La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1299)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) (suite de l'épisode précédent N°1294) -
Une fois que Clémence et Chloris furent entrées, le Seigneur dEvans les invita à s'assoir :
- J'ai appris que la plus grande crainte d'Enguerrand lors de son initiation est, que si l'une de vous commet une erreur, quil ne sache pas doser la punition appropriée.
- Mon oncle, Chloris et moi sommes, sans vouloir nous venter, expérimentées et même si personne n'est infaillible, si faute il y a, elles ne seront pas très graves, intervint Clémence
- Je sais et justement, voilà ce que je veux que vous fassiez. Faites exprès de commettre des erreurs de débutantes
(Voyant leurs regards plus qu'interrogateurs, il poursuivit) - Oui, comme crier au premier coup, lui dire non, ne pas l'appeler Maître, lever les yeux sur lui. Et vraiment à la limite, une seule de vous deux, jouir avant son autorisation. Vous verrez ainsi comment il gère et si c'est excessif ou trop léger, comme c'est une initiation, guidez-le pour qu'il prenne la bonne décision, mais comme si vous étiez débutantes, pas plus de 10 ou 15 coups, car je sais que depuis longtemps, vous ne commettez plus ce genre d'erreurs de débutantes
- Et sil exige qu'on fixe nous-même la sanction ?
- Je lui expliquerais à lavance qu'il devra lui-même décidé, justement pour shabi et surtout pour se rassurer car je suis sûr quil sait parfaitement doser les punitions mais il a quelques doutes imputés au manque dexpérience. Mais après, il naura plus de craintes.
- Bien Seigneur, je n'avais jamais pensé à cela, mais autant quand on apprend, il est difficile de ne commettre aucune erreurs, autant quand on est plus expérimentée, il est difficile de le faire exprès, dit Chloris...
- C'est bien vrai, approuva Clémence.
- Hé bien alors bonne chance, je sais que ça va aller, dit le Seigneur d'Evans plus pour se rassurer Lui-même, alors que les filles, qui elles, étaient sereines.
Initiation de Messire Enguerrand d'Evans avec Chloris et Clémence :
Comme cela l'avait été le cas il y a quelques années pour Ronan, la chambre avait été apprêtée pour l'occasion, (à savoir que tous les Dominants avaient leur propres instruments mais pour les initiations, c'était en réalité des «cadeaux» des autres, pour le jeune homme ou femme entrant dans le cercle) et les deux jeunes filles l'attendaient donc nues, à genoux, têtes baissées, mains dans le dos, au centre de la pièce. Juste avant de pénétrer dans sa chambre et entendu les dernières recommandations de son père, Enguerrand prit une profonde inspiration et entra. Quand il les vit ainsi agenouillées il les trouva vraiment très belles, très attirante dans leur féminité, dans leur nudité aux formes charnelles excitantes, sensuelles et désirables. Ce fut Clémence qui la première commit une "erreur" en levant les yeux et croisa son regard. Mais voyant les yeux froids et réprobateurs dEnguerrand, elle les baissa instantanément et se dit dans sa tête : "Déjà un bon point pour lui, il a le bon regard".
- Pourquoi as-tu levés les yeux, chienne ?
- Pour rien.
- Pour rien qui ? Et cela vaut pour vous deux, sachez que dans cette pièce vous me nommez Maître. Est-ce clair ?
- Oui Maître, répondirent-elles.
- Bien, toi, pour ta punition va te placer debout face au mur, jambes écartées, bras levés et mains plaquées contre le mur à côté de la cheminée.
Le jeune Dominant examina les objets lui avait-on préparés. Il opta pour la badine et revint vers Clémence qui tout comme Chloris, très discrètement, gardaient un il sur ce qu'il faisait. Jusqu'à présent, il se débrouillait parfaitement bien.
- Ce sera 15 coups. Tu comptes et me remercies entre chacun deux.
- 1, merci Maître.
- ...
- 15, merci Maître.
Clémence tomba à genoux et lui baisa la main pour le remercier.
- Reste-la. (Il s'éloigna se dirigeant vers sa couche) Toi, aux pieds.
Chloris, de sa démarche la plus féline et sensuelle, s'approcha et se remit dans la position d'attente.
- Tu vas me dévêtir, je me sens à l'étroit.
La jeune fille remarqua en effet la bosse caractéristique de l'excitation masculine. Elle le dévêtit donc doucement avec application n'omettant pas, ce faisant, quelques caresses furtives destinées à augmenter son excitation de son envie de mâle en rut.
- Suce-moi salope, c'est toi qui me fait bander comme ça !
La belle Chloris prit alors cette belle et noble queue dans ses mains douces et commença à le masturber doucement avec savoir-faire. Puis elle le prit en bouche et s'appliqua à lui faire la plus divine des fellations. Visiblement cela plaisait au jeune homme qui savourait fermant légèrement les yeux et laissant échapper des petits grognements de plaisir. Chloris sentant le plaisir d'Enguerrand monter, accentua ses va-et-vient autour de cette queue tendue passant sa langue sur toute la hauteur, suçotant le gland, l'entourant de sa langue, aspirant en comprimant ses lèvres, léchant avec avidité tout en le branlant énergiquement. Le résultat ne se fait pas attendre, le jeune homme éjacula en de longs jets saccadés de sperme chaud et épais. Chloris avala le tout avec délectation se léchant le tour des lèvres, lorsqu'il lui demanda :
- Tu as aimé ?
- Oui, dit-elle en omettant expressément le mot Maître.
Enguerrand lui asséna une claque en disant :
- C'est "oui Maître" et que je n'ai pas à le redire.
Cette dernière phrase n'appelant aucune réponse, ni réplique, Chloris baissa humblement la tête, contente en elle-même que le fils du Seigneur dEvans se débrouille pas mal dans son initiation à devenir un futur grand Maître comme son père
- Clémence, vient ici et met-toi en levrette.
Et la belle soumise s'approcha docilement et se mit dans la position exigée. Le jeune Dominant se plaça derrière elle et commença à caresser la croupe arrondie et offerte.
- Si tu te conduis bien, plus tard je taccorderais, peut-être, le droit de jouir.
Cependant Enguerrand non plus navait pas joui car il ne voulait pas lui accorder de sa Noble semence, quelle ne méritait pas selon lui.
- À toi la chienne, dit-il à Chloris, avec toi je vais pouvoir me vider les couilles. En levrette !
Chloris prit la position exigée et il fit de même qu'avec Clémence à la différence près quil ignorait à quel point les fessées l'excitaient et donc quand il voulut juger de son état dhumidité, il fut surpris quelle soit aussi trempée.
- On dirait bien que cest une chose qui texcite salope ?
- Oui Maître, je lavoue jadore cela.
Sachant que désormais elle était prête, Enguerrand la pénétra à grands coups virils et profonds. Elle adorait être saillie ainsi dun coup. Le jeune homme ressorti après être resté planté en elle quelques longues secondes. Puis il accentua la vitesse tandis que la belle gémissait de plaisir, le jeune dominant était vraiment doué, il est vrai quil avait de qui tenir. Tandis que le jeune homme la besognait rapidement et que Chloris luttait déjà pour ne pas jouir, il ralenti le rythme pour la pénétrer très, très, très lentement, entrant et sortant centimètre par centimètre. Quand enfin, subitement, Enguerrand accéléra dun coup ses va-et-vient et cest dans de prodigieux coups de reins puissants que frénétiquement il jouit dans des râles à nen plus finir. Elle craqua et jouit plus ou moins volontairement avant son autorisation. Alors Enguerrand alla se planter devant elle qui était toujours en levrette.
- À genoux! T'ai-je autorisé à jouir la chienne ?
- Non Maître, je vous présente mes excuses et vous demande de bien vouloir me sanctionner, cest inacceptable et indigne de léducation dAntonin.
- Tu seras punie pour cela, plus tard. Mais en attendant Clémence, tu vas te faire lécher par cette chienne, toi couchée sur le dos, jambes repliées et écartées. Cette fois tu pourras jouir. Quand à toi, je te prendrais par le cul le temps que tu la lécheras et tâche de lui donner du plaisir.
- Bien Maître, dirent-elles en se plaçant dans la bonne position
(A suivre
)
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