Il Suffit D'Un Mensonge - Partie 1
Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes, des lieux et des phénomènes existants ne peut être que fortuite
Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes, des lieux et des phénomènes existants ne peut être que fortuite
Cette nouvelle est la dernière sur le thème « Vengeance masculine ». Le prochain thème sera « Vengeance féminine ».
Partie 1
Alexandre Legendre fête ses cinquante ans. Son épouse Sandrine, ces trois filles, Manon, Océane et Emma, ses gendres ou futurs gendres, Lucas, Hugo et Quentin, ses parents, Bernard et Chantale, ses beaux-parents, Michel et Martine, ses frères et surs, beaux-frères et belles-surs avec leurs conjoints, ses amis, Christian, son associé en tête, et quelques autres proches et clients sont venus le célébrer avec lui. Sa fille aînée Manon vient de lui remettre son cadeau, un tour du monde en voilier avec équipage quil doit sengager à faire dans lannée. Grand dirigeant dentreprise, Alexandre est ingénieur, formé à Harvard. Il est linventeur de la carte à puce. Sous-traitant pour Bull, il a inventé la carte à puce bancaire à microprocesseur. Ce brevet lui a rapporté des milliards et, à trente ans, il était déjà lune des cinquante premières fortunes du globe. Issu dune famille prolétaire nombreuse, il avait dû appendre seul, étant laîné de huit s, et avait même aidé toute la fratrie dans les devoirs et les études. Il apprenait et retenait facilement. Il avait même sauté deux fois une classe, si bien quil sétait retrouvé au collège à neuf ans. Victime de quolibets et autres moqueries et provocations, il avait rencontré son meilleur ami, Christian, plus vieux de quatre ans que lui, ayant déjà redoublé deux fois, qui avait pris sa défense. Force de la nature respecté et craint, il avait pris sous son aile ce nouvel ami, trouvant un compromis gagnant-gagnant avec lui. Alexandre laidait dans les études et leçons, Christian le protégeait et lui apprenait à se battre.
Il rentra de la fac vers dix-huit heures. Lappartement était plongé dans le noir. Il vit immédiatement le chemin de bougies et de pétales de rose et un sourire illumina son visage. Toute la journée il sétait demandé ce quelle avait prévu pour la soirée.
« Bonsoir amour de ma vie. Cela fait une éternité que je tattends, le sais-tu ? »
Elle posa son index sur ses lèvres lui clouant de nouveau le bec qui, de toute façon, même ouvert, naurait pas laissé passer un seul son. Il était comme fasciné par cette vision de sa Sandrine qui navait jamais été aussi belle et dont la beauté dégageait un magnétisme envoutant.
« Mon tendre amour, ce soir, je vais moffrir à toi. Jattends cela depuis au moins aussi longtemps que toi, mais jai voulu que ce soit un moment spécial et magique. Si tu penses que ce moment est maintenant arrivé, fais de moi ta femme. Prends mon corps et fais-moi jouir de toi et de ton amour. Je me donne à toi, car tu es celui que jai choisi pour être à mes côté pour la vie. Tu es déjà un amant merveilleux et je veux, ce soir, que tu sois un amant totalement accompli. »
Elle noua ses bras autour de son cou et lembrassa furieusement en le couchant sous elle. Elle défit un à un les boutons de sa chemise et samusa à suivre les contours de tous ses muscles du torse. Elle défit sa ceinture de pantalon et le lui retira. Elle posa ses paumes sur ses cuisses et descendit doucement jusquà ses pieds. Elle lui ôta ses chaussettes et remonta ses mains pour les plaquer sur la bosse de son sexe.
« Il ma déjà investi la bouche et jen ai apprécié la puissance. Ce soir, je le veux en moi. Je veux le sentir me pénétrer et menvahir tout entière. Viens mon amour, je suis prête pour toi. »
Elle se mit sur le dos et lattira sur elle après lui avoir retiré le sous-vêtement. Elle le saisit à deux mains et le présenta à ses grandes lèvres.
« Viens en moi, fais-moi femme, ta femme. Je le veux de tout mon cur. »
Il poussa légèrement et entra en elle jusquà lhymen. Il stoppa son avancée et la regarda dans les yeux. Elle mit sa bouche contre son oreille et le serra dans ses bras tout en lentourant de ses jambes.
« Vas-y, je suis prête. »
Il donna un coup de rein et entra la totalité de son membre en elle.
« Oui, je suis tienne, je suis à toi, pour la vie. Je taime mon amour, fais-moi jouir maintenant. »
Il commença sa chevauchée par de grands et lents aller-retour qui la firent immédiatement gémir.
« Ah, oui, cest bon de te sentir en moi. Tu ne peux pas savoir comme je taime et comme jaime te sentir à lintérieur. Je te sens de partout, tu es fort, tu es chaud, cest bon. »
Elle mit ses mains sur ses fesses et lencouragea à aller plus vite et plus fort. Il accéléra ses mouvements et elle ne put retenir ses cris.
« Oui, je jouis, cest merveilleux, ah, cest bon. »
Il sonna lassaut final et elle crispa ses mains en poussant avec lui.
« Viens, viens en moi mon amour, je jouis, je jouis de toi. Libère-toi en moi. Je taime mon Alex, je taime. »
Il stoppa au fond delle et se libéra par saccades tout en émettant, lui aussi, un long cri libérateur. Ils restèrent de longues minutes étroitement imbriqués lun à lautre. Elle sentit encore après la fin de son éjaculation, de nouveaux soubresauts qui lui donnaient quelques frissons de plaisir.
« Tu restes dur, je te sens encore. Tu pourrais me faire jouir rien quen bougeant un peu. »
Il sentit quil lui restait encore quelques forces et se mit de nouveau à bouger en elle. Elle commença aussitôt à gémir.
« Oui, encore, je veux encore jouir de toi. Vas-y. »
Il accentua ses mouvements et elle saccrocha à ses bras tout en relevant ses jambes. Il les plaça sur ses épaules et augmenta lamplitude de ses mouvements la faisant déjà crier. Il sentit que ses forces étaient déjà revenues et ne se retint plus.
« Oh oui, continue, je te sens fort, donne-moi, donne-moi, viens, encore. »
Il augmenta sa cadence et elle se lâcha complètement, comme si elle perdait le contrôle de sa jouissance.
« Ouiiiiii, aaaaah, ouiiiii. »
Il se ficha au fond de son vagin et libéra une nouvelle salve de sperme chaud. Elle cria une dernière fois et retomba les bras en croix, un sourire radieux sur les lèvres.
« Mon amour, je nai jamais autant joui. Cétait merveilleux. Tu mas donné le plaisir que jespérais. Et toi, tu as éprouvé la même chose que moi ? »
« Mon amour, merci pour cette complicité que tu mas donnée. Je nai jamais été aussi heureux ni eût autant de plaisir. Cétait magique. Je te sentais partout autour de moi, comme si tu menserrais dans un gant de velours chaud. Jétais bien en toi, comme si je te pénétrais tout entière. »
« Oui, mon amour, je tai senti profondément. Tu étais chaud, puissant, je sentais vraiment tout tes mouvements et tes frottements sur mon point G me faisait un effet extraordinaire. Tu es un amant merveilleux et un compagnon fantastique. Je taime mon amour et je taimerai toute ma vie. »
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