Fratrie De Wintzt 2

(Si vous parlez l’Allemand, vous devez vous demander pourquoi notre famille s’appelle de Wintzt et non pas von Wintzt…. En fait, nous ne l’avons jamais su, sans doute une très lointaine ascendant française)


C’était l’été, après mon Bac Littéraire réussi avec mention Très Bien, option Allemand, vous vous en doutez bien, l’Allemand était parlé chez nous aussi bien que le français et nous étions tous parfaitement bilingues.
Pour mes frères, leur destinée était toute tracée et ils se devaient de reprendre l’entreprise familiale, florissante grâce à l’argent de ma mère, et la rendre encore plus florissante.

Le testament de ma mère était assez surprenant quand même…. Rien ne revenait à mon père personnellement, la moitié devant être investie dans l’entreprise familiale, sous contrôle sévère. Quant à l’autre moitié, elle allait à ses fils, à leur majorité, par tiers égaux, et en cas de disparition de l’un de sa progéniture sans descendant, c’est aux autres qui devaient décider où devaient aller sa part, à eux, ou à l’épouse de l’un deux, par contrat, avec retour en cas de divorce ou de veuvage. Cette part représentait quand même plusieurs dizaines de millions d’Euros pour chacun et nous savions tous les trois, que nous étions à l’abri du besoin…
Ce n’est pas l’objet pour le moment, mais il aura son importance par la suite…

Été… été dans notre vaste demeure où Paul avait pris ses vacances aussi, mon père et Matthieu étaient là aussi, sans être présents régulièrement, mais ce qui importait, c’est que je pouvais enfin vivre librement avec mon Homme….

Nous avions déménagé nos chambres à l’étage supérieur et pour ne pas trop créer de doute, nous alternions, pour toujours dormir ensemble, il ne nous était impossible de nous séparer…

Chaque nuit, notre soif l’un de l’autre s’exprimait dans notre lit d’amour et Paul devenait de plus en plus violent dans ses rapports avec moi… Pas de violence physique, bien sur, mais la violence du désir de me posséder… d’enfoncer son pieu dans moi pour marquer, encore et encore, mon appartenance à mon frère Chéri….



Il n’en avait jamais assez… nos nuits ne lui suffisaient pas et bien souvent, il me besognait, accroché à un arbre du parc, sur la barque dans laquelle nous allions nous promener, bref… Partout où son désir surgissait… Il suffisait que j’effleure son corps, pour que sa bite se retrouve au garde à vous… prête à me pourfendre….

Un soir… La cata…. Alors que Paul prenait violemment possession de moi dans notre lit, Matthieu est entré dans notre chambre silencieusement…. Sans que nous nous en soyons rendus compte, il nous avait contemplé copuler, voir le sexe énorme de son frère s’enfoncer à grands coups dans son autre frère et en tournant mon regard… J’ai pu le voir…. Il bandait comme un taureau et caressait sa barre à travers son short….
Il s’est avancé vers moi et Paul l’a regardé s’approcher

- Suce-moi ou je dis tout….
- Suce le… C’est ton frère aussi

Matthieu a enfoncé son membre dans ma bouche, pendant que Paul me défonçait encore plus violemment, jusqu’à atteindre une jouissance encore plus perverse…

Dès que Paul s’est vidé dans moi, Matthieu, sans attendre, à pris sa place, profitant du sperme de son frère pour entrer en moi d’un coup…. Heureusement son calibre était inférieur à mon Paul, mais la force de ses coups me balançait dans tous les sens...
Paul me câlinait, embrassait ma bouche puis a descendu mes lèvres sur son sexe, toujours aussi bandé…. J’aimais Paul follement, mais le plaisir d’avoir été pris par mes deux frères a été le plus fort. Ils se sont alternés toute la nuit dans mes orifices… Et au petit matin, je n’en pouvais plus…. A notre réveil, englués de notre plaisir, Paul a serré ses doigts sur la mâchoire de notre frère…

- Plus jamais ça…. OK ? Je t’ai laissé faire… Une fois… Mais plus jamais… !!!
- Pourquoi Paul… On s’est bien amusés, non ?
- Oui… je sais, mais Marc est à moi seul… Je te l’ai offert hier, mais plus jamais
- Je vais tout dire à Papa…
- On s’en fout… Fiche le camp

Et je me suis blotti dans le bras de mon Homme….
Soulagé…. Paul n’était rien qu’à moi, et je n’étais rien qu’à lui…

(Suite prête)











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