Olivier 06 Premier Verrouillage
OLIVIER 06
PREMIER VERROUILLAGE
Je savais déjà par expérience que les premiers matins étaient les plus dures, et en plus je prévoyais de faire durer une semaine complète la première partie de son entraînement. Il fallait le calmer.
Je prenais un gode dans son tiroir, le lubrifiais comme il faut. Je faisais signe à Olivier de se retourner sur le ventre et doucement lui enfonçait le gode dans le cul. Il gémissait de plaisir, je m'amusais avec le gode que je poussais bien à fond et retirais presque complètement.
Au début si ça résistait je lubrifiais un peu plus, par la suite si ça résistais je forçais. Je faisais glisser le gode lentement, puis plus vite. Bien à fond, j'appuyais et lui imprimais un mouvement circulaire, à chaque mouvement il lui appuyait sur la prostate et les râles de plaisir d'Olivier m'annonçait que je touchais le bon endroit.
Suivait ensuite un long moment de mouvements lents et amples. En prenant bien le temps d'appuyer sur la prostate et, toujours, à chaque fois les gémissements d'Olivier.
Je jouais du gode en l'enfonçant, le retirant puis l'enfonçant de nouveau. Toujours avec de lents mouvements bien amples. Là c'est l'anus que je stimulait. Une sorte de massage contre le muscle anal. Ça aussi c'est très agréable, en ce qui me concerne je pense que c'est ce que je préfère.
Le gode est plus large à son extrémité, il y a la forme du gland, ensuite il devient plus fin, pas beaucoup mais plus fin tout de même. En son milieux il est de nouveau plus large pour terminer plus fin à sa base. Quand il entre et ressort du cul il le dilate et le laisse se resserrer, même avec mouvement lent les sensations sont terrible.
Le visage d'Olivier n'exprimait plus que du plaisir, il avait les yeux fermés, la bouche ouverte et de temps en temps un gémissement de plaisir se faisait entendre.
J'accélérais, Olivier se redressait et gémissait plus for.
Je savais qu'il n'était pas loin de l'orgasme, le plaisir devait être intense. Ma queue prenait toute la place dont elle disposait et poussait contre les bords de sa cage. Elle devrait pourtant savoir depuis le temps que c'était sans espoir. J'étais frustré, concentré sur le seul plaisir de mon compagnon.
Je lui caressais les couilles, elles formaient un boule bien ferme qui était comme attachée par le cock-ring en dessous et heurtait la cage de chasteté au dessus. Sa queue était aussi développée que la mienne. Il bandait, on ne voyait rien mais il bandait. Avec la main je le sentais bien.
Il avait maintenant un souffle saccadé, rapide. Il poussait des gémissements qui ressemblaient à des plaintes, un peu comme s'il pleurait. Je sentais alors couler dans ma main son sperme. Il jutait, il jouissait et moi je l'enviais. Je mettais bien appliqué et j'avais réussi ce que je voulais faire.
J'aurais tellement aimé être à sa place.
Je continuais en retirant le gode de son cul puis en l'enfonçant de nouveau. Son cul résistait un peu plus et je forçais. Il râlait et me demandait d'arrêter.
Il se retournait sur le dos, le gode encore planté dans le cul. Je lui versais dans la bouche le sperme que j'avais retenu dans ma main, il avait éjaculé et son sperme était très épais. D'abord surpris, il voulait refuser puis il me faisait confiance et avalait, ensuite il me léchait la main.
Moi : Il ne faut rien laisser se perdre, c'est des protéines
Il rigolait de mon commentaire. Je l'embrassais. Je vibrais au contact de sa peau quand je me penchais sur lui. A cet instant j'étais vraiment en manque. Sa peau me brûlait mais c'était tellement doux. Je restais un long moment allongé sur lui.
On échangeait des caresses de temps en temps.
Il était tard quand je me relevais, il ne bougeait plus. Je lui retirais le gode qui était resté en place, il poussait un cri de surprise.
Olivier : Ah oui, là je comprend mieux, je me disais aussi
On s'installait dans le lit, chacun dans les bras de l'autre, je tirais la couette et je le laissais s'endormir dans mes bras. On pouvait enfin terminer la nuit.
Je n'ai pas vraiment bien dormi cette nui là mais lui oui. A chaque fois que je me réveillais, c'est à dire presque toutes les heures, je l'admirais un instant. Il était beau son sommeil, paisible, détendu. On le serait à moins ! C'était pas mon cas.
A chacun de mes réveils je devais ajuster mon dispositif. Ma queue ne se calmais pas. Je regardais le cul d'Olivier et je peux vous garantir que cette nuit là ne n'aurait pas fallu me pousser fort pour que je devienne actif. J'avais une violente envie de lui défoncer le cul. J'avais aussi une violente envie de me prendre sa queue dans le cul. Et si je le réveillais et et si je le libérais.
J'étais sûr qu'il serait d'accord mais c'était pas le programme. J'avais décidé de le frustrer pendant au moins une semaine. Je m'étais donné pour mission de l'initier à la chasteté contrainte, mécaniquement contrainte. J'avais aussi envie de voir jusquoù il irait. Je voulais le suivre dans son aventure, mon aventure je l'avais vécu seul et je voulais partager mon expérience, aller plus loin.
'' J'avais dit combien de semaines, l'autre jour moi ? '' . Je ne me souvenais même plus. L'heure avançait et je ne dormais pas. '' Huit semaines c'est déjà beaucoup, si je réduisais
'' . On a souvent envie de tout arrêter, surtout que ce challenge n'était pas prévu .
'' J'ai passé une journée de liberté sur plus de soixante jours puis une nouvelle semaine, et encore une qui va venir
''
Je finissais par me rendormir.
Au petit matin Olivier se réveillait et déjà il se plaignait.
Olivier : Ça fait mal ton truc !
Moi : Va pisser et réajuste le truc, c'est normal, c'est l'érection matinale.
Il revenait, toujours en râlant.
Moi : C'est pas tous les jours facile, tu voulais découvrir, mais tu verras on fini par apprécier.
Olivier : Je ne sais pas si je vais apprécier un jour moi ?
Moi : Mais c'est ton premier matin. Et il y en a encore sept à venir pour ce qui est de la première partie, l'adaptation.
Olivier : Sept . Voilà qui m'encourage, tu ne peux pas savoir !
Je rigolais, il me regardait l'air méchant puis il rigolait avec moi.
Olivier : Je vais prendre une douche !
Je le laissais faire seul, il n'avait pas besoin de stimulations supplémentaires. Je prenais ma douche après lui. On se retrouvait dans la cuisine, il avait le visage grave et la cage de chasteté bien pleine. Sa queue occupait toute la place et tout comme la mienne devait pousser pour se libérer.
A la maison, seul, je me serais déjà calmé et je n'aurais plus qu'une grosse molle mais là à le voir, frustré, déjà en manque, je m'excitait tout seul. Par pur malice je restais à poil toute la matinée. Il en faisait de même et aucun d'entre nous ne se calmais.
Olivier : On fait quoi maintenant ?
Moi : Rien, on ne fait rien !
Olivier : Rien ! On va se faire chier !
Moi : Je voulais dire rien au niveau sexuel, pour le reste on peut faire ce que tu veux.
Olivier : Bon je fais une partie de console !
Moi : Tu veux toujours explorer le manque et la frustration ?
Olivier : Pour le moment c'est bien parti !
Moi : Alors je te propose une abstinence totale jusqu'à demain matin.
Olivier : La vache !
Rien
Ouai
Ça va pas être facile.
Moi : Frustration. Toi qui es un branleur tu vas voir.
On mangeait sur place, il jouait à la console, je somnolais, à chaque fois que je le regardais je pouvais constater que sa cage était bien remplie. Je me demandais s'il pourrait résister pendant une semaine. J'espérais qu'il n'allais pas découper le truc qui m'avait demandé des centaines d'heures à fabriquer. Bon des centaines, j'exagère un peu mais c'est juste pour dire quelque chose.
En début d'après midi on décidait d'aller faire un tour. Olivier prenait soin de choisir un pantalon un peu large. Il avait un slip dans la main, me lançait un regard coquin et jetais son slip sur le lit. Il enfilait son pantalon sans sous vêtements. Moi j'avais un pantalon relativement moulant et pas de sous vêtement. Vous savez ces pantalon en Jeans élastiques qui moulent bien les fesses, et pas que les fesses.
Mon dispositif, tout comme celui d'Olivier à une forme légèrement anatomique et, à moins d'avoir lil, restait très discret. Olivier n'avait pas l'habitude de porter ce genre de truc, il jouait la prudence.
Juste avant de sortir il se retournait vers moi.
Olivier : Tu crois que c'est prudent de sortir sans sous vêtements ?
Moi : Tu ne risques pas de bander, si c'est ce que tu veux savoir !
Olivier : Ouai ! On ne voit rien ?
Moi : Tu peux sortir tranquille on ne devine rien sous ton pantalon ample.
Olivier : Dans ton cas on ne voit que ça !
Moi : Non ! C'est discret, si tu ne sais pas que je porte un dispositif de chasteté, tu n'y penses même pas.
Je me regardais dans un miroir, c'est vrai qu'on voyait quelque chose mais on ne pouvait pas deviner ce que c'était, ça me mettait un peu en valeur c'est tout, je restais confiant. On sortait.
Promenade dans un parc, il y avait un monde fou. Olivier regardait les yeux des gens pour savoir si on n'était repéré. Personne ne montrait la moindre réaction. Il finissait pas se détendre et, peut être, à penser à autre chose
Mais là c'est pas sûr !
On s'arrêtait prendre un verre dans un bar. On discutait.
Olivier : C'est un truc de fou ton
Moi : Tu y penses encore ?
Olivier : Pas toi ?
Moi : Bein non, je l'avais complètement oublié moi.
Olivier : Mais comment tu fais ?
Moi : L'habitude, tu verras. On fini par s'y faire et on ne peut plus s'en passer.
C'est douloureux ?
Olivier : Non plus maintenant, un peu au réveil mais maintenant ça va.
Moi : Toujours d'accord pour le défis de la première semaine.
Olivier : Plus que jamais !
Il me racontait ses impressions.
'' On est vraiment libre de tous ses mouvements
Là, maintenant c'est agréable cette pression tout autour de ma queue
Je ne le retire plus jamais
C'est clair
Oh j'aimerais bien me mettre un plug dans le cul
''
Moi : Alors là stop, c'est la règle. Pour la première semaine que dalle.
Olivier : La première semaine ?
Moi : Bon demain on se fait plaisir puis
Olivier : Demain on le retire ?
Moi : Non, il ne faut pas exagérer ! Pas avant vendredi soir prochain
Olivier : On est samedi.
Moi : Samedi ! Déjà, comme le temps passe.
Olivier : Tu te moques, mais moi je ne tiendrai jamais aussi longtemps.
Moi : Et il y a quelques instants tu ne voulais plus le retirer !
Olivier : Tu as raison, on fait comment alors ?
Moi : Demain on sort les jouets, et on se fait du bien. Ensuite tu ranges tes jouets et c'est l'abstinence totale jusqu'à vendredi soir. C'est pas compliqué ;
Le soir on se faisait un restau et une sortie en boite de nuit. Après le restau on était rentré à la maison. Olivier avait mis le même genre de pantalon que moi. Ça le mettait en valeur, on voyait bien ses couilles et la cage avec sa forme discrète le mettait à son avantage un peu comme moi. Il y prenait goût le branleur.
Je le regardais danser, j'étais pas le seul. Le dispositif était parfaitement au point, parfaitement adapté, ajusté comme il fallait, discret mais pas invisible ( sous un pantalon moulant il ne faut pas rêver ) il y a toujours quelque chose de visible mais on n'a juste l'impression que le garçon est bien doté, sans plus. C'était pareil pour moi avec mon dispositif.
On a traîné très tard. Olivier ne voulait pas rentrer, il avait un peu picolé et il s'appuyait sur mon épaule pour rentrer.
Olivier : Pas de câlin tu as dit. Et là j'ai le droit de m'appuyer sur toi ?
Il me donnait un baiser dans le cou.
Olivier : Non là j'ai pas le droit ! Excuse moi. Je le ferais plus !
Il me donnait encore un baiser dans le cou.
Finalement on s'endormait chacun dans les bras de l'autre. Quand il s'approchait de moi je sentais sa cage contre ma cuisse et je sentais encore plus fort ma cage qui écrasait ma bite. Je ne m'endormais pas tout de suite. Je réfléchissais à la suite que pourraient prendre ces événements.
Le lendemain au réveil c'était chaud. Olivier se tortillait dans tous les sens pour tenter de réajuster son dispositif.
Olivier : Et ce sera comme ça tous les matins ?
Moi : Non, tu verras. Moi le matin j'aime bien mes érections contrariées.
Olivier : Érections contrariées, c'est dit avec élégance.
Moi : Oui, c'est tout à fait ça. La cage me compresse la bite, je la contracte et je la sens qui pousse contre les parois. Au bout d'un certain temps ça devient même agréable.
Il me regardait impressionné, il regardait aussi avec une grande attention ma queue dans sa cage. On pouvait deviner le mouvement de contraction que je faisais. Il y posait sa main.
Olivier : Oui je le sens, et ça ne te fait pas mal ?
Moi : Non . Au début un peu, ensuite de la gène et pour finir un certain confort, tu ne peux plus t'en passer.
Cette dernière journée de week-end on traînait encore un peu. On sortait faire une petite promenade de santé. Un petit footing pour bien commencer la journée. Il y avait du monde au parc, et la matinée était belle, un peu fraîche mais pas trop pour la saison.
Olivier échangeait ses impressions, moi mon expérience.
Si j'avais su j'aurais gardé un plug dans le cul
C'est bien le plug quand tu cours mais il faut être sûr de soi !
Comment ça ?
Imagine si tu as un besoin pressant, avec le massage qu'il te procure dans le cul ce besoin deviendra vite incontrôlable
Et si tu n'as pas de WC à proximité
Oulàlà !
Tu me conseilles des vêtements larges ou serrés .
Élastiques pour ne pas gêner le mouvement si tu les choisis moulants. Sinon c'est selon ton goût .
On terminait par un douche, un bon repas. Les gestes d'Olivier semblaient plus lents que d'habitude. On se faisait un cinéma et la soirée arrivait rapidement.
Olivier : Alors la suite, ça se passe comment !
Moi : Bien ! Le défi que je te donne c'est une abstinence totale. Comme je tais dit
Aucune stimulation de la queue, des couilles, du cul. Pas de câlin avec personne, pas de contact sensuel avec personne
Olivier : Dur, dur !
Moi : Tu crois que tu pourras tenir ?
Olivier : Mais tu me prends pour quoi ? Et c'est pour combien de temps ?
Moi : La semaine, juste la première semaine. Tu vas découvrir de nouvelles sensations.
L'heure de mon départ arrivait, on se faisait un câlin pour se dire au revoir ( oui je sais, un câlin, mais je ne suis pas non plus un fanatique ). Je prenais ma voiture. A la maison je rangeais les godes et les plugs en me disant que j'allais moi aussi suivre les consignes que je lui avais donné. Pourtant, pour moi ce n'étais pas la première semaine.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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