Mes Débuts Avec Philippe - Acte 3

Je bandes fort, mon homme toujours coucher sur moi, je suis aux anges, je voudrais que ce moment dure encore un peu, mais le coulissement de sa queue me sort de mon coma,
- il est temps de te faire jouir, tu verra à force, tu jouiras du cul
Il se retire et se précipite vers ma « chatte », et commence à me lécher goulûment …
- allez pousse ma grande, je veux voir mon jus couler
je m’efforce à sortir toutes sa semences, et je le sens se délecter de son sperme coulant, tout en masturbant délicatement mon « clito » comme il aimait l’appeler. Je suis aux anges.
Je sens un orgasme fort monter en moi, je ne te tiens plus, mon amant doit le sentir, puisque il me prend en bouche, et reçois le fruit de ma jouissance.
Je suis vidé, dans tous les sens du termes, je suis encore dans les vapes, je sens la bouche de mon homme venir m’embrasser, ce baiser à un goût divin.
Nous sommes affalés sur le canapé,
- alors ma puce, je ne t’ai pas trop fait mal ?
- non au contraire, j’ai beaucoup aimé te sentir en moi, et me sentir à toi … la sensation de ta bouche sur ma chatte, je crois que je peux dire que j’aime que tu me bouffes le cul !
Il rigole,
- j’adore faire ça, ton cul m’excite beaucoup tu sais, je suis sur qu’on va très bien s’entendre sexuellement !
Il se lève pour aller nous faire un café, je sens que l’excitation qui s’était apaisé au moment de la jouissance, commence à se réveiller, ce que mon amant remarque à son retour,
- je vois que ton clito à du mal à s’endormir ! Dit-il en rigolant
- mais je ne suis pas solo sur ce coup mon amour, avec ce peignoir et cette bosse apparente, tu dois ressembler à DSK dans ses soirée !!!
- je crois que la pilule commence à faire effet,
- Il va falloir que tu m’honore à nouveau
- j’y compte bien ma puce ! Mais on va souffler encore un peu avec ce bon café et une bonne clope !
Je suis affalé sur ce canapé, la robe toujours remonté sur mes hanches, je vois mes jambes recouverte de ses bas noirs … tout cela est très excitant, mais très perturbant aussi.

Mon amant doit sentir mes interrogations sur ce sujet, et me rassure immédiatement,
- Ne t’inquiète pas ma chérie, c’est notre petit jardin secret, et puis je ne te demande pas de te transformer en femme, c’est juste pour agrémenter nos petits jeux ! Tu sais bien qu’ici, tu ne risques rien, pas de parasite extérieur, il n’y a que toi & moi.
- Pour le délire sexuel, ça ne me gène pas, au contraire, j’y trouve aussi de l’excitation, c’est juste qu’il me faut un peu de temps pour « imprimer » cela, après on va pas se mentir Phil, si je viens régulièrement chez toi, l’envie sera la, donc j’ai quand même bien l’impression que je vais souvent me retrouver avec des vêtements féminin !!
- écoute, si ça te gène, ne le fais pas, je pensais que ça te plairait, enfin je l’espérais
- arrête, tu sais très bien que si je ne le veux pas , je ne le ferai pas, tu connais mon caractère, je ne compte pas me transformer en fille, après, pour nos ébats, c’est autre chose …

Je dois bien reconnaître que la sensation des bas sur mes jambes m’excitait, me sentir femelle était un fantasme devenu réalité, après tout faire la fille dans ce royaume secret et caché qu’est sa demeure, c’est fun mais surtout excitant, les idée s’entremêlent dans ma tète, mais ma queue, enfin mon « clito », lui me fait comprendre à quel point ça lui plaît.
Je me relève de ce canapé, refait ma queue de cheval et me dirige vers mon homme, il est la, avachis sur ce canapé, son peignoir moitié ouvert laissant apparaître son énorme toison grise, et cette bosse qui m’hypnotise …
Je soulève légèrement ma robe, m’assois à califourchon face à lui, mes mains caressant ce torse si viril,
- Je t’aime Phil, et j’adore être ta femme, je t’avoue que de joindre à cela, de la lingerie et/ou vêtement de femme m’excite aussi, en fait je me sens à l’aise comme ça, et je vois à ton regard que cela te plaît énormément, alors forcement ça m’excite aussi, j’ai envie de poursuivre ce délire.
- je suis tellement content qu’on soit sur la même longueur d’onde …
Ses mains parcours mes cuisses, passent sous ma robe, et commence à me caresser les fesses
- Que j’aime ton cul, j’ai envie de toi ma puce …
Il m’embrasse, ses mains parcours mon corps, mes mains elles, se concentre sur son torse et sur sa queue, je commence à malaxer cette bosse, je la sens bien dur ce qui décuple ma propre érection
- j’adore te voir exciter ma grande, allez laisse moi m’allonger et viens sur moi que je puisse bouffer ce merveilleux petit cul (quel flatteur!)

je suis sur lui, je sens ses mains relève ma robe sur mes hanches, et sa bouche se coller à mon trou, j’en profite pour défaire sa ceinture de peignoir et laisser sortir cette queue que j’aime, je la prend en main et la caresse, tout en profitant de la langue de mon amant qui me fouille à nouveau le conduis, je la prend en bouche et commence à sucer ce bâton de chair qui me fait déjà frissonner !
Les minutes défilent, il me fait relever, me soulève (je ne le pensais pas si fort mon petit vieux), et me porte vers sa chambre …
- on va poursuivre dans notre petit nid d’amour
une fois dans la chambre, il me pose sur le lit, et me dit
- déboutonne ta robe complètement, mais ne l’enlève pas ! (sur un ton assez autoritaire, commencerait il à se lâcher?)
Je suis sur le dos, robe ouverte, mon homme enlève son peignoir, je le vois, face à moi, sa queue bien bandé, on dirait un yéti en rûte (cette homme à un pouvoir d’excitation impressionnant, je ne pensais pas que je pourrai ressentir ça)
- que t’es belle, allez écarte les cuisses que je vienne me mettre au chaud !
Je les écartent, et me caresse le clito par la même occasion, je lui souris
- allez prend moi, viens baiser ta femme en chaleurs …
Il s’allonge sur moi, je sens son gland caresser ma chatte, puis il commence à s’enfoncer lentement dans ma grotte, il ressort son sexe, le repositionne contre ma chatte, et la, il me la rentre entièrement d’un grand coup de rein, j’en ai le souffle coupé
Il me pilonne pendant de longue minute, mon plaisir ne cesse d’augmenter, je sens des bouffée de chaleur monter en moi, une envie de jouir …
Il accélère, ses coups de reins sont de plus en plus fort, mon envie de jouir ne cesse d’augmenter, je sens son plaisir arrivé aussi, dans un dernier coup de rein il me fait jouir sans que j’ai eu ma me branler, et je sens son sexe palpité dans ma chatte, vidant une nouvelle fois, sa semence adoré.
Il est lourd, couché sur moi, nos corps moitent, l’un contre l’autre, il m’embrasse, cela dure quelques minutes, sa queue toujours enfoncer dans mon conduis.
Je ne la sens pas trop ramollir, cette sensation est divine,
Au bout de quelques minutes, je sens sa queue recommencer ses va et viens, malgré ma jouissance, le plaisir est encore la, et je l’encourage à continuer son traitement divin.
- tu vois que le viagra peux être utile
Et il me baise a nouveau, cet homme m’impressionne, il m’encule fort, je ne ressens rien d’autre que du plaisir a sentir cette queue me besogner.
Enfin il jouit, toujours ces palpitations dans ma chatte, je la sens enfin ramollir, moi je suis exténué.
Je sens sa queue sortir, son jus coule, on est mort, je m’endors dans ces bras.