Collection Fantasme. Jeu De Con (1/3)
Avec Radia ma femme, française dorigine marocaine, nous sommes mariés depuis 15 ans et nous pouvons dire quà 35 ans, sexuellement ont à presque tous essayé sauf la violence.
Autant elle que moi nous sommes des pacifistes en tout point, à la rigueur nous acceptons quelques petites claques sur nos postérieurs.
Sexe normal au début, nous pratiquions les positions les plus classiques.
Nous avons pris conscience que notre couple partirait en quenouille comme la plupart de nos amis qui avaient du mal à tenir le rythme si nous restions dans des jeux sans saveur.
Radia me propose dinviter une amie Élodie mariée elle aussi et qui sennuie dans son couple.
Élodie a découvert quelle aime les femmes et en parle à ma femme.
- Jaimerais avoir des rapports avec elle, ça mettrait du piment dans notre couple.
Si, les rapports féminins ne memballent pas, je te le dirais et on nen reparlera pas.
Les femmes montent le coup et jassiste à ces rapports lesbiens.
Mon épouse suit sa copine et quand sa main est à la limite de la fister, sans me toucher jéjacule dans mon pantalon.
Quelque temps plus tard, elle me téléphone, elle est dans un café et a rencontré une femme, celle-ci voudrait aussi ressentir les plaisirs lesbiens et Radia aimerait linitié.
Jaccepte quelle linvite si les deux femmes acceptent que je participe à la fête.
Elles se retrouvent pour le samedi suivant.
Ce soir-là cest moi qui suis à la fête, deux femmes dans mon lit, plutôt sur le canapé du salon.
Radia est dessous et Nouzha dessus en 69.
Je mavance et sa bouche va de ma verge à la chatte de Radia quand je jouis, mon sperme coule du visage de Nouzha vers le vagin de ma femme.
Elles profitent ensemble de tout ce qui sort de mon corps par de longs jets.
Tous les trois nous jouissons ensemble.
Après que nous remplissons les batteries en mangeant et buvant quelques bons vins, je ramène les filles sur le canapé.
Cest la première fois que deux femmes se battent presque pour ma queue.
Elles la font passer de lune à lautre, mais je sais quelles sont là pour elles et leur plaisir aussi, je mefface me repliant dans mon fauteuil.
Cest sur le tapis épais quelles se retrouvent, que cest beau étant au-dessus delles de les voir se frotter les clitos ayant croisé leurs jambes.
Je constate que les femmes sont portées sur la caresse par rapport à nous.
Elles aiment se caresser les seins.
Lorsquelles le font, je constate la chance que jai avec Radia, elle a une poitrine magnifique qui reste ferme sous les doigts de son amie.
Nouzha de son côté nous présente une poitrine nettement plus petite mais bien proportionnée au reste de son corps, petit mais mignon.
Période féminine suivie dune période boîtes de nuit puis clubs libertins.
On décroche vite, tous ces couples sont là pour satisfaire de vieux libidineux qui cherche simplement à baiser des femmes mariées pour le simple tarif de lentrée.
Et puis il y a son anniversaire, le 3 juin.
Bague et autres colliers, elle a tout ce quil faut, jai une bonne place dans une banque où je me rends chaque jour la laissant seule, je gagne ce quil faut pour deux.
- Ma chérie, demain cest ton anniversaire, quaimerais-tu que je toffre.
- Jai bien une idée.
- Une idée, donne-la-moi, je verrais si ça me plait !
- Depuis que nous avons pimenté nos rapports, à la suite d'une émission vue à la télé, jai un fantasme.
- Dit men plus.
- Si je peux, jaimerais me vendre !
- Te vendre, là encore, que veux-tu dire.
- Faire la pute.
À la télé ils interrogeaient des femmes qui faisaient le métier comme elles disaient.
Jaimerais ressentir ce que ces femmes ressentent lorsquelles touchent largent de leurs clients pour se prosti.
- Tu es folle ma chérie !
- Non Christian, cest un fantasme et pour mon anniversaire, si tu es daccord jai repéré comment nous pourrions faire.
Jai toujours aimé faire plaisir à Radia, il est vrai que de la savoir avec un homme qui devant moi lui aurait donné quelques billets aurait un certain piment.
Je suis sûr que notre couple en ressortira ren et cest bien là notre but.
Le lendemain conformément au plan quelle a élaboré, jarrête notre voiture devant un café où il y a eu grande baie vitrée.
Le stationnement est limité dans le quartier, devant ce café, il y a un emplacement pour les livraisons des futs de bières.
Radia, cest préparé devant moi.
Bas noir affinant ses jambes soutenues par un porte-jarretelles de même couleur avec ses chaussures à talons hauts quelle avait achetés sans jamais les porter.
Je voulais quelle mette son string noir lui aussi, mais elle a trouvé plus pervers dêtre sa chatte entièrement épilée.
Cest une fille du sud et sa toison noire lui recouvrait une grande partie de son bas-ventre.
Elle va dans son institut toutes les semaines.
Elle a mis son soutien gorge à balconnet lui aussi noir qui lui remonte les seins la rendant irrésistible, rien de plus, sauf son imper qui cache son corps au commun des mortels.
Je suis entré dans le bar, Radia restant dans la voiture, au bar un homme, jarrive à me lier damitié avec lui, Radia dans son fantasme est offerte à ses clients par son mari.
- Tu vois cette femme dans la voiture à lextérieur, cest ma femme, cest son anniversaire, elle aimerait se prosti pour 200 , ne veux-tu pas en profiter, cest un fantasme que jaimerais laider à réaliser.
- 200, elle est bandante, mais impossible que je lemmène dans un hôtel.
- Aucun problème, elle temmènera chez nous, elle a préparé sa chambre.
- 200, je nai que 50 sur moi.
- Au rez-de-chaussée de chez nous, il y a un distributeur, tu pourras tirer de largent et lui remettre.
Cest fait, même plusieurs fois, le jeu plait à Radia, combien de fois, je la vois prendre les billets soient sortis de la poche du faux client soit du distributeur pour entrer dans ma poche.
Je dis bien dans ma poche car je suis garée devant chez nous.
Elle vient à moi et me donne largent avant de partir avec lhomme que je lui aie choisi à divers endroits quelle a repéré pour éviter déveiller les soupçons sur la réalisation de son fantasme.
Chaque fois que le client revient vers moi ma femme satisfaite, je le raccompagne à son point de départ.
Chaque fois et les choses saccélèrent souvent le samedi et le dimanche, jadore la prendre comme une bête quand je reviens à la maison.
Jécris mon histoire depuis la prison de la santé, un jour, je venais de prendre largent en main bandant davance à savoir ce quelle allait faire.
- Monsieur, veuillez nous suivre, police des murs.
Nous avons été emmenés dans des locaux de polices, mon affaire a été confiée à un juge dinstruction.
Il maccuse de proxénétisme aggravé sur la personne de ma femme.
- Monsieur le juge, cétait un jeu, je réalisais son fantasme, dailleurs nous ne prenions que 200 chaque fois que je réalisais ses envies.
- 200 , pourtant linspecteur qui vous a arrêté mont dit que cétait 300 qui sont dans ce sac devant nous.
Quavez-vous à dire !
- Quelquefois quand un client.
- Vous voyez vous employer le même mot de « client ».
- Monsieur le président, mon client emploie ce mot, mais dans son esprit il voulait dire réalisateur de fantasme de madame Radia sa femme qui le soutient.
Dailleurs, je viens moi-même demployer le mot de client, peut-on dire que je me prostitue quand je défends mes clients.
La salle éclate de rire, un mari qui a un travail cest loin dêtre banal, les journaux en ont fait de pleines pages.
Mon avocat ma été commis doffice, je récusais les abnégations de la police, jugeant quil était inutile de me défendre, javais simplement joué avec ma femme pour réaliser ses fantasmes.
- Quavez-vous donc à dire pour ces 300 ?
- Elle demandait ce tarif quand le client, pardon, lhomme voulait lenculer.
- La sodomiser, Monsieur, une femme on la sodomise, lenculer cest grossier.
Pardon je mégare, continuons.
Donc votre femme prenait plus cher pour se faire sodomiser !
- Oui monsieur le président je reconnais aujourdhui avec le recul que cétait un jeu de con.
- Là vous avez raison, si vos dires sont exacts vous avez joué un jeu de con, mais vous verrez ça à la fin de votre procès.
- Monsieur lavocat général, continuez.
- Jappelle à la barre madame Nouzha, jeune femme divorcée quand son mari a appris à quoi servait largent quil gagnait.
La totale, Nouzha, la jeune femme avec laquelle ma femme sétait gouinée est devant moi.
- Monsieur le président, cet homme est un monstre, il est vrai que jai eu des rapports sexuels avec mon amie Radia.
Un jour elle ma fait venir chez elle.
Jétais déjà venue en présence du mari avec qui javais passé un moment avec sa femme et lui bien sûr, il avait imposé à sa femme sa présence.
Ce jour-là et bien dautres depuis, Radia ma dit que pour baiser, son mari voulait que je paye, je dois reconnaître que jai un peu cédé.
Oh ! pas longtemps monsieur le président quatre à cinq fois.
- Vous avez bien dit quelle vous a dit que son mari voulait de largent pour quelle fasse lamour avec vous.
Et elle vous demandait combien pour que vous fassiez une passe avec elle !
- 500 monsieur le président, en liquide bien sûr.
- Et prise chaque fois au distributeur au bas de chez elle, les photos du système de la banque qui sont dans les pièces à conviction sont devant nous.
Mais madame Nouzha vous dite 500, sur votre compte fourni par votre mari et confirmé par votre banque, chaque semaine vous sortiez 300 .
- Monsieur le président, Radia me faisait tellement jouir que je savais que même pour cette somme, jy retournerais régulièrement.
Je prévoyais 300 chaque semaine maxi que je pouvais sortir 500 pour elle, le reste pour acheter le pain.
Après la déposition de Nouzha, je commence à prendre conscience que Radia mavait peut-être caché certaines choses pas très bonnes pour moi.
La suite de mon procès me dira à quel jeu de con je me suis prêté comme le dit monsieur le Président
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