La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1301)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1300) -

- À ce soir, mon oncle, dit-elle en quittant la pièce…

Ce soir-là, le repas avait lieu avec plusieurs invités dont des proches du Seigneur d'Evans, mais aussi des amis d’Enguerrand (en âge de participer ou déjà initié) … Quelques jours avant et dans le plus grand secret, Lui-même Enguerrand, Ronan, Antonin et Louis-Étienne, avaient mis au point un jeu pour la soirée auquel tous pourraient participer. Avant le repas le Seigneur annonça :

- Mes amis, j'ai prévu un défi pour notre soirée. En effet, une de Mes soumises et une seule servant ce soir porte un olisbos (NDLA : ancêtre du plug et du gode) anal et un autre vaginal, l’ensemble étant ceinturé sous son vêtement. Et toutes Mes soumises ici présentes, ont reçu l'ordre de porter un chiton court (NDLA : ancêtre de la jupe) allant juste au-dessus du genou et donc assez ample pour dissimuler leur cul et sexe, pendant le service. Exceptionnellement interdiction formelle de les toucher sous la ceinture pour savoir laquelle est cette soumise ayant les deux olisbos. Celui ou celle des initiés qui le découvrira aura la récompense d’avoir la soumise ou le soumis de son choix pour la nuit. Il y aura un second prix pour les jeunes n'ayant pas encore passé leur initiation, si l'un d'eux à la bonne réponse, la récompense sera d'avoir la chance de passer la nuit, le moment venu, ici en ce Château avec une de Mes soumises également. Soyez imaginatif et bonne chance à tous...

Applaudissent de toute la salle, le service commença. Antonin assis comme d’habitude à côté de son meilleur ami lui demanda :

- Sais-tu laquelle est-ce ?
- Non j’ai décidé de leur laisser le choix et ainsi même si je ne gagne pas, je peux Moi aussi essayer de deviner et Me divertir, lui répondit tout bas le Seigneur d’Evans
- Alors moi aussi je vais essayer de deviner mais je garderai ma Chloris cette nuit même si je découvre cette chienne.


- Très bien, je te propose un pari : Si tu trouves le premier, je te laisse pendant un mois l’intégralité de Mon Cheptel. C’est-à-dire que durant cette période, même si nous voulions la même soumise, tu auras la priorité. Cela te convient-il ?
- Oui, mais je ne sais pas quoi te proposer d’équivalent, si tu gagnes ?
- Les soirs où tu voudras une de Mes soumises, je prendrai Chloris, tu es d’accord ?

Antonin réfléchi quelques instants, car sa soumise était aussi devenu sa femme et il la voulait, certes égoïstement et sauf exception, que pour lui. Mais il savait aussi que son ami, le Seigneur d’Evans, utiliserai Chloris uniquement dans une relation de Domination/soumission et que le Noble ne ressentait aucun sentiment d’amour envers la belle et donc aucun jalousie ne pouvait exister.

- C’est d’accord mais uniquement parce que c'est toi. Je te demande qu'il n'y ait aucun autre Dominant avec elle, en dehors de toi ?
- Parfait, tu as ma parole… Et que le meilleur gagne !

D’habitude, lors du service, les convives ne se gênaient nullement de continuer la conversation sans se soucier plus que ça des soumises tout en les pelotant à passer des mains baladeuses et distraites. Mais ce soir-là, dès leurs entrées, un silence quasi religieux et complet se fit car les invités essayaient de définir qui était la soumise portant les deux olisbos. Les plus habitués firent rapidement part de leur avis à Messire Léon qui tenait une liste afin de déterminer le ou la gagnant(e). Et combien de fois, la soumise en question était proposée. Sachant qu'il s'agissait d'un jeu imaginé par le Maître, celles qui ne portaient aucun olisbos essayaient d’avoir une démarche comme si c’était le cas, afin de rendre le jeu plus intéressant. À la fin de la soirée, toutes les soumises avec un numéro, étaient alignées sur l’estrade au fond de la salle. Chaque personne avait reçu un petit parchemin portant le numéro dont il croyait être celui de la soumise aux deux olisbos … Une à une à l'annonce de leur numéro, elles ôtèrent leur chiton.
Quand celle qui était encombrée par les olisbos fut dévoilée, tous aperçurent les 2 sexes factices en bois dur, maintenus ensemble par une ceinture, et qui pénétraient les deux orifices de la chienne Ensuite, le résultat se fit entendre : Seulement une personne avait le bon numéro, il s’agissait d’un jeune homme venant d'un village voisin. Il était l’apprenti de l’Orfèvre, ami du Seigneur d'Evans. Celui-ci le fit venir près de Lui et le félicita en lui disant d’un ton chaleureux :

- Laquelle voulez-vous pour la nuit ?
- Je voudrais la soumise numéro cinq, Messire.

Et le Seigneur d'Evans lui dit tout bas :

- Excellent choix, c’est une très bonne chienne ! (puis s’exclamant tout haut) Marion, tu es à cet homme pour la nuit, obéit lui comme à Moi et ne Me déçoit pas, Ma petite chienne. Tu feras tout pour le satisfaire…

Marion, qui s'était mise à genoux devant les deux hommes, dit humblement :

- Bien Maître, je ferai de mon mieux pour Vous satisfaire et satisfaire Votre invité, mais puis je me permettre une question?
- Que veux-tu, Ma chienne ?
- Je Vous prie d’excuser mon manque de mémoire mais comment se nomme Votre invité ?

Ce fut celui-ci qui répondit.

- Tu ne me connais pas, c’est normal, je viens d'un village voisin. Je me nomme Éloi et je suis l’apprenti Orfèvres de Maître Jean, ici présent.
- Bien tu as ta réponse, répliqua le Seigneur.
- Oui Maître, je vous remercie Messire pour votre réponse.

Au même moment, ce Maître Jean en question, s'approcha du trio pour s’exprimer, à son tour :

- Je te félicite, mon petit Eloi et je voudrais, si Vous en convenez Monseigneur, moi aussi récompenser mon jeune et méritant apprenti car je dois bien avouer qu’au-delà du fait qu’il ait gagné le concourt, que je suis aussi très enchanté de sa motivation à apprendre mon métier. Il fera, à l’avenir, un excellent Orfèvre. Et comme je n’ai pas d’s, je le considère comme mon fils.

- Je vous en prie, mon ami faite, lui répondit le Seigneur.
- Mon petit Eloi, je t’offre ma chienne cette nuit également, qui attend dans le Chenil du Château…

Très reconnaissant, Eloi accepta avec joie, très touché de cette marque de confiance. Alors, il prit la laisse de Marion mais cette fois, elle évoluait à quatre pattes mais devant étant donné qu’il ne connaissait pas le Château. Une fois arrivés tous les deux dans la chambre, Marion lui dit :

- Voilà, Messire c'est ici. Il y a une salle d’eau attenante, si vous voulez je peux demander de vous faire monter de l'eau chaude.
- Ce n’est pas nécessaire pour le moment.

Marion attendait depuis un petit moment quand Eloi lui donna une exigence.

- Suce-moi, soumise, en attendant la chienne qui doit nous rejoindre, elle se nomme Calista …

Au même moment, Maître Jean était allé chercher Calista au Chenil et lui informa et imposa qu’elle passera la nuit avec Eloi. Puis il l'amena jusqu’à la chambre où Eloi se trouvait en compagnie de Marion. Durant le trajet, Calista demanda au Maître qui la soumettait :

- Maître, s’il vous plaît, ne m’obligez pas à me donner à Eloi, il ne me plaît pas et je ne l’aime pas.
- Je te demande pas si tu l’aimes ou pas. J’exige juste que tu le satisfasses car telle de ma volonté.
- Mais Maître je vous aime, je ne peux me soumettre à une personne pour qui je n’éprouve pas un minimum d’attirance à son égard, je ne souhaite que vous et personne d’autre.

Le Seigneur d'Evans ayant entendu cela, au détour du couloir, apparut.

- Mon ami, je suis désolé, que vous ayez assisté à la scène de cette chienne désobéissante. Vous allez douter de mes capacités d'éducation, s’exclama Maître Jean.
- Du tout Mon ami, mais sachez que Ma Marion est une de Mes meilleures soumises, aussi vue l'attitude, inacceptable de votre chienne, elle risquerait de gâcher la nuit promise de votre apprenti.
Je vais lui envoyer une autre soumise docile et obéissante. Quand à cette chienne Calista, si voulez Me la confier quelques jours, nous nous ferons un plaisir de l’éduquer comme une de Mes soumises.
- Bien volontiers mon ami, de plus cela me décharge d’un tracas, voyez-Vous je dois partir quelques jours et je ne savais qu'en faire durant cette période.
- Fort bien, vous pouvez la confier à Messire Léon de Ma part, il saura quoi faire.

Sur ce, pour seconder Marion, le Seigneur d'Evans fit envoyer Sophie. Arrivée celle-ci frappa la porte et après avoir entendu l’ordre d’entrer, elle s’avança se mit à genoux et dit :

- La soumise de Messire Jean ne peut se joindre à vous et le Maître m’envoie à sa place.
- Cela ne me pose pas de problème, vous êtes toutes les deux très belles. Mais pourquoi Calista ne peut-elle pas venir ?
- Je l'ignore Messire, si le Maître ne le précise pas ce que nous n'avons pas à le savoir. Mais si vous voulez Lui demander, à vous je pense qu’Il vous répondra.
- Aucune importance pour le moment. Comment t’appelles- tu ?
- Sophie Messire.
- Sais-tu masser Sophie ?
- Heu je… je me débrouille, Messire.
- Bien, alors enlève-moi ma chemise est masse-moi les épaules, pendant que je profite de cette si savoureuse fellation de cette chienne de Marion.

Après quelques minutes de massage aux mains expertes et baladeuses ainsi qu’aux caresses buccales et savoureuses de Marion, Eloi ne tarda à éjaculer dans la bouche de Marion, son excitation étant à son paroxysme. Il envoya un râle de mâle tout en éjectant un seul et épais jet saccadé de semence mais au final peu abondant, Marion peu habituée à si peu de sperme voulu continuer mais il l'arrêta.

- Je vous présente mes excuses, Messire mais d’habitude je fais mieux…
- Mieux ? Mais tu as très bien fait, même si je suis toujours excité, tu es une très bonne suceuse. Bien maintenant que je suis bien détendu, je veux parler avec vous…

Sophie descendit de la couche pour venir s'agenouiller à côté de Marion...

(A suivre …)

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