Celle Qui Ne Savait Pas Dire Non (2)
LE VOISIN
Moi Corinne, 52 ans (hélas), mariée et mère de famille, assistante de direction et maîtresse occasionnelle de mon patron comme je l'ai raconté dans le précédent épisode, j'ai un problème déjà évoqué : je ne sais pas dire non. J'aime trop faire l'amour (baiser serait plus exact) pour repousser les hommes qui me plaisent. J'aime leur queue, leur bite, leur gourdin, leur braquemard, leur chibre et tout le reste de leur corps. C'est mon drame intime. Enfin, pour la morale car pour ce qui est de mon corps à moi, c'est ma félicité. C'est pourquoi je cède si souvent.
Figurez-vous qu'en face de chez moi vit un homme plus tout jeune mais encore étonnamment sexy. Je le connais bien, on se fait la bise de temps en temps, il est divorcé mais il connait aussi mon mari et se garde de me draguer. Et pourtant, je sais qu'il me regarde partir au boulot presque tous les jours, dissimulé derrière sa fenêtre et j'avoue que ça me fait tout drôle. Je ne peux pas m'empêcher parfois d'onduler légèrement de la croupe car je sais qu'il me suit du regard. Et je sais aussi que mon cul est mon atout maître. Mes amants me le disent assez, qui l'honorent copieusement, au point même que certains voudraient commencer par là, ce à quoi je m'oppose. Lorsque je m'habille le matin, je pense à lui. Jupe ou pantalon ? L'été, je mets du court pour qu'il mate bien mes jambes, autre atout de mon corps. Si j'avais un peu plus de seins, je mettrais un décolleté mais sans être plate, mes seins ne me précèdent pas comme cette coquine d'Agnès, ma collègue, qui sait si bien les mettre en valeur.
Mais les choses ont fini par évoluer. L'homme, prénommé Hubert, s'est enhardi. L'autre jour, le hasard (?) m'a mis en sa présence dans le tram et on a discuté. Ce n'était certes pas la première fois mais la discussion a pris un tour différent. Il m'a demandé si j'étais heureuse. Drôle de question. Tout dans ma vie apparente illustre le bonheur conjugal parfait.
- Si vous voulez continuer cette discussion, venez un de ces jours chez moi prendre un verre.
Je n'ai pas dit non. Je vous l'ai dit, je ne sais pas dire non. Et j'ai pris conscience alors que j'avais envie de baiser avec ce type.
**********
Cela n'a l'air de rien mais rendre visite à un voisin homme quand on est une femme n'est pas si simple. Surtout quand flotte entre les deux un parfum de sexe. J'ai dû faire une commande par internet à livrer en mon absence à l'adresse du voisin, à charge pour moi d'aller le récupérer. Et pas à mon mari. Il fallait jouer fin. Hubert était d'accord et il fut convenu par téléphone que j'irais chez lui le samedi matin, quand mon mari était parti faire son footing.
Il m'ouvrit la porte en robe de chambre, ce qui me surprit. J'étais en tenue de samedi estival, c'est à dire en short et tee shirt. Bien que soigneusement fermée, la robe de chambre dissimulait à peine sa nudité intégrale, j'en fus vite persuadée. Quelques poils argentés, très érotiques à mes yeux, perçaient l'échancrure de son léger vêtement au niveau de sa poitrine. Il m'offrit un café, me fit asseoir face à lui, croisa les jambes et je pus brièvement apercevoir ses couilles. Bien pleines, les couilles. Je me tortillais sur mon siège avec ma tasse dans la main, embarrassée et excitée à la fois.
- Et les maris ? demandé-je
- La plupart du temps, ils sont d'accord, répondit-il. Certains assistent même aux ébats pour voir leur femme jouir avec un autre.
J'étais de plus en plus excitée. Il s'en aperçut, posa sa tasse sur la table et vint s'asseoir à côté de moi. Il me prit la main et la porta (sans que je résiste) entre ses jambes, sous la robe de chambre. Il se mit à bander et je le branlai. Ce fut un geste instinctif. Quand j'ai la main sur une queue, il faut que je la branle. Nos langues se cherchèrent, se trouvèrent et il souffla :
- Fous-toi à poil.
Exécution. En quelques secondes, j'étais nue, absolument nue, des pieds à la tête. Il s'allongea sur le canapé, nu lui aussi, révélant en effet un bronzage intégral. Ses petites fesses caramel étaient vraiment adorables, j'avais envie d'y planter mes dents. Sans que nous ayons échangé un mot, j'étais déjà sur lui en 69. Pendant que je me gavais de sa bite (une bite épaisse et charnue, comme je les aime), sa langue parcourait mon intimité, de la chatte à l'anus et de l'anus à la chatte. J'interrompais parfois ma succion pour laisser échapper un gémissement car sa langue était vraiment diabolique de précision. Je m'aperçus après que j'avais dégouliné sur son visage ce qui ne le dérangea en rien.
Puis il me dit :
- Viens sur ma bite, j'ai envie de voir ton cul remuer.
Je ne demandais pas mieux. Une fois qu'il eut coiffé une capote, je m'empalai avec volupté sur son dard désormais bien gonflé par mes soins. Pendant que je faisais aller et venir ma croupe, d'avant en arrière mais aussi sur les côtés pour bien prendre la dimension de sa queue, il m'écartait les fesses ce qui accentuait mes sensations.
- Quel beau cul tu as, je peux enfin en profiter, me disait-il.
- Tu l'as bien maté quand j'étais dans la rue, hein ?
- Tu ne peux pas savoir combien de fois j'ai rêvé du moment présent.
- Profites-en, il est à toi.
- Je te préviens, je vais t'enculer.
- Encule-moi si tu veux mais surtout, baise moi.
Après une bonne séance de va et viens, il m'invita à me relever et nous avons gagné sa chambre. Le lit était flanqué sur le côté d'une grande armoire à miroirs. Il m'a mise à quatre pattes et m'a prise par derrière :
- Je vais te prendre devant la glace, m'a-t-il dit. Tu vas pouvoir te regarder baiser. Tu aimes ça ?
- J'aime bien, oui, mais j'aime aussi voir celui qui me baise.
- Regarde bien.
Et il me couvrit comme un chien couvre une chienne, son visage juste au-dessus du mien tout en me pilonnant. Je sentais son souffle chaud sur ma nuque. Je le regardais, il me regardait, je faisais une drôle de tête, tout entière à mon plaisir et à sa queue qui me fouillait la chatte, c'était vraiment bestial. Mais encore plus bestial quand il m'encula. Là, j'étais vraiment sa chienne en chaleur. J'ai eu un peu mal au début mais c'est vite devenu jouissif. Il me glissait à l'oreille un vocabulaire d'une grande crudité qui m'excitait prodigieusement :
- Tu la sens bien ma queue, hein ? Avoue que tu la cherchais en remuant ton petit cul dans la rue. Regarde tes nichons comme ils remuent bien pendant que je t'encule. Il y a longtemps que je sais que tu es faite pour la baise. Tu caches bien ton jeu mais pas à moi, hein ? Vas-y, c'est ça, remue bien ton cul, va chercher ma bite. J'aime quand tu te tortilles comme ça pour que je m'enfonce bien profond.
J'étais en feu. Je me suis tellement tortillée que je l'ai littéralement essoré et il a giclé dans sa capote en grognant comme un chien. Bestial, je vous dis.
******
Depuis ce jour, notre relation est torride mais épisodique. On ne baise pas avec son voisin sans risque. La proximité non seulement de sa famille mais aussi du voisinage implique de la prudence. C'est pourquoi nous nous retrouvons en pleine nature pour baiser, ou à l'hôtel quand il fait trop froid. Ce type est l'homme le plus libidineux que j'ai connu, pas pervers mais vraiment très cochon. Il a l'art et la manière de faire surgir en moi la bête que je dissimule tant bien que mal. Avec lui, je jouis à tous les coups, autant par ses mots que par sa bite. Il n'est plus tout jeune, il bande moins dur et moins longtemps que Rodolphe par exemple mais il me met réellement en transes en me traitant comme la chienne que je suis. J'adore me faire "couvrir" par lui et à ce moment là, j'exprime des insanités inouïes que je me garderais de reproduire ici tant elles ne collent pas à mon image de blonde bc-bg à lunettes et tailleur, ma tenue quand j'accompagne mon patron en déplacement. S'ils savaient, ses interlocuteurs ! Quand je m'ennuie au boulot, je pense à Hubert, à ce qu'il m'a fait, à ce qu'il va me faire la prochaine fois qu'on se verra, à son regard qui me suit quand je pars au boulot et qui transperce ma jupe, comme s'il entrait dans la raie de mon cul. Bon, j'arrête là parce que je me fais du mal. Allez, à la prochaine, j'aurais d'autres petites choses à vous raconter car j'ai d'autres fers au feu.
(A suivre)
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