La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1300)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) (suite de l'épisode précédent N°1299) -
- Bien Maître, dirent-elles en se plaçant dans la bonne position
Après avoir tout de même pris le temps de la préparer et davoir lubrifié son anus de son abondante cyprine, Enguerrand la pénétra doucement ne voulant pas lui faire mal et elle se mit alors à onduler du bassin lui faisant ainsi comprendre quelle aimait et quil pouvait la sodomiser en allant plus profond
Une fois la voie bien ouverte, le jeune dominant accentua la vitesse et la profondeur de sa saillie anale. Comment cela pouvait-il être une punition ? Se faire ainsi enculer était si bon et en même temps pouvoir lécher Clémence jusquà gouter à son plaisir et à sa chatte si délicieuse. Et cest presque ensemble que Clémence et Enguerrand lâchèrent leurs orgasmes violents. Chloris fut donc remplie par le cul et la bouche en même temps et elle trouva cela tellement agréable, sentir le sperme chaud du Dominant et la cyprine savoureuse de sa partenaire et amie. Pendant ce temps, Chloris avait abondamment mouillé et sa propre cyprine coulait sur ses cuisses sans avoir été autorisée à jouir.
- Clémence, nettoie-là avant quelle ne tâche mon plancher, mais attention si elle jouit, je vous punis toutes les deux.
Quant à Enguerrand, tout en les observant il se dirigea vers une des hautes fenêtres de sa chambre. Il devait sûrement être déjà tard et ils avaient tous les trois manqué le souper du soir. Quand elles eurent terminé, elles se remirent à genoux, attendant les ordres suivants.
- Bien cela suffit pour ce soir, il est tard. Clémence va me chercher mon souper et demande à Céline de quoi manger pour vous deux. Je vous invite à dîner avec moi en ce soir si particulier.
- Tout de suite, Maître.
Elle allait sortir lorsquon frappa à la porte qui s'ouvrit en même temps et ils furent surpris de voir entrer le Seigneur dEvans et Antonin.
- Père, Antonin ? J'ignorais que vous n'étiez pas couché je viens de proposer à Chloris et Clémence de souper avec moi, dit sans attendre Enguerrand.
- En effet, lheure du repas est passée. Vos plats vous attendent en cuisine. Clémence demande aussi cinq infusions pour la fin du repas, nous restons avec vous.
- Bien mon oncle.
La soirée se passa agréablement et après avoir mangé et discuté, le Seigneur d'Evans dit :
- Mon fils, vous vous êtes très bien débrouillé mais sachant votre crainte de mal doser les punitions, sachez que les fautes de Clémence et Chloris étaient intentionnels et cela suite à Ma demande. Et conclusion, vous savez très bien doser les sanctions. Vous ferez à lavenir et avec lexpérience de la vie à venir, un très grand Maître digne de notre noble famille Evans. Et ainsi vous perpéez notre Art de vivre qui, je lespère, se transmettra de génération en génération, durant des siècles
(NDLA : Prédilection qui sest donc avérée jusquà nos jours !)
- Merci père. Les filles ont été parfaitement soumises. Et si leurs petites fautes étaient intentionnelles, je les félicite de vous avoir obéi, père. Cela ma aidé à gérer ma dominance. Nest-ce pas les filles ?
- Oui Maître, en tant que soumises nous avons été honorées de participer à votre formation de Maître
Après sêtre souhaité une bonne nuit, chacun retourna dans sa chambre se reposer. Quand Antonin et Chloris furent dans la leur, Antonin prit un ton dominant.
- À genoux, devant moi.
Chloris, étonnée de ce changement dattitude, obéit de suite retirant la blouse quelle portait pour laprès soirée dinitiation. Elle se permit tout de même de demander.
- Ai-je fais quelque chose de mal, Maître ?
- À toi de me le dire. Charles ma dit, car Il vous observer, t'avoir vu jouir sans autorisation et avoir dit que cela n'était pas digne de mon éducation. Est-ce exact ?
- Oui Maître.
- Je sais quIl vous a demandé de commettre volontairement certaines erreurs.
- Maître je
je ne le sais pas moi-même. Je ne sais quoi vous dire, je luttais depuis un très long moment pour retenir mon orgasme, alors quand Enguerrand a joui, je me suis laissée aller ne tenant plus tant mon excitation avait atteint son paroxysme. Et aussi pour commettre une faute pour connaitre sa réaction comme lavait ordonné le Seigneur d'Evans.
- Si tu navais pas voulu ou du commettre une faute, aurais-tu pu te retenir et ne pas jouir ? Sil ne ty avait pas autorisé ou aurais-tu craqué tout de même ?
- Au risque, Maître, de vous paraître prétentieuse je pense que, oui jaurais pu me retenir. Cela étant, n'ayant pas essayé, nous ne le saurons jamais. Alors si vous jugez que je mérite une sanction Maître, je mérite, en effet, une punition.
- Tu as fauté certes, mais au vu des circonstances, je ne sais si tu mérites ou non ma clémence ?
- Faites ce que bon vous semblera, je suis toute à vous...
- Bien réfléchi, tu seras donc punie, mais tu mérites le bénéfice du doute. Donc jexigerai une punition allégée.
- Je vous écoute Maître.
- À partir de maintenant et jusquà demain matin, si mon envie de te prendre, que ce soit en tant que Maître ou en tant que mari, je tinterdis de jouir. Est-ce clair ma soumise ?
- Oui Maître, tout à fait clair.
- Bien, relève-toi Chloris, dit-il, cette fois dun ton beaucoup plus doux.
Antonin la prit dans ses bras et lui dit tendrement :
- Je suis fier de toi, tu as très bien tenu ton rôle pour linitiation dEnguerrand et de commettre exprès des erreurs de débutante. Bien, jai envie de toi, alors maintenant tu vas me sucer, tu me fais terriblement bander, petite chienne
Et la nuit se passera entre des moments torrides et des câlins tendres entre des ébats amoureux et dautres dans une relations de pure Domination/soumission. Et dans les deux cas, sans que Chloris ne commette lerreur de jouir une seule fois.
- Jouit, quand tu veux ma belle, tu las bien mérité, après une nuit sans autorisation.
Quelques instants plus tard cest de concert, qu'ils jouirent ensemble. Chloris lâcha enfin des orgasmes sans interruptions, à la chaîne et à nen plus finir tellement elle avait besoin de jouissances. Ces orgasmes était puissants, voire explosifs, atomiques dans des cris forts qui devaient sentendre dans tout le Château ! Tout son corps tremblait des spasmes puissants de décharges électriques qui la secouaient et remontaient sur toute son échine
Quand son corps se calma enfin après de longues minutes orgasmiques, ils restèrent enlacés tels deux amoureux, fatigués de leur nuit ayant mêlée Domination/soumission et amour sincère
Quelques jours plus tard, le Seigneur d'Evans convoqua Alix seule dans Son salon privé, ou latmosphère était moins formelle que dans Son cabinet de travail. Arrivée devant la porte, elle frappa et c'est Lui-même qui lui ouvrit.
- Bonjour Alix, je suis heureux de te voir.
- Bonjour, mon oncle, le plaisir est partagé.
- Je ten prie assieds-toi. Il faut que je te parle dun sujet un peu délicat mais il faut absolument que je sache afin de prendre les dispositions nécessaires.
- Je Vous écoute, dit-elle légèrement inquiète.
- Soit sincère mais ne craint rien. Premièrement est-ce que Enguerrand et toi avez des sentiments lun pour lautre ?
Alix devint toute rouge et baissa la tête, eux qui pensaient être discrets et ne pas se faire remarquer.
- Cest- à-dire que, nous ne sommes sûrs de rien, mais il est certain, que nous nous entendons très bien, avons pas mal de points communs et chacun de nous se trouve bien en compagnie de lautre et je dois avouer que nos curs battent à lunisson.
- Bien. Et est-ce pour cette raison qu'au départ, tu ne voulais pas participer à son initiation et non pas parce que vous êtes cousins ?
- Oui entre autre car javais peur, je le reconnais, que cela change la complicité et lamour entre nous et aussi que je ne voulais pas, même si je laime beaucoup, me retrouver en compagnie de ma sur pour une initiation.
- Alix réfléchit, jamais je ne vous aurais mises toutes les deux ensemble, vous êtes parentes, cest un interdit du Château, tout comme tu ne pourrais jamais être soumise à ton frère. Si je vous ai posé la question à toute les trois c'est que je voulais connaître votre sentiment à toutes à ce sujet. Depuis que nous savons la vérité sur nos/notre famille, je n'ai plus aucun ordre à vous donner tout comme à Chloris qui est l'épouse d'Antonin.
- Oui je comprends.
- Maintenant qu'Enguerrand fait partie de notre cercle, je te demande et je veux quentre vous deux il ny ait pas le moindre acte de Domination/soumission, car il na encore aucune expérience et cela risquerait, à cause de vos sentiments lun pour lautre, de vous nuire à tous les deux. Donc, je vous autorise à vous voir comme avant mais surtout pas de Domination/soumission, et au cas où il te le demanderait voir lexigerait, viens Men parler et je verrai cela avec lui directement.
- Si Vous voulez, mon oncle, je peux lui en parler. Je pense que de le mettre au courant dès le début serait plus approprié car sil venait à vouloir faire de la Domination/soumission avec moi, et que je lui dise «non» sans qu'il sache pourquoi risquerait d'être néfaste pour sa confiance en lui. Qu'en pensez-Vous ?
- Tu as raison, bien sûr, en réalité je ne savais pas comment aborder le sujet avec lui, autant Ronan s'est toujours confier à Moi, autant Enguerrand est très secret, comme sa mère létait et garde tout pour lui. Si tu trouves le bon moment et les bons mots, alors tu peux le lui dire et sil veut en parler il sera toujours conseillé que ce soit Moi, Ronan ou quelquun dautre.
- Je verrai si le moment se présente ou pas.
- Bien c'est ce que je voulais te dire Ma nièce, je te laisse aller. A ce soir au souper.
- À ce soir, mon oncle, dit-elle en quittant la pièce
(A suivre
)
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