant je la pris dans les bras, nos corps se collèrent, nos lèvres se joignirent, et un long et sensuel baiser sen suivit. Se décollant et mentrainant vers le lit : « Viens, prends moi, ... baises moi,
baises moi fort,
viens,
». Alors que je déshabillais prestement, dès que jeu la bite à lair, assise sur le lit elle me prit en main : « Viens, jai envie de te gouter,
je vais te lécher,
» et sans attendre avec le bout de sa langue, pointue, elle commença à me titiller le gland, puis me prenant avec le bout des lèvres me suçait doucement, me lâchant, me reprenant, pour recommencer avec le bout de sa langue. En samusant ainsi, à regarder ses yeux et sa figure il était évident, quelle y prenait, non seulement du plaisir, mais que de plus elle samusait follement.
Elle : « Est-ce que tu aimes,
dis moi,
»
Moi : « Si tu continues comme ça, je ne pourrais plus moccuper de ta chatte »
Elle : « Jaime te sucer ainsi, je te sens vibrer dans ma bouche, cest follement excitant,
ça mexcite,
»
Enfin sarrêtant sur un dernier coup de langue large et généreux elle se mit en levrette sur le lit.
« Viens prends moi,
cest à toi,
»
Javais sous les yeux et à disposition de ma queue son joli cul et sa moule luisante de cyprine.
Elle : « Viens,
jai envie de te sentir,
viens,
mais quest-ce que tu fais ? »
Moi : « Jadmire ce beau tableau de ton joli cul et ta jolie chatte,
»
Je glissais une main entre ses cuisses bien ouvertes et un doigt curieux sintroduisait doucement dans sa chatte, entrée qui fut appréciée par un « OH » heureux, doigt que je retirais rapidement pour aller caresser et essayer la souplesse de sa jolie rosette et aussi lhumidifier pour un futur proche.
« Viens,
arrêtes de jouer,
viens prends moi,
tu magaces,
viens,
»
« Ecartes bien tes fesses »
Aussitôt elle mit ses mains sur ses fesses, les écartant largement en disant : « Oui,
prends moi par là,
mais commences doucement, ça fait longtemps que personne ne ma prise comme ça
Alors prenant en main ma queue, je titillais doucement son petit trou, ce qui fut apprécié par un « Oh,
oui,
» puis je descendais et titillais le joli sillon entre les deux gosses lèvres de sa chatte et de nouveau : « Oh ,
oui, viens, .., je tattends,
»
Puis jabandonnais pour remonter vers sa rosette et là : « Arrêtes de jouer à ce jeu pervers, ... prends moi,
je tattends,
espèce de salaud, tu ne fais que mexciter,
et rien,
viens,
prends moi comme tu veux,
mais prends moi,
prends mon cul si tu en as envie,
mais arrêtes de me faire attendre,
oui,
encules moi,
si cest que tu eux que je tu veux que je te dises,
je me suis préparé pour toi,
tavais aimé,
»
Je me présentais donc et enfonçais gentiment sa jolie rosette, qui résista un peu, mais souvrit rapidement avec un long soupir de satisfaction de sa propriétaire. Cramponné à ses hanches je commençais lentement mes va et vient puis accélérais le rythme.
« Oui,
continues,
cest bon,
oui,
jaime quand tu me prends comme ça,
quand tu me montes dessus,
OOHH que cest bon,
ne arrêtes pas,
ça fait si longtemps,
oui, je suis ta chienne,
jen ai tellement besoin,
encore,
»
De façon à essayer de la faire grimper aux rideaux, alors quelle était bien partie, je me retirais dun seul coup. La réaction ne se fit pas attendre dautant plus intense quelle était bien chaude.
« Quest-ce que tu fais,
non finis moi,
tu peux pas me laisser comme ça,
mais,
»
Avant quelle ne réagisse plus avant, cest à ce moment que dun solide coup de rein je pénétrais sa chatte, ouverte, chaude, coulante telle une fontaine : « Oh,
salaud tes content de toi,
tu voulais que je te supplie,
OOHHH,
cest bon,
remplis moi,
je te sens,
cest bon,
continues,
ne tarrêtes pas,
je sens que ça vient,
OUIIIIIIIII,
retiens toi,
cest bon,
je JOUIIIIIIIS ?
»
En même temps alors que je venais de tout lâcher, elle avait eu un beau spasme. Alors je lui claquais généreusement ses belles fesses, instantanément elle se contracta, ce qui entraina une seconde giclée, ce qui me vida.
Nous écroulâmes sur le lit, le souffle court, puis se retournant vers moi : « Tu es content de toi,
tu fais de moi ce que tu veux,
taimes que je te supplie, hein,
je tadore,
»
Puis se levant : « Jespère que tu minvites à déjeuner ? »
Moi : « Certainement, tu viens comme ça ou en trench coat, parce que si tu viens en trench coat, le maitre dhôtel est très stylé, il se fera un plaisir de taider à lenlever, et je pense que les clients seront heureux
»
Elle : « Ne tinquiète, jai de quoi mhabiller dans mon grand sac »
En effet, elle sorti un ensemble en jersey beige clair et dit : « Je monopolise la salle de bains »
Pendant ce temps, je me ré habillais et rangeais un peu la chambre.
Enfin Evelyne sortit, son ensemble lui allait fort bien et mettait discrètement ses formes en valeur.
Moi : « La classe,
toujours aussi élégante et
oui élégante »
Elle : « Pas plus que élégante, je rêvais mieux
»
Moi : « Tu veux que je te dise que tu attires toujours les regards, que tu fais toujours envie? »
Elle : « Oui, cest mieux,
»
Moi : « Jai compris,
tu es très baisable,
contente ?
Elle : « On peut pas dire que cest spontané, mais je men contenterais,
on va manger ? Jai faim »
Alors quelle se dirigeait vers la porte de la salle de la chambre, son joli cul roulant agréablement, je la rattrapais et me collant à elle je prenais ses seins à pleines mains et les caressais.
Elle : « Tu crois que cest le moment,
arrêtes,
si tu continues,
OH »
Le OH provenait du fait que javais, rapidement, remonté sa jupe et une main sétait glissée entre ses cuisses à lassaut de son puits damour, sans protection, que je caressais avec insistance, mais rapidement elle resserra les cuisses en disant : « OH,
non,
tu vas froisser la jupe,
jai faim, tu auras tout ce que tu voudras après »
Et nous quittâmes la chambre, pour aller déjeuner.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!