Baptême Du Feu (2)
- Impressionnant, oui ça a lair tout à fait véridique
mais on reste un peu sur notre faim. Pas très érotique tout ça. Didier ne ta pas suggéré de prendre sa queue dans ta bouche ?
- Je ne men souviens pas et puis jétais encore un peu jeune
- Et aujourdhui ?
- Comment ça aujourdhui ?
- Oui aujourdhui, tu ne la prendrais pas dans ta bouche ?
- Ah mais jai jamais fait ça avec personne !!
- Raison de plus, il faut bien commencer un jour, tu nes plus un !
- Mais les gars, laissez-le, il na tout simplement pas envie, répond Didier.
- Pas envie, pas envie
Regarde, depuis tout à lheure il continue de te branler (cétait vrai, je ne men rendais même pas compte, le faisant tout en parlant !). Regarde son slip, comme il bande
Allez Thierry, montre que tu es un homme, je vais te guider si tu veux. Ce sera ta première fellation, cest important ça !
- Mais je
- Allez, y a pas de mais, fais pas ta chochotte ! Fais-moi confiance. Approche-toi bien et commence par lembrasser, allez ! Vas-y, allez !! (il me force en me poussant la tête). Ah voilà
oui comme ça
cest bien ! Allez, continue
embrasse le gland
encore ! embrasse-le plusieurs fois
voilà
tu ty prends très bien. Maintenant sur toute la longueur, sans oublier ses couilles, oui cest bien
laisse faire ton inspiration, cette grosse queue est pour toi, rien que pour toi, ne pense quà ton plaisir et celui que tu donnes
Ma bouche longeait ainsi lintégralité du membre de Didier par le côté puis par le dessous, du gland jusquaux couilles. Jopérai dabord en baisers mouillés puis uniquement avec la pointe de la langue. Je me délectai de ce relief musculeux et veineux offert à mes fantasmes. Également de lécher ce gland par petites touches, dopérer par mouvement circulaire tout autour, de passer ma langue dessous pour le titiller, décarter délicatement le méat avec la pointe. À un moment, je sentis plusieurs mains me caresser.
Jétais nu et pompais Didier de plus en plus loin, toujours lentement pour le ressentir le plus longtemps possible. Une main experte massait le dessous de mon sexe, se muait en doigt glissant dans ma raie jusquà lentrée de lanus, puis redevenait main décrivant mes fesses. Me sentant prêt, Didier me força à prendre sa queue à fond en lenfonçant jusquà lentrée de ma gorge. Mon menton touchait ses couilles en sueur, mon nez et ma bouche étaient plaqués sur son pubis, quant à mes mains, elles étaient agrippées à ses fesses. Je fus surpris darriver à tout avaler du premier coup, sans réflexe vomitif, mais je ne pus rester bien longtemps ainsi pour ne pas m. En dégurgitant lentement, jaspirais le plus possible de salive pour éviter de baver. Le doigt qui me fouillait lintimité faisait maintenant quelques incursions dans mon anus, heureusement, je crois quil était propre ! La sensation, nouvelle pour moi, sans menthousiasmer, ne fut pas désagréable.
Je refis de la sorte plusieurs gorges profondes à Didier, en appréhendant toutefois le moment où il allait jouir dans ma bouche. Je navais en effet jamais goûté au sperme de quiconque, cétait pour moi la grande inconnue.
- Bravo mon petit Thierry, lança Bastien ! Regardez-moi cette jolie gueule dange comme elle sest bien débrouillée ! Tu as sucé ton cousin comme un dieu, et en plus jusquau bout. Examen de passage réussi ! Mais je vois que tu as toujours une gaule denfer. Et nous trois, tu nous a tellement chauffé à blanc quon aimerait bien aussi être pompés comme ça
Pendant que jétais occupé à messuyer avec un gant mouillé et une serviette, je vis les trois compères sapprocher jusquà mentourer de très près. Jétais encore agenouillé avec le sperme de Didier sur les cuisses. Leurs slips ultra sexy (fins, échancrés voire limite transparents) étaient tendus à lextrême, laissant entrevoir une partie de leurs couilles sur les côtés. À dix centimètres de mes yeux à peine
Excité comme jétais et dans la foulée de ma prestation précédente, je navais dautre choix que daccéder à leur désir, en même temps quau mien, je dois dire.
Je libérai dabord la verge de Jean-David puis celle de Yann et de Bastien. La première était de loin la plus longue et la plus épaisse, sûrement plus de 20 cm sur près de 5 cm de diamètre, et avait la particularité dêtre courbée en arc. Celle de Yann était la plus belle, parfaitement horizontale, très joliment veinée et avec une paire de couilles très resserrée dessous, au contraire de celle de Bastien, pendant assez bas. Ce dernier était, par ailleurs, le seul à avoir des poils (sur le pubis et sur les couilles), néanmoins très finement coupés. Bref, ils étaient tous superbement montés.
Jétais satisfait de ne pas avoir affaire à des membres circoncis. La présence de prépuces sur chacun deux moffrait la possibilité délicieuse de faire jaillir (ou, au contraire, de masquer) moi-même leurs glands, ce qui mapparaissait beaucoup plus excitant. Jentrepris de les branler un à un, histoire de les faire bander un max. Ce faisant, je me demandais sil pouvait y avoir de plus grand plaisir que de se voir ainsi offrir plusieurs queues tendues prêtes à tous les sévices. Une soumission particulièrement délicieuse.
Jean-David étant venu frapper plusieurs fois mon visage avec son membre couvert de sueur, jen profitai pour lhonorer sous toutes les coutures. Puis jouvris la bouche pour laccueillir et le sucer. Pendant ce temps, je continuais de branler Yann et Bastien. Avaler complètement la queue de Jean-David fut une gageure, cependant jy réussis par deux fois, à mon grand étonnement. Je répétai le même manège avec chacun des deux autres en faisant deux ou trois tours, je ne me souviens plus exactement. Et ce fut pendant que jétais appliqué à sucer Bastien, que Jean-David et Yann se rapprochèrent subitement puis déchargèrent leur sperme sur moi, chacun dun côté. Ils menvoyèrent plusieurs jets épais sur le front, les cheveux, le nez, les oreilles et les joues. Immédiatement suivis de Bastien qui éjacula longuement dans ma bouche en rugissant comme une bête sauvage.
Mais ce nétait pas fini. Didier me demanda de me relever, et sagenouilla devant moi. Malgré les souillures et la forte odeur de sperme qui régnait sur moi, il entreprit de branler et de sucer ma queue, visiblement décidé à me faire jouir rapidement. Je ne pus ainsi me retenir que peu de temps et lui envoyai plusieurs décharges sur le visage et dans la bouche, décharges quil avala et lécha goulument. Jamais je ne me serais cru capable dune telle débauche collective, moi qui navais à proprement parler aucune expérience sexuelle
Après une longue douche des plus nécessaires, je partis me coucher, totalement vanné. Il devait être vers les 22 h 30. Le lendemain matin, dès les premières lueurs du jour, je fus réveillé. Je décidai de rester au lit. Je repensais aux folies de la veille et, bien sûr, je bandais. Comme cela marrivait souvent en pareille occasion, je retirais mon slip, perdu dans mes fantasmes. Je me masturbais de temps en temps en me remémorant les queues que javais prises en bouche. Je me demandais si je serais maintenant capable de les prendre dans mon cul. Là encore, une inconnue. Ceci étant, je ne peux pas dire que je le désirais vraiment, trouvant quand même plus naturel de pénétrer quelquun que dêtre pénétré. Mais entre une femme et un homme ma libido balançait
Je me rendormis nu dans mon lit.
De voluptueuses caresses me réveillèrent. Je crus dabord être dans un rêve mais quelques secousses sur le matelas me ramenèrent à la réalité. Deux mains caressaient mon corps, totalement découvert. Jétais alors sur le ventre, les fesses à lair. Des doigts passaient et repassaient le long de ma raie et, au fur et à mesure que jécartais les jambes, plus à lintérieur. Je finis par me retourner, exhibant une jolie gaule matinale. Les mains étaient celles de Yann et de Jean-David, lesquels commencèrent à caresser mon ventre, mes cuisses et ma queue. Je me redressai pour être en position un peu plus assise. Ils montèrent alors sur le lit en rapprochant leur tête de mon sexe pointé vers le ciel. Ils me firent une fellation à deux. Pendant que lun me suçait par le haut, lautre embrassait, léchait, aspirait le bas couilles comprises. Ils intervertirent plusieurs fois les rôles. Puis Jean-David se leva, retira son slip et vint se positionner au-dessus de ma tête. Javais ainsi une vue imprenable sur le dessous de son entrejambe. Yann continuait de sucer ma queue mais il lui arrivait de mécarter les fesses pour lécher lintérieur et enfoncer sa langue dans mon anus. Jean-David, lui, sassit sur mon visage, frottant savamment ses couilles et sa queue sur mes lèvres. Jouvris rapidement ma bouche pour le ressentir en moi. Dabord, je léchai et aspirais son gland. Ensuite, je commençai à le pomper en faisant aller et venir ma tête normalement. Mais il décida dimprimer lui-même la cadence avec ses reins, se tenant à la tête de lit et menfilant sa queue à grands coups de boutoir, comme sil pénétrait un vagin ou un anus.
Cest le moment que trouva Yann pour sasseoir sur mon sexe. Il me lubrifia dabord en déposant une goutte dhuile sur mon gland puis, grâce à la vigueur de ma queue, introduisit celle-ci dans son anus. Cétait encore une première pour moi et je dois dire que cela me fit un peu peur au début. Passées les premières sensations de brûlure due au frottement, limpression dexplorer Yann de lintérieur, de le sentir se lover autour de mon sexe et aller et venir dessus, finit par lemporter. Ce fut donc, au final, assez agréable. Je me sentais fort, je devenais son maître, celui qui lui défonçait le cul jusquà ce quil monte au septième ciel. Celui qui lui enverrait de puissantes décharges de sperme dans les entrailles. Décharges qui, dailleurs, ne tardèrent pas, vu mon état dexcitation et lentrain avec lequel Yann me chevauchait. Et qui me libérèrent dun poids important, à lheure où Jean-David me pénétrait de plus en plus fort et où il me fallait déployer beaucoup dénergie et de concentration pour ingurgiter son énorme mandrin sans m. Aussi sa jouissance, juste après la mienne, fut-elle une libération, même sil minonda encore une fois tout le visage en se retirant de ma bouche.
(à suivre)
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