Weekend À La Montagne - Épisode 7 - La Fin De La Ballade En Forêt
Weekend à la montagne - Épisode 7 - la fin de la ballade en forêt
- « Répète-le-moi encore » Elle me chuchota à loreille.
- « Sil te plait Pauline, enfonce-moi ce stalactite dans le cul
»
Cétait impressionnant la réaction que ça lui faisait. Elle rayonnait.
Elle sétait fait un petit piédestal derrière moi en en tassant de la neige. Elle sétait donc installée dans mon dos, sa poitrine dénudée et bouillante collée contre mes omoplates, irradiant sa chaleur à travers tout mon corps. Une de ses mains tenait le stalactite taillé en forme phallique par la bouche de Léa quelle faisait glisser sur mon scrotum et mon sexe. Sa deuxième était fermée sur mon cou, mnt légèrement, pendant quelle jouait avec sa langue sur et dans mon oreille. Maintenant quelle mavait brisé, elle prenait tout son temps. Léa patientait devant moi, nous regardant den bas. Je décidais dactiver la télécommande de son sex-toy pour lencourager, mais cest Pauline qui poussa un soupir de satisfaction dans mon dos.
- « Oups, il semblerait que la télécommande que je tai passée ne soit pas celle de Léa
tant pis pour elle ! Allé, supplie-moi encore une dernière fois
- Maitresse, pitié, pourriez-vous menculer avec ce aaaaannnhhh
»
Elle avait commencé à faire entrer son gode lentement mais sans sarrêter dans mon cul. Léa prit ça pour un top départ et se jeta avidement sur ma queue. Soit elle en crevait denvie depuis un moment, soit elle voulait me remercier davoir choisi cette option là pour elle
Soit elle voulait en finir vite pour aller se mettre au chaud. Probablement un des trois, je ne me hasarderais pas à essayer de deviner. Jétais dailleurs un peu occupé.
Dans un premier temps, je ne ressenti finalement que la pénétration. Jétais extrêmement crispé à cause du froid donc ça ne sest pas fait sans difficulté, mais globalement je commençais à connaitre un peu le concept.
Pour Pauline, se fut le top départ. Elle plaqua une main sur ma bouche pour ma complainte, puis commença à me pilonner avec son jouet en donnant de grands à-coups.
- « On ne rentrera pas au chaud avant que tu ne lai complètement fondu donc autant commencer à prendre du plaisir mon chou
»
Léa, de son côté, sactivait. Elle utilisait ses mains attachées au niveau de son cou pour me caresser les boules tout en sactivant sur mon sexe. Elle lenfonçait au fond de sa gorge, donnait des coups de langues, remontait suçoter mon gland en reprenant son souffle, replongeait à nouveau
Malheureusement mon esprit était ailleurs, concentré sur ce glaçon qui tapait au fond, littéralement.
Je criais ouvertement sous la main de Pauline. Dans la confusion, jappuyais sur tous les boutons de la télécommande ce qui fait sursauter ma tortionnaire, puis la fit gémir de plus belle. Elle avait ses lèvres collées contre mon oreille.
- « Cest bien, continue comme ça
Putain quest-ce que tu me fais mouiller à crier comme ça
»
Et après quelques minutes à peine de ce traitement, elle jouit dans un long soupir de satisfaction. Elle ralenti enfin le va et vient, puis immobilisa carrément sa main. Je poussais un sanglot étouffé. Après une minute à tenir le glaçon, elle le lâcha : ma rondelle dégageant apparemment une forte chaleur, celui-ci avait fondu dans une forme de plug et tenait tout seul. Je me débattais pour essayer de men débarrasser, mais fut rappeler à lordre par Pauline dune claque sur le cul.
- « Je me libère les mains pour aller taider à jouir, si tu en profites pour te débarrasser de ton glaçon je les utilise pour te fouetter avec une branche de sapin ! »
Étant maintenant bien à jour si sa propension à tenir ses promesses aussi sadiques soient-elles, je décidais donc de prendre sur moi en mastreignant à bouger le moins possible.
Pauline bascula derrière Léa dont je croisais le regard dans lequel on pouvait lire une petite dose de peur. De là, elle agrippa une grande poignée de cheveux et commença à imprimer le mouvement. Elle lui imposait une fellation intense, profonde, qui la laissait régulièrement à bout de souffle.
La vision de ces deux femmes sactivant pour mon plus grand plaisir maida à passer le point de bascule.
A y réfléchir, je pense que cest à ce moment-là, pour la première fois, que jai vraiment ressenti ce que jappelle depuis le point de bascule. Le moment conscient ou la douleur devient
autre chose. Le moment ou le référentiel bascule et ou la douleur se fond dans un sentiment nouveau de normalité. Le Mal devient une forme de sensation accrue, le Bien est démultiplié, lensemble du corps humain fait un reboot system et redéfini lensemble des paramètres douleur/plaisir.
Et ce moment-là, je lai vécu avec Pauline qui forçait une gorge profonde sur Léa. Jai soudainement oublié le froid. Enfin pas oublié, simplement vécu comme une caresse sur ma peau ou je pouvais sentir chaque follicule pileux souvrir un par un. La sensation glacée dans mon fondement sest transformée en une impression de plénitude, dêtre « rempli ». Et la bouche de Léa irradiait sa chaleur dans tout mon corps
Cétait une sensation divine, unique.
Toute poésie mise à part, cétait donc la pipe de ma vie. Pas la peine non plus den faire des alexandrins.
Jarrivais enfin à prendre du plaisir, et ça se voyais. Pauline pétrissait les seins de Léa dune main tout en utilisant la seconde pour imprimer le mouvement. Elle dut voir mon changement car elle me sourit et écrasa le visage de Léa sur mon sexe jusquà ce que son nez soit collé contre mon corps.
Pendant une seconde, le temps fut comme figé.
Puis Léa, commença à se débattre pour aspirer de lair. Sa gorge se contracta plusieurs fois sur mon gland, ce qui me fit basculer dans la jouissance.
A cet instant, le glaçon dans mon cul tomba dans la neige. Je franchis le point de bascule dans lautre sens et ressenti à nouveau le froid, lengourdissement, la douleur.
Je fis un genre de black-out sur les secondes, minutes qui suivirent. Lorsque mon esprit se remit à fonctionner correctement, nous étions en train de marcher péniblement dans la neige en direction du chalet. Pauline menait la marche et nous tirais tous les deux par deux cordes attachées à nos poignets. Léa et moi trébuchions dans la neige, collés lun contre lautre, à essayer de suivre le rythme et de survivre au froid.
Une heure après, les traces du froid avaient disparu. Nous étions en train de vivre un moment de trêve, tous les 3 dans le jacuzzi du chalet. Les seules traces de mon statut étaient de le retour de ma cage de chasteté, et mes mains attachés symboliquement devant moi.
La matinée et le début daprès-midi que nous avions vécu était un des moments les plus intenses de ma vie, mais je pouvais clairement sentir que ce nétait pas fini
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