Une Famille En Or (2)
Samedi 24 juin 1989
Ma cousine arrive en début daprès-midi. Le temps de se dire bonjour, je lui propose se mettre à laise.
Elle ne fait aucun commentaire sur nos strings, et pourtant même moi je trouve quil y aurait de quoi dire vu que je suis allée carrément lui ouvrir avec un string-confetti qui arrive à peine plus haut que le capuchon de mon clito.
Ber nest pas en reste avec son cache-sexe duquel dépasse son plumeau de poils. Elle va se mettre aussi en maillot, et nous rejoint dans la piscine. Quelle horreur, cest un modèle natation une pièce! Il va falloir songer à remédier à ça très vite.
Pendant que nous séchons au soleil, elle nous raconte les derniers épisodes de sa vie familiale. Ça va de pire en pire entre ses parents, et ça devrait déboucher sur un divorce. Comme elle part travailler en tant quanimatrice dès le week-end suivant, elle nous demande si elle peut passer toute cette semaine avec nous, car elle ne supporte plus cette ambiance orageuse. Je regarde Ber qui me sauve de mon embarras en lui faisant une proposition:
- Cest daccord, à deux conditions: un, tu appelles ta mère pour avoir son avis, et deux, tu vires ce maillot horrible. Le string est obligatoire, condition non négociable!
- Mais
jen ai pas, jai que celui-là.
- Anna en a plein en réserve.
- Mais
jen ai jamais mis!
- Eh bien, il est temps que tu ty mettes. Et plus de mais!
Aussitôt dit, aussitôt fait. La première condition est vite remplie avec laccord sans problème de sa mère, et je lemmène dans la chambre pour la deuxième. Elle se met nue, me dévoilant son minou barbu mais bien taillé. Je lui choisis spécialement un string bandeau assez sage aux cordons réglables. Elle lenfile et proteste un peu:
- Tu vois, ça va pas, jai les poils qui dépassent de partout!
- Ça, cest pas un souci. Enlève-le, je vais te retailler un peu la touffe!
Je vais prendre les instruments de mon père à la salle de bains.
- Et voilà, tout est rentré! Mais tu devrais tépiler encore plus, ce serait mieux.
- Comment ça, plus? Tu mas presque rien laissé!
Puis cest moi qui lui remets le string, et sous le prétexte de bien lajuster, je passe mes doigts partout sous les cordons, frôlant sa fente et son sillon fessier. Après ça, elle a les joues rouges et ses petits tétons pointent. Moi-même, je suis toute excitée davoir tripoté ma cousine, avec létonnante envie de recommencer. Dès notre retour à lextérieur, Ber la complimente pour son nouveau look:
- Bravo, cest bien mieux! Mais enlève ces bras de devant ta poitrine, ça ne sert à rien de cacher tes seins. Ils sont petits mais mignons
Assez gênée, elle plonge direct dans leau pour se cacher et se calmer. Elle sort pour sallonger sur une serviette et finit par sabandonner face au soleil.
Un moment plus tard, elle se retourne sur le ventre, nous exposant ses fesses bien pommées. Je suis toujours émoustillée par la séance dessayage et comme elle ne peut pas me voir dans sa position, je glisse une main dans mon string trempé et me caresse doucement le clito. Entre le cul de Valy et mon action dans son champ direct, Ber se met à bander. Evidemment, le minuscule bout de tissu narrive pas à retenir sa queue qui pointe fièrement au soleil. Il décalotte son gland et se caresse à son tour, ce qui mexcite encore plus.
Puis comme Valy bouge pour se remettre sur le dos, il sarrête et se tourne sur le ventre pour ne pas être surpris en pleine bandaison. Je sors ma main de mon string, mais comme je ne peux plus me calmer sans agir, je vais à lintérieur où je me branle en regardant discrètement dehors par une fenêtre. Après ma branlette, je vais lui préparer la chambre de ma sur. Je prends soin de fermer les rideaux de manière à laisser un angle de vue depuis lextérieur et quelle ne voit pas que le volet roulant nétait pas baissé.
- Ouf, Ça fait du bien! Cétait une grosse envie!
Valy ne réalise pas le double sens ma phrase et se lève à son tour pour aller pisser. Pendant son absence, Ber termine sa branlette et gicle copieusement sur la pelouse. Quand Valy revient, la bite dégonflée a réussi à réintégrer son petit nid.
Pour le dîner Valy devait penser que nous allions nous rhabiller un peu plus, mais comme nous restons dans la même tenue et que la chaleur reste étouffante, elle en prend son parti et elle nose pas enfiler quelque chose non plus.
Puis, après un diner un peu arrosé et un petit film à la télé, il est temps daller se coucher.
Dès que sa porte est fermée, jemmène Ber sur la terrasse, pour épier ma cousine par linterstice entre le rideau et le mur.
Comme il fait vraiment très chaud, elle na même pas mis le drap sur elle. En cherchant de quoi lire un peu, elle tombe rapidement sur un des magazines X. Elle marque un temps de surprise et le repose pour choisir autre chose. Mais elle tombe rapidement sur le deuxième, et comme finalement sa curiosité est un peu titillée, elle le garde.Elle le feuillette, lit quelques récits, et elle commence à mettre sa main dans le string. Elle se masturbe dabord doucement en lisant, puis elle baisse le string pour plus daisance, et enfin elle lenlève complètement et se branle sans retenue.
Ber commence à se branler tranquillement et je glisse un doigt dans ma fente:
- Tu te branles sur elle, mon salaud! Tu la baiserais volontiers, je parie?
- Evidemment, mais ne dis rien, toi tu te caresses en matant ta cousine.
Nous la regardons jouir en nous entretenant lexcitation, puis nous retournons à lintérieur pour rejoindre notre chambre. Ber nattend même pas que nous y soyons arrivés et me prend en levrette au salon, accoudée au bahut.
Le cliquetis des assiettes et des couverts secoués dans le meuble ne peut pas passer inaperçu, dautant plus que je commente à haute voix!
Je termine en lui pompant toute sa sève puis nous allons nous coucher.
Ber me met au courant dune nouveauté:
- Je suis presque certain que ta cousine nous matait. Jai aperçu un léger mouvement dombre dans le couloir quand tu finissais de me sucer.
- Oh, la petite coquine, elle cachait bien son jeu!
- Et si on essayait de la faire avec elle, notre première partie à trois?
- Je dois dire que jallais te le proposer moi aussi!
- OK, on sy met demain!
Dimanche 25 juin 1989
Tout le monde se lève assez tard. Valy nous rejoint à la cuisine pour le brunch en ayant tout de même enfilé un T-shirt et apparemment une de ses culottes. Elle nest quà-moitié surprise de me trouver déjà en string. Ber qui sest mis en short et T-shirt pour aller faire quelques bricolages quil avait promis à mon père nous laisse rapidement pour aller au garage.
Jattends que Valy soit sous la douche pour entrer dans la salle de bains et me mettre à poil. Elle bloque un peu sur mon minou tout épilé, mais je lui demande:
- Tu me ferais un peu de place? Ça me rappellerait quand nos mères nous lavaient ensemble dans la baignoire Sève, toi et moi
Elle nose pas dire non et je la rejoins sous le jet. Je ne tente rien de direct, juste je lui propose de lui frotter le dos. Elle accepte et je reste soft, puis je lui demande la pareille. Cest tout juste si jai un peu frotté mes fesses contre les siennes et effleuré ses tétons comme par inadvertance. Pendant que nous nous essuyons, je lance la conversation:
- Hier, je te parlais dépilation. Tu aimes la mienne?
- Euh, jai été plutôt surprise, mais en fait cest assez mignon. On dirait une fillette.
- Et cest tout doux, tiens!
Sans la laisser réfléchir, je lui prends la main et la porte à mon triangle.
- Oui, cest vrai. Mais tu sais, ça me gêne un peu de te toucher, tu es ma cousine. Et en plus cest la première fois que je touche une femme!
- Justement, nous on se connaît bien! Tu nas pas à être gênée.
- Cest aussi cette ambiance très dénudée, ça me fait drôle. Les strings, la séance dépilation, montrer mes seins et mes fesses à Ber
- Voir les miennes, les siennes, son gros paquet bien moulé dans le string, lire les magazines de cul que je tai mis dans la chambre
- Ah, cest toi! Ça métonnait de trouver ce genre de magazine chez Sève.
- Non, ils sont à ton cousin! Et ça ta excitée? Tu en a profité pour te branler?
- Oh, Anna, voyons!
- Allez, pas de cachotteries, on est des grandes filles, maintenant!
- Oui, bon javoue, je me suis branlée. Et je vous ai entendus ensuite
- Ben quoi! Toi tu te branles, et nous on aurait pas le droit de baiser?
- Oui, mais vous pourriez être un peu plus discrets!
- Ça ta choquée? Allez, en vérité, je suis certaine que ça ta excitée ça aussi.
- OK, jai un peu honte de le reconnaitre, mais oui, ça ma chauffée aussi de vous entendre et je me suis branlée une deuxième fois en imaginant ce que vous faisiez.
- Y a pas de honte à avoir, fais-toi plaisir! Ne te prive pas pour nous.
Je la relance sur le premier sujet:
- Tiens, à propos dépilation, hier je tai fait ça à la va-vite, si on fignolait la chose?
- Tu crois? Ça me parait bien comme ça.
- Mais non, hier, jai aperçu quelques poils qui séchappaient encore. il faut faire plus.
- Bon, si tu le dis
Mais pas comme toi, je veux garder une touffe!
- OK, laisse-moi faire. Tu préfères un triangle, un rectangle ou une bande de poils?
Elle choisit la troisième proposition, et je ja débroussaille bien, un peu à son insu, lui laissant juste un plumeau un peu comme Ber.
Le résultat est si mignon que je ne peut résister au plaisir de le caresser un peu sans exagérer en passant la crème contre le feu du rasoir.
En découvrant le résultat, elle regimbe un peu mais finit par admettre que cest joli et très sexy. Cest le moment de lui porter lestocade:
- A propos dépilation, je sais que tu as déjà vu Ber à poil, le mois dernier.
- Ah bon, il te la dit? Javais pas osé ten parler de peur que ça te contrarie. Sur le moment, je savais pas où me mettre. Mais bon, jai pas trop regardé
- Pas dexcuse, je men fiche que tu laies vu tout nu. Allez, au point où on en est, profitons-en pour bronzer intégral!
Je lentraine par la main et nous sortons pour son premier bain de soleil naturiste. A son retour, nous sommes sur nos serviettes, Valy étant sur le ventre Ber montre son approbation pour le changement:
- Voilà une bonne initiative ! Je préfère ça.
Il se met donc à poil lui aussi, et je taquine Valy:
- Cette fois, en plein jour tu le vois bien mieux, non?
- Euh, oui, cest sûr! Javais même pas remarqué son épilation, lautre fois.
- On dirait un peu la tienne, non?
- Cest vrai, mais il a quelque chose en plus
Laprès-midi se passe bien. Au début, Valy a tendance à masquer machinalement son triangle quand elle est face à nous, puis elle se laisse aller petit à petit et ne cache bientôt plus rien. Et Ber réussit à ne pas (trop) bander directement devant elle. Ce soir, comme Ber et moi restons à poil, Valy ne cherche pas à renfiler un string. Nous nous installons tous les trois dans le canapé pour un gros apéro qui séternise à la place du diner, puis Ber lance la télé et trouve un film un peu érotique. Nous en profitons pour la faire boire pas mal. Je suis assise entre Valy et Ber qui a passé le bras par-dessus mon épaule et commence à me caresser délicatement un téton sous le nez de ma cousine. ment, il se met à bander, mais Valy ne le remarque pas, accaparée par le film.
Comme il est grand temps de faire avancer les choses, jempoigne carrément sa queue et le mouvement bien rythmé de ma main attire enfin lattention de Valy. En bon état avancé débriété, elle plaisante en lorgnant sans détour sur mon action:
- Ben voyons, vous gênez pas tous les deux! Eh, je suis là!
Je ne marrête pas pour autant de branler ouvertement Ber devant elle:
- Merci de ta permission. Et tiens, au passage, jai repensé à la nuit dernière. Je parie quen fait tu es venue voir ce qui se passait dans la salle à manger, non?
- Ouais, bon, cest vrai, je vous ai regardés faire!
- Et en te branlant, jimagine!
- OK, en me branlant, javoue!
- Eh bien, comme tu es linvitée, cette fois tu peux prendre ma place!
- Ouais, tu dis ça, mais tu serais bien surprise si je le faisais
- Ah ouais, tu crois? Eh bien vas-y, ose!
Ber se lève et se présente devant elle:
- Chiche!
Relevant le défi, elle prend dans sa main la grosse tige dont le gland la nargue:
- Tiens, tu croyais que jallais me dégonfler?
Et elle le branle sans hésitation, comme si elle avait toujours fait ça avec nous et tout en sactivant, elle me nargue les yeux dans les yeux.
Elle écarte même les cuisses quand Ber avance une main pour lui titiller le clito. Alors je me penche et je lèche le gland de Ber pendant quelle continue à le branler. Je fais signe à Valy de me rejoindre, et la fellation continue à deux.
Puis je la laisse sucer seule et je commence à lui caresser les tétons, et je me risque enfin à passer ma main entre ses cuisses à la place de celle de Ber. A ma grande surprise, elle me facilite le travail en écartant les cuisses:
Ah, mes salauds, vous mavez bien eue! Mais tarrête pas maintenant!
Je la branle pendant quelle sapplique à pomper Ber. Il sent que ça monte trop fort et quil risque de venir trop vite:
- Laisse un peu mon gland se reposer, et amusez-vous entre vous!
- Eh toi, je suis pas une gouine!
- Anna non plus, mais tu as lair dapprécier ses caresses, non? Donc tu es bi, et cest encore mieux, tous les plaisirs possibles sont pour toi!
Elle ne proteste pas trop quand je viens bouffer sa chatte, puis plus du tout. Ber nous mate en sentretenant tranquillement lérection. Elle ne résiste pas plus quand jattire sa tête entre mes cuisses. Elle mange sans retenue mon clito et Ber en profite pour la prendre en levrette.
Elle jouit une première fois, puis il sallonge sur le tapis, et Valy vient sembrocher sur sa queue sans attendre. Je maccroupis sur le visage de Ber qui me broute pendant que je caresse les seins de Valy et que nos langues se mêlent. Elle a très vite un deuxième orgasme.
Ber nous fait changer de position. Je me mets en soixante-neuf sur Valy, et lui vient me bourrer par derrière. Il ressort de temps en temps pour lui donner son gland à sucer. Enfin, il éjacule dans sa bouche et elle avale tout comme une grande.
Pendant quil reprend des forces, nous continuons à nous caresser toutes les deux. Dès quil a retrouvé toute sa vigueur, il revient soccuper de Valy de face. Elle jouit encore une fois, mais lui na pas fini. Il me remet sur elle en soixante-neuf, et cette fois il mencule pendant quelle me doigte. Il finit par monter en pression, et sa deuxième giclée de sperme est pour mon cul. Bien épuisés, nous allons dormir, tous dans le même lit.
Lundi 26 juin 1989
Ce matin, plus besoin de faire semblant. Ce qui me réveille, cest les mouvements de Valy en train de tailler une pipe à Ber. Cette fois, elle navale pas tout et il termine déjaculer sur ses seins. Je mempresse de la nettoyer avec ma langue, pour ne pas gaspiller. Rien de tel que de commencer la journée quune bonne partie de jambes en lair.
Plus tard dans la journée, je linitie aux joies des godes et vibro-masseurs. Elle trouve ça super et nous les testons à deux. et Ber na que le droit de nous mater en se branlant et il sen donne à cur-joie. Comme il réussit à ne pas éjaculer de toute la séance, nous le gratifions à la fin en le laissant nous arroser le visage.
Mercredi 28 juin 1989
Notre trio est bien rodé maintenant. A force de se prendre un doigt dans le cul, Valy accepte enfin dy prendre un gode, puis la bite de Ber, surtout quelle voit combien jy prends du plaisir. Ber y va en douceur, avec beaucoup de lubrifiant. Malgré son calibre, ça se passe bien, le conduit ayant été rodé par le gode, et elle jouit du cul pour la première fois.
Du coup, le soir, elle veut essayer de faire comme moi, la double pénétration. Je me place derrière elle et lencule avec le vibro pendant quelle chevauche Ber. Elle a un orgasme énorme, et sollicité par les vibrations du gode et les contractions du vagin, Ber lui lâche tout au fond.
Jeudi 29 juin 1989
Pour la dernière soirée, nous décidons de nous amuser un peu en commandant des pizzas. Lorsque le livreur sonne, je vais ouvrir entourée dune serviette de douche. Le petit jeune avec son casque est un peu déstabilisé, et jentretien son trouble car la serviette commence à se dérouler. Je me tortille en faisant mine dessayer de la retenir mais la serviette finit par tomber au sol. Tout en farfouillant dans mon porte-monnaie pour le payer, je mexcuse:
- Allez, tant pis, au point où on en est! Bon voilà, jai lappoint.
Le livreur, déjà scotché par mon mont chauve, est dautant plus médusé quà ce moment Ber arrive, le gland sorti, et att les pizza en appelant:
- Valy, viens manger les pizzas tant quelle sont chaudes!
Elle arrive elle aussi avec seulement une serviette enroulée sur sa tête et va saffaler jambes ouvertes dans le canapé:
- Ouf, cette douche ma fait du bien!
Ber lance au livreur:
- Il fait tellement chaud! Vous voulez boire un truc frais avant de repartir?
Il est trop gêné pour oser accepter, et il se sauve en balbutiant un peu. Dommage, on aurait pu samuser un peu plus avec lui
Vendredi 30 juin 1989
Aujourdhui, mes parents sont de retour. Je rentre à Marseille et je perds mes deux partenaires. Ber part travailler en rando dans la montagne Corse pour deux mois, et Valy doit rentrer chez elle préparer son départ en tant quanimatrice de camp de vacances. Mais pour quelle pense souvent à nous, je lui prête un de mes vibros.
A suivre
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