La Bonne 4
LA BONNE4
Bonne
Huguette se lève.
- Je crois que je n'ai plus rien è faire ici, je vous gêne. Donc je rentre chez moi. Si tu as besoin de moi, appelle-moi. La maison familiale est de l'autre côté de la haie, je t'entendrai. Heureuse d'avoir fait ta connaissance Fabien. Sois gentil avec Jade.
A son tour Jade bondit et ratt son amie, juste de l'autre côté du laurier-sauce derrière lequel se cache Jo. Rien n' échappe à notre homme de l'échange entre les deux amies.
- Huguette tu ne peux pas me faire ça maintenant. Tu es indispensable. Tu dois me protéger. Quand Fabien m'arrondira la rondelle, tu veilleras à ce qu'il ne dé pas. Il ne faut pas que, sous l'effet de l'émotion ou du désir, il passe d'un trou à l'autre et qu'au lieu de m'enculer il m'enconne. Le résultat serait la catastrophe que je cherche à éviter.
- Je dois l'empêcher de te fourrer par devant ? Tu ne veux quand même pas que je lui tienne la queue quand il visera ton petit ?
- Folle ! Encore que... Je rigole... Mais tu pourrais soit m'écarter les fesses pour faciliter l'accès, soit placer ta main sur ma vulve pour en interdire la pénétration. Je te promets de te rendre le même office quand viendra ton tour. Donc tu restes pour protéger ma virginité. On ne sait jamais ce qui peut passer dans la tête d'un garçon qui bande. Il pourrait user de sa force et me déchirer l'hymen
- Tu n'aurais plus qu'à l'épouser ce brave toutou. Regarde comme il frétille d'impatience. Mais me demanderas-tu le même service quand tu offriras ton cul à Jo ?
- Salope, tu aimerais bien tenir la bite de Jo pour l'empêcher de me prendre ma fleur ! Attends, tu vas prendre en main celle de Fabien, ça te permettra d'en toucher enfin une. Comme ça celle de Jo ne t'effrayera pas si tu as l'occasion de la voir. Je doute que l'occasion se présente, il m'appartient.
- J'accepte d'assurer ta sécurité par ma présence.
- Mais, mon père a fait installer des caméras de surveillance dans la maison. Bof, la table de jardin et les chaises sont solides. Fabien n'est pas mon amoureux, en tout cas, moi, je ne suis pas amoureuse de lui. Il me suffira pour ce que j'attends de lui. Je veux sa verge, pas son coeur. Il me faut Jo. A Fabien de rôder mon sphincter, de l'élargir et de le rendre confortable, accueillant pour l'homme de ma vie.
- Comment peux-tu le vouloir et le tromper avant de le gagner. Fabien va te prendre. Même si ce n'est que par derrière, il s'agitera dans ta chaleur de ton cul serré, il secouera sa pine dans tes boyaux, il t'arrosera de foutre, donc te possédera; c'est une première tromperie. Ensuite tu veux tromper Jo en lui laissant croire qu'il sera le premier à passer par ton trou facile, arrondi par Fabien. N'as-tu pas honte ?
- Pour arriver à ses fins il faut prendre les moyens, ma chérie. Nous sommes en concurrence, à toi de te démerder. Fais comme moi, je te prêterai Fabien. Après on verra laquelle de nous deux Jo choisira. Que la meilleure gagne. J'ai pris de l'avance sur toi .Allez, on y va. Pourvu que ça ne fasse pas trop mal.
Pendant qu'elles rejoignent le futur taraudeur, perceur, élargisseur de trou du cul, Jo juge Huguette plus honnête que Jade. Reste à voir comment elle se comportera au contact des deux amants enfiévrés. Jade semble croire qu'elle restera insensible à l 'intromission d'un sexe dans son petit trou. Or ce pourrait être pour elle une révélation. Qui sait si elle n'y prendra pas goût ? Non, Jo ne veut pas de cette seconde main, il ne veut pas d'une femme d'occasion même dotée de son hymen, d'une menteuse peu regardante sur les moyens.
Fabien s'étonne d'être délaissé et quitte son siège pour proférer une banalité peu élégante :
- Alo
rs, on prend le train ou on s'encule? Qu'est-ce qu'on attend pour aller au lit?
- Oh ! cher ami, qui commande ici ? T'as envie de mon cul ou non? La maison, hors de question.
- Embrasse-moi, idiote et tu verras...
- Trop commun. Approche.
Jo voit Jade se pencher devant le gars, porter la main à la braguette, remonter lentement. Elle fait glisser le zip, fouille dans l'ouverture en extrait avec précaution un pénis aussitôt éveillé, et se réjouit
- Ah! Voilà une belle marchandise. Tu n'exagérais pas quand tu m'en parlais. C'est pas du gros noir, mais c'est de taille et d'épaisseur appréciables. Pas énorme, ça ne devrait pas être trop difficile à accueillir, mais j'espère que ce sera efficace et suffisant. Mon grand, il va falloir savoir t'en servir. T'as vu ma chérie, tu ne veux vraiment pas soupeser le morceau, hein?
- C'est à toi, pas pour moi. Qu'est-ce que tu fais.
- Je le branle pour le raidir. C'est si bon de tenir une queue dans ses mains. C'est doux, c'est chaud, c'est vivant. Voisèle enfler. Et cette peau qui glisse et dégage le bout, comme c'est émouvant
Fabien se redresse tout fier des compliments et bombe le torse, peu dérangé d'avoir le pantalon en accordéon sur les chevilles. Il ose un conseil :
- Avec la bouche le résultat sera meilleur. Lèche d'abord. à suivre
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