La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1303)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1302) -

Le jour du mariage de Ronan et Clémence.

- Tu la connais bien, tu sais ce qu’elle aime ça doit te suffire pour la combler sur tous les plans...

Le jour du mariage arriva et Ronan se préparait de son côté et Clémence du sien. Il était convenu qu’ils se retrouvèrent directement à l’église. Puis ils entreraient tous ensemble au Château pour les festivités… Lorsque Clémence arriva, son futur mari arriva presque en même temps. Clémence était magnifique au bras de son frère. Au moment d'entrer dans l'église, les couples se formèrent, Ronan entra le premier mais seul suivit par Eléonore et son père ensuite Enguerrand et Alix et enfin Chloris et Antonin quand ils furent installés, ce fut le tour de Clémence et Louis-Etienne, ils avancèrent lentement vers l’autel sur la musique joué par quelques ménestrels du village. Arrivés devant le prêtre, celui-ci leur demanda :

- Qui donne cette femme et cet homme ?
- Moi Louis-Etienne, Comte de Maison Dieu, avec le consentement du Grand-Duc Charles d'Evans et de Saint Ymer, Seigneur de ces terres et père du marié.

Le Seigneur d'Evans confirma d’un signe de tête. Ce fut une belle cérémonie suivie d'un somptueux festin prit, car il faisait grand soleil, dans le parc du Château où danses et jeux avaient été prévus. Le soir venu, Clémence et Ronan ouvrirent le bal suivit par le Seigneur d'Evans qui invita Eléonore, Alix et Enguerrand, Chloris et Antonin. Louis-Étienne se retrouva sans cavalière, il se décida finalement à inviter Manon qui était présente pour l’occasion. Il préférait qu’elle ne soit plus soumise le moment du mariage de sa sœur, trouvant cela plus correct au niveau de la bienséance.

Eléonore dit au Seigneur d'Evans :

- Finalement, nous avions raison, nos s ont fini par réunir nos deux familles.

- Certes dame, et j'en suis profondément heureux.
- Ils forment un beau couple tous les deux, dit-elle attendrie les voyant danser amoureusement.

Louis-Étienne tout en dansant avec Manon demanda :

- Ça ne te manque pas de ne plus vivre ici au Château, tu ne regrettes pas ta soumission ?
- Si parfois, mais je n'ose pas demander au Seigneur de me reprendre après avoir refusé à mon retour.
- Quelle meilleure occasion que ce soir. Le Seigneur d’Evans est de très bonne humeur !
- Oui peut-être, je verrais si le moment se présente…

À la fin de la soirée, Messire Léon demanda le silence :

- Messire Enguerrand d'Evans a une annonce à faire.

Enguerrand stressé mais confiant s'avança vers Eléonore de Maison dieu et mit un genou à terre :

- Madame la Comtesse, je vous demande la main de votre fille Alix.
- Enfin, Messire mon neveu, je me demandais quand vous oseriez enfin faire votre demande. Bien sûr, vous avez mon accord.

Le Seigneur d'Evans, un peu à l’écart avec Ronan et Clémence, leur dit en souriant :

- Ça devient une tradition dans cette famille vous le soir du mariage de Chloris et Antonin et maintenant votre frère.

Enguerrand se releva et tendit la main à Alix qui la prit et il la serra dans ses bras. Ensuite Clémence et Ronan se retirèrent et eurent la même surprise que Chloris et Antonin (voire les épisodes précédents) dans leur chambre et ils passèrent une nuit de noce ponctuée de tendres câlins et d'ébats sexuels torrides. Clémence fut baisée par tous ses orifices, elle eut droit de jouir à volonté toute la nuit et elle ne se priva pas ! Ses cris de jouissances s’entendirent dans tous le Château, Les moments les plus torrides furent quasiment magiques et pour leur plaisir commun, partagés seulement par eux deux, dans une parfaite complicité conjugale comme par exemple le moment où elle fut attachée nue et couchée sur le dos en croix sur le lit, bras et jambes écartées, poignets et chevilles liés. Ronan lui fit un léchage de sa chatte digne d’un grand expert de l’activité buccale. Il la fit jouir juste avec sa langue sur son clito trempé, puis en y rajoutant un doigtage savant, et enfin en la prenant virilement de sa grosse bite gorgée de désir… Les orgasmes de Clémence s’enchainèrent à ne plus finir… Durant la nuit, par ailleurs, Le Seigneur d'Evans décida Lui aussi se retirer, Manon le suivit jusqu’à ce qu’Il soit suffisamment à l’écart et elle l'interpela :

- Monseigneur, puis-je Vous parler, s’il Vous plaît ?
- Il est tard, ça ne peut pas attendre demain ?
- Non Messire, demain je risque de ne plus avoir le courage.
- Soit ! Alors suis-Moi...

Le Seigneur d'Evans l'emmena dans sa chambre et s'assit dans le coin salon. Manon resta silencieuse, immobile, la tête baissée.

- Alors que veux- tu ? Je t’en prie, assieds-toi !

Au lieu de cela, elle tomba à genoux à Ses pieds :

- Monseigneur, Maître, je vous supplie de me reprendre à Votre service, je souhaite redevenir Votre soumise.
- Ta vie, à Saint Ymer, ne te plaît pas ?
- Si Monseigneur ! La Duchesse est très bonne avec moi, elle me traite comme une invitée ou un membre de sa famille. Mais aussi bien heureuse que je sois là-bas, quelque chose me manque et cette chose est, je le sais, Votre saine et divine Domination.

Il y a eu un long silence qui devenait pesant. Que le Seigneur finit par briser après avoir longuement jauger du regard la belle Manon.

- Si j’accepte de reprendre, te plieras-tu à tous Mes règlements ?
- Oui Monseigneur, mais je Vous demande juste une seule chose.

Le Seigneur d'Evans voulut d’abord dire non, puis il se ravisa car Il revit Manon quand elle était revenue au Château et de ce qu'elle avait vécu suite à la manipulation d’Amélie (lire les épisodes précédents) et Il se dit qu'elle méritait bien une faveur.

- Dis toujours, je t’écoute.
- Si Vous acceptez de me reprendre à Votre service, la seule chose que je Vous demande est de ne plus participer aux soirées que Vous organisez. J’ai confiance en Vous, les membres de Votre familles et les chevaliers en général, que je connais depuis toujours, mais concernant les autres personnes, je ne suis pas encore prête..
- Bon … J’accepte le temps qu’il te faudra, je te reprends donc à Mon service et ceci dès maintenant, de suite...
- Merci… Maître.
- As-tu oublié la règle de base pour te présenter à Moi ?
- Non Maître, mais je suis désolée, je ne peux me dévêtir devant Vous maintenant.
- C’est une exigence chienne, et tu sais qu’on discute jamais Mes ordres. Tu ne voudrais pas déjà être punie le soir de ton retour à Mes pieds ?
- Si je refuse je serais punie en effet mais si je le fait aussi car il y a une chose que Vous n'accepterez pas Maître.
- Met toi nue, j’ai dit, la chienne, tout de suite, avant que je n’exprime Mon courroux réellement.

Manon se mit nue, aussi vite que ses vêtements de cérémonie le lui permettait. Elle voulut se remettre à genoux mais le Maître lui ordonna de rester debout devant Lui et elle baissa la tête et les yeux rouges de honte.

- Ah oui. Je vois pourquoi tu refusais de te mettre nue. Depuis quand ?

Sa voix était froide et il était clair qu'Il était mécontent.

- Quelques mois Maître.
- Pourquoi ?
- La Duchesse de Saint Ymer m’a dit que cela pourrait m’aider à me sentir femme et à me reconstruire.
- Est-ce le cas ?
- J’avoue, Maître, qu’au début cela m’a aidé mais maintenant, je n’en ai plus besoin.
- Alors pourquoi vois-je cette toison disgracieuse au possible ? Ce n’est plus un sexe lisse de chienne soumise que je vois mais une volumineuse forêt touffue
- Si j’avais su que vous me reprendriez, dés ce soir je me serais épilée, Maître.

Le seigneur d’Evans appela alors Lucie qui, cette nuit, était à Son service et se trouvait dans la petite pièce attenante. Pièce où dormait le ou la soumis(e) étant au service du Maître pour la nuit. Lucie entra et se mit en position pour attendre Ses Exigences.

- Lucie, va Me chercher Chloris, et présente Mes excuses auprès d’Antonin, qu’elle vienne ici avec son matériel, elle comprendra.

Lucie se rendit au plus vite à la chambre qu’occupaient Chloris et Antonin, se demandant ce que le Maître pouvait bien lui vouloir en pleine nuit. Arrivée à la porte elle frappa, pas de réponse. Elle recommença plus fort. Et cette fois-ci, elle entendit une voix énervée lui dire d’entrer. Elle entra et se mit à genoux.

- Que veux-tu chienne ? Sache que je n’aime pas être dérangé en pleine nuit pour rien...

(A suivre …)