La Culotte De Madame

LA CULOTTE DE MADAME
“Il y a un colis pour vous, madame », annonça la bonne. » Est-ce que vous voulez que je l’ouvre ? » demanda-t-elle innocemment à sa maîtresse qui prenait un bain.
“Oh non, s’il-vous-plaît n’ouvrez jamais un colis qui m’est adressé personnellement », répondit Moïra sur un ton autoritaire.
Reena, la bonne, plaça le colis sur la table du salon et continua à épousseter les meubles, tout en jetant un regard vers la salle de bain, espérant voir sa maîtresse à poil à sa sortie du bain. Moïra adorait se faire regarder. Comme sa maîtresse se promenait autour du bain en prétendant chercher une serviette, Reena se cacha derrière un nouveau meuble ce qui lui permettait de voir sans se faire voir. La maîtresse et sa bonne jouaient à ce jeu souvent. Les deux étaient des lesbiennes vicieuses, adoraient s’exciter mutuellement et faire monter leur tension sexuelle jusqu’à ce que l’une des deux ne puisse plus se retenir.
Moïra savait ce qu’il y avait dans le colis, du moins elle savait que c’était une paire de culotte de femme. Elle mourait d’envie de les voir. Entourée d’une serviette de bain, elle ignora la présence de Reena, prit le colis et courut à l’étage pieds nus. La maîtresse de maison était célibataire et avait hérité d’une chaîne de boutiques de lingerie pour femmes. À 45 ans, elle était au comble de sa beauté. Sa descendance arabe lui donnait une peau très douce et l’apparence d’une fille de harem. Reena était Libanaise et au début de ses 20 ans. Elle avait émigré en France où on tolérait mieux les amours entre femmes.
Le colis venait d’une amie d’Angleterre. Le cœur de Moïra se mit à battre rapidement quand elle put reconnaître le vêtement à travers le papier de soie qui l’entourait. Oui..c’était ce qu’elle désirait: une paire de culotte de femme du XIXe siècle, celle-ci avec une petite fente entre les jambes. Ça pourrait servir, se dit-elle en souriant. Son amie lui avait dit qu’elle l’avait trouvée lors d’une vente de succession et que les culottes avaient été cachées dans une malle qui n’avait pas voyagé depuis longtemps.

Ce qui était très important pour les deux femmes, c’est que les culottes n’avaient pas été lavées depuis très longtemps. Tout le corps de Moïra se mit à trembler lorsqu’elle écrasa les culottes sur son nez et respira cent ans d’odeurs de femmes. En ce temps-là, les culottes étaient longues et descendaient jusqu’aux genoux comme dans ce modèle. Elles descendaient même plus bas dans certains modèles que possédait Moïra.
“Très joli”, dit Reena, appuyée sur le cadre de la porte.
“Qui t’a donné la permission d’être ici ?”, dit la maîtresse de maison faisant semblant d’être fâchée.
Reena ignora la question. Elle ne portait qu’une robe de soie sans ceinture, et était totalement nue sous son vêtement. Elle n’avait rien qui recouvrait ses belles fesses de Libanaise qui frémissaient à chaque pas et rendaient Moïra complètement folle. Reena avait un beau visage, des petits seins mais des hanches larges et des fesses en forme de poires. Elle était de la même taille que Moïra mais sa maîtresse était plus lourde. Moïra avait un beau corps et ses rondeurs étaient plus accentuées que celles de sa bonne.
Seulement une serviette de bain et une robe très mince séparaient les deux femmes. Les vieilles culottes les avaient excitées toutes les deux. Moïra s’en couvrit le visage puis les lança à Reena qui fit de même.
“Mets-les”, dit Moïra dont la voix se brisa tellement elle était excitée.
Reena fit passer sa robe par-dessus sa tête et Moïra se rinça l’oeil pendant un instant. Sauf pour la taille qui était trop grande, les culottes lui faisaient bien. Reena fit quelques pas vers sa maîtresse. Moïra était debout près du lit encore avec sa serviette enroulée autour de son corps.
Certains poils pubiens sortaient de la fente de la culotte ou peut-être la servante s’était placée pour que ça se passe ainsi. Les deux femmes se sautèrent finalement dessus lorsque Reena enleva d’un coup de main la serviette qui recouvrait le corps nu de Moïra.
Elles se roulaient sur le lit, s’embrassant et se frottant la chatte à pleine main.
Reena savait que Moïra voulait la sucer en utilisant la fente de la culotte. La maîtresse enfoui sa tête entre les cuisses de la servante et huma la culotte en se demandant contre combien de moules elle s’était frotté. Sa langue se glissa dans la fente qui était assez longue pour qu’elle puisse lécher tout ce qui l’intéressait chez Reena : les lèvres, le trou de pisse et le clito. Reena ferma les yeux pendant que sa maîtresse la suçait. Moïra savait combien de temps il fallait pour faire jouir sa servante et elle s’arrêta juste à temps.
Reena était au seuil du plaisir et dans tous ses états. Elle savait que sa maîtresse allait la satisfaire d’une autre façon. Moïra s’étendit sur sa servante et les deux femmes s’embrassèrent avec passion et se tâtaient les tétons. Elles avaient beaucoup envie de se frotter les deux mottes ensemble. C’était d’ailleurs doublement excitant lorsqu’une femme était nue et l’autre en culotte. Reena ouvra la fente de la culotte aussi grande qu’elle put et Moïra positionna sa chatte poilue sur la fente. Le contact fut facile entre les deux paires de lèvres mais les femmes durent travailler un peu plus pour aligner les deux clitos pour qu’ils se touchent, même si ce n’était que pendant quelques instants. Reena était tellement près de la jouissance qu’elle gicla dans sa culotte et Moïra fit sa part en frottant sa chatte mouillée contre le vêtement.
Après une dernière accolade et un gros baiser, Reena enleva la culotte et les deux femmes se prélassèrent en se frottant le visage avec la culotte mouillée.
“Je n’aurais pas dû prendre une douche avant notre session de baise”, dit Reena
“Moi je n’ai pas été plus brillante en prenant un bain”, ajouta Moïra, “mais demain on le fait quand on est « au naturel ». La mouille du matin est la meilleure sur une culotte. Moïra annonça qu’elle dormirait en portant cette culotte et que Reena pourrait dormir dans une autre paire semblable qu’elle trouverait dans l’immense collection de Moïra.

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Les femmes n’avaient pas passé la nuit ensemble, comme elles le faisaient souvent, parce qu’elles savaient qu’elles n’auraient pas fermer l’œil de la nuit, trop occupées à se sucer et se frotter.
Reena se réveilla tôt en entendant un bruit étrange. Elle se leva et se dirigea vers la porte de sa chambre (elle dormait toujours avec la porte fermée mais pas verrouillée). Elle entendit un grattement et des « meow ». Il n’y avait pas de chat dans la maison. C’était Moïra qui la suppliait de la laisser entrer parce qu’elle était folle de désir. Reena entrouvrit la porte et courut à son lit. Sa maîtresse fit son entrée à quatre pattes, avançant lentement sur le tapis vers le lit. Elle ne portait que sa culotte et ses nichons se balançaient comme deux sacs quand elle avançait. Reena se mit aussi à quatre pattes et se dirigea lentement vers sa maîtresse. Elle ne portait aussi que sa culotte mais ses nichons étaient bien durs car elle était plus jeune. Quand elles furent assez près l’une de l’autre, les deux femmes pouvaient sentir la chatte de l’autre car elles n’avaient pris ni bain ni douche. La culotte de Moïra montrait encore les traces de la session saphique du jour précédent. Reena avait une culotte neuve mais comme elle s’était frottée à son corps toute la nuit, vous pouvez imaginer dans quel état elle était. Elles descendirent leur culotte jusqu’aux genoux, mais sans les retirer tout à fait. Puis comme deux chattes, elles se jetèrent l’une sur l’autre et se roulèrent sur le tapis. Elles ne prirent qu’une minute à se souder bouche à sexe et à devenir une boule de jambes nues et de coton blanc, se bouffant la moule avec passion. Elles étaient « au naturel ». Les bouches suivaient l’odeur intime des femelles. Elles terminèrent cette première ronde avec leur visage et leurs cheveux couverts de cyprine, leur chevelure collée au crâne, de la salive coulant de leur bouche, les nichons reluisants, et les triangles pubiens ressemblant à une petite vadrouille noire mouillée.
Les deux femmes remontèrent leur culotte et se frottèrent l’entre-cuisse contre le coton blanc.
« Une douche ?”, demanda Moïra
“Non”, répondit Reena, “Toi ?”
“Non”, répondit sa maîtresse avec un sourire cochon.
Moïra voulait goûter aux fesses de la lesbienne libanaise sans entrave. Reena avait les mêmes intentions. Léchage de cul “au naturel”.
Elles écartaient le 69 pour cette activité. La servante monta sur le lit et se mit en position pour offrir son beau cul à sa maîtresse. Elle savait manœuvrer pour que sa raie soit le plus accessible possible à son amoureuse. Moïra donna de petits baisers sur ses fesses favorites, rapprochant ses baisers de plus en plus près du trou circulaire plissé et parfait de Reena. La chair plissée et pourpre se fit lécher la première et sa main se glissa entre les jambes de sa servante pour qu’elle puisse lui frotter la chatte. Reena gémissait déjà. Moïra attaqua le trou secret de son amoureuse avec passion, durcissant sa langue et la forçant dans le petit espace désigné. Sachant qu’elle entrait ce matin dans un endroit inexploré l’excitait encore plus. Sa langue était comme une queue. Elle était très près du but. La maîtresse taquina sa servante en sortant sa langue lentement puis en la repoussant dans le petit trou, tout en frottant rapidement son clito avec ses doigts. Reena gicla sur la main de Moïra . La maîtresse répandit rapidement la cyprine sur son visage, ses nichons et son ventre.
C’était au tour de Reena de satisfaire sa maîtresse. Moïra lui facilita la tâche en se plaçant accroupie au-dessus de la tête de sa servante étendue sur le lit. Elle pouvait alors descendre son beau cul sur le visage de Reena. Celle-ci durcit sa langue et la poussa dans l’orifice de sa maîtresse pendant que Moïra se masturbait à tout rompre. Le manège dura quelques minutes avant que Moïra ne gicle sur les nichons de sa servante. Ensuite Moïra se frotta la motte contre le visage de Reena et celle-ci lui pénétra le vagin avec son nez.
Les femmes se précipitèrent sur leur culotte et les remirent rapidement avant que les liquides ne sèchent. Elles resplendissaient sachant que le coton absorbait tous ces jus lorsque les culottes collaient à leur corps. Ensuite elles échangèrent leur culotte et fit le même stratagème même si une partie des liquides avaient déjà séchée.
Les deux lesbiennes s’étaient retenues de pisser et leur vessie était pleine. Elles se chuchotèrent à l’oreille une invitation à une pisse mutuelle dans le bain vide.

Chacune aimait beaucoup cette activité, spécialement une pisse du matin. Reena se coucha dans le bain vide. Bien entendu les culottes avaient été enlevées. Moïra s’installa en 69 sur sa servante. Ce qui ajoutait à l’excitation c’était que les deux femmes commençaient à se sucer mutuellement et ne savaient pas quand l’autre allait commencer à pisser. Une fois Moïra avait eu un orgasme et avait commencé à pisser en même temps, mais c’était rare. Cette fois-ci, les deux femmes se sucèrent assez longtemps avant que Moïra, sans avertissement, dirige un jet du liquide jaune en plein visage de Reena. Celle-ci répondit immédiatement avec un jet, comme un canon, dirigé au visage de Moïra. Les deux femmes avaient la bouche pleine du nectar chaud. Ce fut une bonne pisse, longue et pleine, dirigée au visage de l’autre. Lorsque le tout fut terminé, les deux femmes remirent leur culotte rapidement pendant quelques minutes, puis les enlevèrent pour une douche bien méritée.
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Ce fut une journée tranquille, les deux femmes étant très fatiguées. Moïra récupéra les culottes de Reena qu’elle sécha et mit dans un sac de plastique puis dans un colis qu’elle adressa à son amie anglaise. Ce cadeau venait de sa collection. Les collectionneuses de plusieurs pays échangeaient souvent des pièces de lingerie féminine, mais les culottes étaient les favorites. La passion de la collection les habitait ainsi que la passion pour les autres femmes…

À SUIVRE…..POSSIBLEMENT

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