Mon Premier Shooting Photo Nue

Je suis Véronique, j’ai cinquante et un ans et je crois toujours séduisante, vu comment je suis sollicitée maintenant pour poser. Je mesure 1,61 m, je suis encore assez mince et mes petits seins sont proportionnés et surtout toujours fermes et droits. Dans ma vie quotidienne et surtout professionnelle, je n’ai pas l’occasion de me lâcher. J’occupe un poste à la direction financière d’une grande enseigne de distribution spécialisée. Je ne passe pas pour une délurée. S’ils savaient…

Vincent mon mari n’est pas dans la boucle, car il n’a pas su saisir le coche, tant pis pour lui. Vous allez savoir pourquoi.

Depuis quelques années il a pourtant pris l’habitude de me photographier dans différents lieux, périodes ou tenues. Le déclic pour moi s’est produit cet été quand nous sommes allés en forêt et à la campagne près de Paris. Après une demi-heure de promenade sans croiser personne, Vincent m’a demandé de me déshabiller et de continuer à marcher ainsi, totalement nue.

Il prenait des clichés sous tous les angles, aucune partie de mon anatomie ne lui échappait. J’ai bien aimé, je me suis montrée de plus en plus provocante et me frottant contre un arbre ou encore me roulant dans la terre du sous-bois. Je ne pouvais pas cacher que je prenais du plaisir vu l’état de mon sexe. Ce con prenait des photos, mais ne voyait pas que je n’avais qu’une envie : devenir sa chose et le laisser oser les choses les plus scabreuses et osées. Je suis même allée jusqu’à me mettre à quatre pattes, mon sexe et mon cul levés. Vu que je suis toujours totalement épilée, c’était d’une indécence totale. Vraiment, quel con !

L’été s’est fini ainsi sans rien d’autre, alors que je revivais cet après-midi torride pour moi, souvent, mais seule. L’idée d’être prise en photo, mais cette fois par un inconnu, professionnel, mais avec des idées a fait son chemin. J’ai commencé à chercher sur le Net des photographes de la région parisienne, regarder leur style, échanger avec eux.

Je devais régulièrement envoyer un exemple de photo de moi dénudée. J’ai choisi les plus sages, mais leurs retours étaient sympas. Je plaisais, ce qui me conforta. Ce fut long, car c’était une première pour moi.

J’ai fini par en retenir deux. Après de nouveaux échanges de mails, ils me plaisaient bien. Le choix s’est porté sur Claude, car il était proche de chez moi et prenait le temps. L’autre m’a trop vite parlé de sexe. Nous avons convenu de nous voir le 1er novembre. Vincent était en déplacement donc tout était permis. Je suis allée dans son studio photo qui est à deux stations de métro de la maison. Il m’a montré ses books, expliqué ce qu’il fallait faire comme, par exemple, ne pas mettre de soutien-gorge le jour des clichés. Ses photos étaient belles, simples et mettaient en valeur les modèles. Celles-ci étaient de tous âges ce qui m’a également rassuré et fait plaisir.

Alors que nous buvions un café, il m’a montré sur son ordinateur d’autres poses, plus osées et même des couples faisant l’amour devant lui dans le studio. Il m’a expliqué que le plus important pour moi était de savoir tout ce qu’il proposait, mais que j’étais novice et que c’était avant tout la découverte et la progressivité dans mes expériences qui décideraient de mes propres limites.

Il me restait à choisir mes tenues, mes dessous et pour le maquillage, nous avions convenu qu’il solliciterait une de ses connaissances qui le faisait en free-lance et en indépendante. Bon, n’empêche que choisir les tenues, même sachant que je finirai nue, n’était pas facile du tout. J’avais jusqu’à jeudi pour trouver et me décider.

Pendant les trois jours qui ont précédé le shooting, j’ai bien réfléchi : deux robes noires, une veste et une jupe cintrée. Pour les dessous, les plus minimalistes que j’avais et pas de bas, je n’aime pas ça. Le rendez-vous étant dans la journée, je pouvais facilement cacher cette escapade à mon petit mari. Bref, maintenant je ne pouvais plus reculer.
Curieuse, mais inquiète quand même.

Je suis arrivée au studio à seize heures comme prévu. Claude était là et me présenta la maquilleuse. Adorable, elle m’a mise en confiance. Elle s’appelait Aline et devait avoir vers quarante-cinq ans. Brune, plus grande que moi et de jolis seins très en forme. Elle m’a maquillée avec un résultat très intéressant. J’étais mise en valeur et surtout elle avait osé un rouge à lèvres qui me rendait attirante.

L’artiste n’avait pas trop accroché sur mes tenues. Il a voulu commencer avec une robe noire la plus ample des deux pour me mettre en condition. Dessous j’avais un shorty noir qui ne couvrait que la moitié des fesses et pas de soutien-gorge vu le décolleté. Les poses se sont succédé et j’ai dû tourner sur moi-même, faisant lever la robe et offrir la vue de mon derrière à peine couvert.

La tenue suivante était la jupe droite avec la veste. Claude avait choisi que je ne porte rien sous la veste et n’avoir qu’un micro string rouge pour culotte. Les clichés s’enchaînaient et le tournant a été donné par lui :

— Tu vas dégrafer progressivement ta veste, révéler, puis montrer tes seins.


Je me suis exécutée, après trois boutons ouverts, j’ai libéré ma poitrine à son regard et à son objectif. Je l’ai ensuite complètement retirée pour être topless en jupe et talons face à un quasi-inconnu. Cela a continué.

— Tu vas ouvrir ta jupe et laisser entrevoir ton entrejambe. Tu vas ensuite l’enlever.


Sitôt dit, sitôt fait. J’étais maintenant avec mon seul micro string et les talons hauts. Je ne me posais plus de questions ; les clichés continuaient, j’aimais cette atmosphère. J’ai enlevé le petit bout de tissu et suivi ses instructions. Allongée sur le sol sur le dos, puis à quatre pattes et je n’ai pas attendu qu’il me demande d’exhiber mon sexe et mon cul en relevant au maximum les fesses. J’étais indécente et je me faisais plaisir.

J’ai posé sur une chaise et c’est là qu’il m’a proposé d’aller vraiment plus loin.


— Véronique, je vais te lier les poignets pour accrocher les cordes aux anneaux en hauteur. Tu seras les bras en l’air et Aline va te mettre en valeur.
— Qu’entendez-vous par là ?
— Elle va elle aussi se déshabiller, tourner autour de toi puis te caresser et t’embrasser.
— Je ne sais pas si c’est une bonne idée.
— Vu ton excitation, je pense que tu as envie de continuer. Il n’y aura pas de pénétration ni de v******e, sois rassurée.
— Je m’abandonne à vous.


Il m’a lié les poignets et je me suis ainsi retrouvée nue, les bras écartés et en l’air. Soumise et à la merci de leurs caprices. Aline s’est dévêtue, Claude ne perdait pas une miette de ces étapes et nous mitraillait. Une fois nue, elle s’est frottée contre moi. C’est une sensation curieuse de sentir ses seins contre les miens. Sa poitrine plus forte écrasait la mienne. Elle m’a embrassée. Doucement d’abord puis goulûment, ce que découvrais aussi.

Cela a duré une bonne demi-heure, elle m’embrassait, me caressait puis a fait pénétrer ses doigts dans mon sexe. Ils sont entrés sans peine, je prenais un plaisir incroyable. Soumise aux caresses expertes d’une femme que je ne connaissais pas il y a deux heures, je ne retenais plus mes gémissements de plaisir. J’ai follement joui.

Claude m’a détachée et m’a remerciée.

— C’est énorme pour une première expérience. Tu as été belle et ton plaisir était beau à regarder. Je vais avoir besoin d’une semaine pour trier et traiter les clichés. J’en ai fait plus de 900 tellement tu étais désirable. Je t’appelle mercredi pour un premier jet. Je te proposerai d’autres idées de pose. Si tu as envie.
— À ton avis ?



Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!