Petite Fuite... Grosse Concéquence...
Jétais enfin parvenu à dévisser ce fichu siphon. Ma position coucher sous le lavabo, fit que jai reçus un filet deau sale sur mon visage.
- Il ny avait plus aucun doute possible à présent. Lui fis-je à Pierrette en désignant des cheveux en masse engorgeaient le tuyau. Lengorgement venait bien de là.
Pierrette, était une connaissance de boulot. Bien en chair, dont sa coloration de ses cheveux était dun blond artificiel presque blanc. Un fard accentuait la pâleur de ses joues. Sa bouche épaisse était peinte dun rouge sombre, presque noir et ses paupières entièrement recouvertes dune couche charbonneuse. Elle portait sur elle toujours le même parfum à la fois sucré et lourd qui envahissait à chacune de nos rencontres mes narines.
Comme je prenais plaisir de reluquer quand cétait possible, sa généreuse poitrine. Dailleurs je ne mettais pas gêné quelques minutes plus tôt en pénétrant son foyer, avec ma caisse à outils en main, de jeter un coup dil à la dérobée sur léchancrure de son chemisier. Elle avait croisé mon regard, avec une lueur dironie dans les yeux.
- Tiens, me fit-elle en me tendant une serviette. Quelle venait daller chercher. Essuie-toi.
Je me suis donc essuyé le visage. Et très vite je me suis aperçu quil émanait de cette dernière malgré sa douceur, comme une odeur de chatte en rut. Javais à cet instant la certitude que la coquine sétait frotté sa vulve avec. Aussi sûrement quelle avait délibérément bouché le lavabo, seulement pour que jintervienne.
- Merci ! Fis-je en tendant la serviette. En prenant sur moi pour ne rien faire paraître sur mon visage. Il faut à présent que je remette tout en ordre.
- Je le compte bien ! Répliqua-t-elle. En se saisissant de la serviette quelle posa sur le rebord de la baignoire.
Et alors que je mapprêtais à me redresser après avoir remis le siphon Pierrette men a dissuadé en posant tout bonnement son pied gainé de nylon à la hauteur de mon bas-ventre.
- Que tarrive-t-il ? Lui lançais-je.
- Jai toujours adoré avoir un homme à mes pieds ! Cela te dérange ? Me fit-elle.
- Non
- Je vais te poser une question, que je dirai INDISCRÈTE
et je voudrai que tu y répondes
- Après jaurai droit de me lever ?
- Si tu me dis ce que je veux entendre
oui
- Alors je técoute.
- Tu as déjà trompé ta femme ?
Ce fut comme si elle mavait mis un coup de poing. Jai accusé le coup avant de lui répondre :
- Tu me prends au dépourvus, là, Pierrette ! En voilà un drôle de question. Cest ma femme qui ta demandé de me la poser ?
- Que tu es bête ! Tu ses très bien que je nai pas de relation avec elle. Bon alors ! Oui ou non
- Jopterais pour le oui.
- Beaucoup de oui ?
- Pas mal
de oui ! Oui !
- Je préfère cela. Me fit-elle, lair réjouis.
- Ah, oui ! Et je peux savoir pourquoi ?
- Je voulais savoir si javais ma chance. Me répondit-elle en faisant glisser son pied du nombril à ma verge. Quelle se mit à masser agréablement par-dessus la toile de mon pantalon
- Ta chance ! Mais quelle chance ?
- Tu aimes ? Me fit-elle.
- Tu ne réponds pas à ma question ?
- Tu aimes ? Répéta-t-elle.
- A ton avis ?
- Tes vraiment un salaud ! Un massage avec un pied et tu bandes
- Et toi une salope. Si je peux me le permettre !
- Quel vulgarité mon Dieu ! Et je peux savoir pourquoi une telle injure ?
- Parce que cétait monté de toute pièce ton lavabo bouché.
- Ah oui ! Et quest-ce qui te fait dire cela !
- Je le sais cest tout ! Même que tu tes frotté la chatte avec la serviette avant de me la donner pour que je messuie.
- Tu es très perspicace. Je peux savoir si elle était à ton goût ?
- Je ne te cache pas que jaurais préféré ta culotte.
- Tu nas pas de chance, je nen porte jamais. Enfin rarement.
- Ah oui ?
- Tu veux voir ? Me fit-elle.
- Je ne dis pas non !
Elle a arrêté alors sa caresse pour se placer au-dessus de moi. Moffrant par cette position, une vue imprenable sur ceux qui se trouver sous sa jupe. Et je pus juger quelle navait pas menti. Hormis des bas couleurs chair qui mettaient en valeur ses jambes charnues et musclées, elle ne portait rien dautre. Elle ma regardé fixement. Comme si elle cherchait à jauger mes réactions et sest mise à trousser sa jupe pour sortir son épaisse toison noire de lombre.
- Cest le résultat de plusieurs jours de réflexion. A-t-elle ajouté, en saccroupissant tout en prenant appui sur le lavabo. Les cuisses écartées et la fente béante dexcitation. Ses lèvres gonflées laissaient échapper un flot de mouille. Au-dessus de son con son clitoris luisant.
- Et tu sais pourquoi jai manigancé cela ? Dis-moi ?
- Je
je ne sais pas moi
pour mexhiber ta chatte !
- Idiot ! Me lança-t-elle. Les yeux plein de reconnaissance.
Pour aller au-devant de moi, elle a fléchit les jambes de telle sorte que sa chatte sest écrasée sur ma figure. Mon nez sest enfoncé avec délice dans la fente poisseuse. Les lèvres molles se collant à mes narines. Le goût de la pisse a envahit ma bouche. Mélangé à celui de la mouille. Perdant toute retenu, jai enfoncé ma langue dans le vagin dilaté, le bout de mon nez écrasant le clitoris. Ses soupirs mont encouragé à la sucer avec force. Aspirant sa chair avec une frénésie folle.
- Oui
oui pour ça ! Pour que tu me bouffes la chatte
Jai profité de son délire pour déboutonner lun après lautre les boutons de son chemisier. Puis jai écarté les deux pans. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses seins étaient comme je limaginais
Volumineux. Légèrement affaissés. Où les bouts grenus avaient la taille dune petite prune. Sous la peau, apparaissait des veines sombres qui sétoilaient autour des aréoles. Alors que jétais comme hypnotiser devant une telle poitrine, Pierrette, glissait davant et darrière sur ma bouche.
Une moue vicieuse déformait sa bouche. Sans aménagement jai pincé le bout de ses nichons. Sous lagressivité de mon geste elle a creusé les reins. Rejetant sa tête en arrière. Jai pris cela pour un encouragement de continuer. Et jai malmené les bouts de chairs qui se gorgé de sang. Sa respiration est devenue plus sifflante. Je dirai même oppressée. Elle se tordait de plaisir sur ma bouche.
Sitôt lorgasme digéré, elle sest dégagé pour se poser sur mon érection. Puis elle sest penchée en avant. Jusquà porter ses tétons dardés à la hauteur de mes lèvres. Que jai tout de suite pris une en bouche. Lagaçant de la langue. Et ceci pendant un long moment, jusquà ce que je men lasse, et me faufile comme laurait fait un reptile, sous son fessier. Son sillon sentait fort. Je me suis mis à laper les abords de lanus. Ça sentait vraiment très
très fort. Cétait pour moi comme un aphrodisiaque. Jai alors planté ma langue au centre du cratère. Me gavant de son goût âcre. Menfonçant aussi loin que je le pouvais. Écoutant les râles dencouragements qui séchappaient de sa bouche. Puis jai senti quelle extirpait ma verge de sa cachette de toile.
Sitôt fait, elle sest empressée de placer sa chatte à la bonne hauteur. La tenant à la base, et avec raffinement, elle a commencé à promener le gland de haut en bas sur sa fente baveuse. Ce délicat travail de pinceau marracha des gémissements. Puis avec une extrême lenteur, elle la lengloutis dans sa vulve. Restant un court instant immobile, avant de la ressortir presque complètement pour lenfoncer de nouveau jusquau fond.
Elle était sans aucun doute désireuse de faire traîner les choses. De peur que je crache mon plaisir trop vite ! Pensais-je. Mais pas le temps de mattarder sur le sujet que déjà elle a accéléré petit à petit le rythme du balancement de son bassin. Me branlant la pine avec sa chatte. Cela faisait des « flocs » à chacun de ses mouvements.
Elle respirait bruyamment. La tête renversée en arrière. Ses seins se soulevaient à un rythme saccadé. Ses coups de reins sous ma queue étaient de plus en plus violents. Tout en la masturbant, je lui ai suggéré :
- Tu veux ?
- Quoi ? Je veux quoi ?
- Que je te la mette là où est mon doigt en ce moment ?
- Oh mais voyons
cest sale !
- Mais jaime tout ce qui est sale
Jai joint le geste à la parole et jai fait pénétrer ma verge redevenu raide dans son anus. Elle a protesté, pour la forme, sans pour cela cesser donduler des hanches. Contractant ses muscles autour de ma hampe, le visage bouleversée.
- Cest bon ! Mais jai honte
- Ta honte ! Et de quoi ?
- Je ne sais pas ! Enfin je le sais mais je nai pas envie de te le dire
peut-être plus tard
- Alors bouge !
Elle sest exécutée. Ondulant du cul. Sa respiration sest faite plus forte. Elle avait un mouvement ample du bassin. On aurait dit que son cul était en caoutchouc. Un caoutchouc dur et souple en même temps.
Bien entendu, je lai laissé aux commandes de notre étreinte. Tapotant de temps à autre sur son cul plantureux à laide de mes doigts. Comme pour lencourager dans son travail de seringue. Mon regard sest rivé sur son anus qui paraissait par moment expulser ma queue pour mieux lengloutir de nouveau. Grâce à son travail de sape, jai sentis que je nallais pas tarder à la récompenser de mon foutre. Tant mon excitation était de plus en plus vive.
- Putain ! Je sens que je vais partir
fit-elle.
Elle se mit à contracter son fessier par à coups. Aussi bien quune main. Ce qui a accéléré mon éjaculation. Jai joui, avec une impression irréelle que mon sperme ne sarrêter pas de sécouler dans son cul.
Quand je lai sorti plus tard, ma verge me faisait horriblement mal.
- Il vaut mieux que tu ten ailles, à présent
Son ton indifférent me fit comprendre que cétait son dernier mot. Alors je nai pas insisté, et je suis sorti avec ma caisse à outil. Mais aussi le goût de son sexe et de son cul, plein la bouche
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