Je Me Donne 5
Anthony désire et commence à privilégier des habitués qui doivent montrer patte blanche. Un test est réclamé à ceux qui souhaitent soccuper de sa femme régulièrement. Pourquoi ?
-je veux que ces hommes se déversent en toi afin que je puisse me délecter à la fin en te bouffant les trous bien juteux.
-mon chéri, cest pas un peu
.
-quoi ! Tu te fais prendre et moi je naurais droit à rien. Non non, ma chérie, ce nest pas comme ça que nous allons faire.
-tu ne serais devenu un peu pervers mon chéri ?
-Pervers ? non, jai appris à aimer, aimer te voir te faire prendre par des hommes et à jouir comme une salope, merci Rachid.
-oui, ou merci Anthony, grâce à ta dette, je suis devenue une salope.
-pas faux !
Je prends le bus pour aller chez mon opticien, mes lunettes sont cassées. La fille de la patronne a repris la gestion du magasin et elle me reçoit pour résoudre mon problème. 25 ans environ, blonde, cheveux coupé très très court et agréable dans léchange. Elle me fait part du coût de la réparation, tout me taquinant sur mon haut un peu décolleté, laissant paraitre que mes seins sont libres. Je fais semblant de ne pas comprendre, mais elle continue à me chercher. Me sentant dans une situation embarrassante, je tente de mettre fin en prétextant lheure de fermeture de la boutique. Il est 19h00 et je ne veux pas r.
-mais non, madame D, je ferme la porte, nous ne serons pas dérangé.
Avec une télécommande, elle bloque la porte dentrée. Elle me prend par la main et me tire vers son bureau.
-toi tu me plais, ma femme est partie pour le travail en province, alors nous allons nous amuser un peu.
Je suis plaqué contre la cloison et une de ses mains passe sous mon haut et vient tirailler mes seins.
-tu es plate, il ny a pas grand-chose à tâter la dedans, voyons plus bas.
Sa main passe sous ma jupe, écarte ma petite culotte et découvre ma toison pubienne bien garnie.
-arrêter
-quelle touffe, tinquiète je ne la mangerais pas, jaime pas particulièrement les poils, par contre toi tu vas toccuper de la mienne.
Avec force, elle appuie sur mes épaules et je me retrouve à genoux. Elle retire sa robe et ses dessous, puis sassoie dans son fauteuil de bureau et écarte largement les cuisses. Je découvre une intimité sans un poil, lisse de chez lisse. Elle att ma chevelure et me tire vers son sexe. Ma langue ne tarde pas à la lècher, la pénétrant par moment. Le goût est acidulé et rapidement elle mouille dun liquide bien blanc. Javale, je navais pas connaissance quune femme pouvait mouiller de cette façon, comme si cétait le sperme dun homme, mais ce nest pas. Elle caresse ses seins de taille généreuse, tire ses mamelons et les faits rouler entre ses doigts. Sa respiration sacélère, elle tire encore plus sur ses mamelons et en silence prend son plaisir. Juste sa respiration, les mouvements de sa tête indique que le plaisir est arrivé. Elle se relève, me pousse dans le fauteuil, à sa place. Elle relève ma jupe, retire ma culotte et mécarte le plus possible mes cuisses.
-une touffe comme ça, sa devrait pas exister, avec moi sa passerait sous la tondeuse.
Un doigt vient chercher le chemin de mon clitoris, quil trouve facilement, puis il descend à lentrée de mon sexe.
-oh mais ma petite chérie tu mouilles déjà comme une grande, géénniiaaall.
Son doigt repart sur mon bouton, et là sans retenue, elle me masturbe vigoureusement, accentuant ma lubrification intime quelle récolte pour mouiller le doigt qui me masturbe. Constatant que je suis réactive à cette manipulation, elle me pénètre dun doigt. Etant très lubrifiée et dilatée, je ne sens pas grand-chose. Un deuxième et un troisième doigt me prennent, ça commence à être plus pénétrant, je ressens les allers retours dans mon intimité, super bon. Elle ne cesse dentrer et de sortir, insistant sur lentrée de mon intimité, cherchant à ouvrir encore plus.
-ouuuuufff !
Je ne ressens pas de douleur forte, juste quelque chose qui mécartèle mon entrejambe. A partir de là, elle sactive dans mon intimité. Je sens nettement que je suis prise par sa main, son poing, quelle se fait plaisir à me pistonner de la sorte. Elle me assez longuement avant que je ne ressente une sensation étrange.
-arrête je crois que jai envie de faire pipi
-sarrêter pourquoi ? Oh que non, tu peux te libérer, aller lâche moi tout.
Quelle quelle me fait celle-là encore, je nai pas envie duriner devant elle, cest intime quand même. De sa deuxième main elle mempêche de tenter de me relever, pendant que lautre main me laboure littéralement mon intimité, à ce rythme je vais pas pouvoir me retenir. Et cest effectivement ce qui arrive, elle fait tout pour que je me libère et des jets durines commence à gicler. La sensation est nouvelle mais super bonne, jai limpression de prendre mon plaisir tout en pissant. Jai comme un étourdissement et je jouie en même temps. Quand je reprends pied, la main vient tout juste de quitter mon sexe.
-alors ma petite chérie je crois que tu as découvert un autre plaisir.
-ouff ! oui mais jai tout salie, je suis désolé.
-on sen fou de ça. Rhabilles toi maintenant, je dois partir.
Au moment de me laisser quitter sa boutique elle me dit :
-moi cest lydie, tu peux revenir quand tu veux, voilà mon 06.
-euh ! oui merci enfin moi cest Maeva.
-tu es une belle portuguaise tu sais, alors prend soin de toi.
Elle me quitte en me donnant un baisé sur la joue.
A mon retour à la maison, je raconte ce moment à mon chéri. Vu que maintenant il sest libéré, jestime que je lui dois la vérité.
-si tu attires aussi les femmes, nous allons pas avoir beaucoup de temps à nous.
-tu veux dire quoi ? Que je dois revoir Lydie ?
-bah oui, mais avec moi, je voudrais bien voir ce que tu mas dit, tu verras avec elle pour la revoir en ma présence, mais après notre semaine au Maroc.
-oui et bien nous verrons mon chéri, nous verrons
-cest pas discutable de toute façon.
Deux semaines plus tard nous sommes au Maroc, dans notre hôtel. Le temps est génial, beau et chaud, ballade, apéro, le top quoi. Nous avons faits connaissance dun serveur qui apprécie notre compagnie, Hocine. Il nous propose de nous faire découvrir la ville sous un angle autre que touristique. Nous nous promenons dans des coins ou il y a très peu de touriste. Je suis parfois dévisagée, eh oui, jai pas pensé à mhabiller plus conventionnellement pour cette sortie, cest un peu léger, je reconnais. Jai une robe très légère, assez courte et mes seins, enfin ce que jai comme seins, sont libre.
Nous nous arrêtons et entrons dans une maison ou il nous présente son cousin. Cette famille à donnée léducation à Hocine à la mort de ses parents. Laccueil est cordiale, mais nous comprenons quil y a un problème. Nous entendons une femme crier dans une autre pièce. Hocine nous dit de ne pas nous inquiéter, une de ses cousines a été prise à avoir une relation intime avec une autre femme, ce qui nest pas toléré au Maroc, mais surtout dans la famille. Un homme parle fort. Hocine nous dit que nous sommes conviés à aller voir ce qui se passe. Après une hésitation de ma part principalement, étonnement, Anthony est très à laise depuis que nous sommes arrivés au Maroc, nous suivons Hocine. Le tableau est outrageant pour la cousine dHocine qui a « péchée ». Il y a trois femme voilée autour de cet femme qui elle a le buste nu, les seins libres. Deux des femmes la maintienne sur une chaise, pendant que la troisième lui coupe les cheveux.
-pourquoi font-ils ça Hocine ?
-tout le monde sait ce quelle a fait, elle ne pourra pas être mariée et elle va devoir rester ici et ça va couter cher au cousin.
Je suis horrifiée pour elle, moi qui me pavane avec mes cheveux bouclés. Anthony, lui ne semble pas être plus surpris que ça de voir cette scène. La pauvre femme se retrouve avec des trous dans sa chevelure, les yeux larmoyant.
-mais Hocine, ils ne vont pas tout lui couper quand même ?
-si si, elle va être tondue.
Tout en ragardant ce qui se passe, Anthony est à mes côté et Hocine derrière nous. Je sens une main caresser mes fesses, relever ma robe et venir me titiller mon entrejambe. Je tente discrètement de lui faire comprendre que ce nest pas possible, quil doit arrêter. Il ne stoppe rien, au contraire, il se fait plus pressant. Ma culotte est baissée pour lui laisser accès à mon intimité. Il pose son menton sur mon épaule.
-je te conseille de te laisser faire Maeva, je sais que tu aimes les femmes, si je le dis, tu risques de te retrouver à la place de ma cousine, ici nous ne plaisantons pas.
Le petit con, il sait quoi ? De qui ? Et de toute façon je suis Française, donc ils ne me feront rien.
Je repousse discrètement la main qui est sous ma robe, là Hocine commence à parler en arabe à son cousin qui immédiatement vient vers nous.
-mes amis venez dans ma boutique derrière, il faut que nous parlions.
Je commence à avoir un peu peur de la suite, et si Hocine lavait vraiment dit ? La porte de la boutique se referme sur nous.
-alors toi la française, il parait que tu aimes aussi les femmes ?
-heu ! non pourquoi vous dites ça ?
-jsais pas ça se vois, ça se sent. Ta femme aime les femmes lami ?
-mais non pas du tout.
-prouve le moi lami.
-tu veux quoi ? Tu veux lessayer, il suffit juste de le dire.
Alors là, Anthony ma tétanisé sur place. Lui, tenir ces propos, je nen reviens pas.
Le cousin dHocine me prend par le bras et moblige à me baisser devant son membre quil sort rapidement. Elle sent pas le propre, mais il moblige à le prendre en bouche quand même. Je commence à sucer ce membre pour éviter encore des problèmes.
-eh lami, pendant que je moccupe de ta femme, Hocine va soccuper de toi.
Comment ça Hocine va soccuper de mon mec ? Je retire le membre de ma bouche.
-mais pourquoi Hocine va soccuper de mon mari.
-tu fais quoi toi ? il aime les femmes et les hommes, je lai bien dresser, il a une chatte de femme et il aime ça.
-mais pourquoi la femme
.
-tu cause trop
Il me force lentrée de ma bouche et je dois reprendre la fellation.
-puisque tu veux tout savoir sur lui, sa futur femme est avec les autres pour soccuper de la bouffeuse de chatte, Hocine, je lai formaté à être à ma disposition, nos femmes ne sont plus très bonne, alors un cul cest très bien et lui il rapporte son salaire à la famille, lautre rien.
Je détourne mon regard vers mon mari et je le vois se faire sucer par Hocine qui lui mange les couilles aussi, il semble apprécier se salaud. Je suis relevé et pausé sur une table, il relève ma robe, retire ma culotte et immédiatement me prend lintimité. Il me prend comme un bourrin, je crois que cest ce qui se dit. Il ne cherche que son plaisir, même si il arrive à faire monter le mien sans le savoir. Jentends des couinements, je tourne la tête et je vois Anthony pénétré Hocine. Mon mari ne sodomise pas sa femme, mais il sodomise un homme, je ne comprends plus rien. Je me fais prendre avec force, mais encore une fois cest bon.
-ha, ah ah
A chaque coup de ce membre que je prends profondément je mexprime. Anthony est toujours planté dans les fesses dHocine, lui qui dhabitude éjacule rapidement, cette fois il est toujours en rute. A un moment jentends mon mari crier, il vient de se vider dans les fesses dHocine, il se retire, retire son préservatif et déverse son sperme sur les fesses du petit serveur. Moi je suis toujours en train de me faire prendre, mon plaisir il ne laura pas, pas après ce quil a fait à cette femme. Mais cétait sans compter sur la ténacité de cet homme. Il plaque son pubis sur le mien et ses mouvements masturbe mon clitoris, je ne tarde pas à jouir.
-oh oui, oh oui
Il retire son membre et se masturbe pour venir jouir sur ma toison pubienne. La quantité de jus est importante et bien épais. Il nous fait nous rhabiller rapidement et nous sortons.
-les amis venez prendre le thé. Ta femme est bonne lami et Hocine il a un bon tarba, non ?
-oui bien ouvert, un régal je reconnais.
-bon cest bien, asseyez-vous.
Il dit quelques mots en arabe et la femme qui a péché arrive, apportant le thé.
-quest ce tu fais avec ça sur la tête, ça ne sert plus à rien, retire moi ça.
Il lui demande de retire son voile. Ce quelle fait en toute obéissance et nous découvrons une tête blanche, sans un cheveu. Je suis triste pour elle mais je ne le montre pas, pas question de déclencher un incident.
A notre retour à lhôtel, jinterroge mon mari sur ce qui sest passé. Anthony trouve cela normal, il fallait bien que je prouve, moi, sa femme que jaimais les hommes, sinon nous risquions davoir des problèmes. Et lui avec Hocine ? que devait-il prouver ?
-mais ma chérie, tu étais occupé avec cet homme, alors jai utilisé Hocine, oui et alors. Cest interdit, toi qui te fais prendre par des inconnus, toi qui a des relations avec des femmes, toi qui jouis lorsque tu es prise par dautres hommes que ton mari. Enfin Mae, un peu ridicule, tu ne crois pas.
-peut-être, même si tous ce que tu dis est vrai, mais toi prendre un homme et en plus lui donner du plaisir, je suis surprise.
-tu me prends la tête ma chérie.
-ah oui, je te prends la tête, alors je faire un tour.
Je claque la porte et vais me balader dans lhôtel. Je sens sur moi lodeur de ce salaud doncle dHocine qui a déversé sa semence sur mes poils, pas grave, ça devrait passer inaperçu, Anthony ma énervée. Je prends la direction du coin café pour prendre un verre. Au détour dun couloir, un homme me prend le bras et mattire dans une sorte de remise. Je me retrouve dans le noir avec cet homme. Je reconnais la voie dHocine.
-parait que tu es furieuse que ton mari mai baisé et en plus quil aime ça, prendre un cul ?
-Hocine, je tai reconnu, arrête.
-si tu louvre, je te jure que je temmène chez mon oncle qui te refera ta coiffure, comme pour ma cousine.
Les mains dHocine parcours mon corps, mes seins sont malaxés, pincé, mes fesses sont pressées fortement. Il retire ma robe et sa langue vient lécher ma toison.
-hummm ! mon oncle à bien garnie ta touffe, ça pu le sperme.
Sa langue me pénètre, nettoyant mes lèvres intimes au passage. Il me pose les jambes écartées sur une table et son membre me pénètre dun coup. Hocine me laboure lintimité, me faisant mouiller comme une folle. La situation est particulière, nous sommes dans le noir total et je suis à la merci dun homme, homme que je connais et qui nest pas désagréable physiquement. Sa langue vient prendre possession de ma bouche et je me laisse faire. Je me lâche pour profiter de cet instant.
-cest toi que je devrais épouser, une bonne salope comme toi cest trop bon. Tu dégoulines de la chatte, oh putain cest bon une pute comme toi.
Avec ces mots, Hocine me prend, embrassant mes seins, suçant mes tétons, nos langues se retrouvent et sentremêles, il mexcite. Les longues pénétration quil fait me donne du plaisir.
-une salope comme toi, ça doit aimer la queue dans le cul, non ?
Il me bascule en même temps quil prononce ces mots, offrant mes fesses à Hocine. Il met un doigt sur ma rondelle et constate que ma mouille a coulé vers ce petit trou. Son membre se présente et tente dentrer. Une petite poussée suffit pour que je sois pénétrée par ce membre qui rapidement coulisse en moi.
-je vais jouir dépêche toi Hocine.
Il me fait jouir, alors que lui son plaisir nest pas encore là. Ma tête perd tout sens de réalité, sentir encore ce membre en moi après ma jouissance est génial. Il bouge et bouge encore en moi, je vais mévanouir si ça continu.
-arrrrrrrhhhhhhhhhhhh
Hocine jouit et libère tous son jus dans mes fesses, je sens plusieurs jets.
-putain, tes malade tu à jouis en moi sans capote, tes débile ou quoi.
Avec ce jus déversé en moi , jai immédiatement réagis.
Il me prend la tête et enfourne sa langue dans ma bouche, son membre toujours planté en moi. Il fait quelques aller retour bien profond, puis se retire, laissant couler son jus.
-te soucis pas, je suis clean, je suis pas débile non. Tu es trop bonne pour ne pas te remplir comme il faut.
-tu me dis ça mais jen sais rien moi.
-je suis prudent, ma futur femme, je ne lai pas encore honoré, mon oncle se protège toujours et ton mari aussi était protégé tout à lheure.
Je me réajuste, essuie mon entre-jambe et vais prendre un verre au bar.
Durant la fin du séjour, Hocine ma prise tous les jours, me faisant jouir comme une folle à chaque fois. Lors de notre départ, jai échangé mon mail avec Hocine, afin de garder un lien.
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