Table De Sapin 15
Comme cétait Marilyne qui régalait ce jour là, pour fêter son anniversaire, et cela, malgré que nous soyons bien chez mes beaux-parents, ce fut elle qui avait placé la vingtaine de convives, dont une majorité de famille autour de la table.
Et comme un fait exprès, javais été installé loin de mon épouse. À ma gauche se tenait la mère de ma belle-sur, au prénom Thérèse. À ma droite, Sylvie. Que Marilyne sétait empressée de nous présenté à ma femme et moi, comme étant sa meilleure copine du moment. Âgée dà peine vingt ans, petite et bien en chair. Elle portait une robe de satin de couleur rouge qui moulait comme une seconde peau sa forte poitrine ainsi que ses hanches larges. Ses lèvres épaisses enduites dun rouge gras lui donnaient un air vulgaire, malgré son visage dange.
Le repas avait débuté dans une ambiance pesante. Comme toujours en pareil cas, le beau père lançait des anecdotes sur son travail, qui namuser que quelques convives. Les même qui lâchaient de tant à autre des rires, ce qui eu pour effet de lencourager à poursuivre.
Mais peu à peu sous linfluence du vin servit avec générosité, lambiance sétait améliorée. Même Thérèse jusquà maintenant silencieuse commençait à délier sa langue. Devenant une vraie machine à parler. Parlant de tout et de rien. Et lâchant en temps voulu des allusions que je dirais polissonne pour une femme de son âge. Je mis ça sous leffet de lalcool.
Surtout que son cas nallait pas saméliorer dans les minutes qui allaient suivre. Elle senfilait des verres de rosé comme dautres enfilent des perles. À en avoir la voix de plus en plus pâteuse. À un tel point quil me fallait une grande concentration pour déchiffrer le sens de ses paroles.
Puis le désert arriva. Marilyne avait fait ça en grand. Trois tartes sur la table. Une aux framboises, une autre aux pommes et la dernière était un flan.
Quand elle me demanda tout sourire aux lèvres, mon choix, joptais pour ce dernier.
Mais prenant mon désintéressement comme un encouragement, cette même main, avec une agilité diabolique avait fait descendre la fermeture Eclair de ma cage et avait empoigné mon oiseau.
Jétais à cet instant son prisonnier. Tout mouvement pour me dégager aurait infailliblement était détecté par les autres convives. Une excuse comme une autre me direz-vous, pour me soumettre à ses doigts. Mon premier réflexe fut de savoir à qui pouvait bien appartenir cette main. Javais bien ma petite idée sur cette personne. Et ce fut pour cela que mon regard sétait tout de suite porté de son côté. La plus ingénieuse, pensais-je à établir une telle infraction. Mais voila, que celle que je croyais coupable était bonnement en train de déguster sa tarte aux framboises. Et pour cela avec ses deux mains.
Je métais alors intéresser à ma voisine de droite, pour mapercevoir que sa main disparaissait sous la nappe. Le doute était levé, cétait bien elle, la chipie qui sétait emparée de ma verge. Jai mis quelques secondes à assimiler la situation. À réfléchir sur la conduite à prendre. Alors que mon sexe durcissait mécaniquement sous leffet de sa caresse.
La raison prenant le pas sur le plaisir, je décidais dessayer de la résonner. En toute discrétion je me suis penché à son oreille, et je lui murmurais :
- Je pense que ta main sest égarée.
- Non ! Je ne crois pas.
Sûr delle, Sylvie a tourné son regard dans ma direction. Puis sourire aux lèvres a répondu :
- Ta belle-sur ma confié que tu aimais cela. Tu ne vas pas me dire quelle est une menteuse ?
Elle avait les yeux qui pétiller de malice. Jétais comme abasourdi par ce que je venais dentendre. Je nen croyais pas mes oreilles. Alors comme ça ma chère belle-sur sétait confiée à sa bonne copine.
- Tu ne penses pas quen pourrait faire ça un autre jour, dans un autre lieu.
- Pourquoi ? Nous ne sommes pas bien ici ?
- Cest quil y a un peu trop de monde, à mon goût.
- Ma caresse nest-elle pas assez plaisante pour te les faire oublier ?
- Je nai pas dit cela. Tout au contraire. Jaime !
- Alors pourquoi devrais-je arrêter ?
- Jai une peur bleu quon nous surprenne.
- Cest bizarre, ce nest pas ce que me dit ta queue
Contre ma volonté jai tout de même essayé de serrer les cuisses.
- Cause perdu mon beau ! Laisse-toi plutôt faire. Plus vite tu jouiras plus vite cette épisode se terminera. Dailleurs il parait que jai un bon coup de poignet.
- Ça suffit Sylvie, ou bien
- Où bien quoi ? Tu vas faire un esclandre ? Risquer que ta femme apprenne ta relation avec ta belle-sur. Allons, un peu de sérieux, je ten prie
Elle était du genre têtu. Malgré son jeune âge, elle savait ce quelle voulait.
- Mais cest mal de faire cela avec autant de monde autour de nous. Lui fis-je.
- Non ! Tu crois ? Répondit-elle. Pas plus que de baiser sa belle sur, quest-ce que tu en penses, hein ?
Elle me dévisagea, battant des paupières, tout en continuant son mouvement de branle. La fausse innocence de la jeune fille, additionné à la fatigue physique dû à mes quinze jours de travail sans interruption, me brouillaient la tête. Ne faisant quaccroître le désir. Le même qui à cet instant, sous cette table encore une fois témoin de mon infidélité, était vif.
Elle me pompait la verge. Dun mouvement lent et habile. Je surpris un sourire salace se dessiner sur ses lèvres. Quelque chose mattirait et meffrayait à la fois chez elle. Je fus surpris de voir lassurance perverse quune fille de son âge pouvait avoir. Elle approcha sa bouche de mon oreille et me chuchota :
- Je sens que tu ne vas pas tarder à jouir !
Javoue que cétait très agréable de se faire branler aux nez et à la barbe de sa famille.
Je métais entendu respirer bruyamment. Elle serra de plus belle mon gland dans sa paume, quelle se mit à malaxer énergiquement.
Un spasme me fit serrer les cuisses lune contre lautre. Je me sentais me tendre comme une corde darc, jusquà ce que mon plaisir se décharge en plusieurs jets. Un jet qui ne semblait jamais devoir sarrêter.
Puis comme toujours après une éjaculation, mon excitation retomba. Alors que ma voisine, insatiable poursuivait encore une petite série de va-et-vient avant de cesser tout branle sur ma verge devenue douloureuse. Puis elle avait appuyé avec son pouce sur le méat afin de faire sortir un restant de sperme. Je restais comme écrasé. Sans force, après cet orgasme inattendu. Je ne savais pas précisément combien de temps sétait écoulé. Ni même ce qui sétait passé autour de moi pendant ce décrochement. Une chose était sûr, ma femme parlait toujours avec son voisin.
Puis Marilyne était venue jusquà nous. Sylvie lui avait fièrement exposé sous la table, sa main zébrée de guirlandes blanchâtres. En toute discrétion, Marilyne sétait jetée en toute discrétion dessus et à coup de langue lavait nettoyé.
La mine réjouit, cette dernière sétait redressée, alors que Sylvie sourire aux lèvres, avait sorti sa main de lombre pour la poser sur la table. Sa peau était luisante de trainées de salive.
Javais pour ma part, plongé une main sous la table pour remballer aussi discrètement que possible mon sexe dans mon pantalon. Mon membre durci ne se plia quavec peine mais je parvenais à me rajuster.
- Cela ta plu ? Me demanda Sylvie.
- A ton avis ? Répondis-je en finissant de mettre de lordre chez moi.
- Marilyne avait dit vrai.
- A propos de quoi ?
- Que tu étais un gros cochon
tiens pardi !
- Ah oui ! Tu me crois si tu veux, mais cest bien la première fois que je me fais branler sous une table avec autant de personne autour.
Cela la fit sourire.
- Tu men diras tant ! Tu veux encore jouer ?
- Tu veux remettre le couvert ?
- Ça te dit ? Ou tu préfères autre chose.
- Va pour autre chose.
- Ah oui ! Je croyais que cela tennuyer de faire cela devant autant de monde.
S- En habitue à tout !
- Comme tu veux
me fit-elle en se saisissant de son verre, et le vida dun trait, tout en me lâchant pas du regard.
- Jespère que tu as une grande soif ? Me lança-t-elle, en relevant lourlet de sa robe de satin à labri de la nappe, pour mexposer sa motte poilue. Un beau triangle isocèle de poils sombres. Dont sexhiber dans son milieu une fente effilée qui grimpait haut sur le pubis. Les grandes lèvres laissaient pointer les nymphes hors de lécrin rose tendre, quornait un gros capuchon de clitoris.
À laide de deux doigts, elle écarta les replis de chair pour faire apparaître la muqueuse humide du vagin, percée du discret méat doù quelques perles dorées suintaient déjà.
Avec un sang froid incroyable la coquine se soulagea dans son verre. Faisant sortir de sa moule un jet durine qui allait se loger en moussant dans le fond du récipient. En seulement quelques secondes, la vicieuse emplissait son verre. Lémotion me submergea. Et ma queue se trouva à létroit dans mon pantalon.
Sans prendre la peine de sessuyer, elle rabattait le bas de sa robe sur ses cuisses. Puis avec un naturelle déconcertant elle intervertit son verre avec le mien.
- Monsieur Alain. Me murmura-t-elle à mon oreille. Tu men diras de tes nouvelles de cette cuvée spéciale.
Elle me sourit avec un rien de malice dans son sourire. Je regardais mon verre. Avec limpression de me trouver devant un verre de cidre moussant. Puis je jetais un coup dil circulaire autour de moi. Et seulement après mêtre assurer que personne sintéresser à moi, je me suis saisis du verre en tremblant tant lexcitation était forte, et sous le regard moqueur de la pisseuse, je le portais jusquà ma bouche. Jen trempais mes lèvres et en bus une bonne gorgée. Le nectar était tiède et salée.
Jéprouvais une honte délicieuse en buvant une seconde gorgée. Je devais être un spectacle fascinant et pathétique aux yeux de Sylvie. Sitôt le verre posait sur la table, je métais entendu murmurer :
- Cétait une excellente cuvée. Il ten reste encore un
Peu ?
- La source est pour linstant dessécher. Mais cest une question de minute avant quelle redevienne active, si tu vois ce que je veux dire ! Fit-elle en se servant un verre.
- Je suis impatient de goûter à la nouvelle cuvée.
- Alors attends ! Je reviens
Et elle quitta sa place pour aller rejoindre Marilyne, de lautre côté de la table. Je ne sais pas ce que Sylvie lui a soufflé à son oreille, mais ce que je sais cest quelles mont regardé et se sont pouffées de rire. Jai pris le verre à Sylvie qui était à lorigine mon verre et jai bu le contenu dun trait, à mon faire tousser.
- Eh bien, jeune homme. Fit la maman. Tu ne vas pas bien.
- Si, si
je me suis
étouffée
en buvant
- Mais tu es toute rouge ! Tu devrais aller prendre lair
- Je
oui, vous avez raison, balbutiais-je
Je devrais
Cela faisait à peine cinq minutes que je prenais lair quand mon portable sest mis à vibrer dans ma poche. Un texto de Marilyne qui minvitait daller la rejoindre dans la salle de bains. Du déjà vue !
Je ne sais pas pourquoi mais je métais laissé tenter. Quand jétais entré dans le lieu désigné, jai trouvais Marilyne dans une drôle de position. Appuyée contre le lavabo, tendant ses fesses vers la porte. Comme si elle sapprêtait à recevoir la fessée.
- Je me suis laissé dire que tu devais me corriger, pour ne pas avoir tenue ma langue. Fit-elle dune voix tremblante.
Ce fut en verrouillant la porte, que je maperçus de la présence de Sylvie. Assise sur le bord de la baignoire. Les cuisses ouvertes, attendant. On aurait pu croire quelle sapprêtait à pisser de nouveau. Lobscénité de sa position la rendait encore plus désirable. Je mapprochais alors delle. Sans un mot, elle saccapara de sortir pour la seconde fois ma verge de son lit douillé. Quelle aspirait le gland dans sa bouche.
Sa technique nétait pas très évoluée, mais elle y mettait tout son cur que cela devenait de plus en plus agréable. Balançant sa tête davant en arrière. Après quelques secondes de ce traitement, elle recula sa bouche avec un bruit humide. De la salive sécoulait sur les coins de sa bouche. La faim dun attouchement plus efficace me brûlait les entrailles. Au point daller rejoindre Marilyne, qui sétait mise du côté du lavabo à onduler du cul. Comme laurait fait une danseuse du ventre. Sa raie bâillait et souvrait sur la tache brune de son anus. Ce que jadorais chez elle sétait la couronne de poils quelle avait autour de son il ridé.
- Sylvie aide Alain de me la mettre, veux-tu ?
Elle sempressa de se saisir de ma verge, et de lapprocher de lintimité de ma belle-sur. À cette approche, cette dernière creusa les reins. Sylvie guida ma verge au milieu de la fente. Quelle fouilla entre les crêtes pour que ça sajuste. J haletais comme un fou. La copine saccroupit sur le carrelage comme pour être au plus près de laction.
Le ventre de Marilyne ma avalé goulûment. Je métais mis à bouger violemment en elle. Lui donnant de violents coups de reins qui la faisaient râler, à chaque pénétration. De temps à autre je faisais sortir ma verge toute luisante de mouille, dans son entier pour mieux la replonger la seconde suivante. Faisant claquer mon ventre contre ses fesses. Comme si je lui administrais une bonne fessée.
Grâce aux reflets du miroir, je voyais son visage ravagé de bonheur. Ainsi que ses seins que mes coups de boutoirs faisaient bouger sous son tee-shirt. Je me penchais sur elle. Crispant mes mains sur ses épaules. Je lui mordais le cou. La poussant à coller son ventre contre le bord du lavabo. Lui propulsant des grands coups de reins. Qui la faisait se secouer des pieds à la tête. Écrasant ses seins dans les paumes de mes mains. Les maltraitants avec mes doigts.
Javais envie que ce coït dur un peu plus longtemps. Je sentais tout son corps frémir sous le mien. Elle était au bord de lorgasme. Ses narines évasées que le reflet du miroir me renvoyer, battaient la cadence sous sa respiration saccadée. Son corps sétait raidit. Alors que sa vulve me mordait ma verge. Par lintermédiaire de spasmes continus. Je navais pas pu résister à la tentation de me laisser glisser jusquà la jouissance. Lui offrant mon offrande tiède
- Joyeux anniversaire Marilyne. Lui murmurais-je à loreille
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!