On Est Perdu
Ceci est un récit que jai vécu dans le rôle de Jacques (nom demprunt) jusquà larrivée au café . Malheureusement, une réunion à laquelle je ne pouvais échapper ma empêché de vivre la suite. Celle-ci est donc le résultat des discussions que jai eues avec le couple et de lidée que je me suis fait de ce qui aurait pu se passer.
- Que dirais-tu daller prendre un verre en ville ce soir ?
- Pourquoi pas ?
- Cela me fera plaisir que tu thabilles très légèrement, juste une jupe courte et un chemisier.
- OK
Arrivés en ville, Robert me proposa de jouer un peu.
- Nous allons demander notre chemin mais avant cela, je voudrais que tu déboutonnes ton chemisier.
Je défis 3 boutons et il me demandant den défaire un de plus. Mon chemisier baillait largement, laissant voir ma poitrine nue.
Avisant un homme seul au bout du boulevard Tirou, Robert sarrête et baisse la vitre de mon côté. Je ne suis pas rassurée, comment va-t-il réagir ?
Robert demande :
- - Pardon monsieur, vous pourriez nous indiquer le chemin de la place de la Digue ?
Nous savions parfaitement que nous étions à moins de 300 mètres de celle-ci.
Lhomme se penche et nous explique le chemin en regardant ma poitrine. Il termine est nous souhaitant une excellente soirée avec un grand sourire.
Robert redémarre et fait seulement quelques mètres.
- Quen penses-tu ? Il est sympa et plutôt beau mec !
- Oui.
- Ouvre complètement ton chemisier et écarte les pans.
Il fait marche arrière et reviens à hauteur de lhomme.
Cette fois, je prends une part plus « active » en fixant lhomme avec un regard coquin et je lui dit :
- Excusez nous mais nous navons pas bien compris le chemin.
Lhomme lui a bien compris, il sappuie à nouveau sur la portière et commence une nouvelle explication vite remplacée par des commentaires sur ma poitrine.
Robert lui propose :
- Vous voulez toucher ?
- Non, Robert, ça me gène.
- Monsieur a bien mérité une récompense pour ses explications.
Lhomme me caresse alors les seins.
- Ouvre ta jupe.
Maintenant je suis excitée et je ne rechigne pas. Je dévoile mon sexe nu et complètement épilé.
- Ça vous dit de venir prendre un verre avec nous ?
- Oui. Il y a justement un endroit sympa sur la place de la Digue.
- Comment vous appelez vous ?
- Jacques.
Dans le café, nous montons directement à létage. Jacques ma fait le précéder dans lescalier pour mieux admirer mes fesses pendant la montée. A létage, il règne un éclairage tamisé et un ensemble de canapés et petits fauteuils invitent à se prélasser tendrement. Quelques couples se bécotent dailleurs. Ma jupe courte et mon chemisier fermé à peine par 2 boutons attirent quelques regards...
Nous nous installons dans un des canapés, moi entre les deux hommes.
Nous commençons à discuter de choses et dautres, et les mains de Jacques ne restent pas inactives. Elles détachent les deux derniers boutons de mon chemisier et caressent ma poitrine, ouvrant franchement mon chemisier au passage. Ensuite, une dentre elles se glisse sous ma jupe qui remonte, ne couvrant plus grand-chose de mes cuisses, et se pose sur mon sexe.
Lorsque le garçon vient prendre la commande, il ne retire pas ses mains mais au contraire en profite pour membrasser. Autour de nous, les regards se font plus insistants et cela semble donner des idées à dautres car les corps se rapprochent et les bisous se font plus nombreux dans le voisinage.
- Tu te souviens que tu as un gage à recevoir ?
- Euh oui mais
.
-
Sortant du sac quil avait pris dans le coffre de la voiture une cravache terminée par un lacet de cuir effiloché, Robert ajoute :
- 15 coups de cette cravache, 10 sur les fesses, 2 sur les seins et 3 sur lavant des cuisses et sur le pubis.
- Ce nest pas faisable ici !
- Tu as raison. Je te propose donc de subir ce gage à lextérieur nue couchée sur le capot dune voiture et Jacques officiera sil accepte.
-
Je reste un peu interloquée par la « proposition « . Jacques passe sa main sur la cravache, me regarde droit dans les yeux et répond :
- Pourquoi pas !
- Pour vous remercier de votre participation, vous pourrez baiser Christelle toute la nuit autant de fois que vous le souhaitez et comme vous le souhaitez. En plus, vous pourrez utiliser sur elle tous les instruments dont nous disposons (fouets, bougie, pinces, cordes à nuds, etc
).
Un long frisson me parcours le corps. Cela marrive parfois dêtre prêtée à dautres par mon mari pour des jeux de soumission. Jaime être soumise et la découverte dun nouveau maître ajoute toujours du piment au jeu.
Je me lève et le suis dehors. La scène na pas échappé à nos voisins et en plus Robert a parlé suffisamment fort pour quils entendent. Cest donc accompagnée de quelques personnes que je me retrouve dans la rue. Heureusement, il fait noir maintenant et il ny a pas grand monde qui passe.
Jacques me guide vers notre voiture garée dans une rue dadjacente. Une fille qui était sortie avec nous sapproche de moi.
- Je vous admire pour votre courage. Cela mexcite beaucoup. Je peux vous aider à vous déshabiller.
- Merci, oui bien sûr.
Elle menlève mon chemisier et en profite pour passer sa main sur mes seins puis retire ma jupe et caresser ma croupe. Elle me donne un petit bisou sur les lèvres et me chuchote :
- Bon courage.
Je me couche sur le capot, exposant mes fesses. Je tourne la tête pour voir Jacques. Je sens quil va prendre sa tâche à cur et quil ne sera pas tendre avec moi. Je nen ai pas envie non plus dailleurs.
Un premier coup frappe ma fesse gauche, assez doux. Les suivants tombent rapidement, plus durs.
Jai envie dêtre prise sans plus attendre tant je suis excitée par les coups que je viens de recevoir mais le moment des choses sérieuses approche. Je me retourne et lui offre mes seins. Les spectateurs sont très attentifs et silencieux dans lattente de la suite des événements. Je regarde Jacques dans les yeux et nous savons tous les deux que maintenant, je vais vraiment souffrir.
La cravache très rapidement me frappe par deux fois, marquant chaque sein dune marque rouge. Je me recroqueville sur moi-même en poussant un cri. Des larmes coulent de mes yeux.
Encouragée par le regard et les murmures des spectateurs, je me redresse, mappuie à nouveau sur le capot pour exposer mes cuisses et mon pubis cette fois. Je veux en profiter jusquau bout. Jécarte donc largement les cuisses.
Cette fois, Jacques prend son temps. Un premier coup balafre ma cuisse gauche. Je crie mais ne bouge pas. Jattends le second coup mais il ne vient pas tout de suite. Il veut savourer lui aussi. Nouveau sifflement de la cravache suivi dun nouveau cri. Cette fois, je ne me soucie plus du risque dattirer les voisins ou les passants.
Pour le dernier, je veux quil mapporte ce plaisir qui vient avec la douleur savamment orchestrée. Je suis terriblement excitée et je veux quil me fasse mal. Je creuse donc les reins pour projeter mon pubis en avant, exposant ainsi mon sexe.
Jacques a bien compris. Il vise consciencieusement et la mèche de la cravache vient sabattre sur mon sexe. Jai le souffle coupé un instant puis je sanglote tant de plaisir que de souffrance.
Il me prend dans ses bras et membrasse.
Je rentre dans le café retrouver Jacques et je lui montre mes marques sans me préoccuper des voisins. Cela ne semble pas leurs déplaire dailleurs.
Nous prenons encore un verre pour me donner le temps de récupérer un peu.
- Jacques, chose promise, chose due : elle est à vous pour la nuit. Rentrons voulez vous ?
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