Fruits Mûrs 1 Jeannine Aime La Pine

Lorsqu’elle entra dans le hall de l’hôtel, je n’eus aucune peine à la reconnaître. J’avais encore de la peine à comprendre comment cette chance m’était tombée dessus: avoir pour mission de dévergonder une femme mûre au caractère bien trempé, selon les voeux de son mari.
Je ne pensais pas qu’on pouvait désirer être cocu, au point de sacrifier une partie de ses vacances, en donnant pour mission à un inconnu d’accompagner sa femme.
Il m’incombait d’expliquer à Jeannine - c’était le nom de cette rousse fière et un peu sèche de prime abord - que son mari avait du partir d’urgence, à l’appel d’un ami qui se trouvait dans la plus grande détresse.
Le couple avait décidé de se séparer quelques heures pendant leurs vacances, l’un s’adonnant à son sport préféré, l’autre faisant les boutiques. Lorsque Jeanine reviendrait à l’hôtel, j’aurais pour mission de lui expliquer l’absence de son mari. Je devais être assez malin pour entrer en contact avec elle.
J’avais bien appris ma leçon, et tranquillisait tant bien que mal la jolie dame mûre, qui était passée de la colère à l’exaspération, puis à l’étonnement, et répétait en boucle les mêmes réflexions perplexes.
Nous discutions depuis vingt minutes, assis face à face dans les canapés profonds du hall de l’hôtel.
- Il est allé retrouvé une petite grue de ses connaissances. Son histoire ne tient pas debout.
Devant l’expression concentrée, sérieuse de la dame, qui semblait avoir amassé de lourds nuages de colère et de souci autour de son opulente chevelure rousse, je tentai de lui dire quelques douceurs avec la plus grande prudence. La vision de Jeanine soudain affalée dans le canapé profond m’effleura l’esprit. Je me vis face à elle, lui relevant les jambes. Je la voyais presque couchée, mais le menton rabattu sur la poitrine, dans une position rendue inconfortable par le dossier du canapé. Je m’imaginais en train de goûter du bout du gland la texture de ses muqueuses vaginales.

Je pouvais me représenter la sensation de mon gland, posé à l’entrée de la vulve sèche de la dame à moitié scandalisée, mais dans le sexe se mettait à baver contre la volonté de sa propriétaire, à force d’être sollicité par les assauts répétés, doux mais fermes de ma queue. Sous les feux de son regard, je me délectais par des avancées progressives et laborieuses de la douceur du vagin de Jeanine.
- Ne vous inquiétez pas, Madame. Votre mari s’est sans doute absenté pour de vraies raisons. Je n’imagine pas qu’on puisse avoir la moindre envie de tromper une femme telle que vous. Ne doutez pas un instant de votre pouvoir de séduction. Il est très puissant.
- Que pouvez-vous dire de mon pouvoir de séduction? A votre âge…vous ne pouvez vous mettre à la place de mon mari. Vous êtes bien gentil de me parler ainsi, mais ce ne sont que des mots, des formules. Vous ne pouvez pas ressentir envers moi quoi que ce soit qui relève du domaine de la séduction.
- Alors là, Madame, je vous arrête…je vous jure qu’en cet instant, je savoure votre présence. Je serais ravi de continuer cette conversation avec vous, mais sur la terrasse. Il fait beau, et nous serions bien mieux dehors. Permettez-moi de vous offrir un verre.
- vous êtes galant, jeune homme, dit Janine, en décroisant et recousant les jambes. On pensera: -voilà un garçon qui est très gentil avec sa maman.
Elle passa une main dans son abondante chevelure rousse, une chevelure de lionne, de séductrice, qui contrastait avec son maintien sévère.
- Savez-vous que je n’ai eu de relations intimes qu’avec des femmes plus âgées que moi?
Nous nous étions levés.
- Plus âgées…de combien ? Dix ans?
- jusqu’à 25 ans!
Elle s’arrêta, comme si une laisse invisible l’avait immobilisée

- Vingt cinq ans, répéta-t-elle, lentement, sans expression. Eh bien, eh bien…ajouta-t-elle, stupéfaite. Vous êtes un phénomène.
- Pas tant que cela. Si vous me permettez d’évoquer ce sujet un peu scabreux, sachez que, comme tous les hommes, je ne vais pas sur internet que pour consulter les archives des paroisses protestantes.
Tous les sites de photos érotiques proposent de larges
galleries consacrées aux femmes mûres.
Nous avions pris place sur la terrasses. Jeanine restait songeuse. Elle avait perdu son maintien d’institutrice contrariée et soupçonneuse. « Cet homme a eu des relations intimes répétées, et sans doute intenses, avec des femmes de mon âge, voire plus âgées. Ce plaisir qui les a fait vibrer, je le sens parfois couver dans les tréfonds de ma chatte, il se réveille en grésillant autour de mon clitoris. Je suis une dame sérieuse et digne, mais dans ma culotte, une bouche verticale dans son manchon de fourrure s’ouvre parfois pour crier famine. J’aime diriger le jet de ma douche sur mon bouton…même si je ne m’y attarde pas comme une collégienne. » Ces réflexions, sous une forme vague, en-deça du langage, faisaient irruption dans son esprit. Une curiosité pour le sexe, l’envie de se sentir encore vivante dans ce domaine, remontèrent à sa conscience comme une lourde bulle à la surface d’un étang, ou plutôt comme une lave sexuelle, répandue à travers des strates géologiques soudain friables.
Jeannine n’avait-elle pas eu quelques amants, comme son époux le soupçonnait?
Je pouvais bien m’imaginer que, sous le glacis des bonnes manières, cette dame aux seins généreux et doux comme des melons se les était fait presser dans la salle de bains d’un hôtel comme celui-ci. Nue devant la glace, penchée en avant, son amant n’avait pas eu la patience d’attendre dans la chambre. Il s’était plaqué, nu lui aussi, le sexe arqué, contre la douce rotondité des fesses de Jeannine. Ces fesses contredisaient les manières de la dame. Elles étaient chaudes, douces, opulentes. La chasteté de Jeannine avait cédé comme une membrane qu’on déchire, en cette heure furtive de plaisir interdit. La fente cachée sous la chair des fesses s’était brusquement ouverte sous la poussée du membre de l’homme. Un enfoncement d’une seconde sur une dizaine de centimètres avaient suffi à convertir la jolie vieille dame en adepte de la bite, en salope assoiffée de plaisir, comme si, en cette seconde, sa personnalité, construite pendant toute une vie, s’était écroulée comme un château de cartes, pour faire place à une femme inconnue, qui avait pourtant toujours été là, une deuxième Jeannine, pleine de mouille, heureuse d’avoir de gros seins, une Jeannine à la peau douce, qui désormais s’arrangerait pour se faire fourrer régulièrement par de la bonne queue.

Jeannine se passa la main dans les cheveux. La question qu’elle me posa, malgré son apparente retenue, supposait de sa part une énorme curiosité pour l’aspect purement sexuel de mes relations avec mes vieilles amantes.
- Ces femmes dont vous parlez, c’étaient plutôt des amies, un peu comme des mamans?
J’entendais sa véritable question: « Avez-vous vraiment joui dans les fesses de la vieille Brigitte, que vous me décrivez comme une dame chic au chignon blond? Avez-vous eu envie de laper les fentes de ces dames, étiez- vous pleinement satisfait après une séance de sexe avec ces vénérables grand-mères? Un jeune homme comme vous avait-il plaisir à se faire sucer par quelqu’un comme Brigitte? A 75 ans, cette bourgeoise se donnait-elle la peine de bien faire aller sa langue sur vos boules, sa langue était-elle bien douce lorsqu’elle vous gobait le gland, pour autant que cette scène ait existé? »
Je n’allais pas détruire l’atmosphère confiante et intime qui se tissait peu à peu avec ma rousse interlocutrice en devenant trop concret.
Au lieu de répondre: - Brigitte m’offrait ses fesses tous les jours, son petit anus m’a pompé une quantité incalculable de foutre. Katharina mouillait comme une truie, Monique me léchait le cul gentiment, Solange jouissait immanquablement chaque fois que je la montais, et arrivait même à gicler très loin quand je stimulait son point g. Une grand-mère fontaine aux gros nichons, petite, soignée, se faisait touiller le vagin par la main d’un jeune homme concentré, passionné de l’entendre rugir en giclant comme une possédée.
- Je n’ai jamais connu d’amantes aussi ardentes que Brigitte. Avec elle, j’ai vécu tout ce dont un homme peut rêver dans un lit.
Jeannine ne répondit pas, mais regarda sa montre d’un geste brusque, et se remit à se plaindre de son mari.
Ce n’est que plus tard que je guidai la conversation vers des domaines plus sensuels, par d’amusantes et élégantes taquineries.
Je finis par avouer à Jeannine que j’avais écrit de nombreux récits obscènes, décrivant dans le détail tous mes ébats avec mes vieilles amantes.
Stratégiquement, je me rétractai.
- Je ne pourrais pas vous dire comment trouver ces textes, bien qu’ils soient en ligne. C’est trop cru, cela vous choquerait.
Lorsque vint le moment de regagner nos chambres respectives, j’indiquai à Jeannine, comme à contre-coeur, comment accéder à ces textes.
- Je vous aurai prévenue…j’espère que vous ne me bouderez pas demain matin, si vous me croisez dans l’hôtel.
- Certainement pas. Je vais lire tout cela, cela va m’occuper.
Seul dans la chambre, je téléphonai comme convenu au mari de Jeannine. Il était ravi de la tournure des évènement. Je lui disais que sa femme était en train de pencher son front sévère sur mes textes cochons. J’imaginais que, à quelques mètres de là, ses prunelles parcouraient ces lignes dégoulinantes de sperme et de vice que j’avais étalées dans plusieurs site. A cette idée, je caressai ma tige bien raide. Le mari de Jeannine imaginait sa femme au lit, les sourcils un peu écarquillés, ayant mis ses lunettes pour lire au lit, tout en ayant involontairement relevé les draps pour se masturber.
Le lendemain, j’entrai vers la salle du petit-déjeuner en même temps que Jeannine. Elle m’invita à sa table, ce que je trouvai d’excellent augure.
Face à moi, elle me fixait d’un regard brillant.
- Eh ben alors…
Elle pensait à ce qu’elle avait lu. On aurait dit qu’elle voulait faire planer un doute, prendre une hauteur indignée devant ce flot de textes qui n’évoquent à chaque ligne que des succions, des sexes coulissants l’un dans l’autre, de la moule très âgée, de la jeune bite, des dames et un jeune homme qui, contre toute attente, au lieu de simplement converser poliment, se bouffent la rondelle voracement, tête-bêche, dans des lumières tamisées.
- C’est troublant de voir autant de désir pour des femmes…de mon âge, avoua Jeannine, songeuse. J’avoue que je ne suis pas une sainte, mais j’aurais de la peine à vivre des scènes aussi crues, à me sentir ravalée au rang d’objet sexuel.
- Il ne faut pas voir les choses ainsi. Pour ma part, je suis prêt à mon tour à servir, comme un objet, au plaisir de la dame. J’étais même très excité lorsqu’elles pouvaient m’utiliser pour le plaisir, je les poussais à le faire.
- Je comprends, mais c’est tout de même dégradant.
- De la part de certains hommes, peut-être, mais dans mon cas, j’étais capable de passer deux heures bien salaces avec une femme, et lorsque nous nous étions rhabillés, de refermer ce chapitre pour parler de tout autre chose, pour échanger des idées, pour nous promener.
Voilà pourquoi les maris de ces dames ne soupçonnaient rien. Ils voyaient bien que j’entretenais une véritable entende avec leurs épouse…avec des parenthèses torrides. Ce que nos langues faisaient, elles ne le dévoilaient pas. Rien n’était plus stimulant pour moi que de recevoir du plaisir de la bouche d’une jolie dame très digne, en cheveux blancs, au côté de laquelle je pouvais converser en société, bien droit sur mon fauteuil, sans que personne ne puisse soupçonner que, sous le tailleur impeccable de la dame, se cachaient une poitrine qui m’avait procuré les plus vives sensations quelques heures avant. Vous voyez ce que je veux dire…
- Vous voulez dire que des vieilles dames vous faisaient des branlettes espagnoles? lança Jeannine en me regardant droit dans les yeux.
J’étais estomaqué. Jeannine me dévoilait la lionne perverse qui somnolait derrière la dame réservée.
- Je vois que vous êtes bien plus connaisseuse que vous ne voudriez le laisser paraître.
Elle haussa les épaules avec une certaine coquetterie.
- A mon âge, ce serait grave qui je n’avais pas vu quelques sexes d’homme se répandre pour moi…Cette poitrine en a fait tout de même dresser quelques uns.
- A commencer par celui qui est en face de vous…
- Petit flatteur…mais vous savez, ce sont de vieux souvenirs. Je ne voudrais pas d’un amant régulier, qui s’attache à moi.
- C’est bien compréhensible. Mais que diriez vous de quelques caresses qui vous feraient du bien, sans que cela puisse porter à la moindre conséquence.
- Je vous jure que non.
- Ah, parce que cet homme qui me procurerait ces caresses, ce serait vous?
Plus tard, je la raccompagnais dans sa chambre. Nous ne nous étions pas touchés.
- D’accord pour un petit moment…mais juste des caresses.
- Selon vos souhaits.
Jeannine ouvrit la porte de sa chambre. Je la suivis, tout palpitant. Je regardais le déhanchement de ses hanches généreuses. Je m’imaginais en train de parler ses fesses mûres et toujours pleines. J’imaginais sa fente, blottie dans des poils roux, ou peut-être grisonnants.
Elle ferma les stores, enleva ses bottines, et se coucha sur le lit, toute habillée. Je m’approchai. Le silence était pesant. Je voyais la grosse poitrine de Jeannine qui gonflait son chemisier. Emu, je commençai de caresser ses jambes en remontant le long de ses bas.
- Je vous laisse faire. Vous m’avez parlé de caresses. J’attends.
- Il me faudrait faciliter certains accès.
Ma voix brisait le silence peine. Je craignais un refus.
Lorsque j’avançai sous la jupe de Jeannine, elle remonta le bassin, m’encourageant à faire glisser sa culotte.
Ma main rencontra la peau de ses cuisses un peu grasses, et tira sur une culotte en satin que je déposai au pieu du lit. La septuagénaire écarta imperceptiblement les jambes, n’osant pas franchement les ouvrir pour m’inviter à la lécher. Elle devait trouver que cela faisait trop chienne. Et pourtant, c’est ce qu’elle voulait.
A plat ventre, j’écartais encore un peu ses jambes, et passa un premier coup de langue sur sa vulve. Dans la pénombre, je n’atteignis d’abord que des poils. Je m’avançai à nouveau, la pointe de la langue à la recherche du clitoris. Dès qu’elle l’atteignit, la vieille dame plantureuse se cambra comme sous l’effet d’une secousse électrique.
Je la sentais très sensible du clitoris. Craignant d’irriter le bouton de Jeannine, j’entrepris de lécher plus bas, avec des coups de langues souples.
Au début, la dame de réagit pas. Je me demandais si mes léchages n’étaient pas inefficaces, lorsque Jeannine se mit à trembler imperceptiblement.
- C’est bien comme ça? Demandai-je comme une petite pute mal assurée.
Pour toute réponse, Jeannine porta une main autoritaire sur son clitoris pour le branler.
- Lèche.
C’était succinct comme réponse, mais clair. Je léchai.
Je ne savais pas dans quelle proportion l’humidité de la vulve de la vieille dame venait de sa mouille, ou de ma salive. Pour m’en assurer, je raidis ma langue pour l’enfoncer comme une petite bite dans son vagin.
D’une main, sans arrêter de se branler, Jeannine me repoussa doucement, m’encourageant à lécher régulièrement.
C’est ce que je fis, sagement, consciencieusement.
Je voulus lui lécher la rondelle, mais Jeanine m’arrêta d’un «  non, pas là… »
Je remontais vers la vulve.Je léchais la jolie grand-mère qui se masturbait les yeux fermés, ravie de se faire déguster les lèvres et l’entrée du vagin.
Elle se mit à jouir, presque silencieusement, en laissant échapper des « ho…..ho… »brefs et rauques. Son bassin continuait d’onduler, alors je léchais toujours. D’ailleurs, sa main baguée agaçait toujours les pourtours de son clitoris. Les « ho …ho »..revinrent une deuxième, puis une troisième fois. J’avais la bouche pleine de mouille, la mouille d’une vieille salope.
Je me relevai, et sortit ma queue.
- Non, je ne veux pas, murmura Jeannine, encore sur son petit nuage.
- Juste pour me caresser, vous m’avez tellement excité.
- Alors d’accord…caresse-toi, fais-toi jouir.
C’était du gâchis. J’aurais adoré fourrer Jeannine.
- J’aimerais voir vos seins.
- Tu veux les voir? Répéta-t-elle, comme si elle avait envie de se faire prier.
Elle se déboutonna. Je sortis deux globes laiteux, adorablement ronds. Elle ne quittait pas ma bite des yeux.
L’éruption furieuse de mes couilles sur ses seins lui arracha un sourire. Après avoir découillé, je ne savais pas trop quoi faire. Jeannine ne voulait manifestement pas m’embrasser. Elle avait vu une grosse bite encore jeune juter sur ses gros melons de salope. C’était tout.
Elle me congédia, et me raccompagna jusqu’à sa porte, à moitié dépoitraillée, après avoir essuyé le sperme sur ses seins.
J’eus droit à un petit baiser tout sec et claquant sur le bout des lèvres. Avant de partir, je lui lançai:
- N’hésitez pas à frapper à ma porte si vous avez besoin de compagnie.
Elle me répondit d’un hochement de tête qui voulait dire « n’y compte pas trop! »
Pourtant, quelle ne fut pas ma surprise, vers la fin de l’après-midi, de recevoir un coup de fil dans ma chambre. C’était Jeanine.
Elle dit simplement:
- Tu peux venir si tu veux.
En trois bonds, j’étais derrière sa porte. En entrant, je la devinai plus que je ne la vis dans la pénombre. Elle m’attendait sur son lit, les jambes à l’air, un peu écartées. Elle avait gardé un petit chemisier, qui n’était fermé que de quelques boutons. Ses gros seins débordaient.
Je pensais qu’elle voulait de nouveau se faire laper la chatte, et me mis immédiatement à plat ventre pour lui déguster la fente.
Après quelques coups de langue, elle me repoussa, et désignant son pubis, me demanda:
- tu veux?
Pour toute réponse, je me mis à poil, et dirigeai mon sexe vers sa fente.
- Il faudrait peut-être du lubrifiant. Je suis un peu sèche.
- Je vais rester comme ça, à l’entrée…on prendra tout notre temps.
A genoux, je maintenais mon gland d’une main, sans forcer, doucement appuyé entre les lèvres intimes de la vieille dame.
Ses cuisses étaient ouvertes. Avec ses gros seins, elle me faisait penser à un bon fruit mûr, une matrone en rut. Le bout de mon gland ressentait suffisamment de plaisir à rester planté là, entre les lèvres de la chatte de Jeannine, pour que se maintînt mon érection.
Jeannine avança une main vers ma queue.
- Comme elle est grosse. Elle reste dure, le temps qu’il faut…
L’objet en question gagna quelques millimètres dans le vagin de la dame. Nous avons poussé un soupir au même moment. Encore quelques instants, et ma tige serait enfoncée jusqu’au couilles dans le con de la plantureuse salope. Je contemplais son fier visage, ses seins généreux, dégustant la lente montée de ma semence, qui viendrait napper la vagin de Jeannine.
Après avoir joui, Jeanine me congédia, un peu moins sèchement que le matin.
Le soir, nous nous retrouvâmes à la même table que la veille.
- tu sais, j’aimerais vraiment que ce qui s’est passé aujourd’hui reste une parenthèse.
Je la tranquillisai comme je pus, et soulignai le plaisir qu’elle avait pris à se faire enfiler.
- Oui, mais si nous recommençons, nous allons devenir un couple, les problèmes vont commencer. Je l’ai déjà vécu, et cela, je n’en veux plus.
Je me mis à la rassurer en les proposant de se pervertir plus profondément.
- tout ce qui se passera dans votre chambre y restera, ce ne seront que des instants de folie. Je vous laisserai mon numéro, mais ne ferai jamais la moindre tentative pour vous contacter. Savez-vous que ce jeune serveur qui vient de passer va repartir au Brésil la semaine prochaine? Pourquoi ne pas organiser un trio bien salace avec lui?
Voilà ce que j’expliquais en substance à Jeanine. Elle songeait au jeune sommelier d’à peine vingt ans qui venait de passer. Il nous avait servi la veille sur la terrasse. J’avais tout de suite senti que c’était un gourmand, un baiseur. Il avait une façon complice de me regarder qui ne trompait pas. Jeanine ne put résister à l’idée de se dévergonder avec le jeune Pedro ( c’était son nom ), et celui-ci n’eut pas besoin de se faire prier pour venir lutiner une belle dame mûre. Ce qui m’avait mis la puce à l’oreille, c’était son attitude pour le moins ambiguë avec une cliente, une dame seule pourtant peu avenante. Ce jeune homme devait user de ses charmes comme un gigolo.
Jeannine avait mis des conditions pour le recevoir dans sa chambre. La lumière devait être tamisée. Elle ne voulait pas discuter avec lui au grand jour. Elle acceptait simplement de se faire monter par lui, comme dans un rêve.
C’est ainsi qu’après avoir léché Jeannine, je commençai à la chevaucher, sans aucune fantaisie. J’étais toujours aussi excité de saillir cette bourgeoise bien mûre, qui se laissait monter beaucoup plus facilement que la dernière fois. Nous fûmes interrompus par de légers coups à la porte.
Je me retirai de Jeannine, la bite encore gluante, et vint ouvrir à Pedro.
Svelte et félin, celui-ci se déshabilla en un clin d’oeil. Sans dire un mot, il se tint debout devant le lit, gracieux comme un danseur. Il commença à sa masturber.
Jeannine n’était vraiment pas suceuse dans l’âme, car elle aurait eu beaucoup de plaisir à prendre cette jeune tige dans sa bouche austère. Elle aurait pu me lécher nos glands par des coups de langues salaces et intermittents, nous offrant le magnifique spectacle d’une vieille dame chic léchant comme une pute, d’une bite à l’autre, ou gobant les deux glands à la fois.
Aurais-je jamais le privilège de contempler Jeannine en train de sucer, Jeanine avec une queue dans la bouche, me regardant d’un oeil vif et volontaire en se roulant dans le vice.
Jeanine porta la main sur la queue de Pedro. Je m’avançai de l’autre côté du lit, afin qu’elle puisse également me toucher la bite. C’était un plaisir de voir la jolie vieille dame branler deux bites avec de petits gestes secs et assez maladroits. Elle était excitée par l’idée de ce qu’elle faisant, elle, à plus de soixante-dix ans, branlant une homme de quarante ans et un autre de vingt. Elle aimait se voir en vieille salope, mais ne cherchait pas réellement à donner du plaisir à ses amants. Jeannine branlait très mal.
Pedro monta sur elle comme je l’avais fait. Je vis ses fesses musclées monter et descendre sur la grand-mère aux cuisses écartées comme une grenouille. Il éjacula après une longue chevauchée progressive et efficace, qui fit monter les soupirs de Jeannine.
Après avoir fini, il se rhabilla, me claqua de la paume de la main dans la mienne avec un air complice, et sortit comme s’il avait tiré une pute.
Pedro avait baisé la vieille dame avec une capote. J’enfilai Jeannine sans préparation, la queue nue. Elle savait qu’elle n’avait rien à craindre, mes dernières amantes ayant été de vielles dames frustrées qui n’avait pas baisé depuis longtemps. Jeannine restait sur le dos. Cette absence de fantaisie dans les positions paradoxalement m’excitait. J’avais l’impression de baiser une pute selon mes goûts, une pute mûre, atypique, distinguée, qui se laissait poinçonner la chatte passivement.
J’accélère un peu la vitesse du récit, qui sans cela s’étirerait trop.
Mise en confiance, Jeannine me laissa mettre en scène une séance de sexe à plusieurs dans sa chambre pour le lendemain soir.
Pedro avait discuté avec ses collègues. Je pouvais compter sur la présence d’un jeune coréen, ainsi que d’une femme de ménage boulotte, une petite brune de vingt-cinq ans qui s’appelait Rosa.
Je pensais que Jeannine n’aimait pas les femmes. Aussi lui demandai-je de se bander les yeux.
La jeune Rosa entra dans la chambre avec le coréen. Elle n’était pas gâtée par la nature. Ses traits assez lourds s’harmonisaient avec son corps qui ne l’était pas moins. Sa bouche exprimait une avidité sensuelle communicative. A genoux sur le lit, je caressai les seins de Jeannine, qui avait commencé de se masturber doucement, les yeux bandés.
Leste comme une chatte, malgré son poids, la jeune Rosa se plaça avec détermination entre les jambes de Jeannine, et se mit à la lécher avec une grande délicatesse.
On sentait qu’elle en avait l’habitude. Elle devait toujours avoir léché des camarades féminines, ou des collègues de l’hôtel. Elle avait du persuader plusieurs femmes de chambre de se laisser consoler de leurs déboires sentimentaux en se faisant déguster la moule par la langue experte de Rosa.
Elle léchait Jeannine avec une langue détendue, large, lente et méthodique. Brusquement, sa langue se faisait plus pointue, et tourbillonnait par petits coups autour du clitoris.
Jeannine était aux anges.
Je m’approchai de son oreille pour lui murmurer:
- C’est une femme qui vous lèche.
Elle eut un soupir choquée, avec une pointe de réprobation mêlée à une nouvelle vague d’excitation.
Je me mis à califourchon sur Jeannine, et me branlai entre ses seins comme sur une vieille pute. Elle n’était pas attentive aux va-et-vient de ma bite, et tentais de regarder la grosse fille qui s’en donnait à coeur joie, bâfrant comme une cochonne dans la moule de Jeanine. Celle-ci faisait une grimace où se mêlaient le plaisir, l’étonnement, une pointe de dégoût, ainsi qu’une pointe de joie dominatrice.
Lorsqu’elle eût joui, le garçon coréen s’approcha pour la caresser comme un masseur expérimenté.
Jeannine se laissa faire lorsqu’il la fit se retourner. Ses fesses bien charnues me faisaient bander. Le garçon lui fit replier une jambe, afin de lui prodiguer je ne sais quel massage de son pays. A plat ventre, Jeannine offrait l’image délectable d’une chevelure ondoyante et rousse, se déployant sur son dos. Ses fesses me donnaient envie de les écarter, de les lécher la rondelle. Je me souvint qu’elle avait refusé cette caresse le jour d’avant.
Le garçon lui masse les fesses. La lionne se mit à ronronner. Il écarta les globes généreux, et se saisit d’une petite bouteille d’huile qu’il avait posée sur la table de nuit. Il finit par masser l’anus de Jeannine.
Elle ne résista pas lorsqu’il la plaça comme une grosse poupée dans une position plus désarticulée, et qu’il se positionna pour la pénétrer. Il avait sorti une mine mince et tendue, qu’il posa sur le trou du cul de Jeannine.
- Non, ça ne va pas aller…je ne fais pas ça…dit-elle, la voix étouffée par l’oreiller.
- Je vais très doucement, juste le bout, insista doucement le garçon.
Sa queue était idéale pour déflorer la cul de Jeanine. En un seul geste, son gland avait déjà disparu dans l’anus de la dame.
- Putain, mais il l’encule! dit Pedro.
La grosse Rosa le saisit par la queue, et me fit signe d’approcher. Elle se mit à nous sucer tous les deux, mettant parfois les deux glands dans sa bouche, tandis que Jeannine commençait à soupirer, complètement enculée par son nouvel amant.
J’eus envie d’en faire autant avec Rosa. Je la retournai, et sans préparation, positionnai ma queue à l’entrée de son cul.
Cette grosse cochonne devait se faire enculer souvent, car ma bite entra facilement, lubrifiée par la salive de Rosa.
Le garçon coréen gémit en giclant dans le cul de Jeannine.
Excité, Pedro s’avança vers elle, la retourna en se branlant, et gicla sur ses gros seins.
Le mari de Jeannine devint fou d’excitation lorsque je les racontai par le détail toutes les étapes de cette orgie. Je n’étais jamais assez cru, assez précis. Il ne se lassait pas d’entendre la description de sa femme enculée.
Le lendemain, il était venu la retrouver à l’hôtel. Ils avaient dû se lever très tôt, ou très tard, car je ne les vis pas au petit-déjeuner, ni dans l’hôtel.
Trois jours plus tard, le mari de Jeannine m’invitait chez lui pour une soirée salace.
J’acceptai l’invitation. J’entendais la voix lointaine de Jeannine qui disait: « Transmets-lui mes salutation. » Ce que fit son mari.
Elle ajouta quelque chose que je ne compris pas, mais qu’il me répéta:
« Elle m’a dit de vous dire qu’elle va bien vous sucer, qu’elle a fait des progrès…. »
En posant le téléphone, je m’abstins de me masturber jusqu’au bout, car je souhaitais gicler la plus grande quantité possible de foutre sur les nichons de Jeannine.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!