Terma 104 : Mon Stage Pratique À La Ferme Agricole Pilote (3)
Vers 18h, dans ma chambre, Si Larbi vint me voir pour quon planifie notre soirée, mais je lui ai dis que javais encore plus mal au cul quhier et je demande le repos complet pour cette nuit. Toujours sage et compréhensif, il approuva et repartit vers ses copains. Plus tard, dans le restaurant collectif, jai diné seul, en réalité jai peu mangé car le casse croute de Boubekeur mavait rempli le ventre, comme son zeb qui mavait rempli le cul. Je suis retourné ensuite à ma chambre me suis mis au lit, de peur que Si Larbi ne change davis. Et dès 22h30, à poil et excité sous mon jogging, je suis allé roder du coté des cuisines, cétait déjà désert, seule le commis des vaisselles et poubelles finissait son travail, puis il éteint les lumières et sen va vers les dortoirs. Je me suis glissé vers les cuisines désertes, puis vers le fond où jai poussé la porte. Ensuite jai continué dans le magasin et jai enfin trouvé une seconde porte que jai ouverte. Si Boubekeur était la, couché le dos au lit, et mattendant, entièrement nu, empoignant son zeb gonflé qui pointait haut à la verticale. Il mengueula presque mais en rigolant, me disant que jétais en retard et que son zeb était impatient. Rapidement je me suis mis à poil et je lai rejoins sur le lit. Jai empoigné son zeb et jai dabord commencé à le sucer, le lécher et branler pour le lubrifier tendant mon derrière du coté de Boubakar qui en profita pour me caresser, me masser, me peloter et même me brutaliser les fesses. Il enfonça ses doigts dans ma Terma pour me branler le cul, aussi profondément que ses doigts pouvaient le faire. Cétait excitant et possessif, mon cul lui appartenait totalement.
Mais de lautre coté, son zeb était chaud, dur et prêt pour moi. Alors, je me suis mieux positionné, lui tournant le dos, et assis sur son bas ventre, les cuisses de part et dautres et jai avancé de façon à pointer de ma main, son zeb exactement sur mon anus. Je lai enfoncé un petit peu, juste pour me pénétrer de sa grosse tête.
Il se recoucha dos sur le lit et me dit, maintenant tu peux te niquer toi-même et traita ma Terma de putain, alors jai commencé à danser avec mon cul, sur son zeb, le faisant frotter et fouiller tous les coins de mes entrailles, cherchant les chairs les plus sensibles. Mon corps dansait et je gémissais fort et en continu et sans tenir compte du bruit que nous faisions. Pendant un long moment de plaisirs et de jouissances, jai aimé ce zeb qui maffolait de sa grosseur, sa douceur et sa dureté en même temps, qui me possédait et me remplissait entièrement le cul. Je le sentais dans ma chair interne quil se gonflait de plus en plus ainsi que ses chocs presque contre mon ventre tellement il sétait allongé au maximum. Puis, cest Boubakar qui ma avertit quil allait éjaculer, alors jai accéléré mes sauteries haut et bas sur son zeb et soudain ce fut lexplosion, lavalanche, le torrent de ses éjaculations et je me suis bloqué, complètement collé au bas ventre de mon homme. Trois puissantes éjaculations abondantes accompagnées par de violents coups de reins et hurlements de Boubakar. Puis le silence, seulement les halètements de lhomme qui satténuaient lentement et mon cur qui se calmait petit à petit, nous sommes restés ainsi durant un bon moment.
Ce tableau lui a donné envie de me niquer à sa guise, en classique, par derrière, car il me secoua, se leva et me positionna à genoux sur le lit, ma tête sur le matelas et ma Terma en lair, les cuisses largement écartées. Et lui, bien calé à genoux derrière moi, il pouvait utiliser toute ses puissances, de ses reins et de son zeb, pour me niquer à fond. Et il démarra, enfonçant dabord son zeb dans mon cul, dun coup de reins violent. Il senfonça en moi jusquaux couilles et son ventre claqua sur mes fesses. Comme chaque fois, ce geste brutal me fit hurler à fond et mon cul, malgré les restes de sperme, explosa de jouissances. Puis, il me défonça à la puissance de ses coups de reins et me remplissait le cul à la grosseur, longueur et épaisseur de son zeb. Il alternait ses vas et viens. Parfois, ses glissements sont lents pour bien frotter son zeb contre la chair interne de mon cul, et je savais que cela augmentait ses jouissances et aussi les miennes. Et parfois, il y allait à font et en vitesses nous créant des chocs dans les enfoncements violents de son zeb jusquaux couilles et aux fins fond de mes entrailles. Alors là, nous gueulions tous les deux en phase, sans tenir compte de notre environnement. Il marmonnait aussi des choses et rigolait, il avait du plaisir, cest certain, ma large Terma entre ses mains et la chaleur de mon cul à son zeb semblaient lui provenir et lui plaire, peut être mieux, comme il a dit, que les eux autres Terma à sa disposition.
Il est en position, de viol et de dépucelage de mon cul et ça doit le motiver, et à moi aussi, dans mes fantasmes mais aussi dans mon corps où je ressentais les mêmes motivations et jouissances. Il me niqua pendant plus dune demi-heure, beaucoup plus longtemps que laprès midi, avant darriver à son top.
Ensuite je me suis retourné pour le voir. Il était encore à genoux et tenait son zeb qui se courbait un peu. Il était aussi brillant de sperme et de la mouille de mon cul, alors, à genoux, je lai pris en mains et jai commencé à le sucer et lécher pour le nettoyer, jusquaux couilles. Le sperme de mon cul coulait entre mes fesses et mes cuisses mais aussi sur le lit quil polluait et Boubakar de semblait pas sen soucier, il devait avoir lhabitude avec ses autres Terma. On est resté un long moment ainsi, moi je branlais et parfois sucé son zeb et lui restait assis sur le lit. Il semblé très content, car il mavoua quil aimait bien mon cul, qui était chaud et souple, profond et remuant et qui sétait bien adapté à son zeb. Son zeb était redevenu dur, gonflé et bien allongé à la verticale et moi je désirais quil me nique encore, mais dune autre façon, face à face, position que jai commencé à aimer car elle me donnait, non seulement une entière sodomie à ma Terma, mais aussi une plénitude sexuelle à tout mon corps. Il na pas compris, alors je me suis allongé, dos sur le lit et jai relevé haut, mes jambes et mes cuisses en les écartant. Jai saisi mon zeb et mes couilles pour les ramasser plus haut, sur mon bas ventre, cest alors que face à lui, il a vu lespace net sous mes couilles, avec mon anus bien palpitant et à sa disposition et il a compris.
A genoux entre mes cuisses, il saisit son zeb bien gonflé et le pointa sur mon anus. Ce tableau a du lexciter encore plus car il plongea avec violence son zeb dans mon anus et en hurlant quelque chose que je nai pas compris, il lenfonça et me pénétra le cul à fond jusquaux couilles.
Et, pendant une autre demi-heure, il me sodomisa, plutôt il me niqua totalement le cul et le corps et me donna un maximum de plaisirs et de jouissances comme jamais je nen ai eu durant ces deux jours. Il sétait vite adapté à ce genre de position et sintéressait maintenant à tout mon corps, pas seulement à mon cul. Même mes pieds qui poussaient ses reins étaient devenus des armes sexuelles qui lexcitaient, laffolaient et accentuaient la puissance de ses vas et viens et de ses caresses presque brutales sur mes seins et ses baisers sur mon cou, mes lèvres et ma poitrine. Il était déchainé et moi jen profitais pour recueillir le maximum de jouissances. Il a même trouvé le moyen de me pousser encore plus contre lui en mettant ses mains sur mes épaules et cela enfonçait son zeb plus profond dans mon cul. Chaque poussée sur mes épaules vers son corps nous donnait des chocs et vibrations de jouissances et moi, cétait tout mon corps, y compris ma Terma qui tremblait, qui vibrait. En somme, ce nétait plus une sodomie, mais une nayka totale et un maximum de plaisirs sexuels.
Mais toute chose a une fin et son plaisir arriva hélas. Et il éjacula encore une fois brusquement et en abondance plusieurs fois dans mon cul et jai ressentit son sperme comme sil minondait et remplissait tout mon corps. Mon corps était à lui et dans ses bras, je sentais mon corps soudé au sien, il me possédait totalement. Quant il saplatit sur moi, épuisé de ses éjaculations, je nai pas dabord senti son poids mais la douceur des poils de sa poitrine sur ma mienne et sur mes seins. Ce nest quensuite que son poids a pesé et je lai secoué et repoussé. Il sest redressé puis sest écarté à mon coté sur le lit, pratiquement étourdit et me libéra, gisant sur le lit, cuisses, jambes et bras allongés et écartés, le cul coulant de son sperme entre mes fesses et sur le drap du lit, comme tout à lheure. Je me suis levé et je me suis nettoyé le cul, les fesses et les cuisses dans ses toilettes. Je ne savais pas sil allait encore accepter de me niquer ce soir, mais moi jétais encore pour. Jétais prêt à danser sur son zeb et finir face à face avec moi dessus. Mais il sest réveillé et ma demander de me nettoyer avant de partir, alors que jétais déjà lavé. Jai compris que ma nuit sexuelle sarrêtait là.
Et ainsi, jai du le quitter alors quil restait allongé sur le lit, le zeb un peu courbé mais assez allongé sur sa cuisse droite. Je savais quil suffirais de quelques sussions et branles pour quil se redresse et devienne prêt à défoncer toute Terma affamée de jouissances. Et je suis sorti de la chambre, passant par le magasin. Cest là où jai entendu du bruit, léger certes mais je lai entendu, mais jai continué ma route et je me suis arrêté pour me cacher dans la cuisine et observant lintérieur du magasin. Et jai vu un homme sortir e lombre et se diriger vers la chambre de Boubakar, puis y pénétrer. Je suis revenu et jai essayé de voir, discrètement, la chambre qui avait la porte grande ouverte. Et jai vu lhomme qui était un jeune ouvrier qui sétait, comme moi tout à lheure, mis à poil en vitesse et sest jeté sur le zeb de Boubakar et commencer à le branler et le sucer. Boubakar lui a dit quelque chose et rigolait avec bruit. Le corps de louvrier était, comme le mien, net et sans poils, mais bien rempli surtout derrière. Il avait le corps moins blanc que le mien mais sa Terma était pleine de chair et haute, ses fesses larges et il les remuait en suçant le zeb de Boubakar. Celui-ci a allongé sa main pour la fourrer sur et entre les fesses de louvrier. Il doit chercher son anus pour le préparer à son zeb. Lhomme gémissait tout en suçant le zeb et remuait sa Terma impatient dêtre niqué par Boubakar, cet ogre des sodomies. Ce tableau et ses perspectives commençaient à méchauffer javais envie de les rejoindre pour offrir aussi ma Terma mais cétait impossible pour linstant et jai du méloigner discrètement vers ma chambre, il était passé minuit.
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