La Queue
Mon collègue de travail et ami François a 59 ans et j'en ai 58. Autant dire que nous ne sommes plus des adolescents. Nous travaillons pour la même société depuis plusieurs années. Il est directeur du service des finances et je dirige celui des communications. Nous nous considérons comme des hommes sérieux qu'on pourrait facilement qualifier de conservateurs. François n'est pas le genre de bonhomme à raconter des histoires cochonnes au party annuel de bureau et s'il l'avait fait, je n'aurais pas été le premier à rire tellement j'aurais trouvé l'initiative déplacée. Il est marié depuis 30 ans et moi 31 ans. Nous avons des s.
Plutôt grand de taille, mince et d'assez belle apparence, mon ami est d'un naturel enthousiaste, heureux et positif. C'est un homme droit, parfois sec, et on pourrait ajouter qu'il ne brille pas toujours par sa sensualité. Je suis quant à moi de stature moyenne, pas laid du tout, mais le look du tonnerre que je possédais à 20 ans est graduellement disparu pour faire place à un look plus qu'ordinaire. Bref, c'est fini le temps où je faisais tourner les têtes sur mon passage.
Je dois cependant confesser que je tourne souvent la tête pour contempler les fesses d'un homme. J'aime aussi dévorer des yeux l'emplacement d'une queue dans un pantalon moulant. Je suis constamment à l'affût de la beauté sexuelle masculine sous toutes ses formes. Est-il donc nécessaire de préciser que je suis gay ou tout au moins, bisexuel ? Je n'ai pas pour autant l'air efféminé. Avant que se déroulent les événements que je m'apprête à vous raconter, François n'avait jamais supposé un seul instant que je puisse être attiré par les hommes.
Un jour, au hasard d'une conversation téléphonique, et sous l'effet de la vodka, je lui ai confié bien innocemment qu'il m'arrivait de jeter sur les beaux hommes un regard pas toujours catholique. Je ne sais pas pourquoi je lui ai fait cette révélation, mais étrangement, elle ne semble pas être tombée dans l'oreille d'un sourd.
J'accepte son invitation et nous décidons de nous rencontrer dans un resto de la ville de Québec où nous vivons tous les deux. Une fois assis face à face autour d'une table, et sans qu'il me demande quoi que ce soit, je lui fais immédiatement savoir que je ne suis nullement disposé à jouer les bénévoles. Ça le fait sourire et il s'empresse de me dire que ce n'est absolument pas ce qu'il veut me demander. Qu'est-ce qu'il veut alors ? Qu'attend-il de moi ?
« Mais non, détrompe-toi, me dit-il, je veux juste savoir pourquoi tu m'as dit que t'étais gay. »
Je suis un peu pris au dépourvu par la question. Je ne me rappelle même pas lui avoir fait cette confession. Mais était-ce nécessaire de prendre rendez-vous pour discuter de ça ? Je ne sais pas trop quoi lui répondre. J'invoque maladroitement notre amitié de longue date et la franchise qui devrait caractériser toute amitié. Bonne raison, selon moi, de lui avoir parlé de mon orientation sexuelle. Et je maudis du même coup l'alcool qui m'a fait faire cette confidence. Je ne suis pas confortable avec mon aveu parce que François et moi ne parlons que rarement de sexe. Nous n'abordons pas le sujet et je ne lui parle jamais de mes histoires de cul. Après tout, mes aventures sont essentiellement des aventures gaies et je considère qu'elles ne peuvent d'aucune manière l'intéresser ou le concerner. Je continue tout de même à l'écouter.
Et tombe la question ! La vraie question qui tue :
« Est-ce indiscret de te demander si tu voulais me faire des avances lorsque tu m'as dit que t'étais gay ? »
Moi faire des avances à François ? Mais il se moque de moi ! Comment peut-il penser une pareille chose alors qu'il ne m'est jamais passé par la tête l'idée même d'avoir des relations autres qu'amicales avec lui ? Je suis de glace devant lui, même s'il m'est arrivé une fois de regarder ses belles cuisses du coin de l'il.
Je veux m'assurer qu'il ne se moque pas de moi et je lui demande si ça fait longtemps qu'il fantasme sur les hommes. Il me répond du tac au tac qu'il ne fantasme pas sur les hommes mais uniquement sur leur queue. Ah bon ! Je reprends ma question et lui demande cette fois si ça fait longtemps qu'il fantasme sur les queues. Il me dit qu'il ne sait pas au juste. Peut-être quelques années.
Je suis confus car je ne sais pas trop où il veut en venir. Pourquoi m'a-t-il raconté son aventure avec un homme ? Dans ces circonstances nébuleuses, je choisis stratégiquement de me taire. C'est lui qui a demandé à me voir. C'est donc à lui de me dévoiler ce qu'il a derrière la tête. Je le sens quelque peu embarrassé et je pressens ce qu'il veut me dire. Ou me demander. La balle est dans son camp.
Et puis tombe la deuxième question qui tue :
« Louis, j'aimerais avoir du sexe avec toi. J'ai tellement aimé voir et manger la queue du gars dont je viens de te parler. J'aimerais voir la tienne ta queue. »
Oh là là ! C'est du sérieux. La question est directe et elle mérite sans doute un oui ou un non. Pas un peut-être. Et c'est d'autant plus sérieux qu'il s'agit de la mienne, ma queue.
« Écoute François, ce n'est pas possible. Tu n'y penses pas. Premièrement, où irions-nous ? Certainement pas chez toi. Ta femme est presque toujours là. Et il n'est pas question non plus que ce soit chez moi, et pour les mêmes raisons. Et ne me parle pas de faire ça dans une voiture. C'est trop bête et trop risqué. Deuxièmement, tu ne l'as jamais vue ma queue. Comment peux-tu la désirer ? »
Sans trop m'en rendre compte, je venais d'ouvrir la porte. J'étais en train de discuter avec mon ami François de la logistique, voire même de la possibilité d'une relation sexuelle avec lui. Je tente donc de me reprendre :
« François, tu n'es pas sérieux. Nous sommes amis depuis très longtemps et c'est aujourd'hui que tu me fais cette proposition encore inimaginable il y a quelques minutes. Toi, que je vois souvent entrer dans mon bureau en complet cravate, toi un homme si sérieux. Et tu me parles de ton désir de voir ma queue. Vraiment ? »
« Vois-tu, me répond-il, je ne connaissais pas le gars avec qui j'ai baisé l'autre jour. C'était pas mal, mais j'aimerais baiser avec quelqu'un que je connais. C'est mon fantasme. Ça rendrait la chose bien plus excitante. Avec toi, je pense que ce serait super ! »
Je constate que la conversation ne mène à rien. Je voudrais qu'il détourne son attention de ma queue. Qu'il pense à autre chose, à tout, à rien. Mais ça ne marche pas. Et non seulement ça ne marche pas mais je réalise que je n'ai aucunement réussi à opposer un refus clair et net à sa demande de fouiller dans mes bijoux intimes. En fin de compte, même si aucune parole engageante n'a été prononcée, rien non plus n'a été entièrement écarté. Par surcroît et pour ajouter à la confusion, j'accepte sa suggestion d'échanger avec lui des messages à saveur érotique.
Le lendemain matin, je trouve ce message de François dans ma boite de réception.
Mon cher Louis,
J'ai aimé notre rencontre d'hier. Je dois cependant admettre que je pense souvent à ta queue. J'imagine que tu l'approches de ma bouche et que je la dévore. N'hésite surtout pas à m'envoyer des messages cochons.
François
Rien ne peut être plus clair. François aime le cybersexe et il m'invite à entrer dans son jeu. J'hésite un petit moment puis j'accepte l'invitation. Après tout, quel homme normalement constitué n'aime pas penser qu'il se fait manger la queue par une bouche vorace ? Les conversations érotiques, même écrites, sont souvent amusantes. Et elles laissent toute la place à l'imagination. En me livrant à ces échanges avec François, je pourrais peut-être me figurer qu'il est quelqu'un d'autre, peut-être un de ces beaux voyous sensuels et mal habillés comme je les aime.
Je décide donc de lui répondre :
Salut François,
Tu aimerais donc manger ma queue ? Raconte un peu.
Louis
Je reste devant mon ordinateur en espérant qu'il réplique rapidement. Je sens une espèce de fébrilité monter en moi. J'attends nerveusement sa réponse qui ne tarde pas :
Salut Louis,
Tiens-toi debout. Appuie-toi contre un mur. Imagine que j'embrasse ta queue à travers ton pantalon. Elle grossit. Tu peux sentir mon souffle chaud et humide. Je baisse ton zip et je plonge mes deux mains dans ton slip. Quel beau cadeau ! Je prends ce beau lunch et j'en remplis ma bouche jusqu'au fond de ma gorge. Je veux te faire gémir.
François
Ouf ! Comme il a demandé, je me tiens debout devant mon bureau et je suis appuyé contre le mur. Je me masturbe. Je voudrais que cette sensation dure à jamais mais il est trop tard. Le sperme coule déjà entre mes doigts. Puis toujours par écrit, je lui fais part de mon éjaculation pour qu'il sache qu'il a bien réussi son uvre. Je lui transmets mes salutations et le quitte. À voir les émoticônes qu'il me renvoie, je suis convaincu qu'il savoure sa conquête. Il voulait qu'on parle de queue. Il a été très bien servi... et moi aussi je pense.
Après cette brève incursion dans l'érotisme virtuel, je joue de plus en plus avec l'idée que j'aimerais probablement me faire lécher et sucer par François en personne. J'aimerais sentir ses vraies lèvres et sa langue sur ma queue. Mais je ne sais pas trop comment lui dire que je suis maintenant disposé à accepter son offre pour du véritable corps à corps. J'aimerais qu'il sache que je pense souvent à lui. Qu'il sache aussi qu'il fait désormais partie de mes fantasmes sexuels quotidiens. Que le soir, avant de m'endormir, je caresse mon sexe en me laissant croire que ce sont ses mains qui parcourent mon corps.
Quelques jours après cette expérience, je me permets de prendre les devants et je lui téléphone pour suggérer une rencontre.
« Si t'en as envie, François, on pourrait se voir dans un restaurant pour parler de tout et de rien, mais principalement de sexe. Qu'en penses-tu ? »
Parler de cul est en effet l'objectif avoué et exprimé de ma proposition. Il accepte de gaieté de cur et nous nous retrouvons le lendemain devant un steak/frites. Tel qu'entendu, nos discussions portent sur le cul et presque uniquement sur le cul. Ces échanges de haut calibre permettent d'établir que François ne ferme la porte à presque rien et qu'il est prêt à tout, une fois excité. Pour des raisons qu'il serait trop long d'énumérer ici, je pourrais dire quant à moi que je suis plus sélectif, pour ne pas dire plus capricieux.
Voici les résultats partiels de nos discussions : sans l'ombre d'un doute, il est clair que François est avant tout à la recherche d'une queue. Dans ses conversations, le mot queue est présent dans presque toutes les phrases. Il prend tout de même soin de manifester un peu de diversité en se disant désireux de faire un massage à son partenaire. Je ne sais pas s'il pense à moi pour exercer sa profession de masseur, mais quoi qu'il en soit, je lui fais savoir que je suis chatouilleux et que je ne suis pas très chaud à l'idée de me faire masser. Il me demande aussi si l'idée de me travestir me plaît. La réponse est non. Cela dit, je lui avoue qu'il m'arrive de regarder un film porno ayant pour personnages un gars super straight et une trans possédant tous les charmes d'un beau jeune homme. À chaque fois que je le regarde, ce film suscite en moi de vives sensations.
Je me sens un peu coupable de parler autant de mes goûts sexuels alors que François m'en dit très peu de lui-même à ce sujet. Mais pour me disculper, je me persuade que je ne fais que répondre à ses questions. Il m'a en effet demandé de lui exposer ce que j'aime et ce que je n'aime pas. J'avoue être un peu étonné qu'il se montre aussi curieux de l'étendue de mes goûts étant donné qu'il insiste pour souligner encore une fois le fait qu'il ne fantasme pas sur les hommes mais uniquement sur leur bite. À quoi ça sert alors d'aller au-delà de la bite si c'est là son seul champ d'intérêt ? Mais bon ! Il est celui qui pose les questions.
En guise de réponses à ses premières interrogations, je l'informe d'entrée de jeu que je suis enclin à aimer me faire prendre. Que dans un couple, c'est moi qui suis le plus passif. Je lui avoue également que j'adore me faire jouer dans les fesses, me faire donner des petites claques pour les rougir, me faire lécher partout ? Je lui dis aussi que j'aime embrasser, caresser, regarder dans les yeux, tout en sachant que de tels aveux peuvent faire peur à un homme qui déclare vouloir limiter ses performances sexuelles à une pipe. Mais il faut bien que je lui dise quelque chose.
Ah oui ! J'allais oublier. Il veut savoir ce que je n'aime vraiment pas. À ce chapitre, la liste pourrait être longue mais je me garde bien de tout dévoiler. Voyons ça. Je n'aime pas quand on se déshabille rapidement et qu'on se met trop vite à poil avant de faire l'amour. Je n'aime pas me faire serrer trop fort la queue ou les couilles. Je n'aime pas me faire mordiller les seins, les oreilles. Je n'aime pas que quelqu'un se couche sur moi car j'étouffe. Je n'aime pas non plus me coucher sur quelqu'un. Que tous ceux qui veulent me traiter de capricieux se lèvent ! J'accepte les reproches en cette matière.
Après avoir mis fin à nos discussions ayant le cul pour sujet principal, je sens que la conversation glisse lentement vers un projet mutuel d'action concrète. Peut-être sommes-nous même en train d'établir plus ou moins consciemment un plan pour jouer en vrai avec nos bites, nos bites réelles, et non celles imaginées virtuellement devant nos écrans.
L'idée de louer un motel fait lentement son chemin et est finalement retenue pour ce qui allait devenir notre première partie de fesses en direct. Louer un motel pour m'amuser avec François... Je n'arrive pas à y croire tellement tout ça me semble surréaliste. Mais attention ! Nous nous entendons clairement sur un certain nombre de points : il veut voir ma queue et je la lui montrerai. Il la mangera tant qu'il voudra si c'est son bon vouloir. De mon côté, j'essaierai de m'amuser avec la sienne. Au pire, on pourra en rester là et on ne s'en voudra pas pour autant. C'est notre mot d'ordre. Finalement, nous adoptons comme grand principe qu'il faut laisser aller les choses.
Évidemment, ce projet me stresse et m'angoisse. Et c'est précisément parce que je connais bien François que la perspective de baiser avec lui me fait peur. Contrairement à lui, je préfère les rencontres anonymes. De plus, je suis hésitant parce que je crains de ne pas être à la hauteur de ses attentes. Je ne voudrais pas le décevoir. Pour sa part, et comme il me l'a déjà dit, il semble plus à l'aise de se livrer à ce jeu avec moi parce qu'il me connaît bien. C'est du moins ce qu'il affirme. Ça reste à voir.
François est un homme de décision. Il est du style aussitôt dit, aussitôt fait. Ainsi, dès le lendemain, il m'informe qu'il serait disponible dans deux jours pour un tête-à-tête intime dans un motel de la région. Sur le coup, mon cur s'emballe, puis je reprends mon souffle. Tout va bien vite. Peut-être trop vite. Mais je dis oui. Je me rappelle qu'on s'est entendu pour laisser aller les choses. Et je me répète qu'il est inutile de me faire du souci, que tout va bien se passer, que je n'y laisserai pas ma peau, ou du moins je l'espère.
Avant le grand jour, je me surprends à réfléchir à mon engin. Autrement dit, comment est ma queue ? Sera-t-elle à son goût ? On m'a déjà fait remarquer que j'étais assez bien équipé. Et je suppose que l'appétit de François doit porter sur des queues de qualité. Je ne devrais pas trop m'en faire. La mienne est droite, presque 20 centimètres et plutôt large qu'étroite. Autre détail qui semble avoir de l'importance auprès d'un certain nombre d'amateurs : je suis circoncis. C'est donc ça le cadeau que j'ai à offrir. Je verrai bien ce qu'il en fera. En ce qui concerne l'engin de François, je n'en sais pas grand-chose sauf qu'il est aussi circoncis, m'a-t-il dit.
*
Tel que convenu et à l'heure indiquée, François vient me chercher à la maison pour qu'on se rende ensemble au motel. Il va sans dire que nous sommes un peu mal à l'aise. Ça s'entend et ça se voit. Je tente de faire quelques blagues mais elles tombent à plat. Ses réactions sont plutôt tièdes et sans couleurs. Aussi, je suis étonné par sa tenue vestimentaire. En général, je le vois habillé d'un complet pour le bureau ou d'une vieille paire de jeans et d'un T-shirt qu'il porte pour cultiver son potager. Mais aujourd'hui, il est vêtu d'un jeans assez neuf mais démodé et d'un blouson beige très simple et effacé. Il tient à la main gauche un porte-document qui me semble à première vue inopportun en de telles circonstances. Ses cheveux sont encore mouillés. De toute évidence, il vient de sortir de la douche.
Il serait difficile de concevoir un motel plus terne. Tout respire la banalité, y compris le mot de bienvenue automatique de la propriétaire-réceptionniste. Après un bref entretien avec elle sur la configuration des lieux, François prend possession de la clé et nous nous dirigeons vers la chambre. Nous entrons. Il dépose son porte-document sur un fauteuil.
Comme pour en finir, mais de manière plutôt nerveuse, je me précipite vers lui et je pose une main sur son sexe. Je constate sur-le-champ que mon ami et son engin sont déjà au garde-à-vous et entièrement disposés à livrer bataille. Il laisse entendre un léger murmure qui en dit long sur son désir de répondre à ma provocation. J'ai l'impression que nous allons nous amuser.
*
Quelques jours après cette rencontre au motel, François m'envoie un message pour me transmettre ses commentaires à propos de notre expérience sexuelle. Voici la teneur de ce message :
Bonjour Louis,
En ce beau matin de pluie et de température de cul, je sors de ma léthargie. Je suis seul à la maison ce matin. Je suis très content de notre rencontre. J'y pense à chaque jour et même plusieurs fois par jour ! Tu m'as donné la chance de réaliser un grand fantasme. Après coup, je réalise que j'aime énormément sucer une queue comme la tienne. Et te faire venir est ce qui m'a le plus excité. J'espère que nous aurons l'occasion de nous reprendre un de ces jours.
Si tu as encore le goût de m'envoyer des messages crus et cochons, n'hésite surtout pas. Je les lirai avec joie. En attendant, je vais aller regarder un petit film porno tout en me passant un poignet et en pensant à toi.
Un vieux cochon, heureux de l'être.
François
Je réponds :
Bonjour François,
Te dire que j'ai été heureux de notre rencontre au motel serait trop peu dire. En fait, tout comme toi, j'y pense plusieurs fois par jour et à chaque fois, je sens une fièvre envahir mon corps.
Tu dis avoir beaucoup aimé sucer ma queue mais tu ne sais pas à quel point j'ai aimé la sentir dans ta bouche. J'ai aimé entendre tes gémissements et tes grognements. Tu t'es comporté en animal sauvage et tu as réussi à merveille à me faire sentir à mon tour comme un animal affamé, comme un animal en chaleur pour tout dire. C'était particulièrement excitant quand tu as ouvert mes fesses avec tes deux mains pour y fourrer ta langue chaude et mouillée.
Je t'ai déjà dit que j'avais peu d'expérience à me faire jouer dans le cul. C'est vrai. Mais les mots me manquent pour décrire mon excitation quand tu as entrepris de travailler mon anus avec ton petit jouet qui rejoint la prostate. Tu as réussi à me faire crier de jouissance. Et comme si ce n'était pas assez, tu m'as léché et mangé la queue en même temps que tu labourais avec tes doigts et sans ménagement mon cul enflammé. Je sentais aussi toute ta face parcourir sensuellement l'intérieur de mes cuisses. Ah! Que c'était bon.
Mais t'en fais pas, j'ai beau être gay ou bi ou ce que tu voudras, je ne suis pas en train de m'amouracher. Comme on dit en anglais : I like you very much but I don't love you. Je pourrais traduire en chinois par : je t'aime bien, mais je ne suis pas amoureux.
Louis
Nous cessons alors de nous voir pour un temps. En homme bien organisé, et je dirais surtout bien programmé, François propose qu'une prochaine rencontre dans un motel ou ailleurs pourrait avoir lieu dans deux ou trois mois. Je trouve le délai un peu long mais je ne m'en ouvre pas directement par crainte de lui laisser voir un trop grand empressement. Il est vrai que nous sommes tous les deux mariés et que nous avons à cur de ne pas éveiller les soupçons de nos femmes. Il faut donc faire profil bas en nous montrant discrets. Notre correspondance n'est pas pour autant interrompue. Il souhaite que je continue à lui envoyer des messages et je me montre toujours heureux d'avoir de ses nouvelles. En fait, je trouve ses réactions à mes messages cochons très agréables et je m'en réjouis.
J'apprécie particulièrement ce courriel assez surprenant dans lequel il relate un aspect de notre rencontre qui ne manque pas de m'émouvoir. Voici ce qu'il écrit :
Bonjour Louis,
Quelques mots pour te dire que je me suis surpris à avoir aussi aimé nos caresses et nos baisers. Je ne pensais vraiment pas que je pourrais un jour embrasser un homme avec autant de plaisir. Et maintenant, c'est fait. Et j'en suis heureux.
François
Je réagis aussitôt :
Bonjour François,
J'ai été surpris autant que toi de prendre plaisir à t'embrasser. Je n'avais jamais imaginé que nous pourrions nous rendre jusque-là. Si tu te souviens bien, je t'ai même serré dans mes bras. J'avoue que c'était complètement inattendu. Pour une rencontre qui devait se limiter à la queue, tu avoueras que c'est étonnant. Devons-nous penser qu'il y a des sentiments dans notre petite histoire ?
Louis
La question est posée mais je ne m'attends à aucune réponse et peut-être même à aucune réaction de sa part. Et je ne pense pas me tromper en affirmant que François n'est pas le genre d'homme à exposer aisément ses états d'âme. Mais je me dis du même coup que, depuis quelque temps, je navigue de surprise en surprise avec lui. On verra bien.
Et une semaine plus tard, je reçois de lui ce message qui vient remettre en question toutes mes théories sur ses prétendues difficultés à exprimer ouvertement ses sentiments.
Cher Louis,
J'aimerais être celui qui peut comprendre tout ce qui se passe dans ma tête... Je suis un peu confus ! J'ai le goût de te dire : je t'aime. Je me suis réveillé en pensant à toi.
Si je n'avais pas peur de te faire peur, je signerais :
Ton François
Pour un coup de tonnerre, c'en est tout un. En peu de temps, François passe d'un culte inconditionnel pour ma queue au plaisir qu'il ressent à m'embrasser. Et maintenant, il me fait parvenir un tendre je t'aime tout en souhaitant pouvoir comprendre ce qui se passe dans sa tête.
Après quelques hésitations, je formule tant bien que mal cette réponse :
François,
Je viens de lire ton message et je suis tout ému. Tu conviendras que ce n'est pas tous les jours qu'un gars se fait déclarer : j'ai le goût de te dire je t'aime. Ce sont des mots qui me réjouissent mais aussi qui me font un peu peur, comme tu l'as bien compris. Au-delà de ces belles paroles, laisse-moi te dire que j'éprouve aussi envers toi des sentiments qui ne sont pas anodins. Ce genre de sentiments qui surgissent au milieu du jour ou de la nuit et qui apportent au cur une euphorie difficile à décrire. Des sentiments qui ressemblent un peu à ceux que j'éprouvais quand j'étais adolescent.
Est-ce illusoire de penser qu'on pourrait faire durer cette envoûtante petite aventure ? Et sans se faire de mal ? À la blague, mais aussi très sérieusement, je me dis souvent que s'accrocher la queue dans la bouche ou dans le cul d'un gars n'est pas trop sérieux, mais s'accrocher le cur est une affaire infiniment plus importante et périlleuse. Pensons-y.
Louis
Peu de temps après cet échange de propos émouvants, mais cette fois dans un registre essentiellement sexuel, François jongle avec des idées d'une partie de cul encore plus audacieuse et innovatrice. Quant à moi, je suis de plus en plus étonné de découvrir en mon ami une véritable bête de sexe, un homme à la libido presque débridée. Je ne devrais pas me surprendre puisque j'ai expérimenté personnellement sa fougue sur mon propre corps. J'aime le lire quand il m'écrit. Il y va toujours directement pour me parler :
Mon cher Louis,
Quand il s'agit de sexe, je deviens facilement un animal sauvage, comme tu me l'as si bien dit dans un message précédent. Je ne me force même pas pour grogner, pour gémir, pour me lamenter. Je me laisserais même pisser dans la face si tu me le demandais. Je deviens fou ! Et dans ces moments-là, je suis prêt à pas mal tout. Je te laisse le soin de vérifier éventuellement cette affirmation.
François
Qui peut refuser de relever un tel défi ? Certainement pas moi. Juste à lire ce message, je sens l'odeur du sexe. Notre partie de cul m'a excité au point que je ne pense qu'à renouveler l'expérience du motel. Je décide donc de battre le fer pendant qu'il est chaud et je lui écris sur le champ ce message :
François,
Tu affirmes que tu me laisserais le soin de vérifier si tu es vraiment prêt à tout dans tes moments d'excitation. Je réponds présent ! Je réponds oui, je veux vérifier ! Et pendant qu'on y est, je te lance tout de suite une invitation au motel. Je pourrais m'occuper de la réservation. Qu'en penses-tu ? Il va sans dire que j'attends de toi une réponse sincère et honnête.
Louis
Entretemps et sans avoir encore pris connaissance de mon invitation au motel, François en remet quelques couches en me révélant cette fois qu'il rêve d'un trip à trois autant comme acteur que comme spectateur, et idéalement les deux à la fois. Et aussi qu'il aimerait qu'on aille ensemble faire un tour dans un sexshop, question d'y jeter un coup d'il sur les nouveautés. Mon ami semble en effet s'y connaître en matière de jouets sexuels. Pour prouver ses dires, il me confie qu'il fait de temps en temps son épicerie avec un butt plug complètement enfoncé dans son cul. Décidément, le directeur des finances m'a longtemps caché des choses mais il ne semble plus hésiter à se mettre à nu devant moi et ce, dans les deux sens du mot. Me voici donc bien informé et pas du tout malheureux de l'être.
Et puis un autre lundi matin un peu différent des autres lundis, je reçois ce courriel :
Mon beau Louis,
Enfin, je réponds à ta question. Pardonne-moi d'avoir tardé aussi longtemps. Oh que oui ! Je veux que nous nous fassions une partie de fesses à nouveau. Ça pourrait être mardi ou mercredi prochain dans l'après-midi. Après cette date, et comme tu le sais, je serai au Portugal pour trois semaines. Comme tu l'as proposé, je te laisse le soin de réserver une chambre au motel. Tiens-moi au courant.
François
Ce message me remplit de joie. Et je réalise que je suis de plus en plus attaché à mon François. Une seule chose me préoccupe et je m'en ouvre à lui :
Mon cher François,
Permets-moi de te faire part d'un malaise que j'éprouve depuis qu'on s'est envoyé en l'air : c'est celui de n'avoir pas été aussi entreprenant que toi. Si je souligne cette réalité, c'est qu'elle résume à elle seule toute l'histoire de ma vie sexuelle. Tu t'es certainement rendu compte que je suis plutôt passif au lit alors que toi, tu prends toutes les initiatives pour me satisfaire. Mais quelles satisfactions trouves-tu avec moi ? Me trouves-tu égoïste de ne pas être allé plus loin ?
Je voudrais vraiment en faire plus. Te rendre tout le plaisir que tu me donnes. Te manger le cul, par exemple. Te sucer plus longtemps et déguster plus à fond ton beau morceau. T'enculer. Jouer dans tes fesses avec un objet ou avec mes doigts. Je serais certainement heureux d'être plus actif et, crois-moi, je suis confiant que ça s'arrangera avec un peu de temps. J'aimerais bien que tu t'exprimes ouvertement à ce sujet.
Louis
Ce jour-là, pendant que je me à me demander si j'ai été à la hauteur des attentes de mon ami, je trouve ce message dans ma boite de réception :
Bonjour Louis,
Ma réponse à toutes tes questions est bien simple. La voici : pour moi, c'est ton plaisir qui est très important, car c'est là que je trouve aussi le mien. J'ai appris par expérience que demander à son partenaire des choses qu'il ne souhaite pas, c'est la pire des choses à faire. J'insiste pour te redire que j'ai trouvé tout mon plaisir à baiser avec toi. Je t'ai fait jouir et je me suis fait jouir devant toi. Que pouvons-nous vouloir de plus ? Et n'oublie surtout pas que j'ai une fixation sur ta queue.
François
Ah oui ! C'est vrai... J'avais presque oublié ma queue. Heureusement qu'il est là pour me rappeler que j'en ai une et qu'elle est pour lui du plus grand intérêt. Mais quelle joie j'éprouve en lisant que François est prêt à tout pour me rendre heureux ! Côté sexe bien évidemment. D'un commun accord, nous laissons passer quelques semaines avant de réserver une chambre où nous espérons pouvoir nous dévorer comme des bêtes. En attendant cet autre grand jour, nous ne manquons pas de nous adresser des messages dans lesquels, il va sans dire, le sexe occupe une place prédominante. Ainsi :
François,
Je viens de me coucher pour la nuit et je suis seul au lit. Je bande juste à penser que je t'embrasse. Je me masturbe et je me fais des petits scénarios. J'aimerais savourer ta langue et goûter ta salive. On serait tous les deux couchés un à côté de l'autre en nous embrassant comme l'autre fois et je pourrais te passer une main entre les cuisses et caresser tes belles grosses couilles. Et pour me stimuler davantage, je pense au petit bidule que tu m'avais introduit dans le cul au motel. La prochaine fois que nous nous verrons, et si tu voulais, je pourrais me mettre à quatre pattes ou sur le dos avec les jambes montées de chaque côté de ma tête pour que tu joues encore dans mon cul avec cette merveille.
Là, il faut que je me fasse jouir. Je te quitte mais je continue à penser à toi.
Louis
Et puis un soir, un message de mon ami vient bouleverser tous les plans. Nous devions en effet louer une chambre de motel et nous allions prendre notre temps pour le faire. Mais ce qu'il me propose est un tout autre scénario :
Mon cher Louis,
Es-tu libre demain ? Je serai probablement seul ici. Donc libre de tout faire... si ça te tente. Ce serait spécial de nous amuser ici, chez moi. Mais je ne sais pas ce que nous ferons. As-tu des idées ? En tout cas, il faudrait t'attendre à ce que je prenne un lunch avec ta queue, tout en douceur évidemment ! Dans quelle tenue aimerais-tu que je te reçoive ? À poil ? En complet ? En cuissard de vélo ?
Signé : un gars qui aime les queues.
François
Quelle invitation déroutante ! Je suis emballé à l'idée de jouer encore une fois aux fesses avec mon beau François. De pouvoir choisir sa tenue ! Je savoure déjà ces beaux projets gourmands. Je me laisse donc emporter et j'accepte sur le champ. Et je lui écris :
François,
Merci pour ton invitation.
Abordons tout de suite la question de ta tenue pour laquelle tu sollicites mon avis. La dernière fois que je t'ai vu, c'était près de ta piscine. Tu n'étais vêtu que d'un slip de bain. Je dirais donc qu'à mes yeux, la tenue la plus sexy serait la plus simple, mais aussi celle qui donne un accès libre, facile et rapide au lunch. Donc, un short léger ferait grandement l'affaire. Pour le haut, un T-shirt blanc. Léger aussi. Pas de chaussures. Pieds nus. J'opterais bien pour tes jeans de travail que je trouve extraordinairement provocants, mais il fait chaud et ce n'est certainement pas le vêtement le plus facile à retirer. Car il va sans dire que ce serait ma tâche. Non merci. Trop lourde tâche pour moi !
J'ai bien hâte de te voir.
Louis
*
À l'heure fixée, j'arrive chez François. Tout est calme et beau. Mais la pensée de me trouver dans ses affaires, dans son décor, ne me quitte pas. Et surtout, je suis habité par l'idée que ce lieu est aussi celui de sa femme, ce qui ne manque pas d'ajouter à mon inconfort.
Tout comme les premiers instants de notre rencontre au motel, et sans trop réfléchir, je me précipite vers lui, je glisse mes deux mains sous son short et je caresse ses fesses. Elles sont si douces ! Il me saisit par un bras et m'attire dans la maison. Je le sens fébrile et quelque peu empressé. Je le serre dans mes bras et je tente de ralentir le rythme. Je voudrais que ces moments ne connaissent aucune fin.
Il introduit à son tour une main dans mon short. Il cherche et trouve ma queue déjà gonflée et prête à se faire avaler. N'est-ce pas pour me faire sucer que je me trouve ici ? Sa main est chaude et aventureuse. En quelques secondes, nos deux slips se retrouvent sur le plancher et nos T-shirts s'envolent. Puis il m'entraîne dans l'escalier et monte devant moi vers la chambre. Je ne résiste pas à l'idée de le retenir par les hanches et j'embrasse ses fesses à pleine bouche. Il grogne de plaisir.
Une fois dans la chambre, il se déplace derrière moi, me prend par les épaules et me jette sur le lit. Je tombe sur le ventre et dès cet instant, je n'ai qu'un désir, celui de m'abandonner à lui complètement. Je veux être sa possession et il a tout compris. Il vient s'étendre sur moi et m'enveloppe tout entier de ses bras. Je sens la moiteur de son ventre et de ses jambes. Un frémissement se propage partout sur mon corps quand il entreprend de le masser de ses grandes mains d'homme. Je sens ses lèvres épaisses et humides dans mon cou. Je l'entends pousser des petits cris de satisfaction. Je respire de plus en plus fort.
Et soudain, j'éprouve une sensation nouvelle, celle de sa peau glissant vers le bas de mon dos. Sa queue est entre mes cuisses mais je la sens remonter. Elle est dure. Mon excitation augmente d'un cran juste à penser qu'il pourrait se rendre plus loin. Mais il change de cap et choisit plutôt de me saisir brusquement par la taille pour approcher mon cul de sa bouche et le dévorer sauvagement comme il l'avait fait au motel. Il laisse couler sa salive dans mon anus et continue de me manger frénétiquement avec toute sa bouche, sa langue, ses lèvres. Et cette sensation de plénitude est amplifiée par le poil court de sa barbe mouillée qui me frotte et me transmet une chaleur brûlante. Je ne peux plus contenir mes gémissements dont le bruit se répand dans toute la chambre.
François est bel et bien celui que j'avais imaginé dans mes rêves érotiques les plus fous. Que de fois je l'ai vu dans mes fantasmes me donner des claques sur les fesses pour les rougir ! Et le voici maintenant qui s'exécute avec vigueur et chaque coup m'apporte une jouissance nouvelle. Quelle merveilleuse douleur ! Mais il ne s'arrête pas là. Il entre doucement un doigt bien lubrifié dans mon cul et un deuxième, et un troisième. Je suis au bord des larmes. Mon seul souhait est de me faire défoncer par sa grosse queue. Je lui fais savoir que tel est mon désir en faisant avec mes fesses des mouvements de supplication.
Je suis prêt à tout. Et François le sait bien. Il commence à me pénétrer. Il me fait de plus en plus mal et je frissonne de la tête aux pieds. Je donnerais tout pour qu'il aille encore plus loin, jusqu'au fond. Il continue toujours, et encore. Il s'acharne. Il amorce des va-et-vient qui me font pousser des cris et des lamentations. Il devient plus brutal et frappe de grands coups dans mon anus. Et une fois de plus, je retrouve en François l'animal sauvage qui réussit à faire de moi une bête en chaleur.
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Une dizaine de jours plus tard, nous nous donnons à nouveau rendez-vous dans un restaurant. Nous discutons de choses et d'autres mais un certain malaise s'installe entre nous dès que je laisse entendre que j'éprouve des sentiments à son égard. Je peux lire dans son regard fuyant qu'il n'est pas d'accord avec moi quand il s'agit de voir dans notre relation autre chose que du sexe.
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Sur le chemin du retour, en roulant aux abords du petit boisé où j'avais l'habitude de m'amuser à des jeux interdits quand j'étais jeune adolescent, François allonge le bras, s'empare soudainement de ma queue et dit :
« Que penserais-tu qu'on aille faire un tour dans ce beau boisé ? »
Connaissant son appétit pour les queues et pour la mienne en particulier, je ne suis pas surpris par sa proposition. De plus, l'idée de me faire manger dans les buissons soulève en moi une très grande excitation. Nous garons la voiture et nous nous dirigeons à vive allure vers un espace sombre et touffu du boisé, à l'abri des regards. Il place ses deux mains dans les miennes et me pousse vigoureusement contre un arbre. Il m'embrasse et me lèche le visage avec passion. Puis il s'agenouille, baisse mon short et mon slip et prend toute ma queue bien bandée dans sa bouche affamée. Je peux entendre le bruit sourd de ses petits grognements voluptueux. Et en quelques secondes, mon sperme chaud coule déjà dans sa bouche. Il se met alors debout, prend ma tête entre ses mains et vient cracher sur ma langue mon propre jus que nous savourons ensemble avec gourmandise.
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Mon histoire avec François continue encore aujourd'hui. Entre nous, il ne sera jamais question d'amour-passion mais uniquement de sexe, et surtout de queue. Il arrive assez souvent que François me fasse cette déclaration tout à fait réaliste :
Mon cher Louis,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est ta queue.
François
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