Une Femme Dominatrice Sans Lave Vaisselle ( 1' Partie )

Bonjour, je m’appelle Fabien mais tout le monde m’appel Fab. Je suis réparateur de machine à laver et lave-vaisselle, je suis donc amené régulièrement à me rendre au domicile des personnes. Un jour je suis appelé pour un dépannage sur un lave-vaisselle, je sonne à la porte et là une femme m’ouvre la porte. Une femme d’environ 40 ans, 1m60 et un peu boulotte comme je l’ai aime. Mais ce qui m’a marqué tout de suite c‘est qu’elle était pieds nue, ces pieds sont magnifique un peu trop large et les orteils un peu trop court mais ce sont des pieds qui inspire le respect. Elle était vêtue d’un leggin noir et un haut bleu. Je peux distinguer que la plante de ces pieds sont recouvert d’une couche de poussière, je n’avais qu’une seule envie me jeter à terre pour enlever avec ma langue cette couche de saleté. En effet, depuis mon plus jeune âge je suis fétichiste des pieds.
« Bonjour madame je suis le réparateur pour le lave-vaisselle. »
« Bonjour monsieur, ah oui c’est pas trop tôt , je commence en avoir assez de faire la vaisselle, bon suivait moi je vais vous monter le monstre »
Je suis cette femme en fixant toujours ces pieds avec insistance, là nous entrons dans la cuisine le lave-vaisselle est juste au bord à droite en entrant et là sur la gauche dans le coin de la cuisine je vois une paire de ballerine noire en cuire avec un petit talon de 3 cm, mais aussi une paire de claquette avec là aussi un petit talon la semelle intérieure est grise métal et une paire de bottines à fermeture éclair avec un talon de 2 cm. Ces chaussures sont juste là à côtés du lave-vaisselle seule la largeur de la porte d’entrés les sépares de moi. Je reste mon regard fixé sur ces 3 paires magnifique quand j’entends
« Monsieur monsieur ça va vous êtes tous rouge, le voilà le monstre, je vous laisse faire moi je retourne à mon ordi ok, ça va aller ?? »
« oui je vais me débrouiller vous pouvez me laisser seul. »
Là je la vois poser ces 2 mains contre le mur pour prendre appui, lever son pied droit pour enfiler la ballerine, je ne pouvais pas détourner le regard j’étais comme hypnotiser.

Puis ce fut au tour du pieds gauche, je me souviens encore que la plante de ces pieds était vraiment sale mais j’aurai tout donner pour les nettoyer avec ma langue. Une fois avoir enfilé sa paire de ballerine elle disparue dans l’autre pièce.
Je commence donc mon travail, très vite je détecte la panne toujours la même chose une petite pièce à changer et c’est fini en 20 min. Mais je ne pouvais pas arrêter de penser à ces 2 paires de chaussures à juste là à côté, j’att une des bottines et renifle cette odeur, cette magnifique odeur un mélange de sueur et veille chaussure. Je décide donc de passer aux sandales et là le paradis je vous laisse imaginer ce que j’ai pût faire avec et je remets très tout ça en place tout ça en place. Soudain une idée me traverse l’esprit.
« Madame s’il ne vous plait » rien ne se passe
Je recommence un peu plus fort, toujours rien et puis je crie donc
« Madame s’il vous plait »
« Oui j’arrive »
« Donc voilà il me manque une pièce, il faut donc que je repasse plus tard »
« Qu’est-ce que vous entendez plus tard 1 ou 2 ou 3 jours, la dernière fois c’était pareil. Si ça continu ce soir tu vas venir la faire toi-même la vaisselle »me dit-elle. D’un ton très sec et très impressionnant.
Je baisse donc les yeux en signe de bonne foie mais surtout j’en profite pour jeter un regard sur ces fameuses ballerines. Et là, elle était appuyée contre le meuble de cuisine et son pieds droit était complètement sortie de sa chaussure, pour elle rien de spécial elle jouait avec sa ballerine et ces oreilles.
Je devenais fou, et aussi tout rouge. Dans mon pantalon c’était le 14 juillet. Et là un grand moment de silence je ne savais plus quoi répondre, j’ai donc improvisé.
« Non Madame promis je reviens demain, et si le lave-vaisselle ne fonctionne pas je la ferais moi-même. »
« HA tiens c’est intéressant ça, dommage pour toi. Ce qui est dit est dit. Demain soir je ne ferais pas la vaisselle alors, ça tombe bien j’ai une grosse journée.
Par contre ne passes pas avant 18h »
« Normalement je termine à 17h »
« Afin sauf si tu dois faire la vaisselle, n’oublie pas de prévenir ta femme que tu risques de finir tard »
J’avais toujours la tête baisser fixant ces pieds, ces orteils, ces ballerines. Je bafouille donc
« Ce n’est pas grave je suis célibataire »
Je la vois encore se rechausser vite fais et m’attr par les épaules en disant :
« Donc à demain, et n’oublie pas ton parie ».
Elle m’accompagne vers la porte je monte en voiture et je repars en me demandant qu’est-ce qui s’est passé.
Le lendemain, ma journée de travail c’est très bien passé. J’ai tout fait pour ne pas être en retard.18h piles je sonne à sa porte pas de réponse. Je recommence toujours aucunes réponses.
Complètement abattue, je décide de repartir. D’un coup j’entends au loin
« Attend attend j’arrive »
Je vois la courir toujours chausser de ces ballerines et essouffler elle dit
« Putain je pensai t’avoir loupé, j’ai marché toute la journée, j’ai les pieds en feu. C’est juste impossible qu’en plus je fais la vaisselle »
« Bonjour »
« Bonjour, alors tu es prêt ou tu répare ou tu laves »
« Pas de problèmes madame un pari est un pari »
Elle me regarde souris et me fais signe de la tête de la suivre, elle ouvre la porte. Sans perdre de temps je me mets à genou pour remettre en route le lave-vaisselle. Je l’entends soupirer, me retourne. Je la vois assise sur la chaise à quelque centimètre de moi, elle porte une jupe. Et là elle croise sa jambe droite sur la gauche, je vois donc apparaitre son string blanc. Elle me chauffe ou quoi, elle enlève sa ballerine et la jette devant moi, idem pour le pied droit mais cette fois sa chaussure tombe pile devant moi, soit je la pousse pour accéder à mon travail ou je ne sais pas vraiment quoi faire, je reste bloquer. Elle se lève et part dans l’autre pièce.
« Pour l’instant je vais marcher pieds nue, j’ai les pieds en feu »
Je deviens comme fou, elle part dans l’autre pièce comme hier et là je me jette comme un chien affamer sur ces ballerines, plantes mon nez dedans et j’attends…Allongé sur le ventre le visage dans ces chaussures.


Soudain j’entends un claquement, je décide de ma redresser impossible, quelque chose appuie fortement sue ma nuque. Dans un sursaut je parviens à me retourner me voilà donc allongé à terre sur le dos et là. Je vois un bref moment une semelle, c’est elle qui m’écrase son pied ou plutôt sa claquette en pleine figure. Après quelques secondes d’hésitation je lui att sa cheville.
« Lâche moi tout de suite ou je te massacre ta gueule à coup de talon et après je te fais manger mes tongs »
Je vois son pied monter et soudain le choc, elle me piétine le visage et je ne peux rien faire d’autre que de lâcher sa cheville.
« C’est bien tu vois, laisse-toi faire. Je sais très bien que tu aimes ça, je t’ai vue hier lécher mes chaussures, je pensai même que tu allais éjaculer sur mes claquettes. »
Elle pose son pied droit sur ma poitrine et le gauche sur mon visage, prend appuie sur le mur. La voilà debout et moi là j’en redemande. Je pousse un gémissement de douleur, j’ai la tête complétement comprimée contre le sol, j’ai déjà du mal à respirer alors bouger. Je l’entends ricaner, et prend plaisir à mettre tout son poids en plein visage.
Elle redescend en rigolant place ces pieds autour de ma tête.
« Alors tu n’as rien à dire, ça te plait »
Je réponds d’une petite voie « oui » Je vois son pied droit se lever et boum elle me l’envoie fortement dans la tête. J’entends juste sa tong claquée contre mon visage.
« Alors déjà c’est oui maitresse, et maintenant tu vas faire tous ce que je dis. Là je vais aller fumer une cigarette dans le garage, quand je reviens je veux que tu es terminé de réparer ce foutu lave-vaisselle, parce qu’il va falloir que tu me nettoies mes godasses, mais pour commencer ouvre la bouche, voilà c’est bien »
J’ouvre la bouche et elle écarte les cuisses, je vois sont string, elle remonte sa jupe enlève sa culotte et la laisse tombé sur mon visage. Elle me l’enfonce dans la bouche avec ces orteils bien au fond de ma gorge.

« Le temps que tu termines ta réparation, ta bouche elle va servir de lave-linge, et n’hésite pas de bien la mouiller, j’ai transpiré toute la journée. J’arrive je vais fumer j’en ai pour 10 min ».
Je la vois partir, ou plutôt j’entends le claquement de ces tongs sur ses talons. Ce fameux claquement qui aller bientôt me hanter.
Je fini au plus vite le lave-vaisselle, tout en dégustant sa culotte. Là je l’entends crier :
« Au fait met toi tout nu et surtout garde bien mon string au chaud sinon je risque d’être énerver ».
La porte se referme violement, je m’exécute mais le problème c’est mon sexe qui n’arrête pas de grossir.
J’ai enfin terminé le lave-vaisselle, il me reste juste à le refermer, la porte s’ouvre et se claquement. Je n’ose me retourner je suis à 4 pattes. Et là elle m’envoie un énorme coup de pieds dans les couilles, le choc et la douleur est telle que je me retrouve à terre sur le côté avec mes mains tenant ce qui reste de mes parties. Dans la précipitation je recrache son string.
Je pensai pleurer tellement la douleur était forte. Elle s’approche m’écrase le visage avec son pied puis toujours avec ces pieds me bascule comme un vieux sac de pommes de terre, me voilà couché à plat ventre.
« Met tes mains dans le dos connard, tu n’as pas terminé ton boulot et tu lâche ma culotte »
Elle s’assois sur ma tête pour mieux m’attr mes mains et me les attachent dans le dos. Elle se relève, m’ordonne de me retourner sur le dos et là elle pose sa tong sur mon visage en appuyant de tous son poids, vue sa corpulence elle devait être plus près des 80kg que des 60 alors une fois son pied posé comme ça sur mon visage et les mains attachées dans le dos je ne peux plus bouger, je suis complétement à sa merci.
« Voyons voir un peu tout ça, en tout cas on ne peut pas dire que tu as une petite bite, au contraire à moins c’est parce qu’elle est en érection qu’elle parait aussi grosse. On va voir je vais te faire jouir pour faire redescendre tout »
Pendant qu’elle prononcer ces mots je sentais monter en elle une rage, elle était même debout sur mon visage, je sentais la semelle de sa claquette riper sur ma joue. Cette fois elle s’assois en plein sur mon visage, j’avais le nez planter dans son cul. Là elle se penche et avale littéralement mon sexe et commence à me sucer avec une violence, par réflexe je commence moi aussi à sortir ma langue pour enfin gouter sa chatte et plus encore. Elle se redresse rapidement et m’envoie un énorme coup de poing en plein dans les couilles il faut dire que c’est facile je suis tout nue et attaché.
« Interdit de me toucher la chatte ni mon cul pour l’instant tu rêves, tiens prend ça pour la peine »
Et là elle lâche une énorme flatulence dans un grand éclat de rire.
« Si tu recommences ce n’est pas péter que je vais faire mais je vais pisser dans ta bouche ou peut-être pire directement chier dedans parce que même te pisser dans ta bouche serait une récompense pour toi. »
L’odeur est dégueulasse mais je ne peux pas bouger et mieux vaut rien faire qui pourrait l’énerver d’avantage parce que je suis sûr qu’elle est capable de me chier dans la bouche quand j’y réfléchis elle est vraiment folle mais pourtant tellement excitante. Là voilà repartis à sucer comme jamais on ne m’a sucé, le reste ne se fait pas attendre mais impossible de la prévenir que je vais éjaculer alors tant bien que mal je me secoue pour l’avertir. Pendant que j’éjacule elle continu à me sucer, qu’est-ce qu’elle est douée putain. A la fin elle se lève et se dirige vers l’évier pour tout recracher.
« Et bien, ça doit faire longtemps que tu n’as pas éjaculé, j’ai l’impression que tu n’allais jamais t’arrêter, au moins cette fois tu dois être calmé »
Me voilà à terre dans cette cuisine, tout nue, à la merci de cette femme un peu spéciale , que va t-elle faire de moi maintenant.
La suite au plus vite.

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