Les Aventures De Béa, L'Offrande

La suite du récit publié en juin 2017 relatant les aventures de Béa...

Le grand salon était plongé dans la pénombre. Seul le large fauteuil posé sur une estrade recouverte de velours rouge était éclairé par de puissants spots. Béa, vêtue d'une élégante robe de soirée noire, de bas et d'escarpins vernis assortis, vint s'installer sur le fauteuil. Masquant son visage, la belle portait un élégant loup rouge surmonté de délicates plumes. Ses doigts aux ongles vernis d'un rouge carmin se posèrent sur les accoudoirs du fauteuil.
Le directeur de l'agence immobilière avait recontacté Béa quelques jours après leur séance torride et lui avait fait une nouvelle proposition. Organisant un dîner mondain au profit d'une association caritative, il souhaitait le clore par une vente aux enchères un peu particulière dont elle serait le lot. Il lui avait expliqué que ses invités étaient tous de riches notables de la région et que les enchères pouvaient monter très hauts. L'intégralité de la somme obtenue lui reviendrait. Il ne tenait donc qu'à elle de faire grimper les enchères par une exhibition. Le but du jeu était que le gagnant devait "consommer son lot" immédiatement devant tous les autres convives.
Une musique très sensuelle démarra et Béa se mit lentement à onduler. Tout d'abord assise, ses mains glissant sur son corps, effleurant ses seins, passant derrière sa nuque. Elle essayait d'imaginer combien de personnes étaient en train de la regarder s'exhiber ainsi et cela l'excitait d'être protégée par cette pénombre et ce masque, comme si elle était seule. La mise aux enchères avait démarré et elle pouvait voir sur un boîtier accroché au mur affichant une somme grimpant régulièrement ainsi qu'un décompte horaire fixé à dix minutes. Elle imagina que les convives avaient chacun un petit boîtier électronique leur permettant d'enchérir.
Béa se leva et commença à bouger et se déhancher au rythme de la musique, entamant une danse très langoureuse et sensuelle.

Ses mains commencèrent à faire glisser sa robe, se tournant dos au public pour la faire tomber au sol. Ses mains posées sur ses seins elle se retourna, vêtue uniquement d'un string arachnéen, porte-jarretelles et bas de soie noire. La valeur sur l''afficheur ne cessait de croître. Bientôt Béa enleva ses mains pour offrir ses magnifiques seins à la vue de tous. Continuant sa danse langoureuse elle glissa ses doigts de chaque côté du string et commença à le faire glisser. Elle se retourna, se pencha en avant en s'appuyant sur les accoudoirs du fauteuil et se débarrassa du petit morceau d'étoffe, offrant son cul sublime et la fente gracieuse de son sexe à la vue de tous. Béa fit à nouveau face, s'assit sur le fauteuil et écarta grandement ses jambes, les posant sur les accoudoirs, dévoilant ainsi sa vulve magnifiquement dessinée. Deux doigts de sa main gauche tirèrent sur le capuchon du clitoris pendant que de son index droit commença à le caresser. Elle jeta un œil au boîtier qui affichait une très coquette somme et il ne lui restait plus que deux minutes pour le faire encore grimper. Béa accéléra sa masturbation tout en introduisant deux doigts dans sa fente trempée. Un doux signal fut émis par le boîtier annonçant le décompte final et la lumière commença progressivement à croître. Béa découvrit la présence d'une vingtaine de couples dans le salon. La plupart des femmes étaient déjà à moitié nues, suçant leurs maris ou se faisant prendre. Une femme retint son attention. À quatre pattes sur l'épaisse moquette, la robe relevée sur ses fesses dans une position provoquante, elle se faisait saillir vigoureusement par un jeune homme qui aurait pu être son fils pendant qu'elle engloutissait la queue de son mari de sa bouche vorace. A un moment la femme tourna la tête pour la regarder sur l'estrade et le sang de Béa se figea dans ses veines. Cette jolie femme en train de se faire prendre comme une chienne n'était autre que sa chef de service à son bureau ! Béa était arrivée à un point de non retour et cette découverte ne put enrayer le formidable orgasme qui la terrassa. Secouée par une forme nouvelle de plaisir pour elle, elle jouit sans retenue et de façon impudique devant cette femme à l'aspect habituellement rigide qu'elle côtoyait tous les jours.