Samia - 48 Ouvrières De 3Ème Classe.
48 - Ouvrières de 3ème classe.
Un gros homme est assis derrière un bureau. Il remplit des documents. On le salue en inclinant le buste, puis... on attend... longtemps. Est-ce que ces uniformes rendent invisible ? Non, tout à coup, il nous rappelle à lordre :
Ne vous appuyez pas contre le mur et gardez toujours les yeux baissés.
Bienvenue en Chine.
Je ne lavais pourtant regardé quun instant... Jai juste remarqué quil ressemble à Bouddha... Mais il na pas le côté bienveillant et un peu dans la vape du vrai Bouddha. Au contraire, dans son large visage, ses yeux ressemblent à ceux dune mygale qui aperçoit un gros criquet distrait. À part, que cet homme na que deux yeux et pas huit. Je regarde mes pieds... Je les aime bien, mais ils nont pas beaucoup de conversations. Pour le moment, ils se plaignent parce quils nont pas de chaussures. Je bouge mon pied pour toucher le pied de Inge qui est à côté de moi... Elle répond à ma légère pression. On se réconforte un peu via nos pieds. Ils peuvent discuter entre eux... Cest le genre de bêtise qui fait passer le temps. Soudain, lhomme me demande :
Toi, la brune, quel est ton nom ?
Samia de Préville, Monsieur.
Il donne un coup de baguette sur son bureau en disant :
Ton vrai nom !! Et quand je te parle, tu dois me regarder.
Faudrait savoir ! Je réponds :
Samia Sgorski, Monsieur.
Approche !
Je vais près de lui et il vérifie si le numéro sur le collier est le même que sur ses listes. Il fait la même chose pour Giulia et pour Inge. Ensuite, il donne à chacune une feuille de papier sur laquelle il est écrit :
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Règlement concernant les ouvrières de 3e classe
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Durant mon séjour ici, je devrai obéir à tout le monde, sauf aux ouvriers et ouvrières de 3e classe, à moins quun chef en décide autrement. Je travaillerai toujours du mieux que je peux afin de contribuer à mon humble échelon à la grandeur et à la prospérité de la Société.
Si je manque à mes devoirs douvrière de 3e classe, je serai punie.
Si je suis maladroite, je recevrai 5 coups de la canne en bambou sur la paume des mains.
Si je nobéis pas assez vite, 5 coups sur les plantes des pieds ou les mollets.
Si je suis insolente ou désobéissante, 10 coups sur les fesses.
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Organigramme :
Le directeur général
5 directeurs de secteurs
50 contremaîtres
100 chefs
500 ouvriers et ouvrières de première classe
1500 ouvriers et ouvrières de seconde classe
10 chiens de garde
un certain nombre douvrières de 3e classe.
*****
Dabord, je constate quon nest pas très haut dans la hiérarchie, peut-être juste au-dessus des rats et des cancrelats ! Ensuite, ma gorge et mon vagin se sont serrés à la lecture des punitions. Le gros nous dit :
Apprenez par cur.
Il est malade lautre ? Comment il veut quon apprenne ça ?
Giulia et Inge sont déjà occupées à lire attentivement... Je commence à lire aussi. Dix minutes plus tard, il me dit :
Toi, récite le règlement.
Je commence :
Durant mon séjour, je....
Merde, jai déjà un trou de mémoire. Il se tourne vers Inge en disant :
À toi.
Elle a visiblement la trouille, peut-être même plus que nous, mais elle a retenu beaucoup plus que moi. Ensuite, cest au tour de Giulia qui a retenu lui aussi beaucoup plus de texte. Il aurait pu faire moins bien que moi, on en reparlera. Le méchant Bouddha se lèche les babines et il nous dit dun ton faussement attristé :
Je vais être obligé de vous punir, estimées ouvrières.
Cest ça, fous-toi bien de nos gueules ! On devine tout de suite que punir, cest sa passion ! Il ajoute :
Enlevez toutes votre pantalon.
On se retrouve toutes les trois les fesses à lair et serrées par lappréhension. Il caresse celles de Inge, puis celles de Giulia, joue un instant avec son petit zizi, décidément.
Si vous nacceptez pas la punition, ce sera un défaut dobéissance et cest beaucoup plus grave. Jappellerai des ouvrières pour vous tenir. Vous acceptez ?
Jincline le buste en disant :
Oui, Monsieur.
Les deux autres disent la même chose. Il faut essayer de faire ce quil veut. Il se tourne vers Inge en disant :
Couche-toi sur le ventre, les jambes serrées, les pieds bien parallèles au sol.
Dès quelle est en position, il prend son fouet rigide pour lui caresser la plante des pieds en disant :
Le premier coup sera ici. Deux coups si tu restes en position, cinq ou dix si tu bouges.
Il lève le fouet et labat au milieu des deux pieds de Inge. Elle pousse un cri et remue un peu les pieds mais reste en position. Le deuxième coup atterrit exactement sur la marque rouge laissée par le premier. Elle crie plus fort. Ses pieds sagitent dans tous les sens mais elle reste toujours en position. Il lui dit :
Maintenant, près des orteils.
Il frappe et une marque apparaît sur lavant de son pied. Elle pousse un nouveau cri, puis un deuxième quand il refrappe au même endroit. Le gros a lair de se délecter de ses cris. Il caresse les marques rouges sur ses pieds, tandis quelle gémit. Il lui dit :
Plus que deux, mais hélas, ce sera sur les talons, lendroit le plus douloureux.
Il se tourne vers nous en disant :
Tenez ses chevilles. Si vous vous la lâchez, ce sont vos pieds qui vont souffrir.
On obéit, bien sûr. On maintient fermement ses chevilles en nous reculant pour le laisser frapper. Premier coup, qui atteint le centre du talon... suivi instantanément dun cri aigu de la fille. Il explique :
Sur le talon, ça fait très mal parce que la douleur se répercute dans toute la jambe.
On sen fout, ignoble brute ! Deuxième coup juste sur le premier. Nouveau cri de Inge. Il dit :
Lâchez-la et aidez-la à se lever.
On la remet sur ses pieds. Le simple contact de ses pieds sur le sol la fait crier à nouveau. Elle danse dun pied sur lautre sur ses plantes de pieds meurtries. Le gros nous dit :
Jaime voir cette petite danse. Bon, maintenant on va faire danser... toi.
Il désigne Giulia et ajoute :
Ce sera les mollets. Tu peux danser aussi mais pas te déplacer.
Il prend une chaise sassied et frappe les mollets de Giulia. Là, elle crie bien et elle danse aussi. Son petit sexe danse dans tous les sens. Il se prend une vingtaine de coups sur les mollets qui deviennent tout rouges. Quand il sarrête, Giulia continue à gémir. Le gros nous dit :
Quel cinéma pour une petite punition. Ce sont des corrections pour les s. Dans deux jours, il ny aura plus rien ou presque... Bon, toi, viens te mettre en travers de mes genoux. Je vais être clément et te donner une fessée à la place du fouet.
Et cest mieux ? Sans doute, oui... Il rentre un peu son ventre pour que je mallonge sur ses cuisses. Ensuite il me bloque en passant une de ses jambes au-dessus des miennes. Puis il prend mon poignet droit avec sa main gauche et le maintient sur mes reins. Je suis complètement immobilisée. Il caresse mes fesses en disant.
Jadore les grosses fesses des Occidentales. Ici, les filles ont des petits culs.
Je men fous, je veux descendre !!
Paf ! Je reçois une bonne claque sur les fesses et puis une autre, puis des dizaines dautres. Il frappe fort, ça fait mal, je crie, je pleure, je supplie.... Enfin, il sarrête essoufflé... Il me lâche pour mannoncer :
Ooh, cest pressé, là. Viens vite te mettre à genoux entre mes jambes, sinon je prends le fouet.
Jobéis, les fesses en feu. Il a sorti son sexe de son pantalon et me le met dans la bouche. Mes joues sont pleines de larmes et mon nez coule. Il me dit :
Ne bouge pas !!
On reste comme ça quelques minutes, puis il fait une grimace et jouit dans ma bouche. Je nose pas faire autrement quavaler le sperme de ce gros salopard ! Il me repousse, range son engin et nous dit :
Remettez vos pantalons, prenez les feuilles et allez à côté.
Il me caresse encore le derrière en disant :
Tu es très agréable à fesser.
Je renifle et réponds :
Merci, Monsieur.
Il tombe amoureux de moi, il enlève mon collier, on sévade, il me donne une fessée et je le tue. Ensuite, je prends le million de $ quil a dans une mallette et jachète une villa en Thaïlande. Je récupère Giulia qui redevient mon domestique Julien. Le problème vient que ce nest pas moi qui écris mon destin.
La brute me pousse dans la pièce dà côté en me tapotant les fesses. Il est obsédé ! On entre dans un immense atelier, il y a des dizaines, non des centaines douvrières qui travaillent. Elles sont assises derrière une petite table. Certaines ont des machines à coudre, dautres cousent à la main. Elles ont des uniformes bleus ou gris. Il y a aussi beaucoup de filles en orange dont certaines nont pas de pantalon, mais par contre des marques de fouet sur les fesses. Lenfer doit ressembler à ça, surtout quand on est en uniforme orange. Une grande femme mince en vêtements de ville vient vers nous. On salue en sinclinant toutes les trois. Elle non, je suppose quon ne salue ni les chiens de garde ni les ouvrières de 3e classe... Elle regarde un papier et nous dit :
Giulia, Inge et Samia.
On sincline à nouveau en répondant :
Oui, Madame.
Je suis Madame Liu. Vous êtes des ouvrières de 3e classe, cest-à-dire quon peut vous demander nimporte quel travail. Vous allez avoir 3 jours décolage, on vous apprendra à coudre et à obéir à nimporte quel ordre. Suivez-moi.
Toutes les ouvrières qui sont debout saluent. On passe dans un autre atelier, semblable à celui-ci. Enfin, tout au bout, il y a deux portes, au-dessus desquelles il y a des idéogrammes chinois et il est écrit, sur lun « Cours accéléré danglais » et sur lautre, « Formation accélérée douvrières de 3e classe ». C'est dans cette pièce-là, qu'on entre. Des filles en orange sont assises par deux derrière une table, sur des bancs. Il y en a qui nont également pas de pantalon. Certaines sont assises comme ça sur le banc, dautres sont à genoux. Toutes les filles se lèvent et sinclinent sauf celles qui sont agenouillées. La femme qui sy trouve est une très grosse matrone dune cinquantaine dannées avec une longue tresse noire.
Madame Liu lui dit :
Trois nouvelles pour vous, Madame Wang.
Merci Madame Liu, vous êtes très aimable.
Elles sont très polies, on se croirait à la cour dAngleterre, sauf que là, on ne fouette pas les filles... Enfin, je suppose. Madame Liu sen va tandis que Madame Wang nous dit :
Asseyez-vous sur les deux bancs du fond... Voici comment ça se passe : une erreur et vous enlevez votre pantalon, une deuxième erreur, vous vous mettez à genoux sur le banc pour travailler penchée. Une troisième erreur, cest le fouet ou toutes punitions que jaurai décidées. Cest clair ?
Toutes les trois, on répond :
Oui, Madame.
Elle ajoute :
On fait de la couture, ensuite vous aurez un cours... dobéissance.
À suivre.
Je suis ici : mia.michael@hotmail.fr et j'envoie des photos et des histoires...
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